Comment dresser une récalcitrante [Pv Eva]

Parfois la capture n'était pas longue, c'était plus le trajet et le dressage qui en prenait. Selon les endroits de chasse, il n'avait pas à patienter des heures durant à attendre le passage d'une proie potentielle. C'est ce qui s'était passé pour celle là. L'humaine selon toute vraissemblance semblait être une vagabonde pour se promener ainsi seule, dans un endroit aussi désert. Entouré de bosquet et de collines vierges, le premier village était à plusieurs lieues de là. Une aubaine pour lui qui n'avait pas terminé son périple, et qui n'avait eu aucun mal à capturer l'étrangère. A l'aide de bolas, il l'avait faite chuter, les jambes entravées, pour ensuite aller lui mettre des menottes ainsi qu'une toile de jute sur la tête. Quand il estimait qu'elle ne risquait plus de fuir, il l'avait jeter dans sa carriole, satisfait de sa prise.

Suite à ça, il avait passé la nuit ici, au milieu de nul part, pour repartir aux premières lueurs du jour. Il ne voulait pas risquer de finir dans une ornière et que sa carriole soit inutilisable, alors autant voyager de jour. Plusieurs fois il entendit les cris et les mises en garde de la jeune fille capturée, mais tout cela ne provoquait chez lui qu'un léger sourire. Enfermée dans la carriole, fermée par un cadenas, et entravée comme elle l'était, il ne craignait rien, si ce n'est de finir agacée par ses pépiements.

Au fil des heures néanmoins, cela se calmait un peu. Peut-être la chaleur d'une journée d'été, ou tout simplement la lassitude qui avait gagné la jeune femme, lassée de n'avoir aucune réponse. Ce n'est qu'en fin de soirée qu'il parvenait en ville, après s'être arrêté juste pour se sustenter, sans en faire profiter sa captive. Il avait roulé toute la journée, mais ce n'était pas très éprouvant. Un peu de bruit à l'entrée de la ville, quelques personnes qui trainaient dans les rues, en se gardant bien d'essayer de regarder le contenu de la carriole. Ca aurait pu être une personne haut placée, comme des denrées alimentaires, personne ne le savait hormis lui et sa captive.

Parvenu à sa demeure, il garait la carriole le long de la bâtisse, et s'occupait en priorité de défaire les attaches des chevaux, avant de les confier à son serviteur hybride pour qu'il les amène dans le jardin atenant. Bon, il ne restait plus qu'à s'occuper de la future esclave, pour cela il venait ouvrir la porte de la carriole, pour ensuite la trainer hors de là. Elle avait réussi à ôter le sac sur sa tête, et il le lui remit illico.

Je vais t'apprendre à obéir tu vas voir. Si je te dis de te tenir tranquille, tu le fais !

Ce qu'elle n'avait pas fait durant la journée. Quelque chose cingla les fesses de la jeune femme, elle ne pouvait savoir ce que c'était, mais le claquement sec lui laissa une marque rouge et douloureuse. Il la poussait en avant pour la forcer à avancer et pénétrer dans la demeure. Il la guidait d'une main ferme en la tenant par le bras, pour lui faire passer l'entrée, le salon et lui faire descendre les marches menant aux geôles en sous sol. Là il la lâchait, il se passa plusieurs longues secondes avant qu'un peu de lumière ne filtre à travers la toile de jute. Il venait d'allumer deux torches dans le couloir, on entendait des murmures montant des portes de chaque côté, les autres esclaves ayant entendus leur arrivée.

Tu vas vite comprendre ton intérêt à être docile. Je te changerai de cage si tu le deviens. Et si tu survis assez longtemps.

Il y eut un cliquetis métallique quand il ouvrait la geôle, quelques bruissements, et une tape dans le dos de la jeune femme pour la forcer à pénétrer dans la pièce. Ca sentait le mâle, pas de doute là dessus. Immédiatement, des mains se posent sur le corps de la jeune femme, tirant sur les vêtements pour les faire craquer.

Vous avez quartier libre tant qu'elle ne gueule pas trop, que ça ne m'empêche pas de dormir.

A sentir les mains sur elle, il y a au moins 2 personnes à côté d'elle. Mais quelque chose remonte également le long de sa jambe, un tentacule qui s'enroule lentement autour de son mollet. Dans l'encadrement de la porte, Cyscek observait, amusé, et viendra juste défaire les menottes de la captive, ne lui laissant plus que le sac sur la tête. Elle pouvait toujours tenter de l'ôter à présent, ce n'est pas lui qui l'en empêcherait, et elle aura vite autre chose à se soucier.

