Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Rencontre avec le dieu Hades.

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Rencontre avec le dieu Hades.

samedi 20 février 2010, 23:41:51

J'ai sommeille, tient si j'allais dormir contre ce cerisier, au moins j'aurais moins froids. Je me colle contre l'écorce entendant, je ne sait comment, la sève bouger au ralentit, c'était apaisant et je ne sentait même plus les morsures du froid, je me sentait bizarre, je savais bien que le froid pouvait être dangereux, mais à cet instant j'avais pour la première fois la sensation d'être entourée d'une paire d'aile protecteurs, comme les contes sur les anges enlaçant la princesse pour la protéger du méchant. Je me sentais tellement bien que je m'assoupis, au pire j'aurais le droit de me réveiller en grelotant un peu, je laissa donc le sommeil m'emporter dans mes rêves.

Dès ce moment je me sentit bien et un bruit de goutte d'eau tombant sur une surface aqueuse me réveille, j'ouvre les yeux et me retrouve autre part, le plafond ressemble à une grotte et j'entends un bruit similaire à ceux que fond les bateaux sur l'eau. JE me lève et vois une personne encapuchonnée qui fait avancer la barque avec un grand bâton.

- Excusez moi ... Je suis où ?

J'attendis une réponse, mais rien ne vint, hormis le bruit régulier que faisait le bâton transperçant l'eau noire ... l'eau noire ? J'étais curieuse, une eau ne peut être noire en tant normal, je m'approche davantage et ... j'eus un des plus grand cris de ma vie.

- Une main !!!!!!!!!!! Monsieur il y a une main dans l'eau !!!

Je sens une autre mains me saisir l'épaule et je me couche dans la barque toute tremblante, cela ne pouviat être qu'un cauchemar, il était impossible que cela soit vrai. Je tente de me pincer la joue ,les fesse, mais rien, je tente aussi de me mettre une gifle pour me réveiller mais rien, si c'était un cauchemar je n'étaie pas encore arrivée au pire et depuis quand on peut se questionner dans une rêve, a moins que mon subconscient est tous prévue, cela doit être ça.

Je me relève et ferme les yeux et me met à chanter une mélodie qui m'apaisait, laissant la peur s'évacuer à chaque phrases, finissant souvent par laisser parler mon âme. Il vint un moment où mon chant se mit à me faire bouger et les mains semblèrent figées, elle ne pouvaient me saisir et semblaient même trembler, je vit même des corps d'enfant sortir de l'eau et qui firent une ronde autour de la barque, je ne savais pas qu'il s'agissait d'âmes ayant eut le malheur de fuir la mort et qui se sont trouvées emprisonner dans le Styx. Je continue de chanter, jusqu'à ce que la barge touche enfin une terre.

La fin du voyage me prit au dépourvue, mais j'avais l'esprit enfin calme, si c'était un cauchemar j'allais tous simplement continuer le rêve jusqu'à sa fin. Je vit une grande porte gardée par un énorme chien à trois têtes, je n'avais nullement peur de ce drôle d'animal et avança même ma main vers la tête du milieu, je pus sentir sa truffe humide et reçu même une lechouille de chacune des tête. C'est à ce moment que je constate que mon corps n'étaie pas tout à fait le même que celui que j'ai hors de ce rêve, ce qui est assez bizarre, en tant normal dans un rêve on garde le corps que l'on a dans le monde réel. Je put voir les personnes sortie de l'eau traverser la grande porte, devais-je passer par là moi aussi. Je regarde le chien et lui dit.

-Je dois les suivre d'après toi ?


le canidé me regarda avec des yeux interrogateur, comme-ci il se demandait si il devait me répondre ou pas, mais les chiens ne parlent pas, à la place il me montra ces yeux où je pouvais lire qu'il n'était pas le seul à se demander cette question, je sentie une présence de l'autre côté et m'y précipita, pour percuter sans vraiment le faire exprès une grande personne.

- Excusez moi ! Je sais pas où je suis, je pense que c'est un rêve mais dans ce cas il est vraiment bizarre. Vous n'avez rien ? Je suis confuse, pardon ! Vous n'êtes pas blessé au moins ?

J'en eus même un rire nerveux, il faut dire que je ne savais pas encore comprit que j'avais franchis les portes de l'enfer, ni que je me trouvais en face du maître des lieux.


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