Un casting qui tourne mal (PV Aoki Kou)

Une agence de casting aurait été le dernier lieu dans lequel Satsumy aurait cru se retrouver un jour, la jeune femme n'ayant pas vraiment le profil de ces personnes aimant se mettre ainsi en avant. En marchant dans les rues en cet après-midi, elle avait croisée un homme qui distribuait aux passants des petites brochures pour faire de la pub à une célèbre agence de casting, censée promouvoir toutes sortes de talents chez de jeunes personnes.
Étrangement, Satsumy n'avait pas jetée le bout de papier dans une poubelle, mais s'en était servie pour trouver l'emplacement du grand building de l'agence, située en plein centre ville. Qu'est-ce qu'elle fichait là ? Satsumy une élève modèle qui se consacrait à ses études, et qui n'avait en réalité rien à faire ici. Il ne fallait pas chercher d'explication logique, Satsumy elle même n'en voyait pas, mais cela ne l'empêchait pas toutefois de franchir les portes d'entrée de ce bâtiment. Comme si elle était poussée de façon invisible à y entrer.

La malédiction qui frappait la jeune lycéenne ne connaissait jamais de fin, frappait tout à fait aléatoirement, et de façons tout à fait imprévisibles, mais surtout de façon à ce qu'il soit impossible pour la victime de se douter de quoi que ce soit. Satsumy ne se rendait pas compte qu'elle était le jouet de divinités vengeresses, qui allaient satisfaire leurs envies de voyeurisme sur elle, dans ces bureaux. Leur volonté divine pliait aisément celle des pauvres mortels, qui étaient des jouets entre leurs puissantes mains.
Entrant dans un grand hall d’accueil, Satsumy ne savait pas trop par où commencer, qui elle devait voir, et surtout quoi faire. Alors dans le doute, elle fit ce que toute personne censée devait faire en ce cas, s'adresser à l'hôtesse d’accueil.

-Bonjour. Excusez moi on m'a donnée ce papier dans la rue et j'aimerais en savoir plus, y'a-t-il quelqu'un qui pourrait me renseigner d'avantage ?

Quelle journée horrible! Depuis qu'elle était ici, il arrivait à l'agence de ne pas trop se fouler pour trouver de nouveaux clients. Et ce, pas avec une méthode pratique et centrée, non, en invitant n'importe quelle personne dans ses bureaux! Quelques employées étaient payé pour distribuer des tracts à tous les jeunes adolescents jusqu'aux personnes d'environ vingt-cinq ans. Et autant dire que c'était du boulot! Tout le monde avait ses projets en pause pour trouver la personne qui changera tout pour leur agence! Autant cher une aiguille dans une botte de foin! Parmi tous ceux qui vont débouler dans ce bâtiment, un pour cent devront être prit et ça, c'est véridique! Peut-être cinq à dix pourcents mais avec une journée si charger, généralement, après un premier avis favorable, les personnes devaient repasser un autre jour pour voir si vraiment, c'était un bon choix? Et pour le moment, Aoki n'avait croisé que des adolescents qui avaient au maximums dix-sept ans, majoritairement des filles qui se croyaient déjà comme les futurs pop stars qui seront connues pour les dix prochaines générations. Certaines avait un petit quelque chose mais Aoki ne se tracassait pas la tête avec ça et une fois qu'elle avait jugé ça bon, au revoir et repassé bientôt. Sinon, elle passait des heures avec des filles qui ne voyaient que leur nombril et bon sang que c'était désagréable!

Elle pouvait se vanter d'être tout l'opposé à son adolescence car sinon, elle ne se serait pas supporté! Profitant d'un petit moment de paix en ce début d'après-midi, les gens devaient manger et donc, lui laisser la paix pour le moment. Elle qui bossait tout le temps comme une dingue profitait de cette pause éphémère pour se relaxer dans son merveilleux fauteuil de bureau si apaisant... Combien de temps avant que le téléphone ne sonne? Cinq minutes! Et « Dring »! L'accueil bien entendu! Une demoiselle, encore! Cette petite pause l'avait un peu calmé et autorisa à faire passer cette nouvelle candidate. Si Satsumy devait suivre les indications laissée en montant dans un ascenseur, au vingt-troisième étage, elle devait franchir un long couloir silencieux ou se juxtaposait des portes menant à des bureaux comme celui de la manager qui allait la recevoir. La porte B-7 était entrouverte pour signaler aux autres éventuels candidats ou ses collègues qu'elle était libre mais une fois dedans, elle devra fermer la porte.

Voyant la demoiselle passer et frapper quand même à la porte, elle lui signalait qu'elle pouvait entrer et fermer la porte. Bien calé dans son fauteuil, elle posa ses yeux sur elle et l'analysa rapidement. De beaux yeux, de même pour ses cheveux ni trop longs ou trop courts. De jolis forme là où il faut, elle avait déjà quelques petits points! Et encore, première analyse mais habillée! Viendra le moment où elle sera en sous-vêtements pour avoir plus « d'informations ». Derrière ses petites lunettes, elle prit une posture un peu plus sérieuse.

