Enchainé à ce mur depuis de nombreuse minutes, je peux entendre qu'il y a de l'agitation à l'extérieur.
Ma manœuvre de diversion pour permettre au Vagabond de chercher dans l’entrepôt n'était pas la bonne, j'aurais peux être dû leurs dire que je m'étais perdu, mais les cinq gardes ne se seraient peut être pas déplacer pour me ramener à Nexus.
J'ai sans doute trouvé la bonne excuse pour les éloigner de l'entrepôt, mais je me retrouve maintenant coincé ici, prise au piège dans cette cabine et je ne sais même pas si le Vagabond sais que je suis là, il vas encore falloir que je m'en sorte toute seule.
Et dire que je fait tout sa pour Kira encore une fois...
J'empoigne les chaines qui me relie au mur et tire de toute mes forces à m'en faire mal aux poignets pendant de nombreuses minutes, mais il n'y à rien à faire, sa ne veux pas céder.
Sais vrai que je pourrais utiliser mon pouvoir d'onde de choc pour tenter de faire valser la fixation au mur, mais avec les bras au dessus de la tête, sa ne serais pas facile de viser juste. Je suppose aussi qu'au moindre bruit tout les matelots vont rappliquer pour savoir ce qui se passe et je préfère éviter ça.
Mais toutes ces réflexions deviennent bien futile, quand j'entends des bruits de pas juste derrière la porte, porte qui s'ouvre juste après laissant rentrer le gros qui m'a emmener sur le bateau, un gringalet et un musclé rentre avec lui, je m’assoie par terre, serre les jambes comme pour me faire la plus petite possible.
Ils ferment la porte à clé derrière eux avant de s'approcher de moi le sourire aux lèvres et le regard pervers.
Je commence à avoir peur sur leurs intentions, le gros me salut, jouant encore la comédie en m'appelant petite soeur, que c'est gentil à moi de venir à bord, comme si j'avais eu le choix.
Je le regarde les sourcils froncé alors qu'il me dit
Ça va nous faire un peu de distraction pour le voyage, d'autant plus qu'on part pour plusieurs semaines...
Je déglutis difficilement alors qu'une boule se forme au niveau de ma gorge.
Si je reste plusieurs semaine à bord de ce bateau avec ces matelots, je ne donne pas cher de mon état à l'arrivé.
Eux qui ne côtoie que des courtisanes quand ils ont la chance d'accoster dans un port après des semaines en mer, mais en me ramenant sur leurs bateau, ils vont pouvoir abuser d'une fille autant qu'il le veulent et à tout heure du jour et de la nuit.
J'espère que le vagabond vas tenir sa promesse et venir me sortir de là, en supposant qu'il n'est pas encore dans le hangars à chercher la graisse de troll et qu'il sache ou me chercher, ce que je doute.
Tout mes espoirs de sauver Kira sont en trains de partir en fumée, plus je resterais de temps ici et plus les chance de la sauver serons maigre, sachant que dans trois jours elle mourra.
Le maigrelet enfonce un peu plus le clou en confirmant les dires du gros.
Ouaip, plusieurs semaines. Tu vas en voir, des queues. J'espère que t'as pas le mal de mer, on compte bien te garder en bonne santé. On va te faire manger et boire chaque jour !
Ces salauds vont abuser de moi alors que Kira est en train de mourir, si elle meurs à cause d'eux, je ne pourrais pas le supporter.
S'en suit des rires salaces alors qu'ils s'approchent de moi, si je comprend l'allusion du maigrelet, quand il parlait de me faire manger et boire, j'ai bien peur qu'il ne parlait pas de nourriture.
Le gros demande au deux autres de me maintenir alors que je le vois sortir un énorme couteau de sa ceinture.
Le maigrelet et le baraqué me maintiennent chacun de leurs coté, les bras et les jambes pour que je bouge le moins possible.
Maintenant qu'ils sont aussi proche de moi, je sent leurs odeurs puantes envahir mes narines, ils sentent à la fois le sels, le poisson, la crasse et la transpiration.
sa m’incommode un cours moment, mais vue la situation sa deviens très vite le cadet de mes soucies.
Je commence vraiment à paniquer quand je vois le gros approcher la lame de son couteau vers mon décolleté.
Non... S'il vous plais... Qu'est ce que vous faite...
