Un sabre qui attirait les dieux ~ [PV : Furtus]

La jeune chatte avait décidé de s'éloigner du bruti de la ville pour la journée, elle avait revêtu sa tenue la plus habituelle : Grise et sobre, accompagnée d'un chapeau à plume et de sa chevelure longue et de la couleur des cendres mortes depuis des lustres. Le hasard de ses pas l'avait menée dans un petit chemin qui pourrait paraitre des plus calmes, bordé d'arbres et parfaitement ombragé, quoi de plus délicieux pour marcher avec légéreté, ce que comptais bien faire la jeune Katria pendant les heures à venir.

Aaaah...Les alentours de Nexus, ces incroyables plaines verdoyantes, ces forêts aux feuillages d'émeraude, ces recoins sombes où se cachent des trésors oubliés.... et bien sûr, ces magnifiques bandits à l'hygiène douteuse et aux manières pas très... relevées. ♥

En effet la jeune chatte se trouve à présent nez à nez avec une de ces bandes d'infâmes brigands, les vulgaires pilleurs de chariots sans avenir. Minable ! Et devant les habituelles menaces de mort ou de sorts plus horribles encore, la jeune chatte prend alors une pose des plus théâtrales, celles qui accompagnent souvent ces longs monologues sur le sens de la vie après la perte de tout ce qu'on possède de cher.

"Pourquoi faut-il toujours que ça m'arrive, ce genre de rencontres, hein ? Non, non, messieurs, pas la peine de répondre, cette question était purement rhétorique puisque je sais bien pourquoi vous êtes ici, hein, vieil ami ?"

Et c'est dans un éclat de rire espiègle qu'elle brandit son éternel sabre noir dont émane une sorte de rire de ceux qui grincent à nos oreilles, désagréables à souhait. L'un des bandits la regarde,  souriant de toutes le peu de dents qu'il lui reste avant de prendre la parole au nom de son groupe, puisqu'il semble en représenter l'autorité.

"J'crois qu'te comprends pas bien, ma p'tite dame. T'as aucune chance d'nous tuer tous, qu'on est quatre et qu't'es toute seule et j'doute qu'tu sois une foudre d'guerre alors sois gentille et file nous donc tout c'que t'as et on se contentera d'jouer un peu avant d'te laisser r'partir."

Charmant homme... La jeune femme baisse la tête dans une moue, gonflant les joues puis grimace à l'idée de "jouer" avec un type pareil. D'un mouvement de poignet et pour se soulager de cette vision d'horreur, elle sort son arme à feu de sous sa veste.

Bruit de tir et odeur de poudre à laquelle se mêle celle du sang chaud, l'homme s'écroule, la chatte glousse. Elle tire légèrement la langue alors qu'elle laisse tomber son arme encore fumante sur le sol.

"J'en ai encore deux comme ça, quelqu'un d'autre veut jouer ?"

Un autre rire... ~

Un grand froid envahit la troupe, soudainement figée par une paralysie des plus étranges, crispées sur un ultime regard envers leur compagnon décédé d'une manière aussi foudroyante. De son côté, la tueuse aurait pu croire qu'une telle attaque avait de quoi faire peur à un groupe de combattants aguerris, tels qu'étaient les brigands qui l'agressaient en ce présent moment, armés de simples fusils d'assauts et d'armures légères trouvées sur d'intrépides voyageurs ou bien dans des surplus militaires de l'armée, néanmoins ce n'était en aucun cas la raison de ce froid général, qui avait de quoi inquiéter n'importe qui.

L'un d'entre eux tourna finalement la tête vers la pirate, lâchant un petit rire vraiment trop nerveux et coincé pour être inquiétant, mais néanmoins annonciateur de l'explication finale :

Hey C-Catin ! T'as...p'têt' fait la...la pire connerie de ton existence. Et j'aimerais pas être là pour...pour..heu...êt' à ta place, ça...non ! Nous, faut qu'on se... se tire, mais on reviendra...après...après LUI...

Par "lui", ce n'était pas le cadavre sanguinolent qu'il désignait, mais bel et bien le petit tourbillon de poussière qui prenait peu à peu forme aux côtés de leur compagnon gisant à terre, tandis qu'une main pouvait peu à peu se distinguer, puis un bras, puis un pied, deux pieds, une jambes, un torse, le tout s'assemblant pour rapidement former un individu encapuchonné, au regard perçant, visiblement remonté contre l'attitude qu'avait adopté la demoiselle en face de lui.

Néanmoins, son attention ne fut pas portée sur la pirate mais bien sur le cadavre, qu'il traîna jusqu'un vieil arbre,  lui soufflant :

"Je toucherais deux mots sur toi à Thanatos, fidèle serviteur..."

Se redressant, le dieu des brigands se tourna vers l'assassin de serviteurs, la jaugeant du regard pour finalement lui lâcher froidement, d'humeur colérique :

Qui est-tu donc pour te permettre de tuer l'un des mes fervents serviteurs ? Je ne les compte pas sur le doigt d'une main, alors j'ose espérer que tu as une idée de comment réparer les dégâts.

La jeune chatte continue à rire malgré le frisson qui s'empare de son corps et la chair de poule qu'elle sent courir sur sa peau, bien trop occupée à se moquer de ces pauvres bandits, elle ne ressent même pas vraiment cette apparition divine qui se fait pourtant presque sous son nez.