« Venez-vous asseoir mademoiselle. Pouvez-vous me donner votre nom, votre âge et vos talents s'il vous plaît? »

Un stylo à la main, prête à remplir une fiche, elle observa la jeune femme. Sur son bureau, l'écran d'ordinateur allumé sur plusieurs dossiers, un appareil-photo numérique qui servira ensuite, une pile de dossiers bien fermer, quelques stylos et pourtant, c'était bien rangé! Très ordonné! Dans son bureau se trouvaient deux fauteuils en face de son bureau assez grand, faut le reconnaître! De la moquette bleu clair au sol et quelques armoires et instruments servant à faire quelques préparatifs pour ce genre d'entretien...

L'hôtesse d’accueil à qui Satsumy s'était adressée lui avait souhaitée la bienvenue avant de prendre son téléphone, vérifiant si quelqu'un pouvait la prendre pour un court rendez-vous. Cela fut fait assez rapidement, et on lui indiqua où elle devait aller. Le bureau se trouvant tout de même au 23eme étage, la jeune lycéenne décida de prendre un ascenseur.
Tout juste sortie du lycée avant de tomber sur ce petit prospectus, Satsumy était donc vêtue de son uniforme de lycéenne, et faisait presque un peu tâche par rapport à d'autres filles qu'elle avait rapidement pu voir ici. En fait, Satsumy devait initialement rentrer à son studio pour travailler comme à son habitude, et le mannequinat n'était absolument pas l'un de ses choix de carrière à long terme. Alors que diable faisait-elle ici ? C'était une question que sa conscience semi endormie par volonté divine ne se posait pas, le marionnettiste jouait avec elle, et Satsumy n'avait ni la force ni les moyens d'y résister. Elle fonçait une fois de plus dans un piège.

L’ascenseur mit un certain temps avant d'arriver là où Satsumy devait se rendre, et elle du encore trouver le bureau parmi la myriade de ceux qui parsemaient ce long couloir, jusqu'à ce quelle trouve après quelques recherches. La porte avait beau être entrouverte, Satsumy toqua néanmoins à la porte afin d'être certaine qu'elle pouvait rentrer. Après les salutations de circonstances, la jeune lycéenne ferma la porte derrière elle avant de s'asseoir sur un fauteuil assez confortable, en face d'une belle femme qui allait s'occuper de cet entretien. Satsumy était légèrement nerveuse, comme à chaque entretien avec qui que ce soit, mais cela ne se discernait toutefois que peu.

-Et bien je m'appelle Satsumy Kawashima madame, j'ai dix-sept ans, et dans votre brochure il était marqué que vous cherchiez entre autres des...des mannequins, aussi je me demandais si j'avais donc le physique qui correspondait à vos attentes.

Au final c'était bien la seule chose qui pouvait amener une personne comme Satsumy à se trouver dans une telle agence. Elle faisait du tennis, mais plus pour se maintenir en forme que pour la compétition, et n'avait pas spécialement de talents artistiques vu qu'elle se dédiait à un métier plus scientifique. En revanche, elle était indéniablement belle, son corps était bien proportionné et son visage d'ange en séduisait plus d'un, malheureusement pour elle d'ailleurs.

Aoki notant certaines petites choses sur sa feuille, notamment le nom et prénom de la demoiselle et ce pour quoi elle venait. C'est vrai que généralement, toutes les jeunes filles venaient ici pour une carrière de modèle. Ça arrivait aussi d'avoir des chanteuses en herbe ou des dessinatrices, principalement des mangakas. Mais bon, sa réponse ne l'avait pas étonné. Hormis la fin? Généralement, celle qui se ramenait dans ce building avait toujours une grande confiance en elle en étant sûre d'avoir une future carrière à la clef. La vérité blesse parfois ses jeunes femmes malheureusement mais c'est ainsi! Elle gardait une posture sérieuse en faisait gigoter son stylo, machinalement tandis que son regard restait fixe sur la demoiselle. Son ton restait normal, elle n'était pas stricte mais pas super joyeuse non plus...

« Je vais vous expliquer très rapidement en quoi consiste notre travail pour arriver au stade où on vous lance, nous les managers. Dans votre cas, le mannequinat, ses trois phases sont simples. Un, le visage. On peut d'ors et déjà dire que c'est bon. Deux, le corps, nous observons rapidement votre silhouette, vos points forts et vos points faibles. Et enfin trois, nous faisons quelques tests photo et/ou vidéos. Car si certains disent que c'est faux, la réalité et l'image sont différentes. Certaines personnes sont différentes en réalité et sur papier glacer... »

La jeune cessa de jouer avec son stylo en le déposant sur la feuille à peine remplie mais c'est qu'elle faisait avec ce qu'elle avait donc pour le moment, pas grand-chose! Récupérant l'appareil-photo sur son bureau, elle l'alluma en le manipulant rapidement. Observant s'il restait de la place ou de la batterie.

« Je vous préviens tout de suite, si vous allez réussir la seconde étape, la troisième se fera un autre jour puisque aujourd'hui, nous somme débordé! »

Aoki était loin d'être une spécialiste en matière de photo/vidéo mais prendre quelques photos de profil, de face, ça n'avait rien de bien sorcier au final.

