L’homme devant elle, regarda sa note, puis il lui sourit, il lui prit la main qu’elle n’eut temps d’enlever, qu’il approcha ses lèvres du dos de sa main pour y poser ses lèvres puis l’effleure de ceux-ci, comme un prince dans un conte pour enfant. Le regard de la jeune femme était de glace, elle n’avait jamais aimée les contacts physiques envers les gens, car les gens sont fourbent et abuses des petites choses, la jeune femme l’avait appris à son école de magie et savait abusée de ces petites choses, c’est pour cette raisons qu’elle est devenue plus forte! Elle connaît les règles du damier qu’on nomme : Le monde.
- Je suis très honoré de vous rencontrer, Kärnel. Mon nom est Théodoric et ma foi, je serais ravi que vous puissiez m'enseigner l'art du langage des signes. Quand au fait que vous ne disiez mot, cela n'es pas un problème, je ne suis moi-même pas très loquace. Venez, sortons d'ici et allons boire un verre ensemble avant de quittez la ville, voulez-vous ? Cela nous donnera l'occasion de faire connaissance.
Elle regarda le bras de l’homme, sérieusement? Son regard regarda son visage, généralement eux qui font cela sont des nobles, et cet homme ne ressemblait pas vraiment à cela, bien sûr il avait un belle figure et avait toute son armurerie sur le dos, mais sa voulait rien dire, elle hésita à prendre le bras de l’homme qui portait le nom de Théodoric, l’homme avec qui elle allait voyager avec, en tout cas, surement que pour un temps, parce qu’il avait l’air du type ennuyant et qui se vante à tour de bras. Elle soupira, un soupir qu’on ne put entendre. Elle prit l’homme par le bras, de son autre main, tenant le sac.
Ils arrivèrent à une auberge, il y avait bien du monde, mais malgré la populace de cette auberge, le son n’y était pas trop fort. Théodoric l’emporta vers le fond de la salle, pour plus de discrétion et tout, parfait aux moins, ils n’allaient pas se faire trop remarquer.
Elle gardait tout de même sa capuche, elle n’aimait pas trop se dévoiler lorsqu’elle était en public, la gêne? Oui, un peu. Mais surtout le regard des gens qui la fixe, cela l’agressait au plus haut point. Elle déposa ses choses près d’elle, posant son livre sur la table. Ses yeux se fermèrent un instant, sa main caressa sa gorge un instant.
- J'espère que je ne vous intimide pas trop, mademoiselle. Rassurez-vous, vous n'avez rien à craindre de moi. Alors, d'où venez-vous comme ça ?
Kärnel, pensa à ses futurs écrits, révéler un peu plus sur elle ou ne pas trop en révéler, là est la question. Elle ouvrit son livre, prit sa plume, ses yeux alla de la gauche à la droite, puis de temps en temps regardant Théodoric, son regard était glaciale, mais la jeune femme était comme sa de nature, peu de personne connaissait sa réel nature. Lentement elle se mit à écrire, les lettres d’or apparaissant pour former des mots, puis des phrases.
« Vous pouvez seulement dire Kärnel, je n’aime pas qu’on utilise à mon égards ses termes comme Mademoiselle, dame, etc… Je n’en suis point une. Je viens d’un village loin d’ici que vous ne devez pas connaître car, il a été détruit par des sorciers, moi et mon maître de magie nous nous sommes installées ici, lui recommence à donner ses cours et moi j’ai décidée de voyager et en apprendre plus sur le monde extérieur que ce que je vois dans mes livres… Et vous Théodoric, qui êtes-vous? Vous ne semblez pas être qu’un simple voyageur, je me trompe? »
La jeune femme revissa son message et une serveuse arriva, elle demanda ce que le duo voulait, la jeune mage pointa une miche de pain sur une autre table, elle fit le signe de 1 sur sa main avant de se pointer.
-Vous voulez un pain de miche?
La magicienne hocha affirmativement la tête et la serveuse lui sourit avant de se tourner vers Théodoric. La jeune femme avait jamais eu un grand appétit et ne s’accordait jamais de luxe question nourriture. Lorsque celle-ci partie, Kärnel regarda de ses yeux clairs et lumineux l’homme devant elle, son regard pouvait en intimidé plus qu’un. Puis lentement la jeune femme tourna le livre pour qu’il puisse lire son message, la jeune femme posa ses coudes sur la table, le dos de ses mains soutenant son visage, ses yeux rivés sur cet homme, ses yeux de la couleur de la glace et de l’eau unis qui donnait un air glacial à la personne qui les possèdent. Une fois la jeune femme seras à l’aise avec cette personne et surtout, moins entourée de gens, il pourras voir que dans le fond la jeune femme n’a pas l’air si terrible et est assez gentilles et joviales, mais pour le moment elle à l’air d’une louve prête à attaquer sa proie à la première erreur.