Soudain, l'un des brigands s'adresse à elle, parlant visiblement de l'arrivée imminente d'un genre de personne que l'on n'aime pas tellement rencontrer. Elle fronce les sourcils, entrouvre la bouche pour répondre mais déjà, les trois derniers brigands s'enfuient, queue entre les jambes.

"C'est malin, ça... Et de qui est-..."

Et là, sous ses yeux ébahis ou plutôt figés dans un regard à mi-chemin entre la colère et la frustration la plus totale, l'être divin se forme lentement. Et alors que la jeune chatte peste contre son manque de chance qui relève presque de l'acharnement du Destin contre elle, l'être fraichement apparu ne semble pas porter son attention sur elle, Katria en profite pour s'éloigne alors dans un relatif silence avant d'être retenue par la voix grondante du dieu visiblement légèrement colérique après la perte de son fidèle.

"Euh... j'imagine que : "C'est lui qui a commencé !" n'est pas une réponse satisfaisante, hein ?"

Elle sourit malgré tout bien que ses lèvres trahissent la peur et la colère qui traversent son corps, elles tremblent légèrement et ce sourire qu'elle voudrait moqueur se rapproche bien plus d'une grimace que d'autre chose.

Pourquoi ? Juste... pourquoi dois-je toujours croiser la route d'un dieu, hein ? Je suis MAUDITE ! Oui, c'est vrai que je le suis mais là... je n'ai vraiment pas de chance ! C'est injuste...

Dans une moue, elle pousse un profond soupir et baisse la tête, rangeant son sabre dans son fourreau avant de sortir ses deux autres armes à feu chargées, pointant aussitôt le dieu.

"Une fois, on m'a raconté que les dieux prenaient des enveloppes mortelles pour voyager dans notre monde et qu'on pouvait donc tuer leur chair pour les renvoyer d'où ils viennent, est-ce vrai ?"

Son éternel sourire dévoile ses crocs alors qu'elle se met à ricaner, la blessure dans son dos redevenant brûlante, souvenir douloureux.

Je hais les dieux ~

Le dieu des brigands observa un court instant la pirate qui tentait en vain d'esquisser un léger sourire. Face à un dieu, la provocation était absolument inutile et elle semblait plus ridicule que défiante, et de loin.
Furtus était en colère et n'était pas prêt de tolérer l'humour qu'elle tentait d'injecter dans ses phrases :

Il semble qu'il ait agit à la loyale, il a parfaitement accepté de te laisser repartir en échange d'une petite compensation physique et monétaire. Et visiblement vous avez tenu tête.

La divinité observa passivement son adversaire déballer son équipement tandis qu'il la privait d'initiative en bondissant face à elle, retirant d'un coup sec la bourse de la demoiselle pour la jeter au côté du cadavre du "prêtre".

Au moment ou vous me tuerez, si vous me tuez, je réapparaîtrait aussitôt, je ne suis pas enchaîné à l'Olympe, et je reviendrais, et ainsi de suite, pire qu'un fantôme.
Maintenant je vais t'expliquer les règles du jeu. Tu vas respecter les conditions de mon serviteur auprès de moi-même, tu me dois ta monnaie, ton corps et un prêtre.

Les yeux perçants du dieu plongèrent dans ceux de la pirate, retournant chaque méfaits qu'elle ait pu commettre pour les connaître en détail, d'une manière encore plus efficace qu'une confession à l'église.

Pour la monnaie, c'est réglé. Encore deux choses.

La jeune femme entrouvre la bouche alors que le dieu vient cueillir sa bourse, c'est à peine si elle a eu le temps de comprendre son geste. Elle gonfle alors les joues en fixant le dieu dans les yeux, elle ne ressent même plus vraiment de la peur au contact de ces êtres divins, juste une infinie frustration recouvert d'un glaçage de haine.

"Voilà qui est fait pour l'or... Mais... il y avait tout ce que je possède dans cette bourse... Je pourrais récupérer de quoi manger ?"

Elle sourit au dieu comme une enfant fière de sa bêtise. A quoi bon avoir peur, de toute façon ? Ces êtres sont aussi odieux que les humains, certes, mais puisqu'ils sont invincibles... il vaut mieux en rire qu'en pleurer ! La jeune femme se laisse alors à balader son regard sur le dieu qui vient de lui apprendre l'inutilité de ses armes face à lui, pourtant, elle garde les mains serrées autour de ces dernières, bien qu'inutiles, elles gardent ce côté rassurant de ne pas être nue face à cet adversaire potentiel.

"Mon corps et un prêtre, hein ? Je ne sais pas comment on va pouvoir s'arranger pour le corps... Peut-être vous contenterez-vous d'une mèche de cheveux ? Mais en attendant... et si on commençait par aller vous chercher une prêtre, ça ne doit pas être si sorcier que ça ! Allons en ville !"

Elle se retourne aussitôt pour s'engager vers le chemin qui la mènera à Nexus, espérant que le dieu la suive sans protester.

Oui, cela relève du miracle mais après tout... c'est un dieu, non ? ~

Furtus n'était en aucun cas amusé par les pointes d'humour de la jeune femme en face de lui, il sentait facilement la peur qui émanait de chacune de ses paroles, mais fut tout de même satisfait de ne pas avoir à infliger une correction de plus à la tekhane : elle avait accepté de faire don de son or et remplissait ainsi une partie du contrat, elle n'aurait pas à être battue pour cela, mais il restait tout de même deux parties qui n'étaient pas résolues, et lorsque Furtus est de mauvais humeur, il apprécie d'autant plus que les choses se passent au plus simple pour tout le monde, et déteste que l'on tente d'esquiver ses commandes par divers stratagèmes tous plus inutiles les uns que les autres.
Même si Katria avait bien agit en ne récupérant pas son or, elle n'avait toujours pas l'amitié du dieu, et c'était même bien dommage pour elle puisqu'il ne la lui donnerait de toute manière pas avant un moment.