Eva avait décidée de retourner faire un tour sur Terra car elle avait le mal du pays, elle avait atterrit dans un endroit qu'elle ne connaissait pas mais peu lui importait, elle était de retour chez elle.
Se baladant le long d'un chemin, elle ne croisa pas de village ou de ville quelconque mais un évènement allait littéralement lui gâcher la journée semblait-il. Tout à coup, elle se retrouva prise au piège, entravée, ligotée et la tête recouverte d'une toile de jute, emballée c'est pesé.

Sur le coup elle ne comprit rien à ce qui lui arrivait et se débattit furieusement pendant un bon moment. Perdant des forces, elle ne se contenta plus que de hurler sans obtenir de réponse quelconque. s'en suivit un trajet dans un engin en bois, une carriole sans doute dans laquelle elle ne cessa pas ses hurlements. Au bout d'un moment elle put enlever la toile de jute sur sa tête mais ça ne dura que très peu de temps car la carriole fit un arrêt et un homme grand et brun vint la lui remettre sur la tête. Il lui cria dessus et la frappa si fort qu'elle en hurla de douleur, ses mains dans le dos purent aller toucher l'endroit molesté, sentant la marque du coup encore douloureuse. Ensuite il la traina de force quelque part tenant fermement son bras. Trop occupée à réfléchir à un moyen de se libérer elle ne fit pas attention aux paroles que prononçait son récent geôlier, elle sentit juste un léger coup dans son dos la faisant entrer dans une pièce sans doute, puis elle fut libérée de ses menottes. Avant même qu'elle n'ait enlevé ce qui lui couvrait la tête elle sentit des mains sur son corps, pas toutes humaines d'ailleurs qui lui tiraient les vêtements, ainsi que quelque chose de gluant remonter le long de sa jambe.

Elle entendit une porte métallique être refermée et son kidnappeur demanda aux autres de ne pas la faire trop gueuler... à ces mots elle retira immédiatement le tissu qui lui couvrait la tête et fut frappée par l'horreur.
Eva se trouvait dans une cellule à peine éclairée, parmi des esclaves humains, hybrides et non-humain qui venaient de lui arracher ses vêtements, la mettant entièrement nue. Ils avaient tous une sacrée érection et elle avait peur.

"AU SEC... HMPFFFFFFFF!!!" un hybride mi-homme mi-cheval venait de lui mettre entièrement sa queue dans la bouche, malheureusement pour Eva , il tenait du cheval pour son phallus et elle pouvait le sentir dans son oesophage presque jusqu'au bout. Elle en eut les larmes aux yeux mais ne pouvait rien faire pour se sortir de là.

"Ta gueule !! le maître ne veut pas t'entendre alors ferme là et avale !!!" lui dit l'hybride, ayant un orgasme à ce moment là, déversant une énorme quantité de sperme droit dans l'estomac d'Eva, le faisant gonfler. Elle gémissait mais ses cris étaient étouffés par l'énorme queue qu'elle avait dans la bouche, elle pleurait mais personne ne s'en souciait, les prisonniers la touchait partout et la chose visqueuse qui remontait sa jambe était arrivée en haut de sa cuisse et son extrêmité à forme phallique lui titillait déjà le vagin. L'hybride eut encore un orgasme qu'elle fut obligée d'avaler, son ventre gonflant encore, le sperme remuant dans son ventre. Elle allait devenir un jouet sexuel pour tout ces mâles en chaleur et elle ne pouvait absolument rien y faire ...

La lourde porte venait de se refermer sur les derniers espoirs de la jeune femme. Immédiatement prise d'assaut, elle reconnaitra donc un hybride d'homme et de cheval, un homme et un autre hybride, si l'on peut appeler ça ainsi. En effet la troisième personne semble être à mi chemin entre la pieuvre et l'homme, pourvu d'une dizaine de tentacules et d'une peau luisante et sombre. Une main puissante maintenait la tête de la captive, celle de l'hybride cheval, qui forçait sa bouche sans aucun ménagement. La longueur de la queue la pourfendait plus loin que la gorge, et il bandait tellement fort que même si elle avait voulu fermer la bouche, elle ne pourrait lutter contre une telle dureté.

