Gang-bang d'anniversaire [Inaba]

Il était 18h40, la créature invoquée qui interprétait le rôle d'Ai Tomoe sortait de chez elle pour aller à une réunion très particulière. Elle avait rendez-vous en secret avec son groupe de "fans", dans les douches du lycée à 19h pile. Quand je parle de "fans", j'entends par là un groupe de personnes qui avait pris l'habitude de la ramoner après les cours. Il y avait de tout dans ce groupe, des profs, des élèves, du personnel du lycée, des parents d'élèves, des inconnus, parfois même des animaux. Mais ce soir était particulier, c'était le jour de son anniversaire et son fan club lui avait réservé une fête inoubliable pour marquer le coup.

Mais je n'avais pas l'intention de laisser cette fête se dérouler sans moi. Lorsque je l'ai appelée, la créature invoquée s'est dirigée immédiatement dans ma direction et quand elle fut suffisamment enfoncée dans la ruelle sombre où je me trouvais je l'ai fait disparaitre. Elle avait bien fait son travail, mon personnage était parfaitement intégré à ce monde en dépit du fait qu'il soit totalement faux de A à Z. Son fan-club de pervers s'était considérablement développé depuis la dernière fois où je l'avais incarnée. Je me suis transformée en Ai Tomoe, avec sa tenue d'écolière trop petite pour elle, son corps à rendre un curé nymphomane et son habitude de ne jamais porter de sous-vêtements. Celle qui était considérée par beaucoup comme la pire des putains du lycée de Seikusu et pourtant il y avait de la concurrence. Mais passons, il est déjà 18h42 et si je n'arrive pas à l'heure mes fans seront extrêmement déçus, il serait fort fâcheux que certains débandent à cause de l'attente. Malicieuse, je me suis dis qu'arriver largement en avance, haletante et en sueur pourrait jouer en ma faveur et les exciter un peu plus. Je me suis mise à courir comme une dératée, sprintant comme une malade en faisant un grand détour pour suer un peu. Puis j'ai foncé vers le lycée, sautant par dessus la grille à 18h49 et débarquant en trombe dans les douches à 18h51. 9 minutes d'avance, couverte de sueur et souffle court, c'est ainsi que les invités, qui étaient déjà tous là, m'ont vue arriver. Ils étaient beaucoup plus nombreux que les fois précédentes, une bonne cinquantaine de fans, tous habillée de longues capes qui masquaient leurs corps nus en dessous, capuches rabattues sur la tête et masques pour cacher leurs identités aux autres. Avec un petit sourire je leur ai dis :

"Hu hu, pardon mais j'avais trop hâte de commencer mes amours."

"Ah ça c'est bien notre petite Tomoe-chan ! Déjà à 14ans elle était toujours la première à passer sous les bureaux pour avoir de bonnes notes."

"Ouais, heureusement qu'on ne les lui a jamais vraiment données ses bonnes notes, sinon à l'heure qu'il est elle serait plus diplômée que nous tous réunis."

"C'est sûr, d'ailleurs je lui ai encore mis trois zéros pour être certains qu'elle redouble encore cette année et qu'elle reste avec nous. De toute façon elle se fout de son avenir, tout ce qui compte pour elle ce sont nos bites. Pas vrai, Tomoe-chan ?"

"Quand est-ce qu'on commence ?"

"Ah ah ! Petite salope va !"

"Viens Ai-chan ! Je vais te nettoyer."

"Ok !"

Je me suis dirigée vers la femme qui venait de parler, son manteau masquait totalement son corps, tout comme les autres il était impossible de savoir qui se cachait dessous. En plus je ne connaissais pas sa voix, contrairement aux deux profs qui s'étaient exprimés avant. Le premier, M. Tokiyama, était un prof de mathématiques proche de la retraite. Bedonnant et chauve, il était célibataire et n'attirait aucunement les femmes. Il profitait donc de la jeune et jolie Tomoe pour se vider les couilles de temps en temps après une dure journée de travail. Le second, M. Yamada, était un jeune prof de sport plutôt bien foutu. Il avait la réputation de se taper les élèves qui trainaient trop longtemps dans les vestiaires après les cours et il avait dépucelée Ai à l'age de 12 ans.

