L'Intrigante Divinité ~ Regalis

-Cela ne signifie qu’une chose … On a tous les deux du travail pour satisfaire pleinement l’autre par ce pacte …

Lui devait faire en sorte que cette lassitude disparaisse de son quotidien alors qu’elle devait mériter la confiance du dieu. Ce sont les des taches qui seront loin d’être facile pour les deux. Mais d’un autre côté, rien ne dit que tout s’installe tout seul sans fournir d’effort. Parfois, tout pouvait parfaitement s’imbriquer comme la construction d’un mur sans défaut.

Bien qu’elle voulait qu’il se dépêche, ce genre de parole n’avait aucun effet sur le dieu. Cela ne créait aucun stresse. Habitué à être à l’écart des autres, il sait très bien qu’on n’attend pas grand-chose de lui. L’attente de la succube n’était rien, elle n’allait pas mourir pour quelques secondes de lecture. Rien de grave était en train de s’écouler dans temps. Et il finit par signer, suivit d’un échange intense, comme une seconde signature physique entre eux.

-Et bien cette attitude extrême promet d’être amusant … Bien que ton appétit ait été malmené, ne me dit pas que tu t’es ennuyé … Je t’ai senti plein d’émotion durant ces négociations. Imagine simplement toutes celles que tu vas ressentir en sentant ces émotions récompensées ?

Par contre elle posait une question amusante. Le nombre de conquête était assurément dérisoire comparé au tableau de chasse de la demoiselle. D’autant plus qu’avant, il s’occupait simplement de sa mission de dieu des cataclysmes. On lui a reproché ce comportement bien trop de fois.

-Je pense que mon tableau de chasse est tout l’inverse du tiens … Je n’ai jamais vraiment pris le loisir de m’éloigner de mes petites affaires …

Il laisse la succube déboutonner et découvrir ce qui se cachait derrière ce tissu assez léger. Elle ne semblait pas déçue. Il est vrai que sa carrure n’avait rien d’impressionnant. Mais le reste était bien dessiné et présent. Ce n’était pas de la musculature gonflée pour faire joli … Mais une musculature sculptée à travers les âges. Chose que les humains ne pouvaient pas faire, sauf s’ils s’y prenait depuis l’adolescence.

-J’espère que tu sauras encaisser surtout … Sareeth.

Voila la première fois qu’il l’appelait par son nom. Le dossier partait en arrière, son dos suivait, son torse sentant cette poitrine se presser contre lui. Ses doigts viennent titiller le tissu de son entre jambe. Elle peut rapidement sentir les effets des caresses de ses doigts. Lui laissant la surprise d’en découvrir la taille qui se développe sous son toucher. Il allait rapidement manquer de place. De son côté, il continuait d’empoigner ces belles fesses avant de glisser ses mains le long de sa robe pour la remonter et laisser ses fesses éclairées par l’écran apparaitre … Il laissait, en réponse aux caresses intimes, ses doigts glisser sur le tissu qui couvrait encore le jardin des plaisirs. Chaque poigne laissait ses doigts glisser sur ses lèvres intimes … L’une d’elle finit par remonter le long de son échine, ayant la ferme intention de faire passer cette robe sous cette poitrine qui semblait bien à l’écart dans ce tissu, compresser contre son torse … Puis, il vient glisser ses lèvres à son oreille pour y glisser les quelques mots qu’elle désirait tant tout à l’heure…

-Sareeth … J’ai la ferme intention de m’insérer en toi et d’y laisser exploser mon plaisir, ton plaisir sera le mien. ... Ou alors, préfères tu que je te dise que je veux te baiser jusqu'à ce que tu ne puisses plus dire un mot?

 « Ce jeu de séduction est amusant mais les négociations ont traîné. J’en ai connu aucun ennui mais j’en sors agitée et frustrée, brouillante et sur le point d’exploser. Ne sentez-vous pas la chaleur qui se dégage de mon corps ? Je suffoque sous mon appétence. » Le dieu est responsable de mon état.