Je pourrais récupérer de quoi manger ?

En guise de réponse, le dieu sortit de sa poche une torche et un briquet, sortis tout droit de son inventaire personnel qu'il affectionnait tant, et pourtant la jeune tekhane pourrait fouiller de fond en comble la longue cape du divin qu'elle n'y trouverait aucune poche intérieure, de la simple magie divine pour le moins banale pour ses congénères, mais toujours impressionante pour le commun des mortels. Le projectile enflammé finit son lancer sur le cadavre et la bourse, l'enflammant étrangement bien alors que Furtus murmurait quelques paroles à l'intention d'un collègue souterrain, lui demandant quelques avantages pour cet homme là. La bourse, elle, rejoindrait ses richesses personnelles.

Je ne sais pas comment on va pouvoir s'arranger pour le corps...

Mon fidèle a pourtant été clair avec toi. Pas d'explications.

Alors qu'elle se retournait, la main du dieu l'empoigna fermement pour la retourner avec une aisance déconcertante, tandis que son autre main empoignait le corset de la jeune femme pour lui arracher d'un geste fin et professionnel, elle ne le sentirait qu'à peine et n'aurais pas mal, contrairement à bien des brutes, qui lui auraient sûrement donné l'impression de se faire arracher la peau. Non, au contraire, elle ne sentirait même pas ses habits céder.

Tu n'as pas trop fait de bêtise, mortelle, contente toi de respecter le contrat et tu n'auras pas à te soucier de la colère divine. Je ne suis pas de bonne humeur, et j'ose espérer que tu vas t'appliquer, car chez moi, on ne saute pas les étapes sans mon autorisation.

L'une des mains de Furtus s'enroula autour de la tekhane privée d'initiative alors que l'autre achevait d'ôter quelques lambeaux d'habits du corps de sa victime : il tenait à le faire d'une manière la plus tranquille possible et si la demoiselle viendrait à hurler, qui sait ce qu'il pourrait faire pour la calmer ? Sûrement pas des choses agréables, car même si son regard roule sur le corps pas trop mal fourni, aucun sourire ne fend son visage et il semble que seul le contrat l'importe.

Le dieu des vagabonds se mit alors à attendre, espérant que la jeune femme ne fasse pas trop de bêtise et cède simplement à la volonté de son dieu, sinon, il pourrait toujours respecter la parole de son fidèle serviteur en la violant purement et simplement, mais pour le moment, Katria avait le choix entre faire dans la douceur ou souffrir, la balle était dans son camp.

Elle garde son sourire, pourtant la jeune femme voit bien que rien n'y fait, ce dieu reste là, le visage perdu entre neutralité froide et colère retenue, elle sait déjà que rien  n'y fera et qu'elle ne pourra le faire céder mais ce n'est pas pour autant qu'elle va se laisser abattre, bien au contraire, elle a déjà affronté la colère d'un dieu, celui-ci ne lui fait plus peur... plus si peur, du moins car son corps tremble toujours légèrement et elle peine à déglutir alors que sa bourse s'enflamme, le dieu emportant son butin on ne sait où. A la vision de ce petit tour de magie, la pirate ferme les yeux, réalisant le fossé immense qui la sépare de cet être presque immortel, alors  il s'adresse à elle mais encore une fois, elle ne l'entend pas vraiment, elle cherche à s'enfuir, elle fait travailler son esprit à la recherche d'un moyen de s'en sortir sans trop de peine... en vain, elle semble perdue.

A peine retournée, la jeune femme ressent un vif mouvement dans son dos mais elle n'a pas le temps de réagir que déjà, la poigne du dieu s'abat sur elle, la retourne comme une simple poupée, elle ne parvient à offrir la moindre résistance, il la manipule à sa guise à une vitesse qui n'a d'égale que la force divine qu'il utilise. Et si la jeune femme ne ressent qu'un souffle lors du geste de son agresseur, le tissu de sa tunique ,lui, craque dans un bruit qui retentit tant qu'il couvre presque le couinement de la jeune chatte. Mais sa grimace, elle, reste. Non seulement sa tenue lui avait coûté les yeux de la tête et elle avait encore des problème avec ce couturier qui demandait le restant de la somme, mais en plus le dieu venait purement et simplement de la dénuder, sans la moindre difficulté, la pâleur des deux seins de la pirate était caressée par la lumière de soleil alors que le regard divin se baladait sur le reste de son corps, le visage toujours neutre.

Bien que la jeune femme soit à présent à demi-nue devant son persécuteur, elle ne se démonte pas et ne semble éprouver aucune honte ni aucun gêne à être ainsi dévoilée à son regard, au contraire, c'est de la colère qui nait au fond de ses yeux, colère que peut aisément lire le dieu lorsque cette dernière revient planter son regard dans le sien, retenue par sa poigne de fer.

"Je n'ai pas... trop fait de bêtises ? Vous voulez plaisanter ?! C'est votre foutu croyant qui m'a agressée sans aucune raison ! Il aurait fallu que je me laisse faire ?! Foutu dieu !"

