Je me détendis un peu alors qu'elle me répondait, on allait tranquillement casser la glace. Je rigolais ensuite à sa propre réaction, l'écoutant sans l'interrompre. Avant d'être intrigué par son job.
- j'en ai vaguement entendue parlé. Sa marche comment ? j'imagine surtout à dessiné, mais... cela peut vraiment soulagé ?
Haussais-je un sourcil, je ne voulais pas l'offensé, ni juger son travail, mais je peux comprendre qu'on se recentre, mais de là a effacer un souvenir douloureux ou changer d'habitude...
A mon retour, elle s'enflamme et j'en souris, c'était mignon et intéressant de la voir ainsi. Sur certains points j'étais d'accord, même si la encours, l'art avait-il un pouvoir assez sur fort sur notre subconscient pour avancer ? Elle s'interrompit d'elle-même, alors que je profitais de sa passion pour me rapprocher d'elle, discrètement. L'écoutant avec intérêt.
- Oh mais ne t'en excuse pas. Sa me permet de voir mon ignorance et de remettre en question mes préjugés. Et pour ma part, moi ... C'est familiale, on se transmets le savoir de génération en génération. J'ai suivis et accroché à cette passion, ma petite soeur elle, à préférer la finance. Souriais-je en repensant à nos souvenirs, à nos querelles, une fille terrible ! Mais géniale aussi.
Elle appréciait que je me remette en question. Nous nous regardions dans les yeux, et je continuais de me rapprocher en grignotant. Elle me fit sourire à l'idée de destiné. Avant de m'informé qu'elle était fille unique, au moins je ne tomberais pas sur sa soeur qui me plairai peut-être aussi !
- C’est sa destiné, et sa m’a plus.
J’hoche la tête au sujet de ma soeur et changeais un peu de sujet en vue de sa réaction.
- Alors c’est pas tout le temps rose. Elle nous a en fait voir des vertes et des pas mûres, elle voulait son indépendance à tout prix. Bah maintenant ok à du mal à la voir.
Elle s'excusa, je ne pensais pas avoir donné l'air que c'était triste, alors vite !
- Oh non on s’entend bien, mais elle est du genre tout le temps occupé.
Je passe mon bras sur le canapé à son niveau, comme pour l'étreindre, mais sans la toucher... pour le moment.
- Elle voyage beaucoup. Elle s’arrête de temps en temps. Expliquais-je. Et tu as d’autre hobby ? Un peu créatrice ? Vue que tu fait de « l’art » thérapie.
A ce nouveau centre d'intérêt, elle est heureuse de partager, de s'exprimer et j'en apprends pas mal. Une touche à tout un peu, cependant... Elle finie par se taire, comme embarassé, d'avoir été pris en flagrand délit. Ne comprenant pas, je regardais bêtement autours de moi.
- Euh un soucis Melody ?
Elle me fit non, mais je n'étais pas convaincus. Tant pis, elle voulais changer de sujet alors ok. Je pointais alors mon bureau et surtout un instrument.
- Je fais de la batterie électrique. Je souriais moqueur. Les voisins aimaient pas celle à percussion. J'en mimais une frimousse attristé. Sinon... Bah les jeux vidéos. Un peu lire... hum...
Je réfléchissais en jetant des coups d'oeils à mon appartement, il y avait un sac de boxe mais ce n'était que pour m'entrainer, me défouler, pas fan de baston. Je saurais me défendre, mais c'est tout.
- Le roller aussi. Et les sports de balles. A ces mots, je ricane en pensant à quelque chose, me retenant visiblement de dire une connerie.
Je ne m'y attendais pas mais... Elle voulut savoir. J'hausse un sourcil amuser et me rapproche d'elle, avant de prendre sa main pour la poser sur mon entrejambe.
- Je peux te laisser jouer au sport de boules avec moi. Je souris un brin moqueur, le regard pétillant, mais on s'en que je me retiens d'éclater de rire
D'abord surprise, elle éclate d'un rire contagieux, je me retiens tant bien que mal... Pas longtemps.
Je ne résiste pas non plus et rigole avec elle. Durant une bonne minute à mon avis, j'en ai les larmes aux yeux et reprends à boire.
- Tu veux boire autre chose que de l'eau Mélody ? Vin, rhum, soda ?
Elle semblait détendue, avec un très beau sourire. Ne résistant pas alors que je fixe ses lèvres, je me penche sur Mélodu que je viens embrasser un petit moment durant. Si douce... délicate. J'aimerias que cela dur plus longtemps, mais je le coupe pour aller faire ce que je lui ai dis. Me relevant, je repris le plateau. d'acier en allant à la cuisine. Je prends deux verres de vins, une bouteille et reviens avec les pâtes. Rien d'extraordinaire franchement, si elle trouve sa ultra romantique... j'en serais surpris.
- Je commençais à avoir faim. Lui expliquais-je pour éviter qu'elle ne le refuse. Puis lui montre la bouteille de vin blanc. "La nuit, tous les chats sont gris" tu connais ? Moi j'aime beaucoup.
Tout en disant cela, je lui servis. Et me posa à ses côtés, posant une main sur sa cuisse, lui souriant coquin
- Ne t'inquiète pas, la nuit est encore longue... pour danser. Lui soufflais-je, le regard pétillant d'envie pour elle.
A cette "futur" invitation, elle répondit d'un regard intense qui me fit frissonner et déglutssant, je succombais à son appel.
Reposant mon verre sur la table, je la pousse à s'allonger sur le canapé, pendant que je l'embrassais passionnément, ma mains se glissant sous sa robe avec envie. Elle y répondit, me tirant à elle, j'utilisais alors mes coudes pour ne pas l'écraser, me collant à elle et prolongeant ce baiser langoureux, tout en frottant mon corps au sien.
Elle pouvait sentir une nouvelle bosse naitre sous mon jean.
Mais cette fois-ci, je voulais plus de contacte. Je rompis alors le baiser, presque à bout de souffle, et glissant mes mains sous sa robe, je remonte pour la lui enlever avec son aide en me redressant. Une fois fait, c'est à mon tour de retirer mon haut et de la dévorer du regard, torse-nue.
Sur les genoux, entre ses jambes, j'ouvrais ma braguette lentement avec un sourire coquin.