Une malchance pour une Exhibitionniste ? Ou Pas… (Tatsuki « Ikki » Maeda)

La récréation… c’était l’un des moments où il n’y que peu de monde dans les couloirs ou les salles de cours, du moins dans certaines parties du lycée. Mais cela ajouterait du piment pour faire de l’exhibitionnisme surtout qu’à tout moment on pouvait me voir. C’était cela qui me plaisait, le danger de se faire prendre à se balader nue. C’était comme une décharge d’adrénaline ou quelque chose dans le genre. J’attendais la sonnerie pour aller me changer et m’exhiber dans les couloirs vides. Le cours, bien que très intéressant, était d’une longueur inhabituelle.

Discrètement, je soupirais en baillant, prenant des notes. Le cours continuait dans la quasi-indifférence des élèves. C’était bien la première fois que cela arrivait dans les cours. Enfin, la sonnerie de la récréation retentit. J’étais assez commune, et j’avais que très peu d’ami, que ce soit des garçons ou des filles. J’attendis que les élèves sortent de la classe pour m’éclipser discrètement, montant sur le toit avant de me déshabiller totalement, ne gardant que mes chaussures et mes socquettes.

Une fois nue, je descendis un étage, regardant qu’il n’y ait personnes. Je traversais lentement le couloir, jetant des coups d’œil derrière moi et dans les classes pour voir s’il y avait du monde… personnes. Mais alors que j’étais à mi-chemin du couloir, j’entendis du bruit venant du bout du couloir, il était trop tard pour faire demi-tour. Paniquée, j’ouvris rapidement une porte d’une classe et y entrais, m’accroupissant pour qu’on ne me voie pas. Il était temps, des murmures de professeurs se faisaient entendre. Puis ils s’éloignèrent.

Je soupirais de soulagement, je me relevais doucement quand j’entendis une chaise qui bougeait dans la salle, je me retournais pour voir un garçon se lever. Je rougis violemment en le voyant.

Vous savez, il n’y a que peu de choses que je ne sais pas faire dans la vie. La principale étant… Bah que je ne peux pas deviner moi-même ce que je ne sais pas faire. En revanche, c’est très facile pour moi de m’infiltrer par les airs. Bon okay il faut pas que mes serviteurs ici-bas me regardent de peur d’être transformé en gorille tellement qu’ils ne comprennent rien. Là on était au milieu d’une journée de merde pour ceux qui aiment pas le beau temps. Perso je m’en cogne le coquillard avec une spatule en bois. Traçant dans le ciel en brouillant les pistes, puis atterrissant comme un taré pas loin du lycée pour finalement rentrer dedans. Je traverse les couloirs vides et là, j’entends du bruit. Des bruits bizarres un peu comme quand on essaye de déboucher des chiottes avec une ventouse. Bien sûr, je râle qu’un boucan pareil dérange ma divine balade dans le lycée de Seikusu. Et là, une fois dans la salle de classe… Plein de meuf à poil ! Si si je vous jure. Et des boobz comme ça ! Ouais bon difficile à imaginer comme ça mais la classe. Elles m’attendaient en plus donc moi direct, je me fous à poil et je vais me les taper une par une. La blonde, la brune, l’européenne, la black,… Et toute en en même temps ! Avec les mains, le zboub et la langue. Et au moment du grand final de votre empereur préféré, je… Je…

Je me réveille putain

Bordel en fait tout ça n’était qu’un rêve mélangé aux fantasmes que j’ai eut pendant le cours que j’ai infiltré plutôt avec la prof et certains élèves. Fait chier depuis le début j’étais là, assis comme un con dans la salle avec la chaise à moitié balançante. Putain quoi ou qui à osé me réveiller pendant un si bon rêve ? Bon bah du coup, je me lève. Normal quoi. Bon la chaise crisse un peu… J’aurais pas dût rester sur celle-là. Je tourne la tête et… Une fille presque complètement à poil, ouais parce qu’elle avait des shoes encore même si mes yeux avaient bien mieux à regarder, et assez mignonne en plus malgré ses forme pas tout à fait finies. Je suis sûr qu’elle fera au moins du 87 avec ses poires à maturité. Ah tiens genre elle m’a pas repéré. Ben ouais regardez là, elle rougit encore plus que moi après une partie de Resident Evil en professionnel. Donc là, j’arrive vers elle. Jusque là tout va bien. Puis à deux mètres en marchant les mains dans les poches, je m’arrête :

- Hey c’est toi qui a osé troubler mon divin sommeil ?