Il a joué avec moi, m’offrant de rares moments d’espoir pour me les retirer peu après. Il s’est montré plus rusé et malin dans ce bras de fer jusqu’à me soumettre à ses conditions. Au-delà de notre pacte, il est celui que je désire à cet instant précis et le seul capable de satisfaire l’appétit qu’il a éveillé.  « Étonnant. Mais je ne peux me plaindre d’avoir un dieu de votre beauté prêt à assouvir mes fantasmes. Je prie que vous preniez avec moi le goût de la luxure. »

Ses vêtements ne lui rendent aucun honneur quand je découvre avec plaisir la vue de son torse, forgé par les millénaires. Je relève mon regard interloqué sur lui : « Vos paroles sont lourdes de sens. » Mes doigts s’appuient contre la protubérance formée sous le tissu clair. « Ne me sous-estimez pas… » Je prends mon temps pour découvrir la vérité. Ses mots cachent peut-être une surprenante sincérité ou un profond narcissisme. Mais il ne m'aide pas à me concentrer sur ma quête de vérité. Ses doigts effleurent ma peau et s’emparent de mes fesses rondes. Il dévoile leur peau blanchâtre à la lueur des images défilantes.

Le film, je l’avais oublié. Je n’entends plus les dialogues se succédant. Seule la voix de Regalis résonne au creux de mes oreilles. Il se joue encore de moi. Ses doigts m’explorent mais ne dépassent pas l’odieuse frontière que représente ma culotte. Au jeu de la frustration, il en sort gagnant car il lui suffirait d’un mot pour que je le supplie enfin de me prendre et mettre terme à mes délicieuses souffrances. « Gardez votre douceur et votre sensualité pour une prochaine fois. Je préfère vous entendre vulgaire et cru, aujourd’hui. »

Ma main joue toujours avec cette forme grandissante. Elle n’a de cesse de s’accroître dans son fourreau jusqu’à s’étouffer contre ses barrières. Je saisis le tissu pour la libérer, prête à découvrir la vérité. La queue divine jaillit brusquement contre mon ventre. Malgré ma longue vie, je n’en ai presque jamais vu d’une telle taille. Le dieu n'a pas menti. Mes doigts s’empressent de la capturer. Entre mes deux mains, elle paraît toujours aussi imposante mais je ne me laisse pas impressionnée. Il est clair qu’il dépasse toutes mes espérances.

« Vous ne m’avez pas dit comment je dois vous appeler. » Mes paroles sont prononcées et je m’abaisse lentement pour venir goûter à ce met de choix. J’ouvre légèrement ma bouche et gobe avec lenteur le gland. La position est trop peu confortable alors je me précipite de descendre du siège. Ma robe passe sous mes seins, les libérant contre les cuisses du Dieu. En un instant la situation à changer, je me retrouve à genoux devant lui à déguster sa merveille.

Malgré mon expérience, je suis contrainte de prendre mon temps. Je descend lentement ma bouche contre sa verge durcie dans un érotique massage buccal. Chaque seconde est un véritable régal et permet de découvrir cet engin extraordinaire. Je suffoque dessus sans l’avoir fait entrer dans son intégralité. Ma tête part en arrière et mon regard flamboyant monte vers lui. « Défoncez-moi comme vous êtes le seul capable de le faire. »

-Que tu en sortes si frustrée et agitée ne fera qu’enrichir ce que nous allons partager … N’y gagnes tu pas au change ? C’est un brasier dont je vais devoir m’occuper !

Jouer avec les dieux n’était pas très conseillé. Mais elle avait su amener la chose d’une douce manière. Elle s’y serait prise autrement, elle serait surement en train de passer un sale quart d’heure. Mais après avoir autant titiller son appétit, il se devait de l’honorer de la meilleure des façons. Il pouvait être malin, mesquin … mais être cruel n’est pas vraiment son truc.

-Tu es déjà moins coincée que certaines déesses … Et celles qui sont portés sur le sexe sont insupportable. Ne deviens pas comme elle après avoir gouter le divin …

Elles ne se sentaient tout simplement plus pissées ! L’une d’elle utilisait même deux servants pour porter sa lourde poitrine … chacun un sein. Vous devriez voir sa dégaine lorsqu’elle doit se déplacer … La succube n’avait pas de pareil obus … Mais si elle pouvait ne pas changer et traiter un dieu comme un dieu, plutôt que d’étaler son expérience comme certaines, ce serait bien apprécié.