« Donc, vous allez vous déshabiller, garder vos sous-vêtements mais retirer vos chaussures, les pieds, ça compte aussi. » Elle observa la jeune demoiselle quelques instants avant de reprendre, se doutant bien de ce qu'elle allait lui dire ou poser comme question. D'un air exacerber, presque ennuyer, elle reprit. « Ok je vais fermer la porte à clef comme ça, personne ne va vous surprendre et oui, toutes celles avant vous ont eu le droit à la même chose! Jeter un coup d'œil aux dossiers si vous ne me croyez pas. »

Aoki se leva pour aller effectivement fermer la porte à clef, laissant même la clef dedans pour que personne ne l'ouvre même s'il avait un double. Dans sa démarche gracieuse, elle retourna près de son bureau en observant Natsumy en claquant des mains.

« Allez hop hop hop, nous n'avons pas que ça à faire mademoiselle Kawashima... »

Elle n'avait plus qu'à voir ce que cela donnait une mise presque mise à nue, aura-t-elle son oui? Non? Natsumy allait-elle débuter une grande carrière dans le mannequinat? Pour le moment, ce n'était qu'un grand point d'interrogation!

Tout ceci était définitivement absurde. Satsumy envisageant une carrière de manequin et posant pour des magazines ? C'était non seulement contraire à tout ce qu'on lui avait enseignée, mais aussi contraire à ses choix de carrière quand elle serait adulte, elle qui voulait faire chirurgienne. C'était là qu'il était possible d'appréhender toute la puissance de la malédiction qui frappait la pauvre Satsumy, les dieux en étant à l'origine allant même jusqu'à interférer avec sa propre conscience et son libre-arbitre. Assise sur le fauteuil en face de l'employée de cette agence, Satsumy écoutait plus qu'elle ne parlait, vu qu'on lui expliquait les trois diverses étapes de présélection pour les mannequins.
Elle hocha timidement la tête quand son interlocutrice lui précisa également que tout ne se ferait pas aujourd'hui, ce qui en un sens rassurait Satsumy, qui aurait eu peur de se retrouver toute de suite en face d'un photographe. Cela ne se passait bien sur jamais comme ça, mais la jeune femme n'était une grande connaisseuse de l'univers de la mode.

Mais là où elle sentit vraiment le rouge lui monter aux joues, ce fut quand la femme qui s'occupait d'elle lui annonça que pour les essais de clichés, elle allait devoir se mettre en sous-vêtements.

-Vous...vous êtes sûre que...

Mais elle n'eu pas le temps de finir, cette femme semblant visiblement pressée, et Satsumy était gênée. Mais contre toute attente, elle finit par obtempérer. Se faire prendre en photo gênait déjà Satsumy, mais en plus avec juste le strict minimum, c'était encore plus gênant.
Elle commença par ôter sa cravate rouge, puis défît uns à uns les boutons de sa chemise blanche, révélant un soutien-gorge de la même couleur qui supportait une belle poitrine. Ses seins n'étaient ni trop gros, ni trop petits, donnant à Satsumy une poitrine ferme et qui mettait en avant son corps. Elle ôta ensuite ses chaussettes, se retrouvant pieds nus, avant de défaire sa jupe d'écolière, révélant une petite culotte de couleur blanche. Satsumy déposa ses vêtements sur son fauteuil, puis resta debout, en toute beauté qu'elle était, mais très gênée.

-Voilà...et je...je dois faire quoi maintenant ?

Chose que la timide lycéenne ne pouvait pas sentir, mais sa malédiction commençait à passer au stade supérieur. Avec le bureau fermé à clef, et Satsumy en sous-vêtements, l'instant était parfait pour que des ondes s'échappent d'elle, ces ondes qui augmentaient progressivement la libido des personnes proches de Satsumy, au point de les rendre pareilles à des bêtes en chaleur voulant satisfaire leurs instincts et leurs pulsions sur Satsumy.

Comme prévu, la jeune lycéenne ne savait pas vraiment si c'était vraiment bien pour elle de se retrouver dans cette tenue, certes ô combien gênante devant des inconnues mais bon, elle était venue ici sans connaissance de cause, elle devait donc le faire. Ça ne coutait rien après tout, ses photos sont privée et pour le manager, en aucun cas elle ne l'utilisera pour l'envoyer à des magazines érotiques ou pour sa collection privée! Quoique dans ce cas-là, elle pouvait facilement le faire mais elle n'était pas assez dérangée pour tomber dans ce comportement idiot, stupide et pervers. La porte bien fermer, elle laissait Satsumy se déshabiller à son rythme bien que ce ne soit pas trop lent! Elle regardait ailleurs en se tournant pour éviter de la gêner plus qu'elle ne l'était. Puis ce ne sont que quelques clichés, rien de bien insurmontable!

