– Je… C’est pas juste… C’est beaucoup trop bon… Je… J’ai envie de beaucoup plus… C’est injuste…
Et voilà le sourire de con qui revient ; comment voulez-vous que j’fasse autrement ? Même moi, qui suit plus du genre à me rouler sur le ventre et offrir le cul à qui veut, qui a plus d’hommes sur mon tableau de chasse que je n’aurais le temps de le remplir de nanas, j’peux pas faire autrement que la regarder se trémousser sous moi ; comment elle bouge, comment elle soupire, comment elle s’accroche. J’suis p’t’être une petite merde des rues, mais quand une nana comme Rubis criait ses petites suppliques en piaillement d’oiseau.
–C’est vraiment injuste… pourquoi… pourquoi t’es pas un homme ?
Alors, je vous vois venir, les petits yeux dans ma tête qui regardent la scène. Vous vous dites « Ouais, mais Em, il va lui flasher sa queue et la frapper avec en lui criant ‘SURPRISE, SALOPE !’ », hein ? Oui, je sais que c’est ce que vous pensez. Eh ben, vous apprendrez, bande de petits connards à deux ronds, qu’Em, c’est une ordure. Il prend avantage des nanas innocentes et vulnérables. Il devrait assurément être banni de l’université depuis qu’il a sucé l’équipe de foot universitaire pour leur soutirer les sous de papa et la coke de maman. Il fait passer le chapeau de ses meurtres occasionnels sur des sans-abris. Tout ce que vous voudrez ! Mais Em, il a des standards. Lesquels, j’suis pas sûr, j’les ai jamais vraiment observé, mais des standards tout de même.
Et donc, non, Em ne va pas flasher sa mimi-queue à Rubis. À la place, je lui colle un autre patin, et je lui saisis ses hanches rondes et fines, et je retrousse sa jupe un peu plus, dévoilant ses cuisses et l’attirant contre mon bassin. Je me colle à elle, je lui mord les lèvres, je la dévore en couvrant sa bouche de rouge à lèvres noirs, je me penche sur l’autre côté de sa gorge et je lui suce le cou, non pas pour le mordre, cette fois, mais pour y faire des suçons.
– Mec, meuf, bébé… ca veut rien dire…
Je la pousse contre le fond du canapé, et je me place derrière elle pour la coincer entre mon corps et le dossier du canapé, avant de glisser mes mains sur elle, une main dans son chemisier ouvert, et d’un geste des doigts, je fais sauter son soutif pour libérer ses seins, dont je viens en emprisonner un dans ma main, l’autre se retrouvant donc écraser contre le tissu du canapé qui se frotta contre son téton alors que je massais sa mamelle. Et putain, je savais qu’elle était roulée, la mimine, mais ca m’étonne encore moins que les mecs lui courent après maintenant que j’ai la main dessus ; c’est du marshmallow, ses nichons ! C’est tout mou et tout doux !
Mais, pas le temps de la laisser languir. Je fais glisser mon autre main sur sa cuisse, et je remonte jusqu’à son aine, griffant doucement la peau sur mon passage, alors que je lui suce et lèche l’oreille.
– Je peux tout faire, chérie ~ Je peux te rouler des patins, bouffer tes nichons, mordre tes cuisses, caresser ton cul, et si t’es gentille, j’vais peut-être même te grignoter en bas… et si tu veux plus encore…
Je lui souffle doucement dans la nuque.
– Tu vas devoir le demander~