-Je préfère te prévenir … sait-on jamais …

Elle pressait sur la forme de son pantalon, comme pour vérifier que ses paroles étaient vraies. Bien que pour le moment, elle ne pouvait pas encore se rendre compte de ce qui l’attendait. L’appareil ne faisait que se réveiller. Mais quoi de mieux en attendant que de la taquiner encore afin de faire monter le feu en elle ? Laisser cette culotte, lui offrir des caresses qui ne traverse pas cette frontière … laisser le brasier continuer de s’alimenter. Connaitre les limites de la succube était tout aussi intéressant … et excitant.

-Cru … très bien … Je ne pensais pas avoir mis autant de bois dans ce fourneau …

Elle défait son pantalon, laissant sa verge jaillir et venir contre son ventre et son nombril. Elle pouvait désormais avoir une idée de ce qui allait l’empaler, de ce qui pourrait la traverser brutalement jusqu’à en sentir ses fesses claquer par un bassin. Il frisonne sous les doigts de la démone qui empoigne cette perche. Elle pouvait désormais sentir la chaleur que dégageait ce morceau de chaire qui devenait vraiment très vif …

-Je pensais que tu aurais fait comme moi en regardant le contrat … Regalis, ma petite Sareeth

Elle allait ensuite rapidement prendre en bouche sa verge qui se dressait toujours de mieux en mieux sous ses délicates attentions. Il soupirait de plaisir … Le film n’était clairement pour ce qu’il regardait, laissant son regard se poser sur ce que la succube faisait. Son gland en bouche, il posait sa main sur sa tête, la lui caressant et pressant parfois pour qu’elle l’enfonce plus profondément … Hmmm … Il lui laissait le loisir de respirer quand elle remontait la tête. Il sourit en l’entendant et il observait cette poitrine maintenant à découvert …

-Comme tu peux le voir Sareeth … J’ai des couilles pleines à vider … Et maintenant que tu es à moi … C’est en t’utilisant comme une chienne que j’ai l’intention d’arroser ta chatte …

Il se redressait un peu, lui attrapait alors le menton de sa main pour guider son regard dans le sien. Il se lecha les lèvres devant elle, sensuellement avant de passer son pouce sur ses lèvres … Va verge pulsait de plaisir, elle était prête à la prendre. Il manquait simplement l’orifice pour se décharger entièrement.

-Fourres moi en toi que je te défonce l'entièreté de ta chatte, je ne m’arrêterai pas même si tu me le demandes … Si tu t’évanouis, je continuerai de profiter de toi, comme un objet …

 « Si votre seule présence me permet de connaître une telle exaltation à chaque fois, nos journées risquent de se résumer à de fiévreux ébats. » Il évoque les autres déesses, celles qui garnissent son tableau de chasse. Mais ses propos n’ont rien d’élogieux. Ils sont acerbes et critiques.

Si je ne sais ce qui motive un tel dédain, je ferais attention à l’avenir à ne pas m’attirer ses foudres. Il demeure une différence fondamentale entre elles et moi. Je n’ai l’égo à me comparer à une divinité et mes paroles, parfois pressantes, en demeurent toujours respectueuses à l’égard de Regalis. Je concède et apprécie même notre différence de statut qui fait le charme de notre pacte.  « Votre prévenance est louable. »

Je n’ai su comprendre à quel point celle-ci me décrivait une réalité avant de l’avoir sous les yeux. Même libérée de sa prison, entre mes lèvres, sa queue continue de grossir et se tendre. Elle est impressionnante et aurait mis en fuite l’humaine que je fus, quelques millénaires auparavant. La succube que je suis en voit un grand défi à relever et une promesse d’un plaisir phénoménal. Je prends soin de m’en occuper avec la plus grande des attentions. « La précipitation m’a fait oublié de le lire. Je préfère l’entendre de votre bouche. » Sa main se pose sur sa chevelure. Je sens les pressions qu’il exerce hasardeusement et un encouragement que j’apprécie.