Mais non j’étais pas agressif quand j’ai demandé ça. Bon okay j’ai froncé un peu les sourcils mais c’est tout quoi. C’est pas comme si je l’avais attrapée par le coup et maintenue contre la porte. Je ne suis pas un barbare quand même. Un regard rapide à son petit corps et je relance :

- Mais vu que tu es venue avec le plus bel uniforme qui existe sur cette planète, ma grande bonté m’oblige à ne pas te crier dessus.

Putain la grande classe quoi. Pas vrai les filles ?

Je continuais de rougir, sans pour autant cacher mon corps, tandis que le garçon s’approchait de moi. Je lui souris toujours rouge. Il avait les mains dans les poches puis à deux mètres de mois, il s’arrêta. J’espérais qu’il n’aille pas voir les professeurs qui venait de passer, sinon, je risquerais d’être virée du lycée… je le regardais il était plutôt mignon, bien que plus âgé que moi…

_ « Hey c’est toi qui a osé troubler mon divin sommeil ? »

Je hochais la tête ne rougissant tandis qu’il fronçait un peu les sourcils. Son regard se posa sur mes formes, ce qui m’excita un peu, mes tétons se dressant légèrement. Je ne m’attendais pas à me faire prendre comme ça par un élève ou un prof… là, visiblement c’était un élève en fin de cycle apparement…

_ « Mais vu que tu es venue avec le plus bel uniforme qui existe sur cette planète, ma grande bonté m’oblige à ne pas te crier dessus. »

Je rougis de plus bel, sachant très bien que je ne portais pas de vêtement. Comment devais-je le prendre ? Mal ? Ou bien comme un compliment ? Je baissais les yeux tandis que je sentais un liquide couler entre mes jambes. Je rougis encore plus, devenant rouge pivoine. Puis je relevais la tête.

_ « S’il vous plait ne dite rien aux professeurs… je ne veux pas être virée du lycée… »

J’étais sincère et j’étais prête à faire beaucoup pour qu’il se taise, sauf à perdre ma virginité. Je n’étais pas encore prête à cela. Je voulais perdre ma virginité d’une manière particulière. Je baissais la tête à nouveau, je ne voulais pas paraitre une fille facile, j’avais mes affaires avec moi.

_ « Je vais me rhabiller… je suis désolée de vous avoir réveillé… »

Puis je pensais à ce qu’il venait de dire… divin sommeil ? J’éclatais de rire avant de mettre mes mains sur ma bouche et de jeter un coup d’œil dehors. Je rougis à nouveau, mais il n’y avait personne.

_ « Je m’appelle Tengoku, Megumi Tengoku… et vous ? Vous n’avez pas l’air d’un dieu… mais d’un élève normal du lycée… »

Je le regardais avec un sourire aux lèvres.

C’est drôle je trouve. Comment une fille qui se balade à poil dans un endroit où plein de gugusses passent, genre le lycée de Seikusu, peut rougir de le faire alors que franchement y’a pas matière à ça ? ‘Fin ch’ai pas quoi, quand on a pas une fringue sur soi à part des godasses et des chaussettes et qu’on se retrouve ici euh… A moins qu’on t’ait chouré le tout dans les vestiaires et qu’elle s’est planquée ici en attendant, elle fait ça exprès. C’est obligé ou alors je m’y connais pas. J’ai déjà vu des sortes de documentaires sur une chaîne porno un jour. Il parait que dans certains Etats en Amérique des gens se baladent à poil sans qu’on leurs disent rien. Et entre ceux et celles qui font ça exprès et ceux qui y sont contraint y’a une différence vachement visible. Avec le nombre de string and co que j’ai piqué dans ma jeunesse insouciante je peux vous dire que ça rougis sec les filles. En plus hé… Me dites pas que ses p’tits boobz se sont mis à pointer par qu’elle avait froid franchement… Surtout devant ma divine présence quoi.

Ensuite hum… Bah elle me supplia de rien dire aux profs, toussa… Genre je vais aller voir des vieux que je connais même pas, ch’ui pas élève hein, rappelez-vous, pour foutre en l’air la scolarité d’une fille qui aime se balader à oilpé pas loin de moi. Attends je suis pas con quand même ; j’ai le sens des priorités. En plus regardez-là hé. On dirait qu’elle est limite prête à… En fait non j’allais dire une connerie. Elle se met à rigoler comme une andouille alors que perso j’ai pas bougé un orteil ni raconté de blague. Elle à pété un boulon ou quoi ? A moins que ça soi tune technique pour se donner du courage… Assez idiote. ‘Fin bref, elle se présente et… Se fous de ma gueule ? Mouais bon c’est vrai que je suis pas un dieu. Empereur de l’univers c’est bien supérieur à un dieu quoi. Megumi donc… Si je serais toi, je réfléchirais avant de sortir :

