Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Renvoyer un mort, impossible ? [réservé]

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Florian de la Bruyère

Humain(e)

Renvoyer un mort, impossible ? [réservé]

lundi 30 mai 2011, 20:54:16

Florian fut contacté dans la journée par la secrétaire qui le demanda de venir réceptionner un coup de fil qui lui était destiné, en prenant le combiné il se permit de prendre la parole en premier.

Florian de la Bruyère à l'appareil, à qui ai-je l'honneur.

C'est ton père qui t'appelles, j'exige que tu reviennes à la maison familiale immédiatement.

Désolé père, mais je ne peut pas accéder à votre demande, j'ai mit mon corps et mon coeur dans une tâche importante, celle de ...

Tu t'occupes de soigner un succube, un être mauvais qui n'engendre que maux et désastre autour de lui.

Je regrette père, mais je vais devoir vous raccrocher au nez, car à défaut de vous père j'ai des obligations ici qui ne peuvent attendre.

N'écoutant pas les menaces de son père, Florianb raccrocha, sa tempe étant visible sous la colère qui le rongeait actuelement, c'est alors qu'une jeune fille entra et se mit à parler avec Florian.

Dis, c'est toi qui dis être capable de chasser les esprits.

J'en ai les connaissances pour la plupart effectivement, mademoiselle ?

Hélène, Hélène Françoise. Le soir je vois des ombres autour du lycée, cela me fait peur, si tu pouvais y jeter un coups d'oeil ...

Mais avec grand plaisir, d'ailleurs j'ai besoin de prendre un peu l'air.

S'en suivit une longue discussion, ce n'était pas un véritable contrat, mais la lycéenne avait promit de lui donner une semaine de ticket repas, ce qui était un geste utile, pouvant économiser pour les soins.

De part la discussion il savait que c'était sans doute un être matériel ayant un corps, donc les esprits étaient relégué d'office, sauf certains types qui avaient la prodigieuse capacité d'avoir un corps visible, mais aussi solide que du vent. Aussi prévint-il son employeur du soir, qu'il ne pourrait pas travailler, signalant qu'une autre offre temporaire lui avait été demandé, par chance le patron comprit et allait juste baisser légèrement sa prochaine paie, comme dédommagement.

Florian passa son temps libre à penser à la créature que cela pouvait être, se déplaçant aux endroit où elle avait été signalé par la demoiselle, il perçut un effluve qui ne devait pas exister dans les monde des vivants, ce n'était pas de la magie, plutôt une émanation propres aux âmes morte, donc il allait avoir affaire à un mort.

Dans le meilleur des cas ce ne serait qu'une créature remonté par la nécromancie, au quel cas elle serait facile à vaincre, mais la chose promettait d'être plus ardu si la chose en question est une âme ayant réussi à traverser la porte des morts et remonter le Styx pour franchir la frontière entre les morts et les vivants.

Toute les pistes furent envisager, combattre un mort est dure à la base, encore plus si ce dernier a de l'expérience de part l'âge vécu après sa mort.

Enfin la nuit se dévoila sous les yeux de Florian qui avait prit un équipement qu'il jugeai nécessaire, du sel, pour se protéger et enfermer la cible, quelques fudas (papier contenant des sortilèges), une croix en argent au cas d’être confronté à un mort-vivant ou un vampire, il portait sur son poignet un chapelet, qu'il utiliserait pour lancer quelques sorts si le reste ne marche pas.

Il se mit en chasse, il n'eut pas à marcher trop loin pour trouver cette émanation si particulière. Sa cible était dans une assez grande rue, s'il avait une apparence humaine, le noble savait pertinemment que ce n'était qu'une illusion pour tromper son entourage, il se mit à réciter un mantra et put voir la vraie forme de sa cible, un squelette, un revenant des limbes qui a payé de son bras son aventure. L'heure était de se présenter.

Toi là-bas, ne cache pas ta véritable apparence, je suis là pour te renvoyer là où tu aurais dû rester !