C’est lui qui relève ma tête. Mes iris flamboyants se perdent dans les siennes. « J’aime vous entendre me parler ainsi. » Sa vulgarité ajoute du piment et met en valeur la différence fondamentale entre nos êtres. Je suis qu’une succube parmi tant d’autres. Il est un dieu. « J’arrive. Vous pourrez vous en donner à coeur joie jusqu’à être vidé de votre énergie. » Dans l’obscurité de la salle, je retire ma culotte souillée et la jette quelques sièges plus loin. Je me lève et m’installe au-dessus de lui. De mes deux mains, je le guide jusqu’à l’entrée.  « Je ne peux pas m’évanouir, pas avec un partenaire comme vous. »

La pression du gland écarte mes lèvres intimes. « Il faudrait mieux avoir fini avant que les lumières s’allument. Mais que nous y parvenions ou pas… » Mes lèvres se posent contre son oreille. « Gardez de l’énergie pour me défoncer toute la nuit à venir. » Je suis  arrivée au milieu du film et les négociations ont traîné. Ainsi, il se dirige vers sa conclusion ce qui me fait oser avouer que nous sortirons peut-être frustrée de cette salle. A l’instant où elle sortira de l’obscurité, nous n’aurons plus aucune tranquillité pour honorer notre pacte.

Être frustrée n’est peut-être pas une mauvaise chose. Je m’en rends compte en prenant mon temps alors que seul son gland a pénétré mon jardin secret. Cette seule intrusion est loin de me satisfaire. Je veux le dieu, en entier. Mais ne pas terminer avant la fin serait le meilleur moyen d’enflammer nos passions durant les prochaines heures. D’humeur malicieuse, je fais mine de descendre mon bassin mais rien ne se passe et je n’y mets aucune force. « Nous sommes condamnés à demeurer frustrés. Quel dommage. » Mes mains caressent toujours le pieu dressé entre mes jambes. Mes lèvres rejoignent celle de la divinité.

J’use de mes dernières ressources pour ne pas céder à l’envie. J’entretiens la frustration péniblement. Connaître la sensation de se faire défoncer par une telle queue me fait frissonner d’impatience.

-De quoi pimenter de plaisir ces prochaines journées …

La succube n’avait pas vraiment à s’en faire pour le moment. Elle était loin d’être au niveau de ces déesses qui se pensaient au-dessus de tout à cause de leur expérience. Sareeth n’avait pas étalé son savoir, bien qu’il soit sur qu’elle en ait dans la matière. C’était déjà une différence majeure.

Est-ce qu’une succube prévenue en valait deux ? Ce serait le pied, il fallait bien l’avouer.  Elle était penchée en dessus de cette verge qui prenait forme. La succube ne semblait pas regretter son choix d’être allé plus loin. De toute façon, l’aurait-elle pu avec le pacte qui avait été signé ? Mais elle était si pressée d’y gouter qu’elle n’avait pas pris le temps de lire son nom sur un bout de papier, mais désormais elle le connaissait. Il avait juste une folle envie de satisfaire les entrailles de la jeune femme. Le film arrivait visiblement à son terme mais cela leur laissait quelques minutes pour savourer un apéro, une mise en bouche de ce qui pouvait les attendre ?

-Je l’espère bien ! Je suis bien déterminé à t’entendre gémir.

Sa culotte jetée au loin, elle revint au dessus de lui et cette fois, elle guidait sa verge vers son fameux jardin des plaisirs. Son gland écartait ses lèvres intime et il l’entendait espérait être défoncer toute la nuit. Les termes du contrat étaient ainsi. Elle le souhaite ? Elle l’aura. Mais même si ce film finirait par arriver à sa fin et que les lumières se rallumeront, ils pourront très bien caché ce qu’ils font en baissant sa robe et en restant coller contre lui pour cacher cette poitrine volumineux à l’air libre …

-Même si nous finissons pas avant que les lumières reviennent … Tu as ce qu’il faut sur toi pour dissimuler et mieux reprendre … Je n’ai aucune envie de quitter cette salle sans avoir noyer tes entrailles … Et cela ne m’empêchera pas de défoncer la cochonne que tu es toute la nuit !

Et elle continue à ne pas faire glisser d’avantage sa verge en elle. C’est frustrant … Se vengerait-elle ? Si telle était le cas, il allait craquer ! Sa verge pulsait avec son gland bien pressé par ses lèvres. Il répondit au baiser de la succube, venant lui empoigner les cheveux sous cette frustrations avant de descendre sa dangereuse main le long de son échine … De quitter sa peau et de laisser ses deux mains claquer ses fesses bien ronde et blanche en les empoignant, ne laissant aucune chance à la succube de retirer ce bassin de cette pénétration qui ne faisait que commencer …

-Oooh non … Bon appétit !

