À la surprise d’Alice, Vehk lui annonça qu’il n’avait pas de harem. De la part d’un individu se prétendant aussi puissant, elle se serait attendue au contraire... Cependant, il avait bien une salle de bains, et il y convia Alice en la portant, cette dernière sentant, contre son bassin, glissant le long de sa peau chaude et tendre, la verge tendue du Dieu. Elle s’enroula contre lui. Un Dieu ne connaissait pas la fatigue, mais, même pour autant, Alice n’aimait pas trop qu’on la porte ainsi. Elle avait l’impression de se sentir impotente, incapable, mais, en l’état, elle ne pouvait pas dire grand-chose, d’autant plus que son corps était encore éprouvé par leur intense nuit. Il lui suffisait de fermer les yeux, de se presser contre Vehk, pour ressentir les effluves de la nuit passée... Lui et ses deux clones la prenant avec voracité, sans relâche, la défonçant dans tous les sens possibles... Elle se revoyait, en fermant les yeux, cette scène intense, aussi violente que sensuelle, avec ces trois queues plantées en elle, la torturant, l’opprimant... Ohlàlà, ça avait vraiment été intense !
Vehk conduisit Alice dans la salle de bains, comprenant un grand bassin, et commença à la peloter. Elle se laissait faire, assise contre lui, le duo ressemblant presque à un couple. L’une des mains du Dieu fila le long de son dos, malaxant ses fesses, faisant frémir l’intéressée, l’autre allant peloter l’un de ses seins, le soupesant, le titillant. Alice gémissait à nouveau, ses mains se serrant sur les épaules de Vehk, ses ongles se pressant contre sa peau. Jusqu’à quel point pouvait-elle se fier à ce Dieu ? De quoi parlait-il donc avec cette « personne » ? Un autre homme ? Un autre amant qui viendrait la prendre ? La Princesse était évidemment curieuse, et soupirait, gémissant lentement, le plaisir remontant. Le Dieu attisait son désir, maintenant les braises en soufflant dessus. Il était doué, elle ne pouvait pas la nier, et elle aimait ça. Elle l’adorait, même ! Elle entendit alors des bruits dans son dos, et se retourna lentement, pivotant sur le côté.
Une superbe femme venait d’entrer dans la salle. C’était une elfe noire, une Drow, reconnaissable à sa couleur de peau, sa beauté, et ses longues oreilles pointues. Elle portait une courte armure, et Alice ne put s’empêcher de loucher sur ses formes. Cette femme était vraiment très belle. Elle s’avança lentement, dans un déhanché terriblement sexy et provocant. Elle roulait des hanches, et pénétra dans le bassin, descendant en observant sensuellement Vehk et Alice... Mais surtout le Dieu. Elle se rapprocha, et Alice la vit se pencher. L’elfe noire ne disait rien, et elle avança ses mains. La Princesse se demanda si elle n’allait pas la peloter, mais, quand elle la vit masturber le sexe du Dieu, elle rougit, et s’écarta légèrement, se redressant un peu. Vehk, en soupirant, lui expliqua alors que le rôle de cette femme était d’être ensemencée par le Dieu, de porter son enfant... Alice rougit délicatement. Ce qu’elle en disait ? Ceci méritait réflexion. Elle se mordilla les lèvres, et se rehaussa un peu. L’elfe noire, elle, continuait à masturber le Dieu.
« J’en dis que vous avez intérêt à ensemencer le bon trou, Dieu... Et que vous savez bien vous entourer. »
La femme continuait à le masturber, et Alice s’écarta alors, se glissant elle aussi dans l’eau chaude. Elle arriva à côté de la femme, face au Dieu, et alla alors le masturber à son tour. Les deux femmes s’observèrent ensuite, avant qu’Alice ne se penche contre elle, l’embrassant tendrement. Les deux femmes se blottirent l’une contre l’autre, sans rien dire entre elles, se contentant de s’embrasser mutuellement. La langue d’Alice fila dans al bouche de la femme, remuant contre elle, et sa main se releva pour caresser ses cheveux, tandis que la femme, à son tour, alla palper le cul d’Alice. La Princesse gémit, se pressa contre l’armure de la femme. Les mains gantées de l’elfe sur ses fesses la faisaient frémir, provoquant un délicieux contraste. Elles s’embrassèrent ainsi pendant une bonne minute, gémissant mutuellement, avant de rompre le baiser.
Alice lui sourit, et la femme lui rendit son sourire.
« Allons le sucer ensemble... Qu’il répande sa semence en toi de manière divine... »
Cette idée sembla provoquer chez l’elfe une sorte de fantasme éveillé, car ses yeux s’illuminèrent. L’elfe et Alice s’abaissèrent ensuite, et chacune lécha la verge de l’homme, chacun de son côté, leurs langues glissant le long de cette hampe de chair, l’embrassant, la mordillant, frottant leurs visages contre ce monceau de chair, glissant de haut en bas sur ce dernier. La femme à la peau sombre prit finalement ce sexe en bouche, et Alice, en se baissant, alla lécher et embrasser ses bourses, les suçant à son tour.
Au moins, Vehk ne pourrait pas se plaindre qu’on ne s’occupe pas assez bien de lui.