Elle commence à regretter de ne pas avoir accepté la proposition du protecteur des félins... il aurait pu lui être d'une grande utilité en ce moment... mais il la déteste probablement autant que ce dieu-ci... décidément, elle n'a pas beaucoup de chance avec les rencontres divines qui sont, de plus, un peu trop fréquentes à son goût. Elle le fixe toujours dans les yeux, son regard mêlant colère et défi et bien qu'elle soit même incapable de se libérer de son étreinte, elle ne compte pas lui offrir ce qu'il attend d'elle, ne serait-ce que pour l'énerver, de toute façon, elle n'a plus vraiment grand-chose à perdre...

"Si vous pensez que je vais me soumettre, dieu ou non, aucun homme n'aura jamais le dessus sur moi !"

Et dans une tentative désespérée, elle tente de flanquer un violent coup de pied là où, chez un homme, elle aurait réussi à lui retirer toute force, dévoilant ses crocs par la même occasion dans un grognement sourd.

- "C'était un marché honnête, il suffisait de le suivre, et vous allez vous engager à l'honorer, avec ou sans votre accord."

Le ton du dieu était particulièrement froid, mais un soupçon d'amusement commençait à pointer dans le ton qu'il employait, observant sans gêne la poitrine qui lui était offerte sans pour autant dégager un quelconque sentiment, et même si la neko piquait une petite crise passagère, cela ne le préoccupait guère : un contrat devait être tenu en mémoire d'un fidèle et il le serait, foi de Furtus.

"Si vous pensez que je vais me soumettre, dieu ou non, aucun homme n'aura jamais le dessus sur moi !"

Au grand étonnement de la neko, le revers de Furtus partit presque aussitôt que son coup de pied, mais alors qu'il encaissait sans broncher le coup en foudroyant la pirate du regard, son revers, lui, s'écraserait violemment sur la joue de la rebelle, sans pour autant qu'il n'y mette beaucoup de force. Si elle ne se soumettait pas, il s'en fichait, et le pacte allait être respecté, peu importe le délai.

La seule chose intelligente que put faire la chatonne fut de sortir les crocs, enlevant rapidement à Furtus l'idée de se faire pratiquer une fellation par une bestiole avec des canines si développées, préférant les bonnes vieilles mâchoires d'omnivore qui allaient parfaitement à son vis divin, mais ce n'était pas forcément une bonne nouvelle non plus pour elle, et Katria le comprendrait sûrement lorsque le dieu lui plaquerait les mains sur son fessier, la maintenant en cette position, laissant la poitrine de la jeune femme bien en évidence tout en la retenant légèrement en arrière, à l'abri des coups de crocs.

- "Chanceuse, tu vas avoir l'honneur de te faire violer par un authentique dieu."

Comme pour "féliciter" la pirate, la bouche divine parcouru alors les atouts mammaires de la demoiselle, suçant avec une légère attention les tétons, les aspirants avant de les relâcher : il ne cherchait pas à la satisfaire, c'était à elle de trouver un moyen de prendre son pied.
Le visage de Furtus était revenu à hauteur de celui de la neko alors qu'il maîtrisait ses poignets d'une seule main, l'autre se déposant délicatement sur le bas de la victime avant de l'arracher d'un coup aussi sec que pour le haut, dévoilant une intimité qu'il convoitait désormais...

- "Ne perdons pas de temps en cérémonie, je tiens à ce que cela se passe "bien",  alors évite de te débattre trop."

De sa main libre, le divin sortit enfin son membre imposant de dieu, convoité de nombreuses femmes mais qui pour une fois n'allait pas vraiment servir à donner du plaisir à autre que lui, c'était pour le moment plus une distraction qu'autre chose.
Le pointant contre l'intimité de la neko, le dieu des brigands s’immisça en elle d'un coup de rein, reprenant d'assaut ses seins et ses tétons à l'aide de sa langue : la deuxième étape du contrat ne faisait que commencer...

La jeune chatte se débat bien que la chance qu'elle parvienne à se libérer de l'étreinte du dieu soit absolument nulle, elle ne peut se résoudre à se laisser faire, surtout en entendant la pointe d'amusement qui venait de naitre dans la voix du dieu, détails qui la frustre  encore plus qu'elle ne l'était, se débattant comme une chatte qu'on tente de plonger dans l'eau. Mais alors qu'elle flanque ce coup de pied entre les jambes de son bourreau, la main de ce dernier s'écrase contre sa joue dans un bruit sourd et semble neutraliser entièrement la jeune pirate qui écarquille les yeux, sonnée, plus par le geste en lui-même que par la force utilisée.

La jeune femme continue de gronder doucement en montrant les crocs alors que le dieu la saisit plus fermement encore, lui interdisant presque tout mouvement, se maintenant hors de portée des crocs meurtriers de la jeune femme. Elle n'essaye plus de se débattre, car cela semble n'avoir qu'une seule conséquence : La fatiguer elle. Elle le fixe alors, le regard plus noir que jamais, inondé par la colère et la haine alors qu'il ose la provoquer plus encore, comparant cette situation à un honneur qu'il semble lui faire. Alors que la pirate écarte les lèvres pour lui cracher sa réponse, le visage du dieu s'abaisse jusqu'à sa poitrine, ses lèvres frôlant la peau de la jeune femme qui frissonne à cette caresse et détourne le regard alors que le dieu porte à présent son attention sur les pointes de ses seins, sans s'y attarder mais en y lassant une sensation des plus désagréables pour la jeune femme : La preuve de son impuissance totale.