Une petite trappe sur la porte s'ouvrit, laissant voir les yeux du marchand d'esclaves, et un peu de la lueur des torches. Sans ça, la pièce était plongée dans l'obscurité et la luxure. Il tenait juste à voir si ils allaient bien la corriger, et si cela suffirait à la rendre plus docile qu'au départ. Comme elle luttait encore contre l'hybride, les deux autres avaient le champ libre. La créature s'approcha un peu plus, le tentacule grimpant le long de la jambe jusqu'à ce que le bout frôle sa fente. Sans même chercher à savoir si elle était assez humide pour être prise, il s'y enfonçait avec un plaisir cynique.

De son côté, l'humain se rapprochait dans le dos d'Eva, elle ne pouvait le voir bloquée comme elle était à pomper le dard chevalin. En revanche, elle sentira quand son membre se frottera contre ses fesses, et que lentement il baissait le bassin afin de venir caler son gland contre l'oeillet de la captive.

Ca faisait longtemps ! On ne va pas décevoir le maître cette fois !

L'humain frottait encore, puis forçait pour essayer de la pénétrer par derrière. Sans lubrifiant, il peinait à rentrer et ressentait un peu de douleur, mais elle devait en ressentir tout autant. Prise par chaque orifice, elle était à leur merci, et les quatre mains en plus des tentacules s'assuraient qu'elle ne bougeait pas trop pour ne pas essayer de se soustraire à leur traitement.

Après avoir joui deux fois dans la gorge de la jeune femme, l'hybride remuait plus lentement, sans pour autant la laisser reprendre ses esprits. Il la laissait à peine respirer quand il ressortait, une goulée d'air qu'il poussait vers l'avant à chaque fois qu'il pilonnait sa gorge. Néanmoins, légèrement impétueux, il ressortait après de longues secondes de la gorge de la jeune femme, et poussait d'une main ferme l'homme qui la sodomisait.

Pousse toi de là, c'est à moi !
Hey !

De part son gabarit, l'humain ne pouvait lutter avec l'hybride, bien qu'il fut costaud pour sa race. Il se retrouvait sorti de l'orifice alors que l'hybride contournait la jeune femme et la soulevait de terre pour porter ses fesses à hauteur de son membre. Le gland devait faire le double de grosseur, il la relâchait pour que la gravité fasse son office et qu'elle se retrouve peu à peu empalée sur le dard suintant.

La porte s'ouvrait à nouveau, dans un bruit de métal, et Cyscek en émergeait, un fouet à la main et le regard visiblement courroucé.

Je vous ai déjà dit de ne pas vous disputer, sinon je vous enlève votre jouet. Il y en a suffisamment pour tout le monde, compris ?

Comme des enfants pris en défaut, les trois esclaves opinaient doucement. Ils savaient qu'il ferait ce qu'il disait s'ils ne se tenaient pas. Alors qu'ils semblaient reprendre un peu de leur cohésion, l'homme passait devant, décidé à goutter également de la bouche de l'esclave, qui voyait un second tentacule pénétrer lentement son intimité et la déformer de plus en plus.

Son cauchemar ne faisait que commencer, elle était si préoccupée par l'énorme verge de l'hybride qu'elle ne faisait même pas attention au reste, elle ne s'aperçut même pas que son geôlier avait ouvert une trappe, laissant entrer la lumière faiblarde d'une quelconque torche. C'est alors qu'elle vit à qui appartenait ce qui grimpait le long de sa jambe, une espèce de pieuvre humanoïde complètement visqueuse.

Cette dernière força d'ailleurs l'entrée de l'intimité d'Eva, lui arrachant un cri de douleur une nouvelle fois étouffé. C'était douloureux, elle commençait à peine à mouiller et l'apaisement qui en résultait ne faisait pas encore taire la douleur de sa fente qui se faisait ravager.

*Je me fais violer !!! au secours !!!*  ces mots résonnèrent dans sa tête sans vouloir sortir de sa bouche.

La tentacule continuait son oeuvre de même que l'homme cheval, tandis qu'elle sentit la verge d'un homme se frotter contre son anus commençant à forcer l'entrée. L'homme poussa encore puis finit par atteindre son objectif, commençant un ramonage intensif à sec. La douleur de sa chatte s'apaisait à peine que son anus lui en infligeait une nouvelle plus forte encore.
C'est alors que l'homme cheval poussa son compère sous prétexte que c'était son tour. L'humain rouspéta plus pour la forme qu'autre chose car l'hybride aurait pu l'étaler d'une gifle. Eva ne protesta pas, trop occupée à reprendre son souffle après avoir subit les assaut d'une bite énorme dans sa bouche.