J'ai posée mes mains contre le mur, écartant mes cuisses tout en me cambrant. La femme qui tenait le tuyau d'arrosage allait me nettoyer de l'intérieur, afin de garantir une sodomie propre et agréable à tout mes chers fans. J'ai sentit le tuyau rentrer entre mes fesses, puis l'eau chaude a commencée à me remplir, faisant lentement gonfler mon ventre. Je levais les yeux au plafond, la bouche grande ouverte, ma langue pendant sur le côté tandis que mon sexe s'humidifiait déjà. Être ainsi humiliée devant tout le monde m'excitait, sentir leurs regards lubriques, tous ces yeux rivés sur mon ventre en train de gonfler et sur mon anus qui allait bientôt déverser une marrée infecte. Finalement elle m'a retiré le tuyau, laissant mes eaux brunes s'écouler par terre jusqu'à la grille d'évacuation. Mon corps chauffé par l'eau adorait ce traitement, une fois vidée j'ai dandinée mes fesses en soupirant :

"E-encore ... S-s'il vous plaît ... M-maîtresse ... Han ..."

Bien sûr que j'allai en avoir encore, je demandais simplement pour l'exciter. J'allai être lavée encore et encore, jusqu'à ce que l'eau rejetée soit aussi claire que celle qui sortait du robinet.

Neuf minutes d'avance !! Cette jeune femme est ponctuelle, et Reisen aime ça. Elle regarde attentivement tout ce qui se passe autour d'elle, les moindres faits et gestes de la lycéenne et des autres personnes ici présentes. Après, tout Reisen est avant tout une tueuse à gages hors pair, mais elle a aussi à se déguiser et donc, à changer d'identité, voir même d'apparence, dans certains cas très rares. Sa deuxième particularité est d'avoir une connaissance très grande en création de pilules ayant divers effets selon leur couleur. En général, ces pilules ont des effets curatifs ou régénérateurs. Dans un autre cas, elles octroient des effets plus ou moins étranges sur la personne qui les consomme.

Dans le cas présent, Reisen a avalé deux pilules. Une qui lui permet d'avoir une apparence totalement humaine, ainsi, ses oreilles et sa queue animales disparaissent pendant un certain temps, pendant 24 heures, maximum. L'autre pilule lui permet de faire pousser un sexe d'homme. Et pas un petit sexe d'enfant, attention, c'est un gros sexe bien dur et tendu et qui reste en permanence en érection.

Lorsque quelqu'un a proposé une mission à la lapine se déroulant sur Terre, celle-ci a tout de suite sauté sur l'occasion. Elle aime beaucoup la Terre et les humains, elle y a d'ailleurs vécu de nombreuses années en tant qu'infirmière ou médecin, selon où elle se trouvait. En plus, cette mission est bien payée, et ce n'est pas la première fois que Reisen se fait passer pour une étudiante ou un membre du corps enseignant, elle qui porte souvent des tenues d'école venant de la Terre.

Sa mission est plutôt simple : S'infiltrer dans le groupuscule qui s'occupe d'offrir gratuitement du plaisir à la lycéenne, en tant que professeur de sport. Elle n'a pas d'impératif à respecter, si ce n'est qu'elle ne doit pas se faire repérer par les autres personnes présentes dans la pièce. Une fois bien ramonée par tout le monde dans cette pièce, y compris Reisen, la lapine doit ensuite la capturer pour l'emmener chez elle, sur Terra. Cela ne devrait pas poser trop de problème, mais il est préférable de prendre des précautions, car l'enlèvement d'un élève se remarque assez rapidement, dans un lycée.

Regardant dont attentivement ce qui se déroule actuellement, Reisen fixe la lycéenne, scrutant bien son corps, ses jolies fesses qui se dandinent d'envie, prêtes à l'emploi, elles aussi. La lapine n'a plus qu'à attendre son tour bien sagement et silencieusement.

Remplie, vidée, remplie, vidée, en tout le tuyau d'arrosage servit à me nettoyer 7 fois et la 7ème fois l'eau est ressortie aussi claire qu'elle y était entrée. La chaleur de l'eau ainsi introduite de force en moi provoqua une sensation très plaisante et permettra également à mes fans de disposer d'un sac à foutre bien chaud et bien propre pour y déverser leur semence. Mes doigts se crispait, glissant sur la faïence des douches, mon regard se perdait dans le vide, regardant le plafond. Inconsciemment je m'étais exagérément cambrée sous l'effet du plaisir, tant et si bien que mon cul se retrouvait quasiment à l'horizontale. Mon visage avait une expression totalement indécente, les yeux vides, la bouche grande ouverte, la langue pendant sur le côté et un filet de bave coulant le long de ma joue. Je gémissais joyeusement, je savais bien que ce n'était que le début et que j'allai prendre cher pendant des heures. Plus mes fans seront excités par mes poses et mon esprit perverti jusqu'à la moelle et plus je recevrai en retour.

