Cela s’annonçait comme un jour de travail habituel pour Rock. Bien qu’il se sentait un peu chaud au réveil, mais n’avait nullement cherché à savoir s’l avait de la fièvre ou non. D’autant plus que ses mouvements, sa respirations, et autres signes vitaux paraissaient habituels. Il se prépara donc de façon habituelle, et partit au travail sans trop de difficultés, après avoir vérifié qu’il n’avait rien oublié. Même s’il est vrai que travailler au Lycée n’imposait pas de gros travail supplémentaire, et donc que la majorité de son nécessaire était dans son bureau.
Le jeune homme quitta donc son appartement, et prit comme tous les jours les transports en communs. Bien entendu, Bien entendu, s’était l’heure de pointe, et le car était bondé, et il fut compressé contre la vitre. S’est sans doute à ce moment là, que le jeune homme sentit sa première bouffée de chaleur, alors que la vitre était gelée, du au froid extérieur. Ainsi, lorsqu’il arriva à l’arrêt du Lycée, Rock s’arrêta quelques secondes sur le trottoir, pour reprendre son souffle et apprécier la fraicheur de l’endroit.
Il s’arrangea alors un peu, et se dirigea vers le bâtiment administratif du complexe étudiant. Il y salua ses collègues de travail, et finit par s’installer à son bureau, et commença à travailler tranquillement. La routine avait reprit son court, et dura un moment, avant qu’il ne se sente redevenir chaud, et plus rouge que d’habitude. S’est l’un de ses collègues qui en venant lui porter des papiers, lui fit remarquer son état, surtout que la mine de Rock n’avait rien de réjouissant, comme s’il se forçait à lutter contre la fatigue. Il fut donc envoyé à l’infirmerie, et s’y dirigea donc, même si pour se faire, il dut changer de bâtiment et passer dans la section étudiante.
- Bonjour, je crois que je ne me sent pas très bien !
Dit le jeune homme en pénétrant donc dans l’infirmerie, son regard balayant la salle à la recherche de l’infirmière. Bon, cela aurait pu être un infirmier, mais, cela «était peu probable, dans les Lycée, et il avait eu vent, si sa mémoire était bonne, que s’était bien une femme à ce poste. Mais, étant la première fois qu’il venait à l’infirmerie, il ne pouvait en être sur, puisqu’il n’avait jamais croisé la personne y travaillant