Il pressait ses mains sur ses fesses, forçant donc la succube a voir entrer le rester de sa verge en elle ! Il écartait rapidement le reste de ses chaires, son gland frottant à merveille ses parois. Sa verge était visible sur sa peau dès l’entrée de ses lèvres intimes ! Il continuait sa perforation jusqu’au col de l’uterus, un col qu’il ouvrit rapidement également, comme si ce n’était pas un obstacle sous la force de ses mains … Il vient plaquer son gland au fond de son utérus, claquant d’un coup son bassin contre le sien, sa verge déformant légèrement son ventre désormais … Elle pouvait entendre Regalis gemir d’un plaisir fou, une frustration qui s’en échappait bien entendu … Cela faisait un bien fou de sentir la chaleur de ses entrailles … Elle pouvait sentir sa verge tirailler pulser de frustration, étant si dure à cause de ces émotions …

-Alors Sareeth ? … Tu as vraiment envie de sortir d’ici sans mon foutre ?

Tenant fermement ce fessier, il commence à la faire bouger, lui faire sentir sa verge venir et sortir de son antre pour mieux s’y engouffrer le coup d’après. De cette force s’en dégageait toute cette frustration qui avait besoin d’être soulagé, de cette sauvagerie, elle pouvait sentir dans quel état elle a mis le dieu durant tout ce temps qui avait bien caché ses émotions … pour mieux la baiser !

 « Vous voulez jouer ainsi ? D’accord. Mais vous avez intérêt à me démolir jusqu’à ce que je ne sois plus capable de marcher demain. » Ma nature de succube lui rendra la tâche compliquée mais pas impossible. Mais je ne le satisfais pas pour autant. Le sentir frustré et dur contre mes lèvres est tellement excitant que s’il veut me défoncer dans le cinéma, la divinité va devoir y mettre du sien. Il ne me fait plus attendre en s'agrippant brutalement à mes fesses rondes. Je peux sentir ses doigts brûlants s’enfoncer dans ma peau alors qu’il me fait prisonnière de son emprise. L’inévitable n’est plus qu’une question de secondes.

Mes fesses sont à l’air, sa queue est bien visible collée contre mon entrée. Mais peu à peu, elle commence à disparaître. Son gland m’explore et prend possession de mon orifice jusqu’à taper contre mon utérus. Je me retiens de gémir et souffle à l’oreille du dieu. Ma respiration est saccadée et brûlante. Je ne m’attendais pas à plus quand il pousse plus loin encore pour venir combler toutes mes entrailles de sa verge. Il atteint le bout ayant rentré son engin jusqu’à sa garde. Le dieu ne s'embarrasse d’aucune discrétion, je peux l’entendre gémir distinctement quand je me retiens d’attirer l’attention sur nous.

C’est tellement bon, tellement serré que ma voix finit par rejoindre la sienne dans un orchestre obscène.  « Impossible… Baisez-moi, Regalis… » Il a une raison. Maintenant que j’ai goûté à ce délice, je n’ai plus aucune envie de m’arrêter. Je le sens me guider mais il m’est impossible de rester passive plus longtemps Il me montre toute sa frustration accumulée par sa brutalité. Je conçois à peine que ce dieu à peine expressif soit finalement si passionné. Le savoir aussi désireux que moi de s’abandonner à la luxure m’excite tellement…

Je bouge à mon tour. J’accompagne les mouvements qu’il guide, j’accélère et viens toujours m’empaler sur sa divine verge. Je ne peux plus dissimuler mon plaisir et mes grossiers gémissements deviennent excessifs et forts.

Mais quand tout à coup, la longue liste des crédits défile dans mon dos, les lumières s’allument et l’obscurité ne cache plus nos ébats passionnés. Je me jette sur les lèvres de Regalis dans un langoureux baiser. Je n’ai d’autres moyens d’étouffer les lamentations de plaisir. Mes mains attrapent ma robe qui est remontée sur le haut de mon joli cul pour la descendre et cacher l’union de nos corps. Je finis par me mettre dans une position plus assise qui ancre sa verge bien au fond de moi, cachée de la vue des autres.