« Bien, place-toi devant ce mur le temps de faire quelques clichés. Essaye de garder un ton neutre pour le moment. »

Placé devant elle avec son appareil-photo, Aoki prit d'abord une photo de son visage, de son corps et de ses jambes. Ensuite, toujours devant, elle se recula pour en faire une en entier avant de se rapprocher un peu pour photographier une première partie de son corps, du nombril à la tête et du nombril aux pieds. Étrangement, Aoki commençait à avoir chaud, quelques envies érotiques qui lui passaient par la tête sans pour autant vraiment la perturber dans son travail.

« Bien, mets toi de profil maintenant... »

Elle recommença l'opération, la même que précédemment en ayant cette envie qui grimpait en flèche. Elle lui demanda son autre profil maintenant avant de la faire retourner de face pour une petite photo avec le sourire. Elle aurait pu profiter de ce moment pour photographier quelques parties inutiles pour son travail comme son dos ou ses fesses mais son envie la poussait à prendre plus que des clichées. Posant son appareil-photo sur le bureau, Aoki lui fit signe rapidement de se tenir au milieu de la pièce tandis qu'elle sortait un grand miroir à trois faces devant la lycéenne. Juste derrière elle, elle posa ses mains sur ses épaules avant de lui raconter autre chose.

« Je dois reconnaître que tu as un certain charme... de beaux cheveux ni trop longs ou trop courts, des yeux sublimes, des lèvres si fine et mignonne. Des hanches, idéal, une taille de guêpe, des fesses qui ne sont pas très rebondies, mais qui m'ont l'air ferme et douces.... pour finir, il reste ta poitrine... Elle ne déborde pas, tu n'est pas non plus une « planche à pain » mais reste très attirante... »

Pour mêlée le geste à la parole, elle accompagnait chacun de ses paroles par un toucher, du bout de ses doigts seulement. Caressant une mèche de cheveu, son index surlignait son œil droit, de même qu'il glissa sous sa lèvre inférieure, son index frôla à peine sa silhouette comme ses fesses. Il n'y avait que pour sa poitrine qu'elle avait craquée, laissant ses pulsions la mener plus loin que son imagination. Elle prit son sein droit dans sa main en le caressant même si elle restait sur le soutien-gorge pour le moment.

« Hum... doux et moelleux, tu dois avoir un certain succès auprès des autres je parie. »

Son souffle chaud commençait à souffler sur son cou tandis que sa deuxième main caressait son ventre en insistant comme refusant d'aller plus bas que son nombril. Elle continua de caresser la jeune demoiselle en l'observant dans le miroir, son regard pouvait paraître hypnotisé, voire sadique, mais elle le savait et elle aimait cette face caché d'elle. Qui d'habitude, n'était pas si facile à sortir! Une exception qui confirme la règle!

« Honnêtement, je voyais mal tes chances pour réussir les tests mais maintenant... je vois loin pour toi... oui, plus loin que toutes ses petites pimbêches qui se prennent pour des stars! Que dirais-tu d'un petit casting privé... entre nous... Satsumy-chan ♥ »

Satsumy poussa un grand coup de respiration pour tenter de se calmer, et même si elle demeurait un peu stressée, elle parvint toutefois à faire cesser les tremblements de sa main. Elle se rassurait en se disant que tout cela était normal, en y songeant il fallait bien que la demoiselle s'occuppant actuellement d'elle puisse se faire une idée de ses formes, puisqu'elle postulait pour une offre de mannequinat.
Satsumy alla donc se placer à hauteur du mur qu'elle lui avait indiquée, et tâcha de faire de son mieux pour ne pas paraître trop stressée, chose qu'elle parvint à faire en se concentrant. Au final, à mesure que Aoki prenait des photos d'elle, de face puis de profil, Satsumy se sentait de moins en moins gênée, prenant conscience qu'il n'y avait là rien de pervers, mais juste une procédure standard pour l'évaluer.

La scéance de photos se termina au bout d'une petite poignée de minutes, et Satsumy cru alors que c'était fini, mais Aoki lui fit alors signe de venir vers elle. Ne comprenant pas trop, la jeune lycéenne vint toutefois, tandis que la manager plaça au centre de son bureau un triple miroir, qui reflétait la quasi totalité du corps de Satsumy. La jeune femme était définitivement une belle femme, mais cela n'aurait sans doute jamais été suffisant pour inciter Aoki à se laisser aller à ses pulsions. En revanche les énergies que la lycéenne émanait de façon tout à fait inconsciente faisaient parfaitement ce travail, augmentant les envies d'Aoki à l'encontre de Satsumy tout en lui faisant oublier tout le reste.
Satsumy se retrouva donc face à ce miroir, tandis que la manager se plaça dans son dos en posant ses mains sur ses épaules. Satsumy reçu alors une plétore de compliments sur son physique, chose à laquelle elle ne s'attendait nullement. Elle était belle elle le savait, bien que trop modeste pour en faire un usage quelconque, mais se l'entendre dire de la part de quelqu'un d'autre était toujours gratifiant.

-Oh...et bien...merci mademoiselle...