À la fin du 7ème lavement je me suis laissée glisser jusqu'au sol, cuisses écartée, je regardai toujours le plafond dans un état second, la chaleur me montait à la tête. Lascivement, je me suis mise à marcher à quatre pattes vers M. Tokiyama. Il me connaissait très bien, il savait exactement ce que je voulais et comme prévu il s'est mit à genoux devant moi. Même sans voir son visage je devinai son regard malicieux et son sourire satisfait. Je l'ai enlacé, écartant doucement sa cape avec mes mains avant de ceinturer sa taille. Puis je me suis mise à lécher son petit soldat, il n'était pas très grand mais il était au garde à vous, fidèle au poste. Petit mais bien dur je l'ai pris en bouche, jouant à passer ma langue sous son casque et à l'aspirer goulument. J'ai entendu le vieux professeur pousser un râle de plaisir et poser tendrement sa main sur mes cheveux. Caressant ma tête comme l'on caresse son chien ou plutôt sa chienne.

"Elle t'avait manqué, hein Ai-chan ? Ça fait au moins dix heures que tu ne l'a pas sucée."

"SLURP ! SLURP !"

Les joues rosies par l'excitation, j'ai écarté mes cuisses, balançant mes fesses de gauche à droite. J'avais besoin que quelqu'un me prenne par derrière, mon corps le réclamait. J'ai bien vite senti une main sur ma croupe, puis sa jumelle qui me caressaient les fesses. Puis j'ai entendu un inconnu s'exclamer :

"Regardez ça ! Elle dégouline déjà cette cochonne. Va-y prend la, elle demande que ça !"

Effectivement, je pouvais déjà sentir un fin filet de cyprine couler le long de mes cuisses. Il semblerait que mon corps, habitué à se faire malmener, ai tendance à réagir un trop rapidement et intensément aux stimulations. Mais ce n'était ni pour déplaire, ni pour leur déplaire, bien au contraire. Finalement, les deux mains inconnues m'ont fermement attrapée par les hanches. Et j'ai pu sentir le pénis de leur propriétaire masser ma petite rondelle brune. À ce moment je pensais : *Aller gros vilain, met la moi. Ne me fait pas attendre pitié ... Vite. Vite !*. Finalement il me l'a enfoncée jusqu'à la garde, faisant claquer ses couilles contre mon bas ventre. Mes doigts de pieds de tortillaient, se crispaient, tandis que je sentais son sexe me limer les fesses. Son sexe tiède dans mon anus brulant, chauffé par l'eau des lavements, voila une sensation bien agréable. De temps en temps je pouvais sentir une nouvelle main caresser ma poitrine ou mon ventre ou autre chose. Bien contente de me donner en spectacle et de recevoir autant.

Toujours en train de regarder ce qui se passe, Reisen reste à sa place. Elle fixe la lycéenne en train de se faire prendre par devant et derrière, ce qui ne la rend pas si indifférente que ça. Restant silencieuse, elle attend impatiemment son tour et se promet d'être impitoyable avec la jeune femme pendant ce moment cochon.  Il est clair que cette Tomoe a l'habitude de se faire traiter de la sorte, et qu'elle doit adorer ça, depuis le temps. Rien qu'en la voyant mouiller d'envie juste parce qu'elle suce un sexe, c'est évident.

Reisen pourrait endormir tous les autres professeurs ici présent, mais, ça ne serait d'aucune aide pour personne, et ça décevrait beaucoup la lycéenne, c'est certain. Après tout, Reisen à déjà attendu bien plus longtemps que ça, et donc elle saura faire preuve de patience une fois de plus. De plus, ce n'est pas comme-ci la scène l'ennuyait, bien au contraire. En attendant de pouvoir ramoner le cul de la lycéenne, la lapine se contente d'offrir un petit avant-goût à Tomoe.

Elle se joint à la partie actuelle, ne laissant à découvert que le bas de son corps afin que son membre soit révélé. Reisen connait, de manière très détaillée, l'anatomie humaine, ce qui fait d'elle une tueuse bien plus efficace. Dans le cas présent, ça lui permet aussi de bien connaître les point sensibles de la lycéenne. Réputée pour son doigté divin, Reisen se contente d'aller caresser la fente de cette jeune femme, déjà toute humide. Son autre main lui malaxe un sein de manière très sensuelle, malmenant son téton qui semble déjà avoir pas mal pointé. Ensuite, avec son gros sexe d'homme bien voyant, elle caresse le corps de Tomoe, le frottant surtout contre ses fesses, puis contre son dos. Pendant ce temps, l'air de rien, Reisen se met alors à doigter sérieusement Tomoe, cette dernière pouvant aisément se renddre compte qu'il s'agit de doigts de femme en elle.