 « Ne bougez pas… » Je le supplie contre ses lèvres alors que les rares spectateurs du film quittent rapidement la salle sans passer à côté de nous. Mais je sens qu’un seul frottement de son érection pourrait m’arracher un bruit si obscène que tous les regards se tourneraient vers nous d’un seul coup. Je m’agrippe aux accoudoirs pour tenter de garder mon calme.

Les crédits continuent de défiler et les dernières personnes sortent. Je me mets tout de suite à bouger car je ne peux endurer plus longtemps la frustration de simplement l’avoir en plus. Sa verge coulisse dans mon orifice dans des mouvements amples et rapides. « Je ne m’arrêterais pas… Si de nouvelles personnes entrent. » Le risque est excitant, être observé encore plus mais cette fois-ci, je veux profiter sans être dérangée d’être culbuté par un dieu. « Pas jusqu’à ce que vous ayez joui. »

-Si tu ne sais plus marcher demain … Je pourrai que mieux profiter de toi !

Il n’avait aucune intention de la ménager. C’était une succube après tout, elle était faite pour ce genre d’action, de fête, de vivre dans la luxure à un tel point ou elle en serait piégé pour un bon moment. Il ignorait ce qu’elle avait déjà pu vivre lors de ses expériences. Mais il avait bien l’intention de lui démontrer la différence entre toutes ces années et un dieu … S’il pouvait balayer tout ça à coup de rein, il se fera un plaisir d’être le séisme au milieu de toutes ces émotions.

Difficile de tenir le coup avec une telle envie … Impossible de dire qu’il ne veut pas ! Et il avait atteint un stade ou il voulait absolument répondre à son plaisir. Elle était en position … hors de question de reculer ! Il faisait pression sur la peau de ses formes, laissant ses doigts s’enfonçer sur la peau de ses belles lunes pour avoir le plaisir d’une pénétration succulente. Il était bien à l’étroit, parfaitement bien masser de tout son long … La vulve d’une succube était d’un tout autre niveau. La chaleur, qui s’en dégageait, était hypnotisante et excitante … Il se sentait aspirer au fond d’elle alors qu’il lui offrait le plaisir de couvrir l’intégralité de son antre …

Il semblerait qu’il lui était aussi impossible de sortir d’ici sans son foutre. Parfait … Ils étaient donc d’accord sur un point, surement le premier d’une grande liste après ces longues négociations. Bien que le rythme fût donné par la force de Regalis, elle suivait pratiquement tout de suite, ayant la même folie au fond de ses lèvres intimes que lui ! Ils voulaient profiter de ce moment, même si bien rapidement, les crédits du film étaient présents. Un moment bien frustrant …

-Je ne bouge pas mais …

Mais sa verge pulsait avec force, réclamant un plaisir inégalable ! Sa verge sécrétait déjà sa pré-semence qu’elle avait donc tout le loisir de sentir couler contre ses chaires les plus profonde, son gland étant bien coller dans le fond, déformant ce joli ventre plat. La robe cachait cette pénétration titanesque et ils s’embrassaient en restant bien coller pour dissimuler cette poitrine volumineuse, bien écrasée contre son torse … Il agrippait le dos de la succube, serrant ses doigts le long de son dos sous ce flot d’émotion, n’ayant qu’une envie … donner un coup brusque de bassin …

-On sortira d’ici … Que quand tu seras pleine … Ahmmm … Vas y ! Chevauche moi, que je te donne mon foutre !

Lorsque le dernier client du cinéma sortait et que la porte se fermait, au moment même ou le claper pouvait se faire entendre, Regalis donnait un coup de bassin bien vif pour qu’elle sente a quel point cette attente était une torture … Il suivait alors le rythme de son bassin pour plaquer sauvagement son gland au fond de son utérus, déplaçant ses mains sur cette poitrine qui lui fait de l’œil depuis cette rencontre, la redressant pour qu’elle soit bien droite, empalée sur sa verge qui était bien visible grâce à cette forme de ses lèvres intime jusqu’à son nombril …

-Aaaah bordel … Tu vas en prendre pour ton grade ! Je vais te noyer … les entrailles … VAS Y !

