Et bien, il semble que je sois bien arrivée en ville, mais j'ai comme une étrange impression, une sorte d'attirance envers un certain lieu, comme-ci ce lieu m'appelle pour que j'aille le découvrir, alors pourquoi le faire attendre ? Et puis, il semble y avoir pas mal de ruelles sombres et mal famées, j'aime les endroits sordides, on peut toujours trouver des choses intéressantes, là-bas. Tout en me dirigeant vers ce lieu qui m'attire, je remarque que des gens me regardent avec un petit sourire pervers, après tout, même avec mes habits on voit facilement ma grosse poitrine, moi je m'en fiche, qu'ils regardent, c'est fait pour ça, après tout, et puis, ils sont plutôt mignons, tout ces gens.
Pfiou, me voilà arrivée, en effet, c'est un drôle d'endroit, mais assez plaisant, on y voit des gens dans des cages en train de nous supplier de les faire sortir, c'est drôle de les voir comme ça, prisonniers. D'ailleurs, il y a deux jeune filles qui sont toutes nues, chacune dans une cage, mais elles se ressemblent comme deux gouttes d'eau, probablement des jumelles, en tout cas, elles sont vraiment très jolies. Non mais, je rêve ou quoi, il lui a donné un coup de pied. Je vais aller lui dire deux mots...
Dis-donc, toi, tu veux mon poing dans ta face ? Excuse-toi auprès d'elle !!
Je crois que tu rêves un peu, beauté, jamais j'irais m'excuser auprès d'une esclave, surtout quand il s'agit d'une pétasse comme elle.
Une pétasse ? Il va pas me chauffer longtemps, lui, il en a déjà beaucoup trop dit.
Excuse-toi, j'ai dit, dis-lui pardon, jem 'en fiche qu'elle soit esclave ou non, cette petite est à moi, et celle qui est à coté aussi, alors je les veux, et tout de suite !!
T'as de quoi payer, beauté ? Ca fera 100 pièces l'unité, elles sont fraichement capturées d'hier, toutes nouvelles, toutes propres, c'est de la bonne marchandise.
Abrège et fais-les sortir de là, je les achète, tes marchandises, car oui, j'ai largement de quoi acheter toutes ces créatures qui se trouvent ici, si je le souhaite, alors fais sortir ces jolies filles sur le champ avant que je fasse de la paté pour dragon de tes couilles.
Ca va, ça va, je les fais sortir, tes petites pétasses.
Bon, allez, je paye, je prend les deux filles, je retire ces horribles baillons et ces menottes et les tiens chacune par la main, c'est marrant, elles ont des petites mains très douces. Elle sont toutes nue mais, tant mieux, elles ont un joli corps et puis, je leur donnerais des vêtements une fois rentrée.
Désormais, vous m'appartenez, si vous voulez que tout ce passe sans douleur, vous n'avez qu'à être sage et m'obéir, j'espère que je me suis bien fait comprendre.