"Ne me touchez pas... Vo... vous vouliez un prêtre, non ? Allons donc le chercher... Et je vous interdis de me toucher..."

Finalement, le dieu redresse la tête, la jeune chatte, elle, garde le regard détourné sans cesser pour autant de grogner, ainsi, elle ne voit même pas la main du dieu qui s'abaisse sur le reste de sa tenue pour la déchirer avec autant de force que l'avait été le haut, cependant, comme pour le reste, elle ne ressent pas la moindre douleur alors que le tissu cède sous la force divine dans un bruit déchirant. Katria pousse alors un petit couinement, à présent presque dénudée entièrement, elle tourne aussitôt la tête vers son agresseur, les yeux mouillés de larmes, elle ne sourit plus, cette fois et la colère a laissé place au désespoir alors qu'elle tente d'attirer le regard du dieu.

"Arrêtons-nous là... Je vous promets de..."

Elle s'interrompt soudainement de parler, voyant le dieu sortir sa virilité et, sans autre forme de procès, l'approcher dangereusement de son intimité, offerte malgré elle.

"Je peux.. enfin il y a d'autres..."

La jeune fille pousse alors un gémissement entre douleur et surprise alors que le dieu se glisse entre ses lèvres intimes sans la moindre douceur, des larmes venant humidifier les yeux de la féline alors qu'elle se mordille la lèvre inférieure pour tenter de calmer la douleur, un léger filet de sang vient alors couler jusqu'à son menton.

"S'il vous plaît..."

L'attitude de la neko avait nettement changée, et ce n'était pas pour déplaire à Furtus, cette dernière était passée de la provocation pure à la soumission la plus totale : elle avait enfin compris que rien ne pouvait changer le contrat, et elle aurait sûrement préféré se faire violer par un simple humain que par un être divin, mais ce qui était fait était fait et le violeur prenait maintenant son pied avec la pirate, allant et venant en elle sans particulière délicatesse, s'offrant la vision de la poitrine de cette dernière ainsi que les larmes qui s'écoulaient de sa joue.

Furtus repensait aux piques que lui lançait à peine quelques minutes plus tôt sa victime maintenant larmoyante, se délectant d'une cruauté et d'un sadisme propre à son humeur colérique, et ses coups de boutoir redoublaient de vitesse et de fougue alors qu'il soutenait le regard de cette dernière, qui venait désormais de tourner la tête pour le supplier et tenter de trouver une alternative à ce viol pur et simple, bien loin du combat qu'elle aurait pu espérer alors qu'elle tenait encore ses armes.

Celle qui précédemment le menaçait se retrouvait ainsi nue, couverte de quelques lambeaux de vêtement ne parvenant à cacher ni son intimité ni sa poitrine que le dieu des brigands reprenait d'assaut par moment, ne prenant même pas la peine de répondre à sa proie, ne lui laissant que ses yeux pour pleurer tout en essuyant parfois le filon de sang d'un revers de sa manche : il voulait visiblement s'amuser un bon moment et ce n'était pas une simple tekhane qui l'empêcherait de la violer pendant plusieurs heures.

- "Je t'ai déjà prévenu que tu devais te soumettre, et ce n'est pas maintenant que ça changera. Tu m'es désormais soumise et offerte, ton corps m'appartient entièrement et j'en ferais ce que bon me semblera. Comme tu m'as l'air particulièrement agréable à violer, je vais te faire un petit cadeau."

Le seigneur des butins déchargea alors sa semence divine à l'intérieur de la neko violée, lâchant un soupir de satisfaction alors qu'il la fécondait peut-être, son sourire sadique la poignardant toujours moralement.
Laissant sa catin sur le dos, toujours offerte, Furtus sortit de sa cape une laisse électrique, du genre que l'on met aux chiens méchants dans les cités humaines civilisées, et sans grande surprise, l'attacha au cou de Katria. Il lui suffirait d'un sifflement pour que ce dernier envoie une décharge dans le corps de la soumise et qu'il lui passe l'envie de s'enfuir.

Tu vas faire exactement tout ce que je te dis si tu ne veux pas que cela empire. Premièrement, tu arrêtes de te plaindre, et si tu bouges, je te met les menottes.
Deuxièmement, je vais te faire absolument ce que je veux, et si jamais tu tentes de me faire du mal, bien que cela soit inutile, tu subiras la colère divine.

La main du dieu s'empara alors de la gorge d'Umiso, la tirant vers l'avant pour la relever, avant de la remettre à genoux comme avant le viol, lui présentant son intimité face à elle, avant de lui souffler :

Si tu mords dedans, je te jures de t'arracher les canines, et toutes les autres dents s'il le faut. Tu ne peux me faire mal, alors tu as interêt de me faire plaisir, et si jamais tu laisses ne serait-ce qu'une seule goutte de ma semence divine s'écouler hors de ta petite bouche, le viol reprendra de plus belle...

Ayant fini d'imposer ses règles, le dieu lâcha la gorge de la jeune femme pour l'empoigner par l'arrière du crâne, la tirant vers le vis qui la pénétrait précédemment. Elle se retrouvait dans la même situation que peu de temps avant, et n'avait encore aucune chance d'esquiver la fellation...