Les claquements de bassin remplaçaient l’ambiance des crédits qui continuaient de défiler. Regalis gémissait, continuant de se ficher de qui pourrait l’entendre ! Il n’avait qu’une chose en tête, elle. Jouir en elle  et qu’elle sente cette envie, mais pas d’une manière aussi pauvre que celle d’un humain !

 « Vous ne perdez pas le Nord. » La perspective d’être incapable de quitter mon lit et laissé Regalis en profiter est alléchante. Mais avant de partir du cinéma, nous avons une affaire urgente à conclure. Nous sommes obligés d’attendre, malgré des débuts plus que prometteurs. L’envie de bouger ne manque pas, surtout que sa queue réclame plus. Je peux la sentir pulser entre mes parois, déformer mon corps par son imposante stature. Je sens les premières gouttes s'échapper. « C’est dur… »

Il me donne tellement envie de bouger, d’oublier les personnes présentes pour enfin assouvir mon désir. Je tiens bon jusqu’à ce que le dernier spectateur quitte la salle et que la porte claque derrière lui. Je m’apprête à bouger mais Regalis est plus rapide. Sa queue est presque sortie d'un coup de bassin, il me fait comprendre de ne plus le faire attendre. Le bruit résonne dans la salle désormais vide et avec mes gémissements.

La chevauchée sauvage reprend de plus belle. Je ne m'arrête plus. Pire, maintenant plus rien ne nous retient. Il n’est plus question de discrétion ou de retenue. Sous la pleine lumière, je viens m’empaler encore et encore sur sa queue tendue. Nos bassins claquent, nos corps s’unissent dans l’espoir de connaître la jouissance sans être dérangé. Les crédits défilent à grande vitesse, passant au second plan de nos ébats passionnés. « Allez-y… »

Malgré les sensations fortes que m’imposent le dieu, j’ai de la réserve. Mais je redoute une entrée intempestive qui gâcherait l’instant unique de notre union, qui nuirait à la communion de nos corps. Je double d’efforts à l’accueillir brutalement dans ma chatte brûlante. Je suis impatiente qu’il me montre de quelle façon un dieu jouit et qu’il me noie comme promis dans le plaisir. Il m'a toujours surpris jusqu'ici alors je suis curieuse de découvrir ce nouvel aspect de lui.

-Il faut profiter des belles choses voyons …

Celui qui ne profitait pas de ce qu’il avait sous la main risquait de s’en mordre les doigts et de jamais avoir une deuxième occasion comme celle-ci d’assouvir ses pulsions. Même si le dieu avait l’éternité devant lui et que ce genre de situation avait tout de même une chance bien plus grande de se reproduire que la pauvre vie d’un humain, il était hors de question de laisser les probabilités prendre le dessus.

Cette fameuse pause avait faire d’énorme dégâts ! L’attente semblait si longue alors que le peu de personne présentent dans la salle sortaient rapidement. Ce petit laps de temps avait tellement tendu sa verge … Elle n’avait qu’une envie, se défouler pour mieux se vider désormais. Le corps de la succube allait devoir encaisser les puissants coup de bassin qui s’enchainaient ensuite à peine la porte qui claquait pour se fermé, bien déterminé à noyer le feu au fond d’elle l’histoire d’un petit temps de pause pour mieux reprendre.

Massant cette poitrine entre ses doigts, il fixait la demoiselle qui ne restait pas passive, suivant ces coups de bassins qui claquaient avec force contre le sien ! Sa queue était littéralement en train de ravager sa bonne petite vulve serrée qui était en train de lui masser le gland chaque fois qu’il rouvrait le chemin en retournant au fond de ses entrailles … Ces douces caresses chaudes et excitantes au bout de cette chaire sensible étaient tout simplement divin … Et avec le rythme qu’ils avaient, elle allait le faire céder rapidement, ce qui était malgré tout le reflet de leur état en ce moment même et le peu de temps qu’il leur restait avant que le concierge vienne s’assurer que la salle soit propre pour la séance d’après …