Elle se demandait toutefois si les légères caresses sur son corps étaient nécéssaires. A chaque fois que Aoki la complimentait sur une partie spécifique de son anatomie, cette dernière la touchait du bout de ses doigts, mais la jeune femme n'y voyait pour l'instant qu'un moyen pour la manager d'appuyer ses dires. Satsumy frissonait à chaque contact, surtout lorsque les doigts se posaient sur des zones un peu sensibles de son corps, comme ses lèvres ou ses fesses. Elle se crispa toutefois bien plus lorsque Aoki, pour parler de sa poitrine, n'avait pas hésitée à caresser l'un de ses seins d'une main, mais vu qu'elle n'était pas violente, Satsumy se contenta de rougir fortement tout en se demandant ce qu'il se passait.

-Et....et bien je...

Bafouilla-t-elle quand Aoki déclara que ses seins étaient "doux et moelleux". Satsumy sentit la respiration chaude d'Aoki atterir dans le creux de son cou, lui donnant des frissons, tandis que de son autre main elle s'était mise à caresser son ventre plat. Satsumy se demandait si il n'y avait pas quelque chose qui clochait, mais elle n'osait toutefois pas se défaire de cette étreinte. Elle était surprise bien sûr et ne savait pas quoi faire, mais aussi au fond, Satsumy trouvait ces caresses délicates...pas si désagréables que ça, ce qui était surprenant de sa part.
Les marionnetistes à l'origine de la malédiction de Satsumy l'étaient aussi, car c'était la première fois que l'ancienne incarnation de la déesse de la virginité ne se débattait pas tout de suite, et étaient curieux de voir jusqu'où cela pouvait aller. Ils modulèrent alors l'énergie que dégageait Satsumy de façon à juste augmenter encore le désir qu'Aoki ressentirait pour Satsumy, afin de voir si cette dernière, pour une fois, allait se laisser faire...

-Un...un ca...casting privé ?

Bien sûr elle ne voyait pas vraiment ce que Aoki pouvait sous-entendre par "casting privé", mais nul doute que cela ne durerait plus très longtemps, vu les ondes de désir que la jeune manager recevait.

Aoki venait de se laisser prendre au jeu des dieux sans le savoir, Satsumy était très belle mais jamais elle n'aurait succombé à des avances aussi rapidement. Même de mauvaise humeur, il aurait surement fallu plus que voir cette petite en sous-vêtements pour pencher vers la luxure. Sa peau douce et délicate passant sur ses doigts, une vrai peau de bébé et elle était sûre que le goût devait en être aussi exquise! La demoiselle ne chercha pas à se débattre mais elle n'était pas à son aise, cela se voyait même si elle n'en disait rien. Aoki sentait sa douce odeur en longeant le cou pour remonter vers ses cheveux avant de lui murmurer la suite à l'oreille.

« Oui... juste entre nous... Dans le pire des scénarios, tu n'es pas reçu pour la suite mais grâce à notre petit casting, je ferais pencher la balance en ta faveur. »

La jeune femme déposa quelque doux baiser sur son cou tandis que sa main caressait doucement son sein, en toute délicatesse avant d'y mettre un peu plus d'action plus tard. Mais qu'elle profite pour le moment de ce doux petit moment.

« Tu vas devenir ma petite star privée pour le moment alors... ne me déçoit pas ma petite Satsumy-chan... »

La gardant entre ses griffes, elle la fit reculer vers son bureau en retenant cette envie de lui sauter dessus. Elle aimait prendre son temps avec les gens, il ne faut jamais précipiter les choses sinon ça fini toujours mal! La faisant doucement tournée, elle posa son index sur ses lèvres en lui faisant comprendre de patienter deux petites minutes. Juste le temps de placer sa chaise devant le bureau, face aux miroirs tandis qu'elle sortait un caméscope numérique de son bureau. Des légers réglages à faire avant de le déposer sur le bureau avec en vue, les trois miroirs sans pour autant être camouflé par Satsumy et Aoki. Cette dernière prit place sur sa chaise en déboutonnant sa chemise, assez pour apercevoir sa poitrine et la couleur noire de ses sous-vêtements en dentelle. Elle tapota ses cuisses pour inciter Satsumy à prendre place sur elle. Son petit casting allait débuter et elle allait devoir tenir la cadence...

« Viens ma belle... Nous pouvons commencer... »

Aoki affichait un sourire assez pervers mais en soi, elle le savait et ne se privait pas de l'afficher sincèrement. Aucune fuite ne sera possible et si elle tentait, la jeune femme se fera un plaisir de sauter l'étape douce pour directement passer à l'étape deux où elle se faisait une joie d'être plus sadique avec de jolies demoiselles comme elle. À vrai dire, il lui tardait de déjà passer à ça mais elle savait se montrer patiente, juste pour faire monter la sauce et pouvoir mieux apprécier la suite de leur petit jeu. Les secondes étaient une véritable torture tant qu'elle ne pouvait sentir cette peau contre la sienne, ça ne la clamerait pas et devenait de plus en plus impatiente de ce magnifique corps qui sera le sien pendant quelque temps. Un pur délice qu'elle se fera une joie de croquer!