C'était bien la première fois qu'on posait la main sur elle et ça dépassait de loin tout ce qu'elle aurait pu imaginer, passe encore une caresse ou une gifle mais le dieu poussait bien trop loin dans les domaines du charnel et de la violence.

Katria n'arrive même plus à respirer convenablement, tant le dieu fait preuve de sauvagerie entre ses chairs, pire que ça, c'est de la cruauté pure. La jeune chatte a perdu toute flamme de rébellion, elle murmure encore quelques supplications entre deux gémissements, elle est bien incapable de se débattre, se sentant plus que jamais sous l'emprise physique du dieu, il n'a même plus besoin de la maintenir pour qu'elle reste tranquille, il semble l'avoir brisée. Le dieu jubile et elle le ressent bien même si elle n'ose plus tourner le regard vers lui de peur de croiser son sourire qui serait bien en mesure de la détruire.

"Non... Ne faites pas ça..."

La jeune pirate souffle ces quelques mots entre sanglots et gémissements, mais le dieu ne semble pas en prendre compte puisqu'il redouble de violence au sein de l'intimité de sa victime. Soudainement, le dieu libère son nectar brûlant au sein de la jeune chatte, lui faisant souffler d'autres supplications muettes et couler d'autres larmes. Il la repose finalement sur le sol et elle ne tente même plus de fuir, elle reste allongée sur le dos à sangloter, les jambes toujours écartées, n'essayant même pas de fuir le collier qui se glisse autour de son cou bien qu'elle pousse alors un long couinement de déplaisir en ressentant ce dernier se serrer autour de son cou.

"Je vous en prie, retirez-moi cela... Je ne suis pas un animal..."

Elle pousse un long couinement en cherchant à fuir cette main divine qui vient sa saisir à la gorge, impitoyable. La jeune femme se débat à peine, trop apeurée pour vraiment lutter, elle sanglote à nouveau et se voit obligée de plonger son regard soumis dans celui du dieu, hochant la tête pour lui répondre avant d'oser prendre la parole, d'une faible qui sonne comme un léger souffle, un chuchotement.

"Je ferais tout ce que vous voudrez... Mais s'il vous plaît... retirez-moi cet immonde collier... Je ne suis pas un animal, je vous en prie... Et pas la peine de me menacer plus, s'il vous plaît... M... Maître... ?.."

La jeune chatte rampe jusque devant le dieu, venant frotter sa joue à la jambe de ce dernier en gémissant tout bas, encore meurtrie par son précédent passage en elle. Après quelques instants à se frotter à lui, elle se redresse légèrement pour faire face à sa virilité sur laquelle elle commence à passer sa langue, nettoyant déjà celle-ci du reste de la jouissance passée du dieu.

"Ne me faites plus mal, s'il vous plaît..."

Ses lèvres s'écartent finalement alors qu'elle laisse glisser le membre du dieu entre celles-ci, sa langue tournant autour de la cime alors que la chatte relève ses yeux gonflés par les pleurs afin de voir si la colère de ce dernier s'apaise. Sans attendre de croiser son regard, elle baisse à nouveau les yeux et laisse le membre coulisser entre ses joues en le cajolant de sa langue, elle fait fi de toute douleur, laissant la cime du membre cogner contre le fond de sa gorge puis elle reste ainsi quelques instants à le suçoter sans y mettre la moindre pression de la part de ses crocs. La jeune femme se force ensuite à ronronner doucement, faisant vibrer sa bouche autour du membre brûlant, toujours loger au plus profond de sa gorge puis elle resserre les lèvres autour de la virilité dans une dernière succion avant de se retirer lentement pour mieux revenir ensuite, offrant sa bouche au dieu avec la docilité demandée. Sa queue frotte le sol derrière elle alors que la jeune femme continue cette gâterie qu'elle donne au dieu, soumise comme jamais, tremblant encore de peur.

Le sourire du dieu des brigands ne bougea pas d'un poil, tout simplement parcequ'il ne pouvait lus s'agrandir. La volonté de sa soumise était maintenant complètement ruinée, cette dernière en était réduit au rang d'animal et s'en rendait bien compte, même les supplications commençaient à diminuer et il n'avait bientôt plus à la forcer, la gentille neko se laissant faire aux bons vouloirs du divin.

Un léger rire s'échappait de la bouche du dieu à chaque fois que la pirate le supplier d'arrêter, mais il devait bien avouer que la neko avait été particulièrement plus docile que la plupart des autres victimes du seigneur des butins, et quand celle-ci l'appela maître, la main du dieu se resserra autour du cou de cette dernière, mais le claquement qui en suivit ne fut pas celui de la nuque de Katria, mais bel et bien de l'attache du collier, alors qu'il la laissait reprendre tranquillement la fellation, rejetant l'accessoire plus loin, se laissant pour le moment faire entre les lèvres expertes de la chatte dont l'esprit était comme anéanti par les mauvais traitement, il était amusé et voulait jouer avec.

Furtus pouvait sentir les parois orales de son nouveau jouet ainsi que ses lèvres se resserrant sur son vis divin, lui offrant une fellation des plus expertes à laquelle un humain normal n'aurait sûrement pas tenu bien longtemps, mais le dieu des brigands voulait vraiment faire durer cet instant et laisser l'acte sexuel témoignait de lui même de l'impuissance de Katria à tenir sa parole.
Ricanant, le dieu passa sur le dessus du crâne de la neko en imitant sa voix :

"Si vous pensez que je vais me soumettre, dieu ou non, aucun homme n'aura jamais le dessus sur moi !"