L'homme qui s'était retiré de son cul avait laissé un anus dilaté, mais lorsque l'hybride la souleva pour poser son gland sur son orifice elle sut que ça allait être douloureux. Il lacha Eva, laissant la pesanteur faire son oeuvre, elle sentait la gigantesque verge s'enfoncer peu à peu en elle.
Dans le même temps elle sentit une seconde tentacule venir lui ravager la chatte, tandis que l'humain venait essayer sa bouche. Pour ce qui est des tentacules, maintenant qu'elle mouillait, même si c'était douloureux, c'était supportable. De même le sexe de l'humain, bien que gros pour quelqu'un de son espèce ne pouvait rivaliser avec celui qu'elle venait d'encaisser quelques instants auparavant.

D'un coup, l'hybride saisit la taille d'Eva et la tira vers le bas pour enfoncer entièrement son membre dans l'anus de la belle, forçant l'entrée de son rectum pour atterrir dans son estomac, provoquant un autre cri de douleur étouffé.

"Hey les gars!! je sais pas vous mais moi après un orgasme j'ai toujours envie de pisser!!!" dit l'hybride.

Comprennant son intention, Eva secoua la tête et réussit tant bien que mal à se dégager de la verge de l'humain pour hurler :

"Non ne fais pas ça par piti... HMPF !!!" l'humain lui avait remit sa bite dans la bouche pour la faire taire, un sourire narquois sur les lèvres.

L'hybride quant à lui se lâcha et urina dans l'estomac d'Eva, le faisant gonfler à vue d'oeil et une fois qu'il eut finit, il entamma un puissant va et vient qui faisait sautiller Eva, remuant le sperme et l'urine dans son ventre à chaque soubresaut, faisant également rebondir son énorme poitrine au gré des coups de queue.
Soudainement, il se produisit une chose étrange, Eva eut un orgasme, elle même n'arrivait pas à y croire et pourtant c'était bien arrivé. Elle commençait à ne plus contrôler son corps qui bougeait de lui même pour répondre aux trois mâles qui la violait sans vergogne, sa lutte était désormais vaine...

Simple jouet entre les mains des trois êtres, la jeune femme se voyait malmené, surtout ses orifices. Empalée qu'elle était sur la queue de l'hybride, ses pieds ne touchaient plus terre, et elle ne pouvait de fait espérer fuir. Et puis, pour aller où ? Même si la porte était encore ouverte, elle n'irait pas bien loin.

Les trois êtres allaient et venaient dans chaque orifice, se préoccupant chacun de son propre plaisir que de ceux des autres ou même du confort de la jeune esclave. Comme elle jouissait, la créature à tentacules parlait, d'une voix de basse.

Elle est en train de jouir, je le sens ... Elle aime ça en fait.

Puis il ajouta, cette fois dans la tête d'Eva :

Tu peux toujours crier au viol et au secours, il n'y a que moi qui t'entend ...

Un télépathe ! Son visage s'ornait d'un sourire cynique, il violait même ses pensées, elle ne pouvait même pas cacher ça. Lentement, les tentacules ressortaient de son intimité, pour venir se presser contre l'anus, à côté de la verge de l'hybride.

Après un instant d'hésitation, ce dernier fit un petit oui de la tête, et un premier tentacule força l'oeillet, l'obligeant à se déformer et à s'ouvrir pour le laisser rentrer. Il se mit à remonter, longeant la queue de l'hybride pour remplir l'esclave et se faire une place en elle. Pendant ce temps, l'humain avait pris à deux mains la tête de la jeune femme, et l'obligeait à faire aller et venir ses lèvres le long de sa queue. Il sentait le plaisir venir, mais au lieu de se déverser en elle, il ressortait brutalement, afin d'asperger le visage de l'esclave abondamment. Il se masturbait d'une main pour bien se vider, visant comme il le pouvait avec les soubresauts qu'elle encaissait des deux autres lui défonçant l'arrière train.