- C’est vrai que dieu n’est pas trop adapté à ma personne… Mais bon je suis quelqu'un de modeste. Par contre à ta place je resterais dans la classe

Je lui montre vite fais la pendule d’un coup de tête. Truc qui ne sert à rien puisque le temps d’agir les lycéens se fond entendre dans les couloirs avec l’alarme. Donc si elle a tant que ça pas envie de se faire montrer, vaux mieux qu’elle reste avec moi. Déjà parce que c’est moi, et ensuite parce que ça risque empirer. Mais bon, c’pas mes oignons. Sortant une main des poches, je partis m’asseoir sur un bureau. Bon okay y’a plus confortable pour mon divin cul mais bon, c’est toujours ça de pris :

- Ah un dernier conseil. Ferme la porte si tu veux pas qu’on te repère

Perso moi ça m’est égal. Au pire si elle décide de se barrer, je retourne pioncer un coup ou retourner chez moi devant la console

Il fit une drôle de tête quand je me mis à rire puis il me regarda d’une manière incrédule, du moins ce fut comme ça que j’interprétais la tête qu’il fit.

_ « C’est vrai que dieu n’est pas trop adapté à ma personne… Mais bon je suis quelqu'un de modeste. Par contre à ta place je resterais dans la classe… »

Il me montra vite fais la pendule d’un coup de tête. Je me tournais vers elle, et je rougis, la récréation était déjà terminée et j’étais encore toute nue, enfin j’avais mes chaussures, mais ce n’était pas cela qui me ferait être habillée. J’entendis soudain les élèves de l’école arriver dans les couloirs tandis que la sonnerie se faisait entendre. Je m’accroupis tandis qu’il sortait une de ses mains de sa poche et qu’il allait s’asseoir sur un bureau.

_ « Ah un dernier conseil. Ferme la porte si tu veux pas qu’on te repère. »

Je rougis, je n’avais pas pensée à fermer la porte à clef, ce que je fis le plus discrètement possible, de manière à ce que les élèves n’entendent rien. Là, j’étais piégée dans une salle de cours pour un petit moment, enfin, c’est pas comme si je n’avais jamais séché un cours dans ma vie… après tout pourquoi pas discuter avec ce beau jeune homme… surtout qu’il ne semblait pas intéressé par ma presque complète nudité…

_ « Merci, de m’avoir prévenue… et de ne pas avoir appelé de professeur… tu vas sécher les cours, toi aussi ? »

Je lui souris tandis que les bruits de la rentrée des élèves et des professeurs se dispersaient… apparemment les cours avaient débutés. Je m’installais sur une des chaises et un des bureaux d’élève, toujours nue, je sentais un liquide couler entre mes jambes et mes tétons continuaient de pointer fièrement sur mes petits seins. Je baissais un peu les yeux, rougissant mais sans plus.

_ « Je ne t’avais jamais vu, mais c’est vrai que l’école est grande… »

Je relevais la tête et le regardais.

Passer une petite partie de l’aprèm avec une fille en pleine croissance, mais surtout pas plus habillée qu’une actrice pornographique, a moins que baiser avec des godasses c’est un trip que je ne connais pas encore, c’est le pied. Ho remarquez, avec le fétichisme de pied qui fait bander des mecs ou mouiller des filles plus qu’une pénétration dans les règles de l’art, ça ne m’étonnerais pas de voir des branques sucer des lacets et se frotter la moule aux scratch. Perso j’essayerai pas. Trop dégueu comme truc quoi. Surtout après avoir marché dans une bonne grosse merde bien grasse laissée négligemment sur le trottoir et qui respire l’effort animal. Mais bon, je suis ni fétichiste ni scatophile quoi. Et heureusement… Breeeeeeeef elle remercie ma divine personne de l’avoir sauvée de cette situation nawakesque, même si j’ai un doute sur l’existence de ce mot archi-chiant à écrire, ce qui est tout à fait normal sachant que je lui ai sauvée la mise quand même. Une horde de lycéens ou lycéenne en rut ou en chaleur c’est pas très classe quand ça voit une fille à poil. Ah elle me demande si je compte sécher les cours. Mais quelle question… D’après vous qu’est-ce que je réponds hein ? :

- Bah je ne peux pas sécher ce que je n’ai pas. Puis je suis trop une tête pour m’attarder sur des cours aussi simples

