La journée était belle, et chaude, c’était une belle journée de fin de printemps, bientôt, on reprendrait les cours, mais pour l’instant, j’étais heureuse dans le parc, à regarder le ciel à travers le feuillage de l’arbre sur lequel j’étais perchée. J’y étais depuis le matin, mes parents étant encore absent, d’ailleurs, ils l’avaient été pendant toutes les vacances. Oh, je ne m’en plaignais pas, j’avais passé une partie des vacances avec Iinuki, ma chérie. J’avais grimpée sur cinq mètres et je m’étais adossée sur contre le tronc d’un arbre et mes jambes pendaient autour d’une branche suffisamment solide pour supporter mon poids. J’étais plus ou moins cachée par les feuilles perchée ou j’étais. Quand j’étais à Miami, et que je voulais échappée à mes camarades de classe, je grimpais dans les arbres jusqu’au jour où elles me trouvèrent. Je frissonnais à ces souvenirs. L’arbre, sur lequel je me trouvais, était situé dans un coin calme et à l’abri des fourrés.
Soudain, je vis une jeune fille qui pouvait avoir seize ans, très mignonne et surtout qui s’installa au pied de mon arbre, enfin mon arbre c’était un bien grand mot. Celui-ci ne m’appartenait pas vraiment, mais j’y étais très bien. Elle déposa son sac et se mit à lire ses cours, apparemment. Ici, les bruits des gens du parc arrivaient comme étouffés, ce qui justifiait son emplacement. Je l’observais, elle semblait vraiment studieuse.
Je la vis finir de lires ses notes de cours tout en s’adossant à mon arbre, je la regardais au moment où une brise souleva ses cheveux et sa mini-jupe. Je me léchais les lèvres avec ma langue, ce devait être un coup du destin. Elle me plaisait cette petite… enfin petite, elle devait à première vue faire la même taille que moi, ce qui n’était pas pour me déplaire, même si j’ai toujours préférée les filles qui étaient plus grande que moi. Je la vis frissonner, tandis que je m’allongeais sur ma branche. Elle regarda autour d’elle discrètement comme si elle cherchait à voir s’il y avait quelqu’un. Un grand sourire apparut sur mes lèvres, elle n’avait même pas eut la présence d’esprit de regarder dans l’arbre.
Je la vis glisser ses mains sous sa jupe et faire glisser le long de ses jambes sa petite culotte blanche. Ça m’excita, mon membre masculin se dressant doucement dans ma propre culotte. La voir écarter les jambes et commencer à se caresser et à gémir doucement fit se dresser d’un coup mon pénis. La jeune fille voulait se faire plaisir dehors, ici et maintenant. Aurais-je la possibilité de la rejoindre et de lui faire l’amour ?
Discrètement, je fis le tour de mon arbre sur les branches à proximité de la mienne et commençait à descendre. Une fois en bas, rien de venait cacher mon érection, je montais ma jupe de manière à ne pas la tâcher, puis retirait discrètement ma culotte. A quatre pattes, je m’approchais d’elle.
_ « Tu fais ça souvent dehors ? »
J’avais murmurée mais j’étais suffisamment proche pour qu’elle puisse me voir, même si ma jupe cachait encore mon sexe masculin. Je lui souriais en la regardant avec envie.
_ « Je peux t’accompagner ? Tu m’as excitée en te touchant comme ça… »