Patrouille de routine, comme toujours finallement quant on connait, comme moi, ce qui existe de part notre belle Terre. Mais qu'importe, il faut le faire, j'avais donc prit mon tour, me laissant guider au travers de la ville par mon coéquipier de cette nuit, Elrich, un jeune homme tout à fait charmant, mais qui est bien trop bavard. Il ne cesse en plus de me reluquer, au travers de ma veste de cuir légérement ouverte. Aprés un soupir, et deux milles six cents mots sortient de ses lévres, je pivote, le regarde et ouvre en grand ma veste, devoilant mes seins rebondit, parfaitement englobé par mon dessous rouge vif.
"Là! Voila, tu les as vu, tu pourras te toucher un peu ce soir, alors maintenant, tu roules, et tu la boucles!"
Il n'en revient, on manque de percuter un camion en contre sens. Je referme ma veste, et me laisse à nouveau aller sur mon siége, attendant avec impatience qu'une intervention, un braquage ou autres, tout, pourvu que ça me libére de la téte toute rouge de mon équipier. Soudain, la radio se met a cracher, je me saisit du micro, je sent monter l'excitation et l'adrénaline qui afflut vite dans mes veines.
"A toutes les patrouilles, on nous signales des violences dans un Bar de la ville, de nombreux protagonistes.""Ici Voiture 78-44 Lieutenant Stevens, nous y allons!"
Ma main file vers le boutton des girophs, et enfin la siréne retentit, je frémit encore un peu plus, en prenant mon arme, pour l'inspecter, comme je le fait toujours dans des moments pareils. La voiture s'emballe, Elrich a des defauts, mais c'est un pilote émérite. Avec lui, nous seront trés rapidement sur place, peut étre méme les premiers. Je rabat la culasse de mon berreta, et prend alors une cigarette dans ma poche.
"Je vois pas bien ce qu'on va faire a deux Lieutenant...."
"Hmmmph... T'inquiéte pas le bleu, on trouvera quoi faire."
La voiture tourne, vire, et enfin, je vois le bar en question.
"Là!!!"
Il se garre en trombe, et nous sortons. Nous accedons trés vite au bar, au moment ou nous finissont par rentrer, des bouteilles volent, des verres, nous frolent. Mon equipier tente de calmer les choses, en levant la voix, en retenant quelques saoulards. Decidement, il a encore beaucoup a apprendre. Je léve mon arme et les coups de feux partent, alors que des renforts déboulent dans l'établissement. Je prend alors la premiére personne qui me vient entre les mains, une jeune femme, qui selon les dires du barman, est celle qui aurait commençait tout ce grabuge. Je la plaque au sol, la fait touner face contre terre, et pose mon genoux sur son dos.
"Alors, on tient pas l'alcool?!"
Je prend les menottes, et les placent sur les poignets de la coupable. La redresse, et la porte vers notre voiture, sans ménagements, la balance sur les siéges arriéres, et referme les portes sécurisées. Les uniformes prennent les choses en mains, et avec de la chance, nous sommes tombés directement sur la coupable!... Un sourire frolle mes lévres, alors que nous prenons donc le chemin du poste de police.