Ferme là et ne bouge pas! ça serais dommage que je t'abime AH!AH!AH...
Il me dit sur un ton autoritaire.
Je regarde la lame avec appréhension alors qu'il passe la pointe dans mon décolleté.
D'un geste rapide, il fend ma robe en deux, de peur, je retient mon souffle pendant plusieurs secondes, alors que j'ai bien crue que ma dernière heure était venue.
écarté lui les jambes!
Il ordonne au deux autres, qui n'attendaient apparemment que sa.
Je tente de garder les jambes serrées, mais en vain, chacun tirant une jambe de son coté, je ne peux résister bien longtemps à la force de deux hommes.
Le gros écarte les pans de ma robe fendue, range son couteau à sa ceinture, s’accroupit avant de venir d'une main écarter mon string sur le coté et caresser ma petite fente avec un de ces doigts.
Regardez les mecs, une belle petite moule toute fraîche! On va bien s'amuser à la défoncer !
S'en suit des petits rires mesquins, avant que le gros se lasse de seulement caresser ma petite fente et qu'il commence à introduire phalange par phalange son gros majeur jusqu'à ce que la paume de sa main vienne en contacte avec mon pubis.
Je poussent de petit gémissement pendant toute intromission de son doigt tout en bougeant la tête de droite à gauche, avant de lâcher un petit cris quand son doigt est entièrement en moi.
mmmmmh... Non... mmmmh... Pas ça... mmmmmh... AAAAAH...
Il fait alors de rapide et violent allé retour de son doigt dans mon minou, il n'est pas tendre, je gémis et lâche de petit cris plaintifs, mais même malgré la situation, mon corps n'en reste pas sans émoi, mon bas ventre se réchauffe et je sent mon intérieur devenir moite.
mmmmmh... aaaaaaah... Arrêtez... AAAAAH... Non...
Il ne s'arrête pas pour autant, tordant en plus son doigt à l'intérieur de moi, caressant mes douces membranes.
Putain les gars, je crois que nous avons à faire à une bonne salope. N'est ce pas petite soeur, regarde comme tu mouille.
Qu'il me dit, je n'ose même pas regarder, je connais bien mon corps maintenant et je sais que de simples caresses peuvent m'exciter en un rien de temps, encore une des facultés d'être la prêtresse de la déesse de la luxure, avoir une peau ultra sensible et je ne peux rien y faire pour le pas mouiller.
aaaaah... mmmmh... Pitié... oooooh... Je vous en supplie... aaaaah... Ne... AAAAAAAAAAAAAAaaaaaaaaah...
Je lâche un cris de surprise alors que je sent mon string être arraché et un autre de ces doigts élargir ma petite fente en profondeur sans ménagements.
Ces doigts vont et viennent avec brutalité dans ma petite fleur maintenant humide, le claquement de sa paume contre mon pubis résonne dans la pièce.
Je hurle pendant je ne sais combien de temps, sa me semble des heures, je les entends rire de mes réactions, par chance je n'ai pas mal, enfin pour l'instant, j'ai bien peur que la suite soit plus violente.
Je lâche un soupir de soulagement quand il retire enfin ces doigts, j'ouvre à nouveau les yeux pour voir avec horreur ce gros porc se relever et descendre son pantalon à ces genoux.
Dévoilant sans gêne son sexe encore moue noyer dans une broussaille de poils pubien, sa ne donne vraiment pas envie.
Je lève mon regard sur lui pour le voir sourire avant de dire à ces deux comparses.
Puisque c'est grâce à moi qu'elle est là, personne ne verra d'objection à ce que je passe en premier ! Puis débarrasse-toi de ça, t'en auras pas besoin non plus !
Il viens alors empoigner d'une main mon soutient gorge avant de le tirer d'un coup sec, celui ci ne résiste pas et est envoyé à terre, en même temps, la fiole qui contient la "Lys des cimes bleu" tombe à terre et roule jusqu'à un coins de la pièce, heureusement personne ne s'en aperçois.
Mais l'horreur continue alors que je le vois s'approcher encore plus près de moi, une main qui viens décalotter sa verge avant de venir s'amuser à caresser ma poitrine avec son gland, passant d'une montagne de chair à une autre, caressant mes mamelons et s'amusant à jouer avec les anneaux qui si trouve, laissant au passage du liquide séminal.