Haletante, excitée, je m'amusais avec la bite de M. Tokiyama, me servant de ma langue et de ma salive pour le stimuler. Oh il n'était pas bien dur à satisfaire et il fatiguait vite, c'est pour cette raison que je m'occupais de lui en premier, c'était un bon échauffement. Histoire de prendre le rythme avant de passer aux fans plus exigeants. Celui qui me limait l'arrière train n'était pas très doué non plus, il ne me soutirait quelques soupirs de plaisir que parce que j'étais une véritable petite trainée. Un hamster tétraplégique suffirait à me faire jouir tant j'étais dépravée et affamée. Pour l'aider un peu je bougeais mon bassin, accentuant ainsi les vas et viens tout en émoustillant l'auditoire, ému devant ma souplesse légendaire.

Au bout de quelques minutes, celui de derrière se vida, beaucoup de mes fans étaient des éjaculateurs précoces ou tout du moins des partenaires peu endurants. S'ils avaient de la chance avec les femmes normales ils ne viendraient probablement pas me tringler de la sorte. Oh il y avait des exception, comme M. Yamada, le prof' de sport. Lui ne venait pas par désespoir, juste pour s'amuser à me pervertir encore un peu plus et pour le plaisir de remplir mes charmants orifices. Il y avait aussi des parents d'élèves qui fantasmaient sur les lycéennes, fruit interdit qui pourrait les envoyer en prison, parfois certains fantasmaient sur leurs propres filles, j'étais une sorte d'exutoire pour eux, une agréable friandise qui leur permettait de se retenir dans la vie de tout les jours. Sans parler des élèves qui rêvaient tous de se taper une étudiante expérimentée ou de me prendre en photo, nue, pour pouvoir se masturber le soir en pensant à moi. Et puis il y avait aussi les filles, qui venaient me regarder pour apprendre comment satisfaire leurs petits copains et qui finissaient par les larguer, séduites par mes caresses. Après les petits copains venaient eux aussi, voir pour qui leurs blondes les avaient largués et ils finissaient eux aussi derrière moi à me péter les fesses pendant que leur ex me faisaient lécher leurs jolis minous.

Mais il y avait aussi, très rarement, des personnes qui arrivaient à me mettre dans tout mes états, à me transporter totalement, assénant à mon corps un des rares plaisirs suffisamment puissant pour le faire plier. C'est ce que j'ai ressenti lorsque cette main féminine m'a touchée pile à l'endroit où il ne fallait pas. Un frisson m'a parcouru le dos, tandis que je sentais son autre main caresser ma poitrine, jouer avec mes tétons. J'avais baisé avec suffisamment de personnes pour pouvoir le dire sans l'ombre d'un doute dès la première caresse, elle était douée, très douée, peut être presque autant que moi. M. Tokiyama se vida au même moment dans ma bouche, il me connaissais bien et il voyant bien que j'étais passée aux choses sérieuses. Il s'exclama bien fort :

"Alors petite salope ? Tu as déjà trouvé la queue qui te fallait ? Tu n'as pas trainé !"

Il m'a agrippé par les cheveux, m'arrachant aux mains expertes de la mystérieuse femme au sexe d'homme, puis il m'a poussée en direction de M. Yamada. Le prof' de sport s'est allongé et m'a fait signe de m'asseoir dos à lui, guidant mon anus jusqu'à son sexe avant de m'embrocher. Il m'a tirée en arrière, me forçant à me coucher sur le dos, offrant ainsi mon intimité au premier venu. M. Tokiyama se mis à crier :

"VOTRE ATTENTION !!! Mes chers amis ! C'est l'heure ! L'événement que vous attendez tous avec impatience va commencer ! Notre petite Ai a déjà choisi les deux brutes qui vont la tringler sauvagement pendant que vous vous viderez les couilles dans sa bouche. Applaudissez ce mystérieux inconnu qui a su faire vibrer son petit cœur de salope !"

