- Hargh ... Elle est folle cette fille !
Une bras gisait au sol, appartenant à la personne qui avait commit deux erreurs, la première prendre Hirminoa pour une femme, la seconde a été de croire que les armes qu'il portait n'étaient que pour intimider, aussi avait-il eus pour cette erreur le bras tranché jusqu'à l'épaule.
Penchant la tête légèrement en arrière, pour regarder de travers son agresseur.
- Tout ceux qui ce mettent en travers de mon chemin seront balayés sans pitié.
D'un pas rapide il se dirige vers l'infirme et lui tranche la tête sans éprouver le moindre sentiment, un peu comme si une personne normale cassait une brindille. Le sang se mit à colorer la rue fade en couleur. Tout le monde se mit à fuir les lieux du crime. Sans ce soucier de la flaque de sang, Hirminoa se mit à marcher vers le marché des esclaves où vivait quelques informateurs.
C'est alors que Chachamaru se mit devant lui, il ne fut nullement étonné de voir les oreilles robotique de la demoiselle, entamant un geste de son fauchard pour trancher cet obstacle dérangeant. Il fut surpris de voir son coups paré d'une main, alors que l'autre tendis une lettre, visiblement de son maître.
Hirminoa se mit à lire la lettre, non sans se méfier de Chachamaru, il était hors de question de mourir ici, pas tant que sa vengeance ne serait pas accomplit.
Il ne prêta nullement attention aux insultes, pour lui insulter c'est ne pas avoir les couilles de faire parler les poings, donc il partait immédiatement sur un préjugés que le maître devait être bien faible par rapport à la servante.
Hirminoa se mit donc à suivre la servante, non sans avoir son fauchard prêt à trancher cette personne, si elle faisait mine de vouloir le semer ou faire un coup fourré. Il découvrit le manoir, pour lui cette demeure ne fit que le mettre davantage en colère, un noble, il avait un arrière goût dans la bouche, mais sa lettre était claire, il allait avoir quelques chose en surpassant cette colère.
L'invité fut conduit à la salle principale, découvrant une gamine de treize ans sur un trône dans une posture de dominatrice. Un "tss" se fit entendre entre les lèvres de l'invité qui se mit à brandir son fauchard.
- Cette blague de mauvais goût va te coûter la vie petite.
Il n'aimait pas être tourné en bourique, aussi pour une telle blague il comptait montrer un exemple en tuant Evangeline et mettre le feu à son manoir.