L'odeur est atroce, ces marins ne doivent pas se laver souvent, sa me dégoute et sa se vois sur mon visage alors que je fait la grimace, faisant aller ma tête de droite à gauche en espérant ne pas sentir cette odeur immonde.
J'entends mes trois agresseurs rigoler à mes réactions, ils prennent leurs pieds à martyriser une jeune fille sans défense et à leurs merci.
Quand je sent une main empoigner ma chevelure, j'ouvre les yeux, mais je les referme aussi vite quand je vois se gros porc approcher sa chose de mon visage, je lâche même une petite plainte de dégout.
aaaaaah... Noooon... Beuuuurrkk...
Ce porc s'amuse à coller sa queue et ces bourses poilus sur mon visage, il me caresse avec son entre jambe, c'est ragoutant, l'odeur est tellement horrible que je retient ma respiration le plus longtemps possible.
Mais il s'y amuse tellement longtemps que je suis obligé de remplir mes poumons d'air, il m’asphyxie de son odeur nauséabonde, elle est tellement forte que j'en tousse.
Il fini par se retirer avant de me dire.
Tu vas me sucer maintenant, et si t'as dans l'idée de me mordre, je te plante ça direct jusqu'au poumon !
Rien que l'idée de prendre sa queue puante dans la bouche me donne envie de vomir, en plus de sa il me menace de me planter son énorme couteau dans les poumons si ne fait mine de la mordre.
D'ailleurs il ne rigole pas puisque je sent la pointe de la lame sur mon cou.
De son autre main il guide son braquemart qui à pris un peut plus de volume et il l'approche de mes lèvres, je détourne la tête, je ne veux pas faire sa, je ne peux pas, je serre les lèvres et les dents, détournant la tête à l'opposer de sa verge.
Commençant sans doute à s'impatienter, il me donne un violente gifle qui me brule la joue avant de me dire.
Tu es à nous maintenant petite salope, alors tu vas faire ce que l'ont te dit, de gré ou de force.
Aller y les gars!
Ces deux comparses lâchent alors mes jambes et viennent maintenir ma tête contre le mur avant de m'obliger à ouvrir la bouche.
Une main sur mon front pour me coller au mur derrière moi, une main qui me pince le nez, une autre qui me tire la mâchoire vers le bas et une autre qui viens serrer mon cou.
Encore une fois en apnée, je ne tiens pas bien longtemps, à peine ai-je ouvert la bouche que ce gros porc approche une nouvelle fois son bassin de mon visage, mais cette fois ce n'est pas pour se frotter à celui ci.
Incapable de refermer la mâchoire puisqu'une main me la maintient ouverte, ce gros dégueulasse fait passer sa queue à moitié bander entre mes douces lèvres et investie ma bouche, il s'engouffre jusqu'à ma glotte avant de sentir sa main empoigner fermement ma chevelure alors que ces deux comparses me lâche.
Il me tire alors du mur avant de faire aller ma tête sur sa queue, il m'impose son rythme qui commence doucement, ma langue et mes lèvres caresse sa hampe, son gland viens heurter ma glotte à chaque fois, je commence à avoir des renvoie de dégout alors que le gout et l'odeur sont infâmes, j'ai envie de vomir, mais je me retiens, je ne voudrais pas que ce soit une raison pour qu'il me passe à tabac.
Je les entends rire, de mon coté mes mains empoigne les chaines pour me donner du courage, je sent le sexe dans ma bouche grandir et prendre de l'ampleur, le rythme qu'il m'impose s'accélère, je pousse des gémissements de plaintes, je recrache comme je peut la bave qui s'accumule dans ma bouche, celle ci dégouline sur ma poitrine.
Le rythme s'accélère encore, je fini par glousser à chaque fois qu'il heurte le fond de ma bouche, jusqu'au moment ou il plaque violemment ma tête contre le mur et qu'il se met à s'enfoncer lui même doucement dans ma bouche.
Mais cette fois ci quand sont gland viens à la rencontre de ma glotte, il continue de pousser, je gémis de terreur, mais il continue forçant de toute la puissance de son bassin. Ma gorge résiste un court moment avant de céder, j'ouvre de grand yeux en pleurs, tire sur les chaines qui me retiennent, me coupant la respiration, il s'enfonce jusqu'à la garde.
j'ai l'impression qu'il me déchire la gorge en deux, venant coller son ventre bedonnant sur la tête ainsi que son bas ventre et ces bourses poilues sur mon visage.