La rue faisait bien cinq mètre de large, quand à la longueur, je crois qu'il s'agit de la route principale en fait, le terrain parfait pour un combat qui se promettait d'être palpitant.

alerick neifel

Créature

Re : Renvoyer un mort, impossible ? [réservé]

Réponse 1 lundi 30 mai 2011, 21:36:09

Cette balade était  devenue un passe temps régulier. Depuis une semaine alerick avait officiellement fini de remplir tous ses contrats, et il avait choisi de passer quelques temps sur terre.  Cette planète n’avait certes pas le charme du nexus, mais elle avait au moins l’atout d’être bien plus calme pour lui. Et pour une raison très simple,  il  n’y avait sur terre que très peut de magicien. Ainsi, la majorité des gens étaient incapables de  percevoir sa vraie nature. Il était donc tranquille, et à l’abri de la majorité des traquenards. 

Il était environs neuf heures du soir,  la lune était à peine levait, et il restait encore assez de luminosité pour contemplait les  parterres de  fleur du lycée de la ville de Seikusu.  Il était a l’origine venue ici par un  hasard assez incroyable, mais il y passé chaque soir  de nombreuses heures,  a observer les tulipes.   Oui, elles étaient magnifiques, de couleur  fantastique.    La seule ombre au tableau, était  qu’il ne pouvait plus sentir leurs délicats parfums.   

Une voix le sortie cependant de ses rêveries.   Il ne comprit pas cependant que l’on parlait de lui tout de suite.   Mais, après s’être  retourné plusieurs fois, et avoir constaté qu’il n’y avait personne d’autre a part lui. Il dut se rendre à l’évidence, apparemment, ce jeune homme en avait   après lui. Mais pourquoi ?  Il ne lui disait rien pourtant ?  Il ne l’avait jamais eut comme employeur, ni même comme victime.  Alors, pourquoi lui courrait-il après ?

Hein ?  Le renvoyer, il en était hors de question.  Jamais, jamais il ne retournerait chez lui.  Il avait autre chose à faire que de tourner en rond dans  son monde d’origine. Et  puis  il avait un repos éternel à trouver. Alors, pourquoi ne pouvait-on pas lui ficher la paix. Pourquoi fallait-il que certain exorcistes zélés s’attaquent à lui sans raison.  Cela avait don de lui courir sur le haricot,   Il n’aurait rien dit si leurs fichus renvois étaient  définitifs, mais bien sur que non.  Ils ne faisaient que l’enfermer dans une espèce de dimension dont il s’échappait quelques semaines plus tard, lui faisant au passage perdre un temps précieux sur son objectif.

S’il avait put soupirait, il l’aurait sans doute fait, mais malheureusement, il ne le pouvait pas. Il se contenta donc, de se relever.  Ses gestes étaient lents,  très lents d’ailleurs,  si bien qu’il semblait facile de dire que le dit mort, devait être un squelette de base. Une créature a l’intellect très limités et ne représentant pas de grand risque  mit a part celui du nombre. Et encore. 

La créature,  se saisit de sa lame de sa main unique,   et s’avança, avec la même lenteur vers l’homme.  Le fixant de ses orbites vides.  Il n’y avait bien sur  plus aucun organes depuis longtemps, mais cela ne l’empêchait pas de voir, ni d’entendre d’ailleurs.  Il s’arrêta enfin, a quelques mètres de l’homme aux yeux rubis.  Il le jaugeait ?   Non, un mort vivant de ce type  ne l’aurait jamais fait.  Mais un mort vivant de plus grande puissance lui aurait déjà lançait un sort sensé être létale.
Il  sortit un son caverneux de sa gorge,  avant de dire d’une voix fluide souple et même  claire.


-Bon, écoute, je te veux pas de mal moi. Mais, si ton but c’est de  m’exorciser, je te le dis, je ne me laisserais pas faire. Donc, soit raisonnable et laisse moi tranquille

A ses yeux, le contrat était honnête, il restait cependant a voir comment aller réagir cette homme au look si androgyne.  Bon, il était peut être intelligent. Donc,  avec de la chance.

