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Dans le palais de Daelys... [Arès]

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Raven Miller

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Dans le palais de Daelys... [Arès]

vendredi 26 février 2010, 21:59:10

Ashnard était proche du royaume des dieux, l'Olympe. Mais pour Raven, c'était loin de chez elle, bien qu'elle n'ait jamais vraiment été "chez elle" au temple. Cet endroit lui faisait peur, mais encore plus parce que son dieu l'avait affectée à la garde personnelle de la dame de Daelys. Cruelle punition s'il en est une. La voilà maintenant au service de la femme qui avait détruit tous ses rêves d'amour. Elle n'avait pas protesté. Elle s'était contentée d'obéir, mais son coeur était en miette à chaque fois qu'elle les voyait ensemble. Il y avait longtemps qu'Arès ne lui avait pas adresser le moindre mot et, elle le savait, Heilayne en était la cause. Il était totalement obnubilé par elle et lui accordait toute son attention. Elle n'arrivait plus à s'approcher de lui pour lui demander si elle avait encore de l'importance à ses yeux ou s'il l'avait totalement effacée de son esprit, mais à chaque fois qu'elle était sur le point de lui parler, la comtesse apparaissait et il déviait sa trajectoire pour aller à sa rencontre lors de ses rares visites. Depuis, la somptueuse, la belle et la douce Raven se faisait toute petite et disparaissait dès que le dieu montrait le bout de son nez.

Elle avait peur de la réponse d'Arès. Elle l'imaginait déjà dire qu'elle n'avait aucune importance, désormais. Que toutes ses erreurs lui ont fait perdre ses faveurs. Sa déchéance lors de leur nuit, le sommeil dans lequel elle l'avait plongé pour le ramener dans sa chambre à lui, la gifle qu'elle avait assenée à Poséidon qui lui ont valu une belle correction au conseil des dieux, la perte de leur fils alors qu'il n'était même pas encore né et surtout, sa dépendance. Elle avait besoin du dieu, elle le voulait pour elle et elle est restée au lit tout un mois quand elle avait apprit que le dieu avait renoué ses liens avec la comtesse. Dans sa tête, ce jour-là, avait résonné le gond du désespoir. Cela voulait dire que toutes ses chances de séduire le dieu venait de couler à l'eau. Elle avait eu beaucoup de peine et sans l'intervention miraculeuse de Tenshi qui est venu la rassurer, dans sa chambre, la Pythie seule sait ce qui aurait pu lui arriver.

Ce jour là, elle était dans la chambre qui lui était allouée, le regard perdu dans une fenêtre. Elle se rappelait d'un poème qu'elle avait lu, étant petite, en regardant la givre sur la fenêtre. Doucement, ses lèvres s'entrouvrirent et, par magie, un orchestre invisible laissa entendre une douce musique pour accompagner la plus belle voix du monde, qui chantait doucement, dans la noire nuit d'hiver qui se produisait sur les terres de Daelys. Une volée de colombes hivernales entrèrent par la légère ouverture de la fenêtre pour roucouler doucement devant elle, lui inspirant la mélodie qui conviendrait aux vers.

"Ah ! comme la neige a neigé !
Ma vitre est un jardin de givre.
Ah ! comme la neige a neigé !
Qu’est-ce que le spasme de vivre
A la douleur que j’ai, que j’ai !

Tous les étangs gisent gelés,
Mon âme est noire : Où vis-je ? où vais-je ?
Tous ses espoirs gisent gelés ;
Je suis la nouvelle Norvège
D’où les blonds ciels s’en sont allés.

Pleurez, oiseaux de février,
Au sinistre frisson des choses,
Pleurez, oiseaux de février,
Pleurez mes pleurs, pleurez mes roses,
Aux branches du genévrier.

Ah ! comme la neige a neigé !
Ma vitre est un jardin de givre.
Ah ! comme la neige a neigé !
Qu’est-ce que le spasme de vivre
A tout l’ennui que j’ai, que j’ai !...
" (Émile Nelligan)

Et pendant un long moment, elle chanta et rechanta ce doux poèmes qui soulageait son pauvre coeur brisé, transformé en urne de désespoir et de tristesse. Elle chantait avec la peine de l'amour connu et perdu, laissant même les chats du palais joindre leurs miaulements à sa voix avant de, tout doucement, faire s'interrompre en entendant la porte s'ouvrir dans un crissement incroyable, découvrant une silhouette plongé dans la pénombre, une main rosée posée sur la poignée. Cette personne, jamais Raven ne pourrait oublier cette aura, cette odeur qui lui avait fait ressentir les plaisirs de la chair pour ensuite l'en priver pour se consacrer à la plus belle fleur d'Ashnard, la comtesse Heilayne de Daelys. Le Dieu de la guerre et le geolier de son coeur, le plus beau et puissant être aux yeux de tous... "Maître... Ares-... sama..." Le reconnut-elle d'un murmure teinté de souffrance et de douceur, quoi que de frayeur. L'envie de s'enfuir la prit immédiatement. "Vous... vous ne devriez pas être ici..." Balbutia-t-elle. "Si on vous voit, vous risquez d'avoir des problèmes avec votre..." Mais elle retint de justesse les derniers mots. Ces mots lui faisaient l'effet d'une pomme acide.
« Modifié: lundi 01 mars 2010, 05:03:16 par Raven Miller »

