Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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« Magda Carta », ou, la cartographie du c*l en quatre… à vingt jours (PV)

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Takezo O. Mamoru

Humain(e)

Les beaux jours pointant enfin le bout de leur nez, l’heure est aujourd’hui, comme tous les ans à cette période de l’année, aux sorties au grand air.

Les vacances me permettant enfin de m’éloigner des salles de classe comme de mes camarades, je prends le temps de flâner, de lire quelques BD, de me remettre à jouer aux jeux-vidéos… La saison de judo étant elle aussi terminée, on peut même dire que j’ai TROP de temps à revendre.

Quand bien même je restais encore trop pudique pour aimer m’exhiber de la sorte en public, force était de constater qu’aujourd’hui, j’avais fini par céder à mes grandes sœurs, qui voulaient profiter de la plage pour se baigner un peu.

Comme d’habitude, il ne nous fallut pas trop longtemps pour que nous finissions par nous chamailler, sur un sujet ou un autre. Tandis que je rechignais à retirer mon t-shirt comme à mettre ce maillot de bain bien trop petit pour moi, elles n’avaient eu de cesse de me taquiner, me lançant bien trop de leurs piques moqueuses.

Emportant mon parasol, ma crème solaire et le reste de mes affaires avec moi, j’étais finalement parti, bougon, me trouver un coin plus tranquille, et plus propice au repos, bien à l’ombre.

Au creux d’une petite crique plus calme et moins fréquentée, j’avais donc planté mon parasol pour profiter de l’ombre et de la chaleur, sans avoir à supporter les critiques de qui que ce soit. Allongé sur ma serviette, à bouquiner un peu, je haussais parfois mon regard, discrètement planqué sous mes lunettes de soleil, pour observer toutes ces jolies jeunes femmes que les beaux jours avaient fait sortir bien peu couvertes.

Ayant creusé comme un large trou dans le sable, sous mon aine, je jouais les petits voyeurs sans prendre le risque que l’on ne puisse voir quoique ce soit, d’aussi énorme soit-il, dépasser de ce short bien trop court pour planquer le fruit de mes hormones en furie.

Remontant mes lunettes bien haut sur mon nez, je laissais discrètement mes yeux fureter, glisser sur les formes affolantes de la toute petite blonde qui s’installait à quelques mètres de moi à peine.
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Aïe aïe äie

Magdalena Takao

Humain(e)

Par ce temps, Magdalena n’avait envie de rien d’autre que de s’amuser et elle avait choisi son terrain de chasse pour la journée : la plage. Évidemment, elle aimait s’y rendre pour prendre un bon bain de soleil au bord de l’eau ou se baigner comme tout le monde mais elle aimait surtout s’y rendre pour la densité de personne peu vêtue s’y trouvant, elle-même aimait exhiber ses courbes généreuses. Elle ne portait pour seul vêtement que le haut d’un maillot de bain pour soutenir son opulente poitrine ainsi qu’un mini-short si mini que son string  dépassait, comme à son habitude elle était là pour allumer tout le monde.

Passant près d’un marchand ambulant faisant le tour de la plage, elle acheta des glaces avant de rejoindre un coin tranquille, elle était une chasseuse et elle aimait repérer ses proies avant de partir à l’assaut. Il y avait des hommes charmants, des femmes ravissantes et elle ne savait pas encore ce qu’elle voulait se mettre sous la dent lorsqu’elle installa son spot. Cependant, son instinct repéra tout de suite le garçon qui n’était pas loin d’elle, il avait à priori choisi cet endroit pour la même raison qu’elle. Il avait beau se cacher, sa grande expérience lui faisait bien comprendre se qu’il faisait en ce moment et elle décida de s’amuser un peu avec lui.

Il la regardait mais elle n’avait pas encore donner l’impression de l’avoir remarquer, cependant elle se plaça tout de même de manière à ce qu’il puisse la voir alors qu’elle retirait sa glace bâton de la bouche pour venir la faire disparaître dans son short. La subtilité n’était pas dans le vocabulaire de Magdalena, elle ne vivait que pour le plaisir et lorsqu’elle avait décidé de s’amuser avec quelqu’un, c’était difficile de l’arrêter jusqu’à ce qu’elle soit totalement satisfaite.