Sur le seuil de la porte, Cyscek observait, entre excitation et dégoût. Avec ça, elle ne risquait pas de se rebeller de sitôt. La dernière qui était passée entre leurs mains était devenue une esclave modèle, surement de peur de devoir retourner dans cette cellule. Après quelques secondes, il fit tinter une cloche suspendue dans le couloir, qui résonna dans l'étage et surement au dessus. Il ne fallut pas longtemps pour qu'un autre esclave arrive, entièrement habillé, et bien habillé avec cela. A mi chemin entre l'homme et l'ours, il avait une carrure des plus bestiales, et tourna vers la scène un oeil intéressé, avant que Cyscek ne lui parle.

Assure toi qu'elle ne file pas d'ici, et quand ils en auront fini, nettoie la et amène la moi.

Sur ce, le maître des lieux tournaient les talons pour repartir d'où il venait, laissant la jeune femme comme cadeau aux esclaves présents.

Enfer et damnation, même ses pensées subissaient une intrusion non désirée venant de la créature tentaculaire. Dans quelle horreur était-elle tombée ? En fait elle n'avait pas vraiment le temps de s'en soucier car son corps ne lui répondait plus, l'instinct sexuel avait pris le relais et répondait aux esclaves présents comme si il voulait encore recevoir de la semence et prendre du volume.
Son anus déjà bien malmené par l'homme cheval n'était apparemment pas au bout de ses peines car les tentacules sortirent de son intimité pour aller s'y frotter quelques secondes avant d'y rentrer, déformant encore l'orifice.
Pendant ce temps l'humain forçait Eva à avaler sa queue à pleine bouche et lorsqu'il se sentit venir, au lieu de jouir à l'intérieur il se retira, laissant gémir la rouquine tandis qu'il déversait son foutre chaud sur le visage de la belle.
Sa conscience était effarée de constater que son corps prenait du plaisir à recevoir tout ça.
Quelques instants passèrent, une cloche tinta, un pas lourd se fit entendre accompagné d'une odeur fortement musquée, un ordre fut donné et le maître des lieux s'en fut.

L'homme ours apparemment intéressé par la scène décida de se joindre au groupe, mettant ses vêtements de côté. Lorsqu'il fut nu, Eva put constater que son membre était déjà dur et rivalisait en taille avec celui de l'autre hybride. Il lorgna sur l'anus de la jeune femme :

"Apparemment c'est le meilleur endroit, on va essayer ça !"

La créature tentaculaire se retira pour faire place au nouvel arrivant, enfonçant plusieurs de ses membres dans la bouche de la rouquine. Les deux hybrides se regardèrent d'un oeil complice et le nouvel arrivant enfonça sa verge d'un seul coup dans l'orifice d'Eva venant se rajouter à l'homme cheval. Son anus était tellement dilaté qu'elle en eut un orgasme des la pénétration qui ne cessa pas de grimper en intensité lorsque les deux compères se mirent en mouvement.
Tout ceci dura quelques minutes et tandis que les autres profitaient de son corps, l'humain ayant encore déchargé plusieurs fois sur son visage et la créature occupant toujours sa bouche, les deux hybrides jouirent en même temps dans l'estomac d'Eva, déversant une telle quantité de sperme que son ventre grossit au point de la faire paraitre enceinte de quelques mois.

Lorsque ce fut finit elle essaya de se relever mais ses jambes refusaient catégoriquement de la porter, aussi l'homme ours l'emmena vers les douches en la tenant par l'anus sans effort apparent.
Une fois arrivée sur place  il alluma l'eau et ne s'étant toujours pas rhabillé il se joint à elle dans la douche.

" Tu dois être propre pour le maître..."

Inutile de dire qu'il profita bien de la douche pour vérifier la propreté d'Eva jusqu'au fond de ses orifices... plusieurs fois...
Puis il la sécha en même temps que lui, se rhabilla et obligea la jeune femme à mettre un string qui scindait son anus encore dilaté en deux demi cercles, la ficelle à l'avant se glissant entre ses lèvres titillant son clitoris à chaque mouvement.

Elle fut présentée ainsi à son kidnappeur, presque nue hormis la ficelle entre ses jambes, le ventre rond plein de sperme et l'anus béant, ouvert à un tel point qu'il pouvait servir de petit placard. Ses jambes ne la portait toujours pas aussi tomba-t-elle à genou, répandant de la cyprine venant de sa fente sur le sol, formant en quelques secondes une flaque. Elle essayait de reprendre le contrôle de son corps, mais pour le moment ses tentatives restaient sans succès.