Heu, stop, il lui avait montré du respect, et elle, voilà comment elle le traitait ! Non mais y avait un problème, un très gros et très sérieux problème, elle l'ignorait presque, comme si il n'était qu'un nuisible que l'on pouvait temporairement ignorer, et que je m'occupe de mes clopes, et que je m'occupe de ma tasse d'eau chaude, et que j'oublie que le mec en face de moi peut me foutre dans une merde noire !
Ben tiens, si elle avait oublié il allait le lui rappeler, il avait assez gaspillé son temps comme ça, non ? Il était venu pour elle, et voilà comment on le remerciait, d'abord en le menaçant, puis en l'ignorant, ne le regardant même pas quand elle lui parle, d'ailleurs elle venait de lui demander quelque chose, comme pour lui faire comprendre une erreur qu'il n'avais pourtant pas commis. Le plus drôle là dedans c'était qu'elle lui faisait comprendre quelque chose qu'elle n'aurait pas voulu qu'il comprenne, il en était sur. Pauvre, elle ne l'était certainement pas, au sens matériel du terme, pour le reste, elle était plus à plaindre qu'autre chose, ça, c'était certain.
Elle avait beau vivre aisément, c'était froid et vide de toute chaleur présente dans un foyer décent, la chaleur humaine pour commencer, et si elle avait bon goût en matière de déco, ce n'était pas ça qui comblait le vide, oui, elle vivait dans une maison vide, c'était son impression. Donc oui, il la plaignait désormais autant qu'il la détestait, enfin njon, il ne la détestait pas, disons plutôt qu'il avait un fort sentiment d'agacement à son encontre notamment à cause de ses réactions à la con et sa tendance à tout lui mettre sur le dos !
Il soupira, raz le bol, qu'elle continue à déblatérer il règlerait tout cela après ! Mais qu'elle arrête ses conneries, il ne souvenait pas de l'avoir menacé de le faiire disparaître, il ne l'avait même pas menacé du tout il l'avait juste mise en garde, une énorme différence ! Mais si elle y tenait, il allait lui montrer ce que c'était qu'une menace venant de Gabriel Valmy ! Elle pouvait dire ce qu'elle voulait, hormis se le mettre davantage à dos, elle ne faisait rien de particulier en ce moment. Parfois vaut mieux se taire. Heureusement qu'il n'avait pas pour habitude de frapper les femmes, sinon ça poserait un saccré problème d'éthique à cet homme çà femme, d'ici là, ça allait chier ! Tant pis pour la douceur et la gentillesse.
Mais notons toutefois que sa dernière remarque le fit sourire et même un peu rire et il y répliqua aussi sec :
« Non, vous n'êtes pas chez vous, vous n'avez pas d'existence légale, peu importe le prix que bvous avez payé votre logement, il ny a aucun contrat valabe en votre faveur à cause de l'absence de papier, vous gagnez votre vie honnêtement, mais pas d'impôts, rien, n'est-ce pas une forme de vol ? Vous profitez de tous nos avantages mais vous ne prenez aucune contrepartie, moi, ça me gonfle ça, alor écoutez moi bien, vous croyez que mes menaces ne peuvent pas vous atteindre, que vous n'avez pas peur ? Très bien, ça tombe bien je ne vous ai pas encore menacée ! Mais si vous insistez... »
Il mit sa main paume vers le haut devant lui, entre eux en fait, et sans me se concentrer, il fit apparaître de petits arcs électriques qui se balladaient sur ses doigts avant de les diriger vers la prise électrique la plus proche pour y envoyer une bonne dose de courant.
« Si je voulais vous menacer, je vous prouverai que je peux vous faire griller sans y penser ! Lors ne me prenez pas pour une merde et encore moins pour un imbécile ! Vous savez très bien vce que je veux, vous en parlez depuis que je suis là mais comme vous n'avez pas plus de courage que de chaleur humaine dans votre vie sans doute, vous me prenez de haut, m'exaspérez par vtre comportement et n'allez pas au bout. Vous voulez que je vous donne mon prix, très bien ! Vous semblez bien gagner votre vie dites donc ! Soit, je veux deux cent mille yens par mois ! Une objection ? »
Le jeune homme fit rapparaitre les arcs électriques dans ses doits avant de les faire disparatre.
« Et puisque vous parliez de menace, je vais rajouter cela : je vous déconseille fortement d'oublier un paiement, et si jamais je découvre des papier, je les vérifierai en personne, si vous tenter de fuir, je vous traquerai. Là ce sont des menaces, puisque vous n'avez pas peur de mes menaces, que j'en profère ne vous gpênera pas outre mesure. Ah et aussi, pendant que j'y pense, tout ceci reste entre nous, n'est-ce pas ? »