Takezo O. Mamoru

Humain(e)

Je dus sans aucun doute rougir en la voyant arriver. Mais, fort heureusement pour moi, du moins j’imagine, ce n’était pas ce qu’il y avait de plus visible, caché bien à l’ombre de mon parasol.

Quand bien même cette zone du banc de sable n’était pas des plus occupées -elle était même presque déserte de ce côté-, la petite blonde toute haute en formes, derrière laquelle tous les hommes semblaient se retourner, décida de s’arrêter là, à quelques mètres à peine juste devant moi.

Armée de pare-chocs gigantesques et qu’elle ne couvraient à peine, comme je n’en avais vus que dans des films dont je tairais la source, celle-ci s’était posée là, l’air de rien, en faisant fi de tous ces regards qui s’étaient braqués sur elle dès son passage. Déglutissant très fort, il fallait avouer que j’avais aussi fait de même, en remontant mes lunettes sur mon nez avant de me planquer un peu derrière une de mes bandes-dessinées.

Incapable de la lâcher des yeux, j’eus même un second coup de chaud lorsque je la vis se baisser bien en avant, pour installer sa serviette convenablement. Le maigre morceau de jean lui couvrant les fesses se baissant un peu, je pus déjà décrire le contour de son énorme lune qu’elle ne planquait même pas, la couvrant d’une simple petite ficelle des plus sexys…

Je dus lâcher un petit souffle discret, restant bouche bée devant ce spectacle que je n’aurais voulu louper pour rien au monde.

La regardant prendre place, je détournais vite la tête pour éviter de croiser son regard quand elle venait à se tourner. Je revenais toutefois bien vite poser mes yeux sur son corps, tandis qu’elle se tournait à demi dans ma direction.

Nouveau coup de chaud lorsque je la vis sortir cette longue glace de sa bouche pulpeuse. Wow… secouant la tête pour ne pas m’exciter en imaginant trop de choses, j’écarquillais pourtant bien vite les yeux lorsque je la vis faire doucement glisser le bâton près de son petit ventre plat.

Je pus l’entendre soupirer, tout en voyant comme le long bâtonnet glacé disparaissait progressivement à l’avant de son petit short, s’enfonçant lentement pour s’écraser contre cette peau nue, que je ne pouvais qu’imaginer… J’eus comme un grand frisson, en imaginant cette sensation de froid intense.

Est-ce qu’elle venait de se la… ?

Dès ce moment, pourtant bien planqué que j’étais, couché sur le ventre, je compris comme le trou que j’avais creusé pour cacher mon paquet n’était pas assez profond. Me dandinant un peu pour tenter de retrouver une place confortable, j’humectais et mordillais mes lèvres, gêné, alors que mes hormones commençaient à faire douloureusement effet.
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Magdalena Takao

Humain(e)

L’exhibitionnisme n’était pas quelque chose d’étranger à Magdalena, c’était une pratique qu’elle adorait et qu’elle prenait un malin plaisir à pratiquer, elle aimait sentir ces yeux désireux se poser sur elle alors que faisait des cochonneries en public. Car si les regards se tournait sur elle depuis qu’elle était arrivé à la plage c’était certes parce qu’elle était particulièrement jolie et voluptueuse mais également parce qu’elle n’était pas inconnu, certains avait reconnu l’actrice de film pornographique sans limite, d’autre la femme qui aimait se faire prendre à même le sable au milieu des autres peut être avaient-ils même été un partenaire une fois.

La bimbo blonde n’avait absolument aucune pudeur et elle ne se cachait absolument pas, pour elle c’était un jeu, et elle jouait sans arrêt. Nymphomane n’était pas un terme assez fort pour la qualifier, elle était juste une accro à la luxure et elle laissait libre court à sa libido démentielle qu’importe la situation. Autant dire que se caresser avec un bâtonnet glacé pour un voyeur qui se pensait bien caché n’était pas grand-chose à coté de ce qu’elle pouvait faire pour satisfaire ses envies.