Et voilà que tu m'appelles désormais Maître, tu es entièrement nue, ton ventre est encore chaud de ma semence et tu vas bien entendu avaler celle qui se trouve dans ta bouche, ma brave catin...

Accompagnant la parole au geste, Furtus fit pression sur l'arrière du crâne de la jeune chatte, s'enfonçant encore plus en elle alors qu'elle était déjà en gorge profonde, se répandant au plus profond de la gorge de cette dernière, puis une fois satisfait, retire son membre pour achever d'éjaculer sur le visage et la poitrine d'Umiso, la foudroyant du regard et d'un sourire malsain, lui relevant le menton pour croiser son regard :

Très bien, maintenant, tu vas avaler, mais je t'interdis catégoriquement de te laver, tu vas garder ta souillure pour le reste, car ce n'est pas fini.

L'être divin n'avait plus à s'embêter avec les diverses menaces ou encore expliquer ce qu'il pouvait faire subir à la neko, aussi se contenta-t-il de la soulever par les aisselles comme on le ferait à un simple chat, la retournant avec une aisance déconcertante pour la mettre en position de soumission totale, face contre terre, offrant son postérieur aux bons traitements du violeur.

Une fois de plus, celui-ci apposa son membre sur l'entrée intime de sa victime, mais n'entra pas en elle tout de suite, se contentant de frotter son vis contre les lèvres de Katria :

Je ne vais pas tout de suite te sodomiser, tu es bien docile, et maintenant tu vas m'exprimer du mieux que tu peux à quel point tu aimes te faire violer, me sentir en toi, et après seulement tu auras le privilège de m'avoir en toi une fois de plus, et tu vas toi même faire entrer mon membre en toi, oui, tu vas le faire toi même, je veux voir si tu t'y connais, soumise.

Si tu échoue, je sauterais directement cette étape...

La jeune chatte sent le dieu poser sa main sur son cou, aussitôt la jeune femme pousse de petits couinements de peur alors qu'elle relève son regard suppliant vers le dieu qui lui, de son côté, porte un large sourire sur les lèvres. Tout le corps de Katria se met à trembler alors qu'elle écarte ses lèvres, déjà souillées par le nectar du dieu, mais aucun mot ne sort de sa bouche, simplement un long couinement alors que de nouvelles larmes coulent sur ses joues. Finalement, l'attache du collier cède et la jeune femme écarquille les yeux, le dieu rejette alors ce maudit accessoire plus loin.

Soulagée de voir que le dieu n'est pas si sourd à ses supplications, la jeune chatte se remet aussitôt à ronronner, posant les deux mains sur le sol, avançant à quatre pattes jusqu'au lui. Elle relève finalement la tête pour reprendre ses caresses, toute ronronnante, glissant sa langue sous les lourdes bourses divines, bien décidée à se montrer le plus docile possible pour éviter de provoquer à nouveau sa colère et pour en finir le plus vite possible. Après quelques instants à insister de sa langue sur la peau du dieu, elle revient glisser ses lèvres autour de la virilité de son nouveau maître, laissant glisser cette dernière rapidement en son sein avant d'effectuer des mouvements frénétiques, malmenant sa propre gorge pour essayer d'en finir le plus vite possible mais le Roi des brigands semble plus que bien résister au plaisir malgré l'acharnement de la jeun et docile chatte.

Finalement le dieu reprend la parole pour provoquer un peu plus la pauvre pirate, imitant même sa voix pour lui rappeler ses anciennes menaces, la jeune chatte cesse aussitôt tout mouvement, la virilité du dieu profondément enfoncée en elle. En elle commence un conflit mental pour savoir si oui ou non elle va mordre à pleines dents cet odieux bourreau qu'elle ne supporte vraiment pas. Mais elle n'a même pas le temps d'achever ce débat que la main divine lui presse l'arrière du crâne de façon à écraser le visage de la pauvre jeune femme contre lui, déversant un flot brûlant de nectar au fond de sa gorge, manquant d'étouffer la jeune femme qui tousse alors qu'il se retire pour finir de la souiller plus encore.

Katria allait recracher la semence du dieu lorsqu'elle croise son regard qui la paralyse entièrement, la bouche grande ouverte, ce dernier lui ordonne aussitôt d'avaler et ce n'est visiblement pas discutable. Alors la jeune femme marque une nouvelle pause avant de refermer la bouche en hochant la tête puis de clore les yeux et d'obéir au dieu en silence puis de rouvrir la bouche pour lui montrer sa docilité, cette dernière nettoyée de toute trace de la divine jouissance.

Epuisée aussi bien physiquement et mentalement, la jeune chatte se laisse faire sans protester le moins du monde, elle lui tourne le dos et s'écroule d'elle-même sur le sol, collant son visage contre ce dernier dans un petit miaulement de désespoir avant de frissonner en écoutant les quelques paroles qu'il prononce derrière elle.

"Non, je vous en prie... Je serai docile mais... ne... pas comme ça, s'il vous plaît... Tout ce que vous voudrez... mais pas ça..."

Aussitôt, la jeune femme recule doucement, portant ses deux mains dans son dos pour saisir de l'une d'entre elles le membre du dieu avant de le guider entre ses lèvres intimes qu'elle écarte de son autre main, laissant le membre pénétrer entre ses chairs intimes qui vibrent d'un certain plaisir autour de celui-ci qui pour une fois, se fait doux et non douloureux, la jeune neko reprend alors ses ronronnements.

