Quand les soldats te lâchent, tu restes assise sur le sol, regardant le long couteau qu’ils déposent devant toi. Tu les regarde un moment, puis la dame, puis le vieil homme. Il n’est plus du tout la même personne. Son esprit de chien en chaleur a monté, ce n’est plus qu’un sale clepse en chaleur.
-Je t’ai déjà dit ce que je voulais…. Tue-le…. Si tu as le moindre respect envers moi et envers ton pépé… Rends-lui sa condition d’humain dans la mort… Si tu fais ça, tu deviendras ma nouvelle servante ma petite esclave… Tes talents ne seront pas gâchés avec moi…
Elle lâche la laisse et il arrive comme un fou sur toi, tu essaies de reculer, mais tes jambes sont trop faibles et tu retombes aussi vite. Il commence à te renifler, et les larmes coulent de plus belle. Tu essaies de te débattre, mais rien à faire, tu as trop peur, tu n’as plus assez de force pour savoir faire quoi que ce soit. Maintenant, c’est la jeune femme qui parle, mais tu n’écoutes plus personnes, tu ressens une immense haine monter en toi. Tu pousses un long cri quand l’Inu t’attrape et te coince pour pouvoir ainsi profiter de toi. Tu sens ses doigts glisser sur tes cuisses afin de retirer ta culotte. Tu te débats, tu cris, tu regardes les soldats, la dame qui eux ne feront rien pour t’aider. Tu regardes ton grand-père, ou plutôt ce qu’il est devenu. Un homme aussi respectueux et si aimable… Devenu … Une ordure ? Un monstre ? Un pervers aux envies sexuelles débordantes ? Non, ce n’est pas possible. Tout ça devient trop dur à porter. La haine qui est en toi ne va pas tarder à changer la Nyuko toute angélique en la Nyuko que tu essaies de fuir durant des années. Tu sais très bien que, si tu te changes en la méchante Nyuko, tu iras tuer, tu ne contrôleras plus ta force et deviendras une vraie tueuse psychopathe. Tu repenses à tous ces souvenirs enfuis dans ta mémoire. Le jour où tu t’es réveillée auprès de lui pour la première fois, les jours où tu étais triste et qu’il restait avec toi pour te raconter la vie de tes parents, les jours où tu ressentais un amour paternel énorme envers lui… Et maintenant. Tout ça te dégoûte, tu as tout perdu. Tu n’avais plus que lui sur qui comptait, mais maintenant c’est fini. Tu fonds en larmes et repousse ton grand-père. Pourquoi tout ça doit arriver ? Pourquoi ne peux-tu pas vivre en harmonie avec tout le monde ?
Tu te relèves, la tête baisser. Tu n’es plus du tout faible. Tu n’es plus du tout triste. Tous les vrais sentiments se sont enfuis. Tu n’es plus la même Nyuko. Tu es celle que tu détestes. Tu avances auprès du vieil homme et l’attrape par le col de son haut. Tu sors les ongles qui eux sont aussi aiguisés que des griffes de chats et tu lui donnes un grand coup dans le visage, qui le fait retomber de force au sol. Tu pouffes de rire. Tu trouves ça tellement amusant, de faire du mal à quelqu’un qui ne sera jamais se débattre auprès de toi. Tu t’abaisses pour ramasser le couteau et t’avance vers lui, doucement, sans faire aucun bruit.
▬ Humpff … C’est tellement drôle ! J’adore jouer au chat et à la souris. Tu ne mérites qu’une chose, CREVER. SALE BATARD ! HAHAHAHAHAH.
Ton regard est effrayant, tu ne ressembles plus qu’à une vulgaire psychopathe. Tu donnes des coups de pieds dans son ventre, puis son dos. Tu t’abaisses, lui attrapes la verge et la coupe avec ton couteau, que tu lui balance en pleins visage. Tu continues de rigoler en voyant le sang. Tu continues de lui donner des coups de pieds, tu lui craches dessus, tu l’insultes. Une fois avoir assez jouer avec lui,tu attrapes le corps du vieil homme remplis de bleus et tu lui enfonces le couteau plusieurs fois dans la gorge, puis dans le ventre et le laisse tomber ainsi que le couteau. Tu continues de rire en entendant les derniers gémissements de l’homme qui lui essaie du mieux qu’il peut de rester en vie. Mais, tu trouves que ça ne dure pas assez vite, alors tu reprends le couteau et continue tes coups partout dans son corps. Tes coups sont tellement rudes et vifs que son sang s’éclabousse sur ton visage et tu continues toujours ton massacre.
▬ HAHAHA. C’est trop drôle ! Hahaha, le sang c’est joli ! C’est joli le sang, encore du sang, JE VEUX PLUS DE SANG HAHAHA.
Tu sens la fatigue monter en toi, la haine descend de plus en plus et bientôt tu reprends tes esprits. En voyant ce que tu viens de faire à la dernière personne que tu aimais, tu hurles de peur et commences à pleurer en marchant à quatre pattes vers la jeune dame. Tu frottes tes yeux, laissant des traces de sang un peu partout sur ton visage et sur tes mains, puis regarde la dame droit dans les yeux. Tu continues de pleurer et commence aussi à trembler comme une feuille, à chaque fois que tu poses les yeux sur l’affreux meurtre que tu viens de commettre.
▬ Aider moi, s’il vous plait, je ferai tout et n’importe quoi, vraiment … Je serai votre esclave si vous le voulez, je vous appellerez Maîtresse si vous le souhaitez, je ferai tout, vraiment tout, mais aider moi … J’ai si peur de moi-même, je ne veux pas mourir !!