Florian de la Bruyère

Humain(e)

Re : Renvoyer un mort, impossible ? [réservé]

Réponse 2 mardi 31 mai 2011, 21:05:36

Florian se mit à observer avec beaucoup d'attention le squelette, il connaissait les points forts et les points faibles de ce genre de créatures, mais il fallait se méfier, tout ce qui n'est pas vivant est d'une nature résistante et caches souvent une puissance insoupçonnée. Par prudence le noble appliqua la même méthode, cela dit il ne bougea pas quand Neifel se leva.

Il ne fit aucun signe de recule quand le squelette s'approcha avec sa lame en main, le fer luisant d'une lueur mauvaise sous l'impact de rayon du soleil qui vacillait au loin.

Une fois les deux adversaire à quelques mètres à peine, il prit la peine d'écouter le mort, qui sait s'en doute n'aura-t-il pas à se battre, mais la phrase fut tout autre, visiblement le squelette semblait vouloir squatter un peu le monde des vivants.

Florian fit glisser son chapelet dans sa main, faisant légèrement tinter les clochettes.

Si nous étions dans une autres circonstance j'aurais sans doute put passer à travers certains principes, mais le fait est que votre présence dérange et déroge au fondement même de la vie. Si vous voulez vous montrer digne de vivre dans ce monde, il faudra tout d'abord me résister.

De son autre mains, il aspergea le squelette d'eau bénite, ce qui eut comme effet de lui causer une immense douleurs, l'eau en lui-même n'est pas suffisant pour tuer un être venant des limbes, il faut user d'autre choses, aussi se mit-il à psalmodier une prière hindouiste qui allait enfermer le squelette dans une barrière spirituelle, qui résisterait le temps que Florian reste concentré sur l'image de la barrière et qu'il maintient son flux d'énergie.

[ Je t'envoie un mp pour quelques informations complémentaires]


alerick neifel

Créature

Re : Renvoyer un mort, impossible ? [réservé]

Réponse 3 mercredi 01 juin 2011, 21:37:37

Blasé,  alerick était totalement blasé. Remarqué, cela ce comprenait aussi,   vous êtes tranquillement assis  entrain de regarder pousser les fleurs,  et on vint vous agresser,  vous traitant d’ignominie,  d’erreur de la création.  Comme s’il avait voulu être cela.  Non, mais c’était un monde ca dit donc.  Il resta cependant stupéfait lorsqu’on se mit à lui envoyer de l’eau sur la figure. Depuis quand, on traitait les gens comme cela. C’était un monde dit donc.   Bon, aller, il était temps de donner une  tape au fesse a ce gamin, et le renvoyer à l’école.   Cela le calmerait, et il n’aurait pas besoin de lui faire plus de dommage.   Il ne voulait du mal à  personne, surtout pas a un gosse un peu trop zélé. Mais, il devait quand même …AIE…

Pourquoi ne pouvait-il pas avancer. Il ne pouvait pas s’agir d’un sortilège, son aura anti magique  empêchait toutes incantations dans un rayon de vingt mètre.  Alors comment… 
Ok,  ce gosse avait de la ressource, mais ce n’était pas une raison pour lui faire du mal. Il n’avait absolument rien contre lui.  Et surtout, s’il ne se trompait pas,  cette technique devait utiliser soit la force vitale, soit la force mentale pour maintenir ce champ de force.  Donc,  il suffisait d’attendre que ce gamin soit à bout de force. Il n’était pas pressé,  et contrairement à ce gamin il avait plus de temps.  Il s’assit donc tranquillement,  profitant de ce temps pour ce calmé.   Il s’assit tranquillement plantant son arme dans le sol,  posant la main sur le pommeau.


-   Alors, comme cela mon existence déroge au fondement même de la vie ?   Et bien, je ne suis absolument pas d’accord.   Pourquoi toi tu aurais le droit de vivre et moi pas ? 

Il s’arreta quelques secondes, comme pour réfléchir a la question.


-Tu es vivant parce que  tu respire ?  Parce que ton cœur bat, et que tu bouge ?    Mon cœur, battait autrefois,  mon sang était aussi chaud que le tien.   D’ailleurs,  certain  être ont le sang froid et ils vivent pour autant . Donc, ce n’est pas cela.


Il s’arreta encore une fois,  reprenant son arme en main et la levant vers le  ciel.