Ares

Dieu

Re : Dans le palais de Daelys... [Arès]

Réponse 1 lundi 01 mars 2010, 21:58:33

Ashnard etait si loin d'Olympie. Et en ces temps troublés, plus loin encore. Le Dieu de la guerre se sentait de plus en plus loin de son royaume mais surtout, de lui méme. Loin de ce puissant guerrier qu'il avait été, loin du Dieu des coléres et de la vengeance, loin de l'étre sans vergogne ni remords. Un Dieu parmis les autres, belliqueux et puissant, ne rendant de compte a personne, pas méme a Zeus lui méme. Et voila qu'il se retrouvé a Ashnard, auprés de sa comtesse De Daelys. L'amour, voila ce qui l'avait eloigné de lui méme, de son royaume, de sa vraie nature. Las de tout cela, Las de voir tout les prétendants de la Dame s'evertuer a la ramener vers eux, loin de cet homme inconnue qui les faisaient froid dans le dos. Larves humaines, qui pensaient pouvoir rivaliser avec lui. Il en avait eu assez de tout cela, mais resté, pour l'amour de sa dame. Mais aujourd'hui, tout avait changé. Il n'etait méme plus sure de ses sentiments, elle ne semblait pas non plus y preter attention. Tout semblait enfin lui revenir a l'esprit. Dieu un jour, Dieu toujours...

Les sons alors lui vint aux oreilles, une douce mélodie, triste, si triste... Il put reconnaitre sans peine l'artiste, la magicienne qui chantait pareil paroles, avec une si jolie voix envoutante. Raven... Il l'avait elle aussi laissé seule, livrée a elle méme dans un pays qui n'etait pas le sien. Mais elle avait dépassé les bornes.. Ces derniers temps, la prétresse s'etait permis beaucoup trop de liberté, en oubliant méme son rang... Mais il ne devait s'en prendre qu'a lui méme aprés tout, c'etait lui qui avait laissé trop de liberté aux soeurs de batailles, les voyant peu a peu s'octroyer des droits qui n'etaient pas leurs. Il avait dut connaitre l'insoutenable humiliation auprés des dieux, en s'excusant du comportement de sa pretresse envers poséïdon, et cela, devant Zeus... Il n'avait jamais connu pareil horreur que cela. Mais qu'importe...

Il sortit enfin de sa suite, les gardes postés a sa sécurité, bien qu'inutiles, le laissérent passer en lui adressant un salut militaire... Croyant peut étre lui rendre hommage, tandis que le dieu filer droit vers les quartiers des servants et gardes personnels. Il ne croisa pas ames qui vivent, tandis qu'il traversé les longs couloirs, suivant  le chant de sa pretresse. Il etait grand temps pour lui et elle de redevenir ce qu'ils etaient avant tout cela... Avant l'apparition de l'amour dans sa vie, amour qu'il se jura de ne plus laisser guider ses pas. Il aller de nouveau fermer son coeur, ne plus laisser quiconque entrer, et prendre simplement du plaisir, pure, dur, sans detours aucuns.

Il franchit enfin delicatement la porte, le chant s'arretant immédiatement avec son entrée. Il devisagea un instant sa pretresse, qui ne mit pas longtemps a le reconnaitre. S'en suivit des mots murmurer, qui amplifiérent encore son sentiment d'étre devenue faible... Raven croyait qu'il etait ici sous les yeux des comméres, qu'il n'était plus libre de ses choix, et qu'il aurait put avoir des... Problémes. Quelques mois auparavant, jamais elle n'aurait simplement imaginé que qui que ce soit puisse poser probléme au dieu. Ainsi donc, il s'était bien trop laissé aller, au point de perdre cette aura de puissance qui le rendait au yeux de ses servantes, intouchable. Sa voix retentit alors comme un avertissement...


"Crois tu que l'on peut me poser le moindre probléme Raven?! Crois tu qu'ici quelqu'un est assez fou pour venir me demander des comptes?"

Il etait fatigué de se sentir ainsi rabaissé, et s'approchant du lit sans retenue, il saisit la nuque de sa pretresse.

"J'ai perdut de vue qui j'etais vraiment ici, mais ca s'arréte maintenant. Il est grand temps que tout le monde sache qu'Ares, Dieu de la guerre, est de retour, et toi la premiére Raven."