Dans une situation telle que celle-ci, seules deux choses pouvaient se passer. Soit Satsumy décidait de rester, soit elle tentait sa chance de s'en aller avant que les choses ne "dégénèrent". La jeune lycéenne frissonnait sous les caresses d'Aoki lorsque cette dernière se trouvait dans son dos, à toucher délicatement son ventre et sa poitrine, à embrasser le creux de son cou avec ses lèvres douces. Mais frissonnait-elle de peur, ou bien de plaisir ? C'était presque un fait unique, mais Satsumy se posait la question...et se la posait de plus en plus. Elle ignorait exactement ce qui pouvait bien lui arriver depuis maintenant de longs mois, où elle était très souvent violentée par des inconnus qui abusaient d'elle, et elle avait systématiquement fini par en éprouver du plaisir même si elle se refusait de l'admettre.
En revanche, c'était bien la première fois qu'on la prenait de façon aussi douce. Oui Satsumy se doutait, un peu du moins, que cette femme avait envie d'elle à présent. La jeune lycéenne était restée immobile près du bureau, tout en regardant Aoki placer une chaise en face, ainsi qu'une caméra dans cette direction. Puis la voir ôter sa chemise avec un sourire aiguicheur avait fini par lui faire rendre compte de la situation. Il ne semblait y avoir pas grand monde dans les environs, la porte était fermée à clef, et cette demoiselle lui révélait sa poitrine en soutien-gorge...

Elle hésita, bien sûr qu'elle hésita. Son instinct naturel lui hurlait de fuir, mais en y songeant de façon plus rationnelle, ce qui était difficile, Satsumy savait au fond qu'elle ne parviendrait pas à s'échapper. Jamais elle n'y était parvenue. Et tant de personnes lui disant qu'au fond elle n'est qu'une petite dépravée qui s'ignore...et si ...et si c'était vrai ?
Pas à l'aise pour un sou elle sortit alors de son immobilisme, et doucement, elle vint s'asseoir à califourchon sur Aoki. Ses jambes étaient collées contre les cuisses de la femme, et son entrejambe à peine protégée par sa fine culotte blanche entrait au contact du bas-ventre d'Aoki. Satsumy n'arrivait pas à croire qu'elle faisait ça, mais c'était la première fois que quelqu'un s'y prenait de façon douce avec elle. Alors...qui ne tente rien n'a rien, n'est-ce pas ?

Il...il va falloir que je fasse quoi mademoiselle ?

Aoki avait placé sa toile telle une araignée chassant une proie. Amadouant gentiment sa proie, cette dernière n'avait pas cherché à fuir. Ça aurait pu être simple, il lui aurait suffi dans le meilleur des cas de prendre ses affaires, pousser les avances de la jeune femme, tourné la clé et quitter le building quitte à s'habiller rapidement dans l'ascenseur. La jeune femme aurait pu avoir des problèmes sauf si la société chercherait à cacher cette affaire avec une compensation ou autres pour la demoiselle. Mais il ne faudrait pas ternir l'image de la boîte. Mais bon, elle aurait pu aussi la rattraper et là, Aoki aurait pu montrer ses crocs, tant pis, ça va être pour un peu plus tard! Assise sur le fauteuil, elle attendait que Satsumy vienne s'installer gentiment sur elle, pas forcément nue ou en se dandinant telle une fille de cabaret mais juste se poser sur elle. Sa démarche innocente avait un certain charme, c'était à croire en tout cas puisque son envie continuait de monter en flèche! Gentiment poser sur elle, les deux demoiselles s'observaient et la demande de la lycéenne, si innocente l'aurais presque fait craquer! Serait-il possible que ce soit sa première fois? Le bras en arrière, elle chercha le caméscope qu'elle avait éteint, ce n'était pas un chantage qu'elle faisait après tout, de tels souvenirs resteront gravé dans sa tête, pour sur! Elle le déposa rapidement en passant le bout de ses doigts sur le menton de sa petite proie.

« Tu n'as pas la moindre petite idée? Laisse parler les délicieuses lèvres ma jolie... »

Aoki se rapprocha de l'étudiante pour l'embrasser doucement, faisant glisser sa langue dans sa bouche, elle partagea un doux baiser avec cette gentille jeune demoiselle. Elle pouvait bien se montrer douce, elle ne comptait pas le rester longtemps donc autant installer un certain climat doux  et chaleureux. Ses lèvres l'embrassaient et elle allait parfois prendre sa lèvre inférieure entre ses dents sans pour autant la mordre, même si elle était à croquer! Au final, la manager n'avait partagé qu'un baiser de quelques minutes où elle avait pu sentir sa chaleur augmenter comme celle de l'étudiante sur elle. Sa peau contre la sienne, à certains endroits, elle était délicieuse et cette Satsumy serra surement une des plus belles filles qui auront passé un moment avec elle. En tout cas, un moment ou elle sentait qu'elle allait plus que s'amuser. Mettant fin au baiser, elle finissait par en déposer un petit dernier, seulement avec les lèvres, sur les siennes.

« Vraiment délicieuse, comme quoi je ne mettais pas tromper... »

Elle fit glisser sa langue sur sa lèvre inférieure en regardant Satsumy dans ses jolis yeux. La malédiction de l'étudiante prenait de plus en plus de place en la jeune femme mais elle retenait ses émotions pour que cela soit encore meilleur le moment venu.