Elle s’était effectivement enfoncé la glace en émettant un léger gémissement, plus à cause de la sensation de froid que cela provoquait que de vrai plaisir, c’était bien trop petit pour elle. Elle s’amusa à faire de petit va et vient, il n’en avait pas conscience mais le voyeur qu’elle avait remarqué était tout sauf discret et elle avait bien envie de lui donner un beau spectacle. Elle fit mine de regarder autour d’elle pour s’assurer que personne ne la regarde avant de se tourner de l’autre coté afin d’offrir son dos et ses fesses à la vue du garçon.

Son short était en bas de ses fesses et la fine ficelle de son string ne cachait en rien le petit orifice qu’elle avait décider de venir titiller avec une autre glace, se caressant la raie avant d’enfoncer le bâtonnet de la même manière qu’elle l’avait fait à l’avant. L’action était bien plus visible que de précédemment, son short ne cachant pas se qu’elle faisait, elle en faisait des tonnes en remuant l’arrière-train pour exciter sa proie, la patience n’était pas une des qualités de Magdalena et à force d’en rajouter cela perdait en naturel. Le voyeur sortirait-il de sa cachette de lui-même ou devrait-elle aller le chercher, elle ne le savait pas encore mais d’une pression sur le bâton de la glace, elle s’enfonça la totalité de la partie glacée, ne ressortait qu’assez de prise pour la retirer.

Takezo O. Mamoru

Humain(e)

La gorge soudainement sèche, mais la bouche saliveuse, j’observais avec intérêt l’étonnant spectacle auquel s’adonnait la sulfureuse touriste.

Planqué derrière ma BD, je n’en revenais pas !
Pour moi qui n’avais jamais connu que l’extase d’un bon porno, ce que je voyais là était un véritable régal. Je n’osais bouger, de peur d’être remarqué et d’être pris sur le fait, mais me dressais toutefois un peu plus sur mes coudes pour m’approcher un peu. Je veillais à rester bien à l’ombre de mon parasol, comme à garder mes lunettes à leur place, dépassant à peine de mon bouquin, mais revenais sans arrêt zieuter pour ne pas manquer une miette de tout ça.

De peur, je faillis faire un bond lorsque la belle blonde tourna la tête d’un côté puis de l’autre pour s’assurer que personne ne l’observait. Remontant subitement bien haut mon bouquin, il fallait croire, fort heureusement pour moi, que je l’avais échappé belle.

Sans doute me croyait-elle trop occupé à lire, puisque, lorsque je reposa mon livre la seconde d’après, je pus soudain la voir encore mieux.
Allongée sur le côté, dos à moi, la voilà qui se recroquevillait pour lentement baisser son petit short. Son gros cul se dévoilant doucement, je dus me mordre férocement les lèvres pour ne pas me lancer à moi-même un petit commentaire qu’elle aurait pu entendre.

La main sur le petit bâtonnet que je voyais en effet dépasser hors de ses cuisses, sur un côté de son string qu’elle avait dû entrouvrir, elle ne sembla dès lors pas se priver pour lâcher quelques lents et profonds petits soupirs, tandis que je voyais tantôt apparaître, tantôt re-disparaître la longue glace colorée.

Affolé que j’étais, je mis une main sur ma bouche pour être sûr de ne lâcher aucun bruit qui soit, et me mis à tendre l’oreille pour l’écouter.
Je pus entendre le bruit d’un nouvel emballage que l’on ouvrait, puis vit apparaître un second bâtonnet.

Les yeux grands écarquillés, je décidais de me dresser encore un peu plus, levant un peu la tête pour la regarder faire. Le long et fin bâton orange glissa lentement, marquant sa belle raie entrouverte… puis son autre main vint décaler un peu, encore une fois, un peu plus, la ficelle de son vêtement. Je n’étais pas encore assez près pour voir tel que j’aurais aimé voir ça… mais je comprenais toutefois très bien ce qu’elle faisait, alors qu’après s’être caressée la raie des fesses, je pus la voir s’enfoncer la glace toute entière dans le cul.

Pour l’adolescent encore inexpérimenté que j’étais… quel spectacle beaucoup trop hot ! J’étais presque tétanisé, paralysé par la peur de me faire choper alors que, comme dans un porno, la jolie fille d’en face venait de se faire remplir par tous les trous.

C’était beaucoup trop, mais, quand bien même j’essaierai de m’enfuir pