Après une journée de cours bien chargé, j’avais pris l’habitude d’aller marcher un peu, mes ailes soigneusement replié dans mon dos, je portais mon éternelle chemise blanche bien repasser, le tissu soyeux recouvrait mes deux ailes blanche afin de ne pas révéler mon origine Angélique aux humains. J’avais aussi un pantalon noir et des bottes de cuir de la même couleur. Sur le trottoir je croisais des gens divers et variée, des presser, des heureux, des malheureux… Ils se fichaient de nos dieux, de nos combat pour leurs survie, ils étaient trop obnubiler par leurs petites vies simulées. Continuant mon chemin, je me retrouvai dans un quartier mal famée que je cru reconnaitre, le quartier de la Toussaint.
Je m’étais pourtant jurer de ne pas revenir ici, devant ce cimetière, la frontière d’entre les mondes était bien mince… j’avalai ma salive et détourna la tête des corps enterré, je ne sus pas trop pourquoi, je m’enfonçai encore plus profondément dans ce quartier de mort ou le banditisme, la drogue et la prostitution coulaient à flot. Soudain j’entendis une voix, féminine il n’y a pas de doute, s’exclamer :
- Hmmm… oh, il est mignon lui !
Je tournai la tête intrigué, et je vis une jeune femme s’approcher de moi avec un aire coquin, qui je suis obligé de le dire lui allait plutôt bien. Elle était bien faite, ses cheveux descendaient en cascade sur des épaules taillé à la serpe, avec un corps ma fois très attirant, ses habits sexy moulaient ses formes à la perfection. Sa démarche me fit clairement comprendre qu’elle me voulait moi…
A quelque pas de moi, alors que nous nous touchions presque, elle écarta sa veste, dévoilant trois seins… Trois magnifiques seins. Je ne pus m’empêcher un mouvement de recule devant cette difformité.
- Coucou mon mignon. Est-ce que ça te branche ?
Passé l’étonnement devant sa différence, je dus reconnaitre que j’avais affaire avec une jolie fille. Un sourire coquin lui étirant ses douces lèvres, elle agita un peu son buste dans le but évident de me coller ses seins sous le museau.
- C'est des vrais... Seulement 5 000 yen mon chéri... Tu vas voir, je suis super douée ! J’ai un petit appartement trop cosy et agréable... Vient.
Quoi ? C’est chère ça, sacrebleu, mais ma curiosité me souffla que si cela valait le coup, alors je payerais… Et après tout, la vie est trop courte pour refuser les plaisir de la chaire. J’avançai d’un pas dans sa direction, mon visage tout proche du sien et lâchai en un chuchotement :
- Ai-je droit à un échantillon gratuit pour me décider ?
Je ne lui laissais pas le temps de me répondre que je la pris par les hanches en faisant remonter mes mains aux doigts fins le long de son corsage. Je déposais un baiser sur sa bouche ouverte pour protester l’embrassant, longuement, ma langue explora sa bouche sans pour autant aller trop loin, il fallait payer pour ça ! Puis je la libérai en tendant une liasse de billet :
- Va pour ton chez toi, je te suis ma douce.