« Tu es vraiment quelqu'un de spécial ma petite Satsumy-chan... un simple petit baiser et... je me sens déjà toute chose. Mais tu va voir, je vais te faire voir que tu es belle et bien plus encore. Tu vas te relever et t'asseoir de nouveau sur moi mais cette fois-ci, face au miroir. »

Elle laissait la jeune demoiselle faire ce qu'elle venait de lui dire en sentant un peu plus d'excitation en elle se sentant ses petites fesses prendre place sur elle. Oh oui, très spécial cette petite! Mais elle retenait ses pulsions encore un peu en se mordant la lèvre. Passant ses mains sur ses hanches, elle ne garda que sa tête par-dessus l'épaule de la demoiselle, observant leur reflet dans ce joli miroir. En parlant de ça...

« Miroir, mon beau miroir, qui sont les deux plus belles femmes en cette ville? … Exactement, je ne vois que nous ma belle. Regarde comme tu es belle. Imagines-toi dans ta tenue d'Eve? Mais tu veux voir un autre aspect de toi, un autre visage qui doit surement être aussi beau? Garde bien les yeux ouverts et observe bien ton reflet et surtout... savoir ce moment... »

Aoki fit glisser une de ses mains dessous son soutien-gorge pour caresser sa main sans cette petite barrière de tissu. Caressant doucement cette peau si douce, ce petit morceau de chair si tendre et bientôt si dur. Pour ne pas s'arrêter en si bon chemin, elle fit de même avec sa seconde main en la glissant dans la culotte blanche de l'étudiante. Caressant cette fente humide, insistant doucement pour rentré son doigt petit à petit, elle était impatiente d'entendre ses gémissements et voir son regard, son expression quand elle va savourer les meilleurs moments de cette première étape. Car oui, elle comptait aller plus loin et là, elle pénétrait ses doigts au fil de va et viens, la faisant de plus en plus mouiller sachant qu'elle comptait même la faire jouir dans cette position. Le jeu peut officiellement commencer...

« Si doux... apparemment, j'ai toujours raison! »

Par tous les dieux, ces derniers devaient vraiment avoir une mine surprise en voyant dans quelle position Satsumy se trouvait, et ceci presque de son plein gré. Bien sur la jeune feille était encore en proie au doute et hésitait, c'était parfaitement normal, elle avait honte de ce qu'elle était en train de faire.
Satsumy éprouvait déjà ce sentiment en temps normal, quand elle se faisait violer avant de finalement apprécier ce qu'elle subissait. Mais là, c'était bien différent, elle allait d'elle même au devant de tout ça. Elle avait l'impression d'agir comme une vulgaire pute, mais d'un autre côté, n'était-il pas un peu temps qu'elle se rendre compte au final de la réalité ?
La réalité, cette chose qui fait bien souvent mal, l'amour propre de Satsumy avait pris énormément de poings dans la tronche depuis quelques mois, depuis que tout ça avait commencé, et il en prenait encore plus maintenant qu'elle était presque nue, assise sur cette femme qui allait lui faire subir plein de choses, et tout ça de son plein gré.

Le baiser d'Aoki lui fit l'effet d'une décharge éléctrique le long de sa colonne vertébrale, elle se retint de fermer sa bouche par instinct, ce qui aurait revenu à mordre la langue qui s'était infiltrée dans sa bouche. La jeune fille était passive, mais au fur et à mesure que le baiser se prolongea, elle commença également à faire jouer sa langue. Ce n'était pas désagréable...au contraire même, si on en croyait la légère humidité qui naissait entre les cuisses de la lycéenne.
Elle était bien trop gênée et désorientée pour parler, et se contentait finalement de se laisser faire, même si elle était paradoxalement dans la position traditionellement dominante, c'était tout le contraire qui se produisait. Ne sachant pas où poser ses mains, elle opta au bout d'un moment pour la solution de les poser sur les épaules d'Aoki, éprouvant de fait le contact de sa peau chaude et tremblante de désir.

Comment Satsumy faisait-elle pour créer un tel désir, cela était une réponse qu'elle n'aurait jamais, et ne savait donc pas quoi répondre. Elle hocha toutefois timidement la tête à la demande d'Aoki, et se releva donc, uniquement pour s'asseoir à nouveau sur elle, ses fesses se posèrent sur les cuisses d'Aoki, et son dos nu s'écrasa délicatement contre la poitrine de la manager. Dans une telle position, Satsumy se voyait effectivement dans les trois grands miroirs qui lui faisaient face. Elle se regardait, et regardait ces deux mains qui parcouraient son corps presque nu, l'une se glissant sous la barrière protectrice de son soutein-gorge, caressant l'un de ses seins fermes, tandis que l'autre plongea dans sa petite culotte blanche.

Satsumy était la délicieuse prisonnière d'une étreinte qui ne tarda pas à lui arracher des petits gémissements, très timides, mais néanmoins audibles pour Aoki qui était très proche d'elle. Ses caresses, ses mains étaient d'une parfaite dextérité, faisant durcir les seins de l'étudiante, et la faisant mouiller d'avantage, les doigts d'Aoki caressant l'intimité de Satsumy se couvrirent peu à peu de sa cyprine.