Le prof' montra Inaba du doigt et plusieurs participants l'ont amicalement poussée vers moi, la guidant jusqu'à mes cuisses grandes ouvertes pour l'accueillir. J'ai attendue qu'elle soit suffisamment proche pour lui dire, en lui faisant un clin d’œil explicite :

"Si vous arrivez à m'offrir un bel orgasme je vous inviterai chez moi. Juste vous et moi, dans ma chambre. Mon papa ne passe jamais à la maison et j'ai peur de faire des bêtises toute seule. Il faudra bien me surveiller ! <3"

J'ai eu à peine de le temps de terminer ma phrase avant que M. Yamada ne commence de puissants vas et viens dans mon anus et qu'un inconnu se mette à quatre pattes au dessus de mon visage pour me glisser sa bite au fond de ma gorge. Il ne manquait plus qu'Inaba qui n'avait qu'à s'avancer un peu et à profiter de mon corps. Surtout qu'elle venait de réussir sa mission sans difficulté, il lui suffisait juste de me satisfaire pour avoir droit à un tête à tête avec moi. Elle aura alors le champ libre pour m'enlever. Mais ça je ne le savais pas encore.

La lapine attend toujours bien sagement de pouvoir ramoner à son tour le petit cul de la lycéenne. Pendant ce temps, elle continue de la taquiner en la doigtant et en luis malaxant un sein. Malheureusement, cela ne dure pas bien longtemps car quelqu'un la force à stopper, alors qu'elle s'amusait déjà si bien. Voyant la belle lycéenne se faire pousser jusqu'à quelqu'un d'autre, elle se dit que cette jeune femme est vraiment très perverse, il suffit de voir l'expression sur son visage. De plus, rien que d'avoir pu toucher Tomoe juste avec ses doigts experte, elle a pu sentir son corps frémir de plaisir, ce qui prouve qu'elle a particulièrement apprécié.

Regardant tous ces gens se positionner de manière à regarder Tomoe dans sa nouvelle position soumise, Reisen baisse légèrement sa tête afin d'éviter qu'on voit ses yeux rouges, ce qui est relativement rare à voir, sur Terre. Puis, elle se fait pousser gentiment vers Tomoe, comprenant bien rapidement qu'elle a été choisie pour s'occuper de la belle lycéenne.

Ne se faisant pas prier, elle approche de Tomoe, la regardant en train de bouger ses fesses sous les incessants coups de bite dans son anus. Au début, elle se demande comment elle réagirait si c'était elle qui se faisait traiter de la sorte. Est-ce qu'elle prendrait son pied comme Tomoe où serait-elle mécontente du résultat...Il est vrai que Reisen adore qu'on la baise de manière bestiale, mais est-ce qu'un gang bang ne serait pas trop pour elle ? Elle n'en sait rien et ne s'est jamais vraiment soucié de ça, sa vie sexuelle lui convient parfaitement, après tout.

Cessant de penser à cela, elle écoute ce que lui dit Tomoe avec intérêt, car Reisen semble avoir bel et bien titillé sa curiosité. La lapine baisse sa tête en direction de Tomoe, de manière à ce qu'elle remarque ses yeux rouges, puis elle lui rend son clin d'oeil, pour lui montrer qu'elle n'a pas à avoir peur et que sa proposition l'intéresse beaucoup.

Elle commence donc son petit jeu en faisant glisser ses mains expertes sur le corps de Tomoe, parcourant ses généreuses courbes minutieusement. D'ailleurs, elle lui pelote ses seins en les pressant bien fermement, comme des oranges. Continuant son malaxage, elle se met à genoux pour frotter son gros sexe contre sa fente toute humide, histoire de la faire languir, joueuse comme elle est. Elle continue de se frotter à elle un petit moment puis, sans prévenir, elle s'enfonce d'un coup sec et violent dans son vagin.

Sa première remarque, c'est que son sexe est rentré comme dans du beurre, dans le vagin de Tomoe, ce qui prouve que cette jeune femme est habituée à ça. Elle commence à remuer en elle avec douceur au début, histoire de la faire s'habituer à son sexe, puis, quelques secondes plus tard, elle n'hésite pas à y aller franchement. D'ailleurs, on peut l'entendre pousser des petits son d'une voix douce et coquine entres quelques coups de bites, ce qui révèle à tout le monde qu'il s'agit d'une femme.

Néanmoins, Reisen n'y prête pas vraiment attention. Pour le moment, ce qui l'importe, c'est d'offrir à cette jeune femme un plaisir immense, et pour ça, va falloir qu'elle assure à tout point de vue. Alors que la lapine continue d'explorer le vagin de la lycéenne, elle lui malaxe ses beaux seins généreux tou en allant lui lécher le cou de manière bien sensuelle, mordillant parfois sa peau. Elle en profite d'ailleur pour glisser sa langue vers l'oreille de Tomoe pour aller lui chuchoter quelques mots coquins.

Tu aimes ça, hein ? Ce n'est que le début, ma belle.