Il approcha son visage du sien, un sourire qu'elle seul lui connaissait.

"Je ne vivrais plus avec cet amour qui me rend faible, je ne vivrait que de plaisir et de debauche. Si tu accepte cette vie la, alors nous rentrons tout deux en Olympe, sinon, je te raméne dans le lieu de ton choix, en cadeau de tes années a mon service, ou tu fut la meilleurs de toutes mes pretresses. Plus de faux samblant Magic, es tu préte a m'offrir ton corps et accepter seulement cela de moi?"
«L’art de la guerre, c’est de soumettre l’ennemi sans combat.»

Ares 's Théme


Raven Miller

Invité

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Re : Dans le palais de Daelys... [Arès]

Réponse 2 jeudi 02 septembre 2010, 00:10:41

(Woupsie... effacer plutôt qu'éditer ><)

Il était entré. Par tous les dieux, que cela lui faisait mal de le voir. Son coeur battait la chamade dans sa poitrine. Elle aurait voulu qu'il n'entre pas, qu'il passe son chemin en lui disant qu'il s'était trompé de chambre. Mais cela n'était pas le cas, pour son plus grand désespoir. Sa main s'était posée sur la nuque de la jeune femme, qui tressaillit. Sa peau se couvrit de petits frissons lorsqu'il lui agrippa la nuque, lui arrachant un gémissement de douleur. Elle crut qu'il allait l'embrasser en le voyant s'approcher ainsi, mais cela ne se produit pas.. Elle recula néanmoins en le voyant sourire, "ce" sourire. Le sourire qui lui disait très clairement qu'Arès, le sinistre et puissant dieu de la guerre, était de retour. Elle ne voulut néanmoins pas y croire. C'était impossible, il avait changé. Il avait changé, il ne pouvait pas redevenir comme avant à moins qu'il... "il a été blessé..." comprit-elle, s'attristant. Arès avait mal, et Raven le sentait au plus profond d'elle. La sympathie l'envahit, la compréhension aussi, mais quand même, elle ne put réprimer un sursaut lorsqu'il leva la voix, d'un coup, suite aux paroles qu'elle avait elle-même prononcée.

-Crois-tu que l'on peut me poser le moindre problème, Raven?! Crois-tu qu'ici, quelqu'un serait assez fou pour venir me demander des comptes?

Elle balbutia.

- "N...non, mon maître... je suis désolée... c'est juste que..."

Elle avait peur, peur qu'elle n'ait déclenché sa rage. Elle sentait son aura divinement noire se frotter à la sienne, et l'homme devant elle n'était pas celui dont elle était tombée amoureuse. C'était un homme froid et cruel, qui n'hésiterait pas à lui faire du mal si elle osait encore lui faire un affront, ne serait-ce que par accident. Où était passé cette homme colérique mais passionné qu'elle avait connu? Cet homme qui semblait prêt à tout pour obtenir ce qu'il voulait, mais sans avoir nécessairement besoin d'être un homme mauvais? Où était cet homme magnifique qui l'avait fait soupiré, qui l'avait rendue jalouse et qui l'avait détruite parce qu'il en aimait déjà une autre? Cet homme qui lui avait fait l'amour avec toute la tendresse du monde, qui lui avait fait goûté au plaisir de sentir un être chéri contre elle et qui lui avait fait un enfant? Était-ce ainsi qu'Arès changeait lorsque son coeur se referme après avoir été blessé? Était-il comme elle une victime de l'amour?

-J'ai perdu de vue qui j'étais vraiment, mais ca s'arrête maintenant. Il est grand temps que tout le monde sache qu'Arès, Dieu de la guerre, est de retour, et toi la première, Raven.

Pourquoi elle? Qu'avait-elle de si particulier pour que l'homme de ses rêves vienne lui dire qu'il ne pourrait jamais l'aimer? Son coeur lui était déjà hors d'atteinte, mais elle sentait toujours qu'elle s'éloignait de lui, à chaque jour. Elle n'avait pas de point de repère pour reprendre pied... elle n'avait que lui, et il la repoussait encore une fois. Il savait qu'elle l'aimait, et en quelque sorte, ses agissements auraient dû aider à faciliter l'accès à la neutralité émotive d'une femme, ce qui aurait permis à Raven d'arrêter de s'en fait, de chercher à l'impressionner, à croire qu'elle pourrait être plus.

-Je ne vivrais plus avec cet amour qui me rend faible, je ne vivrait que de plaisir et de débauche. Si tu acceptes cette vie-là, alors nous rentrerons tout deux en Olympe, sinon, je te ramènerai dans le lieu de ton choix, en cadeau de tes années à mon service, où tu fus la meilleure de toutes mes prêtresses. Plus de faux semblant Magic, es-tu prête a m'offrir ton corps et accepter seulement cela de moi?