Il lachait alors soudainement cette poitrine qu’il avait bien maltraité, venant plaquer ses lèvres contre les siennes en serrant sa poigne dans ses cheveux, empoignant une de ses fesses avec force, laissant la marque de ses doigts sur sa peau blanche avant de gémir contre ses lèvres alors qu’il la force à plaquer son bassin contre le sien, laissant l’explosion l’envahir et le plaisir de sentir sa semence gicler avec une force et une chaleur divine, lui offrant la sensation d’un superbe gonflement à force de jouir cette quantité en elle à chaque jet qui s’écrasait contre ses chaires collée à son gland … Sa verge pulsait, laissant sa semence vibrer chaudement au fur et à mesure qu’il noyait ses entrailles et sa verge dans son utérus … Lâchant ses lèvres …

-AAAaaah OOUIIIII …. Sareeth …. BORDELLLLL …. PREEEEEND ….

J’apprécie les hommes expressifs comme Regalis, ceux qui me font sentir à quel point nos ébats sont plaisants. Être la seule à prendre son pied est vite ennuyeux. Je rectifie ! Avec un tel dieu, il n’y a pas matière à se faire chier. Il est incroyable sur tous les plans. Je n’ai pu apprécier qu’une seule possibilité, au-dessus de lui, dans ce cinéma. Une fois libre de nos mouvements et de nos positions respectives, ça sera différent et ça nous permettra de découvrir tellement de sensations. Je me fais impatiente de cette perspective alors qu’il continue de me combler jusqu’au plus profond.

Je m’accroche bien à lui par ses épaules quand mon bassin s’empale brutalement sur son énorme queue. On ne fait plus dans la dentelle et nos ébats ont pris une tournure encore plus sauvage depuis que la lumière est allumée ! L’obscurité invitait à la sobriété et la discrétion mais maintenant, le temps nous ait compté. Pour ne pas être dérangé pour le dernier feu d’artifice, nous nous donnons corps et âme à la luxure, sans retenue. Je ne peux rester passive alors qu’il me donne tant de plaisir. J’accompagne chacun de ses coups de reins qui permettent à son épée d’apprécier mon fourreau.

Sous ce même délice, je me sens me contracter autour de sa queue. Elle me comble bien serrée dans mon orifice mais là, mes parois l’étouffent entre elles. Le passage se fait de plus en plus difficile pour lui. Mais sa force brute lui permet de toujours venir l’empaler d’un seul coup sec. Il lâche ma poitrine. Mes tétons sont rougis et dressés par son passage et ma peau laiteuse marque le passage de ses doigts. Mes fesses connaissent le même sort.

Je suis prête à me relever pour entamer un nouvel allez quand tout à coup, il me maintient contre lui. Je m’inquiète de voir un inconnu venir nous déranger et se cacher une seconde fois. Mais ce n’est pas cette raison qui l’incite à agir de cette manière. Une fois installé en moi, il m’offre une fin plus délicieuse que toutes celles que j’ai pu m’imaginer. Recevoir sa semence est au-delà de mon imagination. Je m’accroche bien à lui pour qu’il me noie de son plaisir. A son oreille, il m’entend gémissante et de ses mains, il me sent tremblante.

« Regalis, c’est… » Je n’ai aucun mot pour décrire la sensation. Nous restons encore plusieurs longues minutes unis après que ses derniers jets se soient expulsés. Si nous nous étions pas mis d’accord pour partir, j’aurais entamé une reprise tout de suite ! Mais à la place, je prends le temps d’encaisser cette sensation délicieuse et addictive. Mes jambes tremblent encore quand je décide de me lever. Je suis un peu maladroite et je sers bien mes cuisses pour ne pas laisser son sperme s’échapper. Il s’en est tellement écoulé que j’ai encore l’impression d’être remplie !

« Allons-y. » Le dernier crédit s’affiche et le concierge fait son apparition. Je prends la main du dieu pour l’inviter à l’extérieur de la salle. J’y pensais plus mais juste devant, y a mon rencard que j’ai largué comme une vieille chaussette. Il m’a attendu tout du long ? Quel imbécile. Mon départ aurait dû lui paraître clair. « N’y faites attention. » Lui ouvre la bouche : « Grosse pute, t’es allé te taper un autre mec ? » Je l’ignore. Mais il s’aperçoit vite d’un fin filet blanc qui coule le long de ma jambe et tire une tête à en effrayer un mort.