Elle mordille son oreille puis retourne lui lécher le cou tout en s'amusant à lui ramoner son vagin sans la moindre gêne.

Il fallait beaucoup pour me troubler, mais les yeux rouges de ma nouvelle amante me firent leur petit effet. Une femme avec un sexe d'homme, des doigts experts, des yeux rouges ? Ça faisait beaucoup quand même. Cette femme, ou quoi qu'elle soit d'autre, était clairement à part, peut-être unique. Le mystère qui l'entourait m'excitais, qui sait qu'elles autres surprises elle allait m'apporter ?  Je pouvais sentir ses doigts se balader sur mon corps, incapable de bouger, mes épaules bloquées par les bras musclés de M. Yamada. Ses caresses me faisait gémir, de long gémissements étouffés par le membre qui me limait la gorge.

"HUMPHHHHHH !!! Huuuuuumph … Huuuumphhhhh ! Huuuuuuuuumph … HUMPHHHHH !!!"

Pendant ce temps, le prof' de sport me pilonnait sans pitié. Il s'était durement entraîné sur ses élèves pour pouvoir tenir le plus longtemps possible tout en étant à fond et était devenu un véritable monstre quand il s'agissait de donner du plaisir. Mon corps se soulevait à chaque coup de butoir, pour éviter de trop morfler. Mais lorsque je serais bloquée contre le corps de ma maîtresse au sexe d'homme, cela ne sera plus possible et je serais alors obligée de tout encaisser. Cette dernière prenait son temps, caressant mon charmant petit corps ainsi soumis, pressant fermement mes seins et s'amusant à me faire languir en caressant ma fente humide avec le bout de son sexe. Si j'avais pu parler je lui aurait dit de me la mettre, que je la voulais, sa bite. Mais tout ce qui sortait de ma gorge c'était des gémissements étouffés et incompréhensibles.

Tout à coup, j'ai pu sentir son sexe me pénétrer brutalement, glissant en moi jusqu'à ce que son corps percute le miens. Mon corps s'est cambré, puis a été forcé de revenir à la normale, contraint par M. Yamada à l'immobilité. Les vas et viens de la femme, doux au début, devinrent bien brutaux par la suite et ce n'était pas pour me déplaire, bien au contraire. Je manquais déjà d'oxygène, la bite dans ma gorge m'empêchait de respirer normalement et mon corps s'essoufflait vite. Aussi j'ai vécut comme une délivrance l’éjaculation de celui qui s'était placé au dessus de mon visage. Sitôt son sexe sorti, j'ai pris une grande bouffée d'air frai, respirant bruyamment tout en gémissant.

"HAAAN !!! Han ! Han …"

Puis la femme aux yeux rouges s'est allongée sur moi, plaquant mon corps contre celui du professeur Yamada, m’empêchant d'absorber ses coups de rein en douceur. Elle me caressait, montait jusqu'à mon visage pour me chuchoter à l'oreille :

"Tu aimes ça, hein ? Ce n'est que le début, ma belle."

"O-oui, m-maîtresse ! J'aime … Han ! B-beaucoup votre … vos … Humph ! V-vous pouvez vous vider dedans … Aaaah … C'est … Ok !"

Écrasée entre leurs deux corps, le mien ne pouvait que subir, endurer. J'ai senti mon entre-jambe s'humidifier d'avantage, dégoulinant de bonheur tandis que son pénis faisaient d'amples et rapides vas et viens. Par devant et par derrière en même-temps, tandis que mon corps subissait l'assaut de ses doigts, tantôt sur le ventre, tantôt caressant ma poitrine, avec un petit coup de langue dans le cou ou sur l'oreille de temps en temps. La bouche grande ouverte je haletais, ma langue pendant sur le côté, libérant un fin filet de salive en continu qui s'écoulait le long de ma joue. Mes yeux se révulsèrent, même pour moi c'était trop et quelques larmes de bonheur intense se mirent à couler de mon regard vide. Ma tête aussi était vide, je n'arrivai plus à penser, il n'y avait que ce plaisir qui me dévorait de l'intérieur et de l'extérieur, embrumant mon esprit.

Je ne sais pas combien de temps ça a duré, peut être 5 minutes, peut être des heures, j'ai totalement perdu la notion du temps. Je sentais que mon corps était sur le point de craquer, je transpirai à grosses gouttes, mes muscles étaient tétanisés et je n'arrivai pas à reprendre mon souffle. J'étais vraiment à bout, crevée, c'était la première fois que je prenais aussi cher et je pouvais apercevoir les flash des appareils photo immortaliser l'instant du coin de l’œil. Mon corps était bouillant, fatigué, excité, torturé par ces deux énormes bites qui me prenaient impitoyablement. Puis j'ai senti la délivrance approcher, sentant ces deux sexes m'inonder de leur sperme. Et après plus rien, j'ai sombré dans l'inconscience.