Il se retire doucement prenant un malin plaisir à me voir suffoquer et paniquer, je sent son dard racler ma gorge douloureuse, j'ai à peine de temps de reprendre une inspiration qu'il donne un coup de rein puissant pour me faire ravaler son braquemart jusqu'à la garde.
Il continue de longue minutes, accélérant le rythme au fur et à mesure que le temps passe, je fini par glousser comme une poule et à baver comme une limasse, ma gorge est en feu et bizarrement mon bas ventre aussi.
RRRAAAAaaaaah... Tu es un bonne petite trainer... RRRRAAAaaaaah... Tu vas en vider des couilles ma petite pute... RRRRMMMMmmmh...
Ce salop m'insulte alors qu'il est en age, rajoutant à son odeur déjà putride l'odeur de sa transpiration qui goute sur moi et qui me colle au visage.
Quand enfin il se retire, c'est une vrai délivrance, je tousse et recrache toute la bave qui c'est accumulé dans ma gorge, reprenant aussi ma respiration, je suis exténuer, ma gorge me brule à chaque inspiration, c'est horrible.
J'ouvre les yeux un court moment pour le voir se masturber devant mon visage, les yeux à nouveau fermer, je l'entends pousser un râle avant de sentir d'épaisses salves de foutre chaud et gluant recouvrir mon visage.
Je perd espoir de pouvoir sauver Kira, si le Vagabond avait put me sauver, il l'aurait déjà fait, c'est foutu, je vais passer les prochaines semaines sur ce bateau à servir de pute à tout l'équipage, adieu Kira.
L'un des deux autre matelots prend le relais et m'écarte à nouveau les jambes avant de me dire.
Je vais remplir ta petite chatte ma salope...
Je le sent passer son gland contre mes lèvres vaginal, le long de ma petite fente humide, quand un son de verrou se fait entendre, sur le coup je sent de la tension dans la pièce, des bruits de pas, des choses lourdes qui tombe à terre avant d'entendre une vois familière me demander.
Ça va aller ?
En entendant cette vois, je regagne espoir.
Vagabond... C'est vous?... Je suis contente que vous soyer là...
Il détache mes poignets, je m’essuie le visage avec les mains avant d'ouvrir les yeux.
Les trois matelots sont mort, à terre et en sang, je rabat le reste de ma robe sur mon corps nue et vais chercher la fiole dans le coin de la pièce, je la garde en main alors que le Vagabond me porte telle une marier dans les couloirs du navire.
Quand nous atteignons enfin le pont un des matelots cris.
Hey ! L'intrus ! C'est lui ! Il est là ! Attrapez-le !
Le vagabond se précipite vers l'un des coté du bateau avant de me dire.
Lili, ma belle, j'espère que tu sais nager !
Je n'ai même pas le temps de répondre, qu'il se jette dans le vide avec moi dans ces bras, je hurle pendant toute le chute avant de sentir l'eau fraiche nettoyer mon corps souiller, dans un tourbillon de bulles, je remonte à la surface et suis le vagabond qui se dirige vers le quai.
Au bout de quelques minutes, nous y arrivons, fort heureusement les matelots ne nous ont pas suivies et continue leurs route vers le large.
Le vagabond monte en premiers sur le quai et me tend la main que j’agrippe de mes deux mains pour qu'il me remonte, il peut voir une partie de mon corps nue alors que la robe j'ouvre quand il me remonte, mais une fois sur le quai je rabat les deux pans.
Il vérifie s'il n'a rien perdu pendant que je reste assise sur les planches en bois, regardant le bateau dans lequel j'étais prisonnière, disparaitre au large.
Il me dit et me montre qu'il à trouvé ce qu'il fallait, mais je ne dit rien et continue de regarder au large le soleil qui commence à se coucher.
Je l'entends alors me demander.
Ça va ? Tu veux qu'on se repose un peu ou tu es prête à repartir ?
Je met un certain temps avant de lui répondre.
Sa... Sa vas oui... J'ai... J'ai connue pire... Le soleil est en train de se coucher, il faut se reposer, mais pas ici.
Tu connais un endroit sur pour passer la nuit et ou il y aurait des vêtements pour que je puisse être habiller de façon décente?