-Tu es vivant parce que tu pense ?   Mais, moi aussi je pense.  Moi aussi j’ai mes idées,  moi aussi j’ai des avis, et je suis capable de suivre un raisonnement.  Alors, ce n’est pas cela non plus.   Il ne reste que la dernière solution alors.


Il prit une longue pause,  sa voix était plus sombre,  plus comment dire,  triste.  Oui c’était le mot, il était triste.
-Tu es vivant car tu ressens,   parce que tu as des émotions,  parce que tu as des sentiments ?   Si c’est cela être vivant, alors  je le suis sans doute plus que toi.  J’ai connu la peine, le doute, la souffrance,  l’angoisse, la joie…   Cela fait cent années que je médite sur le sens de ma vie, et j’en suis toujours au point de départ. 


Il se reprit doucement,  se relevant


-   Alors,  tu vois, finalement, peux-tu te dire plus vivant que je le suis ?  peux-tu me dire en face, que je ne suis pas vivant.  Écoute-moi bien gamin,  tu ne sais même pas ce que nous pouvons ressentir, et tu te permets de nous juger,  moi si j’étais ici, c’est pour une seule chose  voir les tulipes poussaient.  Il y a un mal à cela ?   Va y,  Exorcisme moi,  ca ne servira a rien. Je reviendrais, encore et toujours comme je le fais depuis si longtemps. 


Il soupira doucement. Il était assez las,  non, totalement las de cette existence. Il ne voulait qu’une chose au final. C’était d’en finir rapidement avec cette vie.  Et de pouvoir enfin mourir.


-TU sais quoi : bha écoute, je vais te dire un truc.  Je n’ai qu’une seule envie, c’est justement de mourir.   Alors lâche-moi la grappe gamin. Et laisse-moi partir.

Florian de la Bruyère

Humain(e)

Re : Renvoyer un mort, impossible ? [réservé]

Réponse 4 jeudi 02 juin 2011, 14:14:51

Florian ne rit pas en voyant Neifel se prendre le mur après tout un mur fait de l'énergie vitale est totalement invisible et seule une créature se nourrissant de ce genre de chose est capable de le ressentir, même si dans ce cas Florian n’userait pas de cette technique qui serait mettre son énergie vitale sur un beau plateau en argent. Les succubes sont les créatures les plus dangereuse, mais jamais il ne le dirait ou le penserait par respect à Aniesse qui en était une à moitié.

Les question que le squelette balançait pour justifier son existence, le noble l'avait écouté bon nombre de fois, il ne le jugeait point sur son état mais sur deux chose, la première c'est une crainte constante, celui que l’une de ses créatures pouvaient s'en prendre à Aniesse et cela il ne pourrait se le pardonner, la deuxième chose c'est que pour être dans son état il a du mourir une première fois et donc revenir à la vie est quelques chose de mauvais  en soit.

Quand vint l'histoire des sentiments sa main libre se serra. Florian retenait une colère envers cette créature qui se permettait de le rabaisser sou prétexte qu'il n'avait pas assez vécu, l'espace d'un instant la barrière se fragilisa, mais avec un sang-froid qu'il avait du prendre dans sa volonté de revoir Aniesse sourire, la barrière se reforma et ganga même en intensité.

Florian fut content de ne plus entendre Neifel parler et décida de prendre la parole, son ton était neutre, même si un léger relent de colère et d'amertume se faufilait aux oreilles du squelette où ce qui lui servait d'oreille.

Vous me dîtes que vous cherchez juste à contempler les fleurs, que votre seul envie c'est de mourir. Mais rien ne me dis que votre langue ne débite que des mensonges pour baisser ma garde.

Le noble ne pouvait pas se résoudre à prendre le risque de le relâcher, il réduisit la superficie de la barrière, pour pouvoir économiser davantage sa dépense en énergie, le souffle du noble commençant à devenir présent, signe qu'il s'épuisait petit à petit.

Vous devez savoir que seul la magie qui vous a fait naître ou votre seul volonté peut vous faire mourir, je le sais aussi mais ce n'est pas une raison suffisante pour que je vous laisse gambader dans cette ville en toute impunité. Si vous arrivez à e faire reconnaître que vos sentiments son biens fondé, alors je promet sur mon sang de noble que je ne vous importunerais plus, tant que vous ne touchez pas à certaines personnes qui me sont cher.