La pauvre Tomoe. Reisen et le prof y sont allés tellement fort qu'elle n'a pas supporté. Néanmoins, ils ont quand même eu le temps de lui gicler dessus, et pas qu'un peu en plus. Le prof semble s'être bien vidé sur elle, il lui arrosé ses fesses puis son dos, laissant le sperme couler sur ses cuisses jusqu'au sol. Quant à la lapine, elle ne s'est pas vidé entièrement. L'avantage de sa pilule est que la quantité de sperme est illimitée. Ayant arrosé le beau visage et les seins de Tomoe, elle la regarde un moment en souriant.

Puis, elle remet son bas en place afin de cacher son sexe d'homme qui prend pas mal de place, quand même. Elle porte Tomoe jusqu'à la douche afin de lui retirer tout ce liquide chaud encore présent sur son joli corps. Puis, la fixant un moment alors qu'elle est inconsciente, elle se dit que cette lycéenne est vraiment très belle, et qu'elle pourrait servir à autre chose que sac à foutre. Elle garde Tomoe dans ses bras puis se tourne vers les gens présents dans la pièce.

C'est bon, je m'occupe d'elle.

Elle récupère les vêtements de Tomoe puis sort de la pièce en la portant à bout de bras, un seul bras suffit, grâce à sa force impressionnante. Elle se dirige d'abord vers l'infirmerie, y entre et ferme la porte au verrou afin que personne d'autre ne puisse entrer.  Elle dépose Tomoe sur une chaise, bien soigneusement, puis retire ces habits ridicules qu'elle a du porter. La lapine avale alors une pilule qui lui permet d'annuler l'effet des autres précédemment avalées. Ainsi, le gros sexe disparait et ses oreilles de lapine réapparaissent.[/b]

Ma pauvre Tomoe...Tu es si jeune et déjà accro au sexe au point de te faire prendre par un groupe d'hommes bien plus âgés que toi...

Bon, Reisen aussi est âgée, elle a plus de 50 ans, mais là n'est pas la question. Elle a gardé une apparence jeune et adorable, pour ne pas dire particulièrement sexy, avec ses collants noirs qui font souvent des ravages. Et malgré qu'elle soit une tueuse à gages, Reisen à encore du coeur  c'est qu'elle ne montre pas ce qu'elle ressent à n'importe qui.

En tout cas, Reisen à un choix à faire. Soit elle donne un pilule à Tomoe pour la remettre directement d'aplomb, soit elle la laisse se reposer tranquillement. Optant pour la deuxième solution, Reisen écrit donc un mot sur une feuille de papier et pose la feuille sur le bureau pour que l'infirmière voit le mot dès qu'elle sera là. Ce mot explique la disparition de Tomoe, en quelque sorte, expliquant que Reisen, ayant des compétences médicales relativement élevées, va s'en occuper pendant quelques temps, et la ramènera à l'école en temps voulu.

Allons-y, ma belle.

Elle ouvre une fenêtre, porte Tomoe sur son dos et s'enfuit par cette dernière, utilisant sa technique de gravité pour atterrir tout en bas en douceur. Puis, sachant bien que les Terriens prendront peur à voir une femme aux oreilles de lapin transporter une jeune femme sur son dos, elle décide d'utiliser sa vitesse améliorée afin de courir sans même qu'on ne puisse la voir. Elle gambade ainsi jusqu'à une ruelle sombre et malfamée, faisant apparaître un portail à partir d'une magie d'invocation. Certes, il est pratique de faire apparaître un portail en l'invoquant, mais le processus prend du temps, et Reisen n'a pas beaucoup de temps devant elle.

Allez, dépêche...Dépêche !!

Elle voit le portail se former petit à petit jusqu'à ce qu'il soit complet au bout d'une dizaine de minutes. Comme par hasard, deux policiers passent justement par là. Ils ont l'habitude d'aller regarder dans les endroits mal famés tels que les ruelles, histoire de voir si la vermine ne fout pas le bordel. Puis, ils aperçoivent Reisen en train de prendre quelqu'un sur son dos, ce qui les font tout de suite réagir.

Hé vous, là-bas ! Déposez cette femme par terre !!

N'ayant pas le temps à perdre avec des flics, elle tourne sa tête vers eux et les salue à sa manière.

