Saito venait de quitter le lieu du mariage, ses vêtement n'étaient pas discrets, mais aucun esclavagiste n'avait eut vent de sa récente liberté et connaissant son ancienne maîtresse il avait quelque heures devant lui, seulement un problème se posa rapidement, que faire. Il avait toujours vécut comme un esclave et ne savait pas ce qu'un terranide libre pouvait faire, Saito décida de se trouver de quoi manger sur la place publique car il ne dépendait plus de sa maîtresse. Il se faufila entre les différentes personnes, qui s'écartèrent car, aux yeux de la population, il n'était pas très conseillé de l'approcher si sa maîtresse n'était pas là pour le sanctionner, pourtant il se montra assez aimable, Saito arriva à l'entrée de la Place publique.
Le terranide grimpa sur un toit afin de voir plus en détails la place, vente d'esclave, aucun intérêt, vente de produits fermier, dont du lait et du pain, Saito s'en lécha les babines. il fit le tour par les petites ruelles et se retrouva derrière le stand qui l'intéressait, il avait très faim, mais il attendit le bon moment, qui ne tarda pas. Un heureux hasard fit tourner les regards vers le centre de la place et Saito en profita pour piquer deux bouteilles du délicieux liquide blanc et deux miches.
Il se planqua dans un coin, à l'ombre, mais il fut dérangé par le vacarme habituel de la place aussi s'enfonça t-il plus dans la ruelle, il pouvait toujours voir la place, mais peu de gens allaient venir par ici et ils s'étaient, pour la majorité, sans danger pour lui. Il prit le temps de savouré les fruits de son larcin, mais il entendit un léger bruit, pour plus de sécurité il entra dans une maison qui était très belle, mais qui ne semblait jamais habité et toujours ouverte.
Il sentit une présence lorsqu'il ferma précautionneusement la porte, il se retourna, personne, il ou elle devait être dans une pièce.
Le couloir était d'un joli jaune comme si le soleil rentrait par une fenêtre, il n'osa s'avancer plus et hésita à sortir. Saito préféra rester dans la couloir assit contre le mur, ce lieu était étrangement reposant.