Au grand maux, les grand moyens comme on dit, il ne restait plus qu'à ce que Neifel arrive à le convaincre ou à attendre que le noble s'épuise totalement, car ce dernier n'avait nullement l'envie de le relâcher sans bonne raison.

alerick neifel

Créature

Re : Renvoyer un mort, impossible ? [réservé]

Réponse 5 jeudi 02 juin 2011, 15:24:35

Bon,  apparemment le discours qu’il venait de faire n’avait servit strictement a rien. C’était dommage,  si dommage de devoir en venir la. Mais,  il comprenait aussi le jeune homme,   la mort est une chose qui effraye, qui inspire la crainte,   voir même la terreur.  Car elle a beau être dans l’ordre naturelle des choses  y survivre ne l’est pas.  Mais, une chose était sur, il commençait à faiblir, et bientôt, il serait totalement mort de fatigue, sa barrière ne tiendrait donc pas le coup bien longtemps.   
Il attendrait donc,  la lame son épée devant lui, souriant légèrement. 


-Donc, c’est à moi de te prouver que je ne te veux pas de mal ?  C’est assez ironique, c’est toi qui m’agresse, et  c’est moi qui dois me justifier. Mais, soit. Tu veux une preuve hein ?  Et bien écoute gamin, je n’en ai strictement pas. Et ceci pour une raison toute simple. C’est que je ferrais tous ce que je dois faire pour trouver le repos éternel. Ceci qu’importe  les choix que je dois faire.

Oui, c’était dur mais c’était la vérité. Il ne s’en cachait pas. Son existence, il l’avait consacrée à une personne.  Et il était désormais temps que celle-ci s’achève.   Mais comment faire.  La magie,  malheureusement il n’y avait aucun sortilège qui le retenait de force sur ce plan existence. Ou, si c’était le cas, il ne s’en souvenait  absolument plus.  Et sa volonté, elle était claire non ? Mourir, enfin,  et surtout définitivement. Voila sa volonté.

-Bon,  ta barrière, vu ton état de fatigue ne devrait pas tarder à céder. Alors,  je te le demande une dernière fois,  relâche moi. Cela me fera gagner du temps. Et toi de l’énergie. Je suis sur qu’il y a quelqu’un  qui t’attends autre part  qu’ici.  Alors, ne  t’épuise pas  vainement dans une bataille que tu ne peux gagner. 


La phrase était dure, mais pourtant pleine de bon sens. Avait-il vraiment une chance de vaincre un revenant.  Il pouvait le contenir un temps, c’était vrai, mais ce au dépend de son énergie vitale.  Alors que neifel , n’avait même pas besoin de lutter. Toutefois, l’esprit reconnaissait une chose,  ce gamin avait une volonté digne  d’être un  des siens.  A moins,  a moins que comme lui, il ait quelqu’un a protégé, quelqu’un qui  avait tellement de valeur que,  le perdre serait au final comme une mort. 
Cela lui fit un déclic,  oui, peut être que. 


-Tu te bas pour protéger quelqu’un. Quelqu’un que tu dois fortement apprécier pour y mettre une telle volonté. Quelqu’un qui doit beaucoup tenir, car pour mettre en jeu sa propre énergie vitale, et sa propre vie, il faut avoir une motivation  bien plus digne que la majorité des gens.


Oui, ce n’était pas un mauvais bougre, ce revenant, juste un fantôme un peu pressé.  Mais il passerait l’éponge sur ce gars lorsque qu’il serait libre. Il ne le découperait pas en morceau.  Quoi qu’en faite, ce ne fut jamais son intention.  D’ici quelques minutes il serait libre. Ou alors,  ce gosse se mettrait en danger.   Soit, il continuerait a puiser dans son énergie vitale, et ce jusqu'à ce que mort s’en suive,  ou alors, il relâcherait son étreinte et le laisserait filer.  La première solution était problématique. Il avait déjà du  sang sur les os. Mais,  jamais d’un enfant. Et surtout pas de quelqu’un qui se bas pour protéger ceux a qui il tient.
   


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