Hmm. Désolée, mais, je n'ai pas le temps de jouer avec vous. Bye ~

Elle entre dans le portail avec Tomoe sur son dos et ferme le portail une fois arrivée sur Terra. Elle se dirige vers chez chez elle, toujours en utilisant sa vitesse accrue. Elle ne met pas longtemps avant d'arriver chez elle, ouvrant la porte et la refermant derrière elle. Une fois à l'intérieur, la lapine monte jusqu'à sa chambre pour déposer Tomoe sur son lit, afin qu'elle puisse récupérer en toute sécurité.

Quant à elle, Reisen s'occupe d'aller faire à manger, car c'est déjà l'après-midi, et puis comme ça, Tomoe aura de quoi se restaurer une fois qu'elle sera réveillée.

Je me suis réveillée doucement, n'ouvrant pas les yeux au début. Malgré le gang-bang intense de la nuit passée mon corps n'était ni courbaturé, ni endolori. Il faut dire que j'avais l'habitude de ce genre de traitements depuis toute petite, mon corps s'était habitué au sexe intensif. Toujours sans ouvrir les yeux je me suis retournée plusieurs fois, j'étais vraiment bien dans ces draps chauds et je n'avais pas envie d'en bouger, non non non. Lentement j'ai dirigé mes doigts vers mon entre-jambes, c'était l'heure du petit plaisir du réveil, comme tout les matins. Mon autre main est allée jusqu'à ma poitrine, la malaxant et massant mes tétons, tandis que je me mettais deux doigts entre les cuisses. Je me suis masturbée ainsi pendant de longues minutes, d'habitude je le faisais jusqu'à ce que mon réveil sonne. Après un certain temps, je me suis quand même dis que ça durait vachement longtemps et j'ai ouvert mes yeux, constatant que je ne connaissais pas l'endroit où j'étais. Beaucoup de gens auraient paniqués, pas moi, j'avais l'habitude de me retrouver dans des lieux étranges, voire hostiles, j'avais déjà été séquestrée et violée de nombreuses fois après tout. Et puis, si on avait vraiment voulu me faire du mal je serais déjà blessée ou attachée, voire les deux. Je ne voyais pas mes vêtements dans la pièce et j'étais nue sous les draps, tant pi, j'allai partir à la découverte de mon nouvel environnement en tenue d'Eve.

De plutôt bonne humeur je me suis levée d'un coup, marchant rapidement vers la porte. Elle n'était pas fermée donc je me suis glissée à l'extérieur de la chambre, humant bien vite une délicieuse odeur. À cet instant mon estomac fit un petit bruit disgracieux, j'avais faim. J'ai descendu l'escalier qui menais au reste de la maison, suivant l'agréable odeur de cuisson jusqu'à tomber sur ... Un lapin ? Une lapine ? Une femme-lapine ? Lorsque j'ai vu son visage j'ai immédiatement reconnu ses yeux rouges, les mêmes que ceux de la femme qui m'avait donné tout ce plaisir hier soir, aucun doute.

"Bonjour madame, merci pour hier soir c'était vraiment très bon, je me suis bien amusée ! Je suis chez vous ? Vous vous appelez comment ? Je peux manger un peu ? Et ... Où est passé votre pénis ? Je ne vois plus de bosse à votre entre-jambe ... Et c'est quoi ces oreilles de lapin ? C'est un déguisement ? Il est très réussi."

J'avais encore plein de questions, mais je me suis dis que ça ferait peut être trop, je me demandais surtout où j'étais et qui était cette charmante personne. Je suis restée plantée devant elle, attendant une réaction de sa part et des explications, détaillant la maîtresse de maison de la tête aux pieds. Irrésistiblement, je ne pouvais m'empêcher de rougir en pensant à ce qu'elle m'avait mis hier soir et en pensant que je pourrais surement recommencer bientôt avec elle. Mon corps nu lui donnait l'occasion de remarquer que mes tétons pointaient et que mes cuisses et mes doigts étaient maculés de mouille. Je n'avais pas pris la peine de m'essuyer en me levant, gardant ainsi les traces de ma masturbation matinale. De toute façon tout le monde savait que j’étais une sacrée salope, pourquoi le cacher ? Cédant à la tentation, je m'approche d'elle pour lui déposer un baiser sur les lèvres. Puis je m'éloigne un peu, m'asseyant sur la table de la cuisine en écartant les cuisses pour qu'elle puisse bien voir mon intimité qui suintait déjà dessus.

"Hu hu ! Vous comptez me laisser dans cet état ?"