Ma...demoiselle...ah...

Son corps tremblait doucement sous les ondes de plaisir qui le parcouraient, elle s'allongea d'autant plus sur Aoki et commença à onduler son bassin sans s'en rendre compte, accompagnant ainsi les mouvements du doigt qui explorait son intimité.

Je...je...oh...

Ses rares mots se perdirent assez rapidement, car après quelques temps de ce traitement, le corps de Satsumy se tendit comme la corde d'un violon. Elle contracta un premier orgasme, gémissant toujours timidement, avant de reprendre son souffle.

Faites de moi votre petite chose...s'il vous plaît...

Hypnotisée, elle avait hypnotisé sa petite proie! Un scénario à reprendre plus tard, endormir sa proie pour mieux la piéger. C'était relativement simple à imaginer, il lui suffisait de se retenir et faire quelques efforts pour rester aussi douce que son apparence. Prisonnière entre ses mains, Satsumy ne pouvait faire qu'une seule chose, se laisser bercer par le désir et l'envie, surtout chez Aoki, cela grimpait à une vitesse folle depuis qu'elle parcourait son petit corps si doux. Sa main caressant son sein avec cette petite partie qui devenait si dure, sa main entre ses jambes qui caressait cette délicieuse fente qui lâchait cette mouille qui avait l'air si tentante! C'était dur de résister mais il le fallait, elle était entre ses pattes et elle n'avait pas l'air de vouloir fuir, c'est surtout ça qui est bon! Ses petits gémissements qu'elle retenait en lâchant le plus discrètement possible, ce qui devait être compliqué, elle était à croquer cette petite! Pour un peu, elle voudrait bien la payer pour être son petit jouet tiens! Ce n'était pas dans ses habitudes ce genre de penser mais elle, elle était exceptionnelle! Lorsqu'elle se tendit enfin, la jeune femme ne retira pas sa main, au contraire, elle enfonçait ses doigts aussi profondément qu'elle le pouvait et le résultat fut là! Sa main était aspergée, comme sa petite culotte, l'envie avait dépassé le seuil critique, surtout en sentant cette délicieuse semence qui coulait sur ses cuisses.

La seule véritable erreur de Satsumy fut de prononcer ses quelques petits mots simples, peut-être pour jouer mais qui réveilla la bête qui dormait en elle depuis le début de leur rencontre. Allonger sur elle, Aoki déposa quelques petits baisers sur son cou pour la rassurer et la félicité de sa performance, son regard était plongé dans le sien grâce au miroir juste en face.

« Ça, il ne fallait pas me le dire ma petite poupée... Alors, est-ce que tu as pu voir ta beauté au plus haut point? Juste au moment où tu te vidait sur mes doigts hein? Ton délicieux visage rongé torturé par le plaisir, cette délicieuse cyprine de sortie, tu étais à ton paroxysme ma belle petite Satsumy! »

La jeune femme retira la main pour se lécher les doigts, elle n'en garda qu'un d'inonder qu'elle passait sur les lèvres de sa petite lycéenne, sans lui demander la permission, elle le passa doucement dans sa bouche. Elle en était l'auteur, elle avait bien le droit à sa petite part quand même! Tout en lui parlant, elle laissait son index dans sa bouche, qu'elle s'amuse donc si elle veut à le sucer, ça ne pourra pas la freiner dans son envie après tout.

« Tu vois? Même ça, c'est bon... Tu es si belle, si délicieuse et tu sais quoi, tout cela n'est qu'un début! Tu m'as si délicieusement dit vouloir être ma chose alors je suis d'accord. Toi et tes airs si innocente, si pur, tu me fais fondre ma belle! De simples gémissements de ta part et je mouille autant que toi hihihi... »

Retirant son doigt de sa bouche, elle le fit descendre sur son menton, son cou pour arriver entre ses seins afin d'abaisser cette prison de tissu qui masque une si belle vue! Ce serait plus simple de l'ôter mais juste l'abaisser avait un petit excitant! Léchant son oreille, elle lui murmura ses mots dans son petit souffle chaud, autant attisé la flamme aussi de son côté.

« Pour commencer... tu vas m'appeler... maitresse... ou maitresse Aoki si tu préfères un peu plus d'intimité. Dorénavant, tu finiras ou commenceras toutes tes petites phrases par cela... mais je aussi que tu me répètes, qu'est-ce que tu es pour moi, hein ma... petite... »

Sa main avait fini par redescendre pour recommencer à jouer avec son intimité sauf qu'elle restait sur sa culotte, à jouer sur ce tissu bien humide, sa petite chose, au cours de cet entretient, ça allait être bien plus encore. Sa petite salope, sa petite pute? Il y avait de forte chance que oui! Juste après ça, elle allait peut-être adorer son traitement ou regretter d'avoir provoqué Aoki en voulant être sa chose... Néanmoins, elle ne l'empêcha pas de prendre des initiatives même s'il faut bien l'avouer, elles étaient si bien comme ça!