Une catin en plein travail.[Mach]

- Cela sera tout pour aujourd'hui. Apprenez bien vos leçons et bonne soirée.

Putain, enfin libre, cela pouvait se voir au fait que je m'étaie affalée sur mon bureau et poussant un léger soupir de soulagement, ce que le professeur ne semblait pas avoir vu, je remballe vite fait mes affaires, les mettant dans mon sac sans faire attention, ce qui corna le livre et les feuilles seraient sans doute chiffonné, mais le plus urgent c'était d'aller faire les trottoirs, je suis tellement en manque que mes jambes en tremblent.

Je mets mon sac dans mon casier, saisissant un autre, pour ensuite me diriger vers les toilettes pour fille. Je me cache dans une cabine et retire mes fringues, en profitant de l'occasion pour me soulager un peu en me doigtant.

Une fois ceci fait, j'enfile un string, noire avec des dentelles florales rouge, comme haut un soutient gorge rouge, avec par dessus une veste légère et noire, bien sur elle est ouverte, je mets des talons aiguilles rouge, puis ressort de la cabine, regardant à droite et à gauche, si on me prenait sur le fait j'étaie bonne pour me faire lyncher. Je mets du rouge à lèvre, me maquillant pour mettre en valeur mon visage, sans trop le mettre en avant pour que mes atouts physique soient aussi présent. C'est dure de savoir jauger un bon maquillage.

Je ressors des toilettes et met le sac dans le casier, prenant un petit sac à main, puis je sors du lycée par les places de parking réservés aux professeurs.

Je marche pendant une dizaine de minute, pour arriver enfin au centre commerciale, l'endroit le plus approprié pour trouver des clients et clientes à foison, reste à ne pas se faire choper par les policiers pour racolage sur la voie publique.

Je patiente près de l'entrée le plus utilisé, en tant que catin je dois connaître les flux des clients pour me faire un maximum de bénéfice, bien sur le risque est aussi plus grand de se faire prendre par un agent de la sécurité.

Trois heures ont passé et je me suis fait un lycée, il ne m'a pas reconnu, sans doute ma dégaine et mon maquillage, mais le plus navrant c'est que c'était une vraie quiche en plan baise, il ne connait que la levrette, je sais que c'est une des techniques favorite des jeunes ado, mais ils ne pourraient pas faire preuve d'un peu d'originalité, même la Charue ou l'Andromaque sont plus excitant. Quant à payer, c'est un vrai radin, mais bon s'il devient un client régulier je me ferrais sans doute un peu plus d'argent. Le lycée ne m'a rapporté que 3000 yens et encore c'est parce que j'ai réussi à lui faire une fellation et un cunnilingus.

Décidément ce soir c'était pas une bonne soirée pour se faire de l'argent. C'est alors que je vois une personne qui semble musclé et cela ne semblait pas être de la gonflette, avec de la chance c'était un petit diable question baise.

Je me dirige gentiment vers lui et une fois à niveau je lui susurre à l'oreille, avec moi voix de velours.

- Cela vous plairais un petit instant de plaisir pour un prix assez modique ? ♥

Et voilà Mach au centre commercial, et pas pour le boulot cette fois, mais simplement faire quelques courses. Après tout l faut bien vivre, et dépenser son argent dans les armes et munitions ne sont pas les seules choses que doit faire un mercenaire. Ainsi, cette fois, le jeune homme n’avait dissimulé qu’un couteau à sa ceinture, et sous sa chemise, qu’il n’avait donc pas entré dans le pantalon, même si cela faisait débrailler. Mais bon, vu le look de certaines personnes autour de lui, s’était loin d’être une chose qui attirerait l’attention sur lui. Pour une fois qu’il n’était pas en tenue militaire, mais avec un simple jean blanc, et une chemise noire à manche courte, cela aurait été un comble qu’il sorte du lot

Il marchait donc tranquillement dans les couloirs de la galerie marchande, se fondant dans la foule, qui heureusement n’était pas trop dense, car cela l’aurait vite agacé. Son regard ne fixant pas d’endroit en particulier, bien qu’il ne manquait pas de se poser sur les belles jeunes femmes, ou des hommes pouvant peut être s’avérer dangereux pour lui, comme les membres de la sécurité où certaines lui paraissant assez louches. Ainsi, il ne manqua pas de voir arrivée la jeune femme, qui semblait être une étudiante, hormis son apparence bien sur. Cette dernière était loin d’être désagréable au regard, et elle semblait avoir mit que peu de vêtements dans le but d’attirer une clientèle tournée vers le sexe.

Ainsi, lorsqu’elle vint se coller à lui, pour pouvoir monter son visage roche du sien et lui murmurer une invitation à l’oreille, Mach ne la repoussa pas, trouvant même l’idée amusante, et la demoiselle des plus ravissante. Cependant accepter rapidement ne serait pas amusant, et quand elle s’écarta pour le regarder, lui faisant de même, puisqu’il n’avait pas de raisons d’éviter son regard, le mercenaire répondit.

- Tu n’es pas un peu jeune pour faire ce genre de métier ?

Bien sur, il n’avait pas posé cette question dans le but de lui faire un reproche, puisqu’après tout ce que faisait la demoiselle de sa vie ne regardait qu’elle. Et pendant quelques instants sont regard quitta celui de la jeune femme pour faire un panoramique des alentours, et remarquer que leur discussion ne passait pas forcément inaperçu, et que certains se faisaient déjà des idées, vu leurs regards, et sans doute vraies.  Cependant, la plupart d’entre elles ne firent que jeter un coup d’œil et passer leur chemins, ne voulant pas se mêler de ce genre de chose.

- Que dirais tu d’aller en discuter dans un lieu plus tranquille ?

Dit-il d’une voix plus basse, pour qu’elle ne soit audible que de sa compagne.  Puis, il l prit par le bras, et l’entraîna en douceur dans un coin plus tranquille, une « rue » plus sombre et moins fréquentée entre deux boutiques. Ainsi, marcha, à la façon d’un couple, même s’ils étaient loin d’en former un aux yeux des autres, même pas un père ou un frère avec sa sœur, même s’l ne fallait pas se fier aux apparences, jusqu’à être sur d’être à peu près seul, que se soit pour l’ouïe ou la vue.

- Et quels sont tes prix alors ?

Demanda donc Mac en étant toujours aux côtés de la jeune femme, avant de s’arrêter et se placer devant elle. Le fait qu’il pose la question montrait en tout cas, qu’il ne refusait pas la proposition, et semblait même y prêter attention. Il n’avait pas oublié ses courses, mais, il pourrait les faire plus tard, et ce n’était pas l’argent qu’il lui manquait avec le métier qu’il faisait, et donc, il pouvait se permettre des extras, sans trop de difficultés.