La succube souriait, enfin la belle magicienne se laissait aller. Elle y allait fort, à peine les caresses entamées, elle avait été secouée par un orgasme presque silencieux, ses dents se plantant dans sa peau à vif, ce qui lui tira un léger 'humpf' de douleur.
Bya guidait ses pas vers la couche, visiblement, elle avait vu juste, elle avait, après avoir eu si peur, une fringale de vie profonde et sincère. Avec une grande douceur et une tendresse au moins aussi importante, la succube avait encadré le délicat visage de ses mains, et posé un baiser extrêmement léger, presque chaste, sur les lèvres de la magicienne.
Elle fit perdurer le contact un instant, puis, lentement, elle descendit ses baisers dans son cou, savourant le grain de sa peau, à petit coups de langues, puis elle se mit à faire navette, de son oreille au creux de sa clavicule, de multiples baisers très légers, alors que dans le même temps les doigts de Kuraï couraient dans le dos de la belle, frôlant à peine sa peau, la griffant très légèrement le long de la colonne, insistant au creux des reins, puis remontant doucement jusqu'à rencontrer les restes de son chemisier.
Avec délicatesse, la succube avait guidé la jeune femme pour l'en débarrasser, suivit de peu par son soutient-gorge qui la dérangeait. Puis, lentement, elle roula sur Byakuren, elle lui lécha le lobe de l'oreille avant de lui murmurer.
Tu sens divinement bon.... Je vais me régaler.... Et je l'espère, toi apprendre que l'amour physique peut être agréable belle enfant.
La succube repris ensuite ses baisers, ses doigts caressant avec ferveur les hanches et et le ventre de la belle, alors que ses lèvres dégustaient son cou, ses épaules, avant de flatter la poitrine au combien prête à recevoir l'hommage, avide même de l'obtenir enfin, Kuraï le sentait, chaque baiser semblait envoyer des décharges à sa belle, doucement, ses doigts s'aventurèrent sous la jupette, venant frôler la perle ardente, avant d'en jouer avec délicatesse, ses lèvres emprisonnant tour à tour les tétons tendus et sensibles que la magicienne offrait dors et déjà à déguster.