La jeune femme ne sut que répondre à cela. Qu'aurait-elle pu répondre? De quoi allait-elle avoir l'air auprès des autres prêtresses? De quoi aurait-elle l'air à ses yeux à lui? Elle voulait l'aimer, elle voulait vraiment que ses sentiments ne soient pas un handicap, mais pourquoi était-ce si difficile pour elle de faire part de ses sentiments et de son travail, contrairement à Élosia, qui le faisaient depuis tant d'années? Mais elle savait qu'Arès avait mal, il l'a avoué, peut-être sans le vouloir, ou alors c'est simplement une spéculation de son esprit pour se rassurer, mais elle y croyait dur comme fer. C'est alors qu'elle leva doucement les bras, et avec la grace et douceur qu'elle avait avant de sombrer dans sa folie, Raven prit une main de l'être aimé-blessé et l'attira doucement à sa joue, froide à cause de la brise de la nuit. Elle le regarda doucement. Elle lui tourna ensuite le dos, relâchant la main d'Arès pour le faire, et déboutonna lentement sa robe de nuit. Elle frissonnait, de frayeur comme de froid. Elle avait envie de pleurer, c'était une envie urgente, elle avait besoin de pleurer... mais elle le fera plus tard, lorsque l'occasion de pleurer sans avoir de honte à le faire se présentera. Sa peau, autrefois dorée, était maintenant laiteuse, pâle comme la mort, mais toujours aussi sinon plus douce qu'auparavant. Ses cheveux, blonds, tombaient en cascade dans son long dos. Ses petites épaules, fragiles, se virent alors dénués de bretelles, qui tombaient jusqu'aux avant-bras de la belle prêtresse, alors que ceux-ci se défaisaient de ces petites bandes de tissus pour venir, en croix, cacher sa poitrine, qui n'était pas énorme, mais ferme. Elle fit ensuite un quart de tour pour pouvoir regarder Arès, sans lever la tête. Elle laissa alors couler hors de sa bouche un petit "d'accord.", presque muet, qu'il serait difficile de l'entendre.

-Je... J'accepte, Maître... Mais je ne m'accorderai jamais à vous pour la luxure. -Elle le regarda enfin dans les yeux, mais toujours avec respect.-

Elle se rapprocha de lui puis elle lui caressa doucement la joue, hésitante, esquissant un faible sourire.

-Mais je le ferai sans hésiter pour vous... le Arès qui m'a tout donné ce que j'ai aujourd'hui... incluant ma vie... Et je chanterai, aussi...

Elle se dressa ensuite sur la pointe des orteils pour aller embrasser le dieu sur les lèvres, tendrement puis elle recula, aussi troublée que le jour de leur première fois. Elle cachait sa poitrine d'un bras, comme une collégienne pudique, alors que cette homme l'avait vu déjà quelques fois. Elle replaça ses cheveux derrière ses longues oreilles, un petit tic qu'elle avait développé lorsqu'elle était nerveuse. Elle regarda un long moment le Dieu... puis elle succomba à tous ses sentiments pour lui, comme si quelqu’un avait ouvert les vannes de ses émotions. Elle s’approcha lentement du Dieu puis elle effleura les tissus du doigt. Comme ils n’étaient pas réel, tout comme le dieu, qui n’utilisait qu’une enveloppe humaine pour pouvoir avoir des contacts physiques avec les gens (puisque théoriquement, les Dieux sont uniquement des esprits qui ne peuvent qu’en toucher d’autres), ils ne purent que céder lorsqu’elle poussa ses pouvoirs à trancher les liens des boutons qui tenait son vêtement en un.

Elle le regarda tendrement dans les yeux puis elle se mit à l’embrasser fiévreusement, écrasant contre son torse désormais nu sa poitrine glacée par les longues nuits où elle s’infligeait elle-même du refroidissement atmosphérique. Elle n’avait qu’une envie, l’avoir à nouveau contre elle, juste pour elle, encore une nuit, et peut-être encore une autre, jusqu’à ce que le trou que son amour a créé en elle soit comblé par ses caresses, son attention. Elle se foutait éperdument d’être, par définition, une salope, elle voulait seulement qu’Arès la considère comme une femme à part entière, et plus une gamine capricieuse et rancunière, cette même gamine qui lui avait fait honte devant ses aînés. Elle savait qu’elle aurait beaucoup à faire pour regagner sa confiance, et avec un peu de chance, son affection, mais elle ferait tout ce qui était en son pouvoir pour qu’il puisse la reprendre dans son cœur, même si ce n’est pas la place qu’elle convoite, même s’il ne l’aime pas, elle voulait qu’il la reprenne, et peut-être que leur relation pourra à nouveau reprendre du mieux. Elle voulait tant qu’il soit heureux avec elle… 



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