"Le Maître est-il... satisfait ?.."

Le ton employé par la pirate n'était plus aussi soumis qu'avant mais absolument pas moqueur, le dieu devenant moins violent, elle commençait a ne plus avoir aussi peur de lui.

Le dieu des brigands ne pouvait s'empêcher de glousser lorsqu'il observait la jeune chatte lui obéir avec une fidélité exemplaire, ronronnant de plus belle alors qu'il la libérait du lien qui serrait sa délicieuse gorge, avant de gâter les bourses de l'être divin pour reprendre de plus belle sa fellation au point d'en faire jouir le dieu maintenant râvi de sa victime, il avait une fois de plus fait le bon choix.

Même si la peur inondait le regard de Katria, et que la pause pouvait laisser penser Furtus à un refus, la jeune soumise reste un moment remplie de la semence divine aussi bien à l'intérieur qu'à l'extérieur avant d'obéir docilement et avaler avec une application toute particulière le foutre sacré, arrachant de ce fait un sourire au Seigneur des Brigands.

Conformément à la volonté de Furtus, la jeune neko, à quatre pattes devant son violeur respectait les ordres à la lettre, ou presque, s'emparant avec une vigueur nouvelle du membre qui l'avait précédemment malmenée, et qui ne souhaitait rien d'autre que de rentrer en elle pour délivrer son cadeau une fois de plus.

L'astuce, pour la neko, c'est qu'elle allait pouvoir le rentrer à son rythme, et le dieu des butins sentait bien que les chairs de la chatte ne vibraient plus de peur et de crainte, mais plutôt de plaisir voir d'envie, elle semblait presque prendre son pied, le syndrôme de Stockholm dans toute sa splendeur.

En guise de cadeau, une fois de plus, le divin posa ses mains fermement sur le fessier qui lui était offert, accompagnant sa prise de position par de grands coups de boutoirs, bombardant sa victime sans plus de pitié, tenant tout de même à lui rappeler quelle était sa place dans le viol.
Dans sa tête, le dieu hésitait tout de même, il avait réussir à couvrir son visage et ses seins, alors devait-il tenter de la féconder une fois de plus ou devait-il s'amuser à continuer son oeuvre de peinture sur chatte ? Même si la question se posait, cela ne le tracassait pas, alors qu'il gratifiait le postérieur rebondi de légères claques :

On dirait que tu apprécie ce que te fais le Maître, ma chère soumise, alors maintenant  je vais te laisser un petit choix, tout simple !

Alors qu'il continuait de pénétrer frénétiquement la neko, Furtus se pencha à son oreille, lui sussurant :

Souhaites-tu sentir ma semence en toi ou sur toi ? Sois franche, ma chère.

Et comme pour éviter que Katria ne puisse trop réfléchir, le dieu l'empoigna par les hanches avant de soulever ses genoux du sol, la pilonnant de plus belle et avec une férocité à peine cachée, un très bon viol...

La jeune chatte commence à s'habituer à cet échange, pire encore, elle ne peut s'empêcher d'y prendre un certain plaisir bien qu'au fond d'elle, la rage fulmine toujours et si elle pouvait égorger ce dieu, elle le ferait sans la moindre hésitation... mais puisque sa nature le rend immortel ou du moins intouchable par la pauvre pirate, elle reste docile à couiner à ses venues en elle, immobile devant lui.

Alors qu'elle profitait d'un plaisir forcé, certes mais entièrement contrôlé pour une fois, le dieu pose finalement ses mains sur son pauvre corps déjà épuisé, il reprend le contrôle total de l'échange, se faisant à nouveau Maître du corps de la jeune femme la faisant couiner entre douleur et plaisir, rappelant de nouvelles larmes à ses yeux qui ne tardent pas à venir mourir sur les joues rouges de la neko.

Alors qu'il s'empare de son corps sans la moindre pitié, il continue en plus de la provoquer, de la rabaisser la faisant couiner davantage, incapable de se venger malgré la colère qui bout à nouveau en elle. Et il ose lui proposer de choisir l'endroit où elle aura l'honneur de recevoir son divin nectar... Lui proposer comme si c'était un choix qu'elle pouvait faire entre deux belles propositions... La jeune chatte enrage et s'apprêter à l'insulter qu'importe les conséquences mais au moment où ses lèvres s'écartent pour laisser fuser un reproche à l'égard du dieu, les genoux de la jeune chatte décollent du sol. Elle écarquille aussitôt les yeux dans un long miaulement de surprise et de désespoir, ses griffes se plantant dans le sol alors que le Dieu l'emporte vers son propre corps pour la posséder plus en avant et claquer la pauvre croupe neko sans vraiment y mettre de la douceur. La jeune Katria oublie alors ses insultes et reproches pour répondre d'une petite voix couinante voire suppliante.

"Je... Maître... Hors de moi, je vous en prie, Maître... S'il vous plaîîîîîît..."

Les derniers assauts du Dieu venait tout simplement d'achever la moindre trace de résistance chez la jeune chatte, il venait de briser les derniers vestiges de son courage. Il l'avait anéantie et rendue plus que docile, continuant de la faire sienne alors qu'elle gémit désormais sans la moindre volonté de s'échapper d'entre les pattes du Dieu, abattue.