Kurumu culpabilisait un peut en effet, mais le mot maitresse, le comportement de putain mal baisé, il n"y avait pas d'autre mots pour qualifier le comportement de Kohana, avait le don de la rendre ivre de rage et de lui faire commetre les pires attrocitées, qu'elle regretait amerement par la suite. Mais ce fut ce nom, Hazel? Qui est ce? Cette femme qui semblait ne vivre que pour et par le sexe semblait avoir un souvenir, un nom féminin qui lui rappelait quelque chose. Kurumu pensat quelques instants, elle avait prononcé le nom de cette femme alors qu'elle lui embrassait le cou et qu'elle la réchauffait de son propre corps, mais aussi quand elle l'avait prise dans ses bras. Comme si cette fille, ce souvenir était toute la douceur qu'elle avait jamais connue dans sa vie.
Soudain, elle s'énerva, semblant revenir a la réalité, elle se débatit avec force, frappant Kurumu qui grimassait de douleur mais soupirait de plaisir, oui de plaisir. Elle aimait voir ses proies se débatre, elle aimait la douleur, meme si il n'y avait pas encore de rapport, elle était dans un lit et sur une proie potentielle, autant dire qu'elle avait les deux raison de prendre son pied sous les coups de la jeune femme. Mais elle se figea en regardant le démon innomé, c'était horrible, elle n'avait ni le nom de la petite fille entre ses bras ni celui du démon hautain qu'elle ne manquait pas de remetre en place. Lui considairait que les femmes vivaient pour servir, elle pareil, mais dans le sens contraire. Un homme n'est rien de plus qu'un insiménateur, une créature imparfaite, une femme innachevé. La biologie était une de ses passions sur terre, elle en avait appris pas mal sur les etres vivants comme ca et le fait de savoir qu'un homme n'est qu'une semie femme lui donnait un complexe de supériorité encore plus grand que celui de la succube moyenne.
Chut...Chut calme toi, regarde, il n'est plus la. Régale toi de ma chaleur, c'est le point positif des succubes, on a jamais froid, la flamme du désir nous iradie de sa chaleur, proffite de la mienne.
Vitaly se trompait, les tentacules de la jeune femme n'étaient pas des membres a elle, c'était une vue de son esprit, elle pensa a des mains, les faisant apparaitre sur le petit corps gelé de l'humaine avant qe ces dernieres ne la caressent pour la réchauffer. C'est alors que Vitaly arriva, comme pour chasser l'image de ce misterieux Don, la succube étendit ses ailes autour de la jeune femme alors que le démon lui caressait les cheveux.
Toi, le rustre sans nom, laisse la, elle n'est meme pas bonne a etre violé, j'ai peut etre était un peut trop forte avec elle, si tu veux, tu peux jouer avec moi, c'est elle qui porte ma culotte.
Presque allongé sur Kohana, la succube la récchaufait de son corps en prenant soin que ses mains sur son corps ne l'éffraient pas trop, c'est étrange de voir un bras surgir de son nombril ou de sa cuisse... Sa position, était offerte, les fesses bombé de la démone étaient dévoilé par son habit de lycéenne trop court dans ce genre de situation.
Tu peux tout me faire, bientot, elle sera sur pied, si tu en a pas asser avec moi, tu pourra assouvir tes pulsions sur elle. Pour l'instant, laisse la douceur féminine la remettre sur pied.
C'était un schémas assez clair, elle s'occupé de l'humaine et lui pouvait la violer a loisir, Kurumu n'était pas le genre de personne a se blesser facilement, ce qui rendait ses viols bien plus interessants, oui, curieux, mais cette fille aime la douleur, le viol en faisant parti, elle aime etre violer, et comme a put le voir sa compagne humaine, violer.
Lentement, la couverture découvrit les seins de la jeune fille alors qu'elle caressait sa joue pour la calmer, lui murmurant que tout allait bien, qu'elle allait bien, qu'elles allaient juste prendre un peut de bon temps pour se réchauffer. Ses levres se poserent sur sa poitrine meurtrie du cuir et lecherent tendrement les marques, comme si sa salive pouvait la faire partir. Il y eut une caresse sur ses jambes qui n'avait rien a voir avec les mains apparue ca et la sur le corps de kohana ou le matelas déffoncé. Sa longue queue s'enroulait autour d'une de ses cuisses qu'elle serrait et desserait avec douceur.
Ca va aller, mais je ne connais toujours pas ton nom, au fait, si tu veux, je peux prendre l'apparance de cette Hazel, il te suffit de fantasmer assez longtemps sur elle pour me permettre de changer de forme, je ne serais pas elle, mais je ressemblerais beaucoup a elle.