Asami était déjà durement - Ou plutôt doucement si on s’intéressait aux sentiments qui l’envahissaient plutôt que la conduite de son ravisseur - traitée, écrasée entre un homme qui la prenait avec énergie et un meuble qu’elle mouillait de sa cyprine que lui arrachait chaque violent coup de rein. Mais celui qui soufflait puissamment à son oreille acheva de se transformer en bête lorsque, plus que de pétrir son corps pour son plaisir, il le griffa, laissant de légères marques rougissant à vue d’œil. De même que ses mains se transformaient en pattes, sa bouche qui jusqu’ici se « contentait » de caresser son cou de ses dents, devint une gueule qui plantait faiblement ses crocs dans la nuque de la jeune fille. Toutes ces incursions dans sa douce peau n’auraient du que la terrifier, l’alarmer, mais au fond le long tressaillement qui remontait son dos, effacé par la chaleur bouillante de l’animal, lui était bien agréable, lui arrachant des gémissements qu’on aurait pu et devrait méprendre comme des cris de plaisir et qui se mêlaient aux nombreux qui sortaient déjà de ses lèvres.
La lycéenne s’abandonnait elle aussi simplement à ses sensations, bien que cela n’engendrait pas de modification comportementales telles que celles de son ravisseurs, et il lui fallut facilement quelques secondes pour comprendre qu’un souffle parmi d’autres sur sa nuque était une question vaguement élaborée et non un râle comme tant d’autres. La réponse était simple, et s’il n’avait pas été dans un état aussi primaire, il aurait pu l’avoir d’un simple regard sur la jeune fille, tressaillant et gémissant sous ses pénétrations, la cyprine coulant de son intimité qui pulsait autour de son membre, mais actuellement, le ravisseur d’Asami semblait ne pas être capable de tourner son attention vers son corps frêle pour l’écouter, ou peut-être voulait-il simplement assouvir un désir de soumission et entendre l’aveu de sa bouche. Elle lui répondit alors - Car la situation et la force qu’elle subissait ne laissaient de place au refus - d’une voix extasiée et entrecoupée de gémissements :
« Ou-Oui...Ha~ ! J’adore ! Ha~n ! »
Mais à peine eut-elle prononcé ces mots que celui qui les avait exigés se retira d’elle sans aucune parole ni geste annonciateur, lui arrachant un dernier gémissement de plaisir dans son intimité lorsque son membre en glissa. Il la porta alors, ses mains chaudes et encore griffées posées sur son corps , sur ses genoux après s’être assis sur le canapé, l’empalant littéralement sur son membre, mais cette fois par son autre orifice. Evidemment, Asami fut surprise, et c’est pour cette raison qu’elle ressentit une vive douleur. Cette fois, le doute n’était pas permis, elle poussa un cri distinctivement de douleur, son corps entier se crispant, ses mains se serrant sur le canapé et sa lèvre inférieure mordue, alors que les mains de son ravisseur se reposaient sur son corps, continuant de caresser sa poitrine légèrement marquée de griffures rougeoyantes, et une main retournant surtout dans son intimité, qui se lassait presque d’être délaissée. La douleur qu’elle ressentait mit du temps à s’estomper, mais au moins l’animal avait-il eut la bonté ou l’instinct de laisser son membre se reposer en elle, la laissant lentement et doucement s’oublier à ses caresses, noyant le mal qu’il lui avait fait en étant si brutal. Lentement, les soupirs de douleur redevinrent des gémissements de plaisir, et son corps fondit dans ses mains, brûlant et palpitant sous ses doigts. Il devenait de plus en plus évident que la douleur avait disparu, et peut-être conscient de cela, Asami fut apostrophée par une morsure dans son cou, assurance s’il en fallait de son attention.
Avec un peu d’appréhension, la jeune fille se mit lentement à bouger ses cuisses, en même temps qu’elle tressaillait du troisième doigt en elle, sa cyprine coulant sur ses jambes à mesure qu’elle les agitait. La douleur se raviva alors légèrement, mais l’animal savait si bien y faire, la récompensait si agréablement et avait une telle emprise sur elle qu’elle ne ralentit à aucun moment, accélérant doucement son « empalement » comme il l’avait crument dit. Alors qu’elle prenait lentement goût à cela, la douleur s’estompant, ou peut-être ne la ressentait-elle plus, masquée par tout le plaisir qu’elle prenait, elle était en réelle extase, sa voix se perdant dans des cris de plaisir de plus en plus forts et son corps s’abandonnant à ce qu’elle faisait, tressaillant et brûlant, sa cyprine courant le long de ses jambes vibrantes pour obéir à l’ordre du ravisseur. Finalement, cet état fut tel qu’elle se laissa tomber en arrière, son dos échangeant sa chaleur avec le torse musclé de l’animal et sa tête reposant sur son épaule, position dont elle profita pour mordiller son oreille, y glissant ses cris de plaisir alors que lui mordillait son cou exposé.