Ouais bon okay j’ai pas étudié là. Mais les lycées c’tous les mêmes faut pas rêver. Genre si des gens comme mes serviteurs y arrivent, c’est normal que je sois au-dessus d’eux nan ? Bref bref bref… Là, les gens devaient être sûrement en cours vu le bordel que ça fait à coté des salles. Le couloir euh… Il s’passe rien donc pas de traîneur. Mais pas envie de dire à la miss qu’elle peut sortir tranquille. Ça serait pas drôle. Ho wait. C’moi où elle mouille là ? J’ai pas rêvé elle est en train de mouiller là. Ho mais c’est que la petite est quand même excitée de se retrouver dans une situation comme celle-là. Bon remarquez, c’est moi qu’elle a en face donc c’est tout à fait normal. Je ne suis pas n’importe qui après tout. Bon elle fait genre qu’elle fait pas gaffe ou quoi là ? Pas grave j’aime bien. Par contre je commence à avoir une vraie trique cette fois à voir ça. Pas grave, au pire je trouverais un compromis :

- Hein ? Genre tu m’a jamais vu ? Bon okay je rigole j’viens pas souvent ici en fait. C’est plus de mon niveau. Mais ça on s’en fout non ?

Ouais je sais, je suis un beau gosse universel, je sais. Et je sais aussi que je matte sans aucune espèce d’indiscrétion. Après tout, c’est le but de sa tenue non ? Si je ne serais pas le mec le plus classe de toutes les dimensions déjà existantes, j’aurais déjà fait exploser la braguette et lui aurait sauté dessus ou me branler devant elle. Mais je ne suis pas un de ces barbares de kikoolol Kevinesque qui spamment comme des bourrins, tout en se branlant jusqu’à s’en arracher le manche dés qu’ils obtiennent une victoire de merde sans honneur. En parlant de branlette tiens… J’ai une idée monstrueusement classe qui me vient à l’esprit :

- Hey. Je serais que toi je chercherais à me soulager avant d’inonder la pièce.

Puis je m’assois sur une chaise plus confortable, en glissant légèrement, mains sous la tête et jambes croisée sur le bureau. On va voir si elle va me passer l’envie de pioncer cette petite coquine. Ou pas.

La chaise sur laquelle je m’étais assise était assez froide, du moins le bois de celle-ci était assez froid. Tandis qu’il me regardait, je lui souriais doucement, c’est que j’étais un peu excitée aussi. C’était la première fois que je me mettais nue au Lycée…

_ « Bah je ne peux pas sécher ce que je n’ai pas. Puis je suis trop une tête pour m’attarder sur des cours aussi simples… »

Je faillis pouffer de rire, il était vraiment très drôle à se prendre pour un dieu ou je ne sais quoi… et puis il était vraiment mignon, même si je n’avais pas l’intention de faire quoi que ce soit avec lui. Je n’étais pas une « Marie couches-toi là » même si j’aimais me retrouver toute nue. J’étais toujours excitée et je mouillais toujours. Vu son regard sur mon intimité, il s’en était surement aperçu. Je rougissais un peu mais j’avais un air de défi dans mon regard. Son entrejambe gonflait dans son pantalon ce qui m’excita un peu plus.

_ « Hein ? Genre tu m’as jamais vu ? Bon okay, je rigole… j’viens pas souvent ici en fait. C’est plus de mon niveau. Mais ça on s’en fout non ? »

Je hochais la tête tout en le regard, non en admirant ce jeune homme qui me faisait rire dans ses paroles. Je dois bien dire que j’étais sous son charme, mais non, je ne coucherais pas avec lui… faut pas pousser quand même… c’est que je suis encore vierge, moi…

_ « Hey. Je serais que toi je chercherais à me soulager avant d’inonder la pièce. »

Je devins rouge pivoine, c’est qu’il me demandait carrément de me masturber devant lui… tandis qu’il s’asseyait sur une chaise plus confortable mettant sa mains de manière à dormir. Me masturber devant un homme qui était quasiment inconnu, il y a quelques minutes ? Ça avait quelque chose d’excitant… dommage qu’il n’y ait que lui pour me voir…

_ « D’accord… mais à une condition… »

Je le regardais, mes rougeurs devaient avoir disparus, enfin je l’espérais c’est qu’il n’y avait aucune raison pour que je sois la seule à me faire plaisir… et puis sa bosse dans son pantalon présageait un sacré membre…

_ « Que tu te fasses la même chose en me regardant… »

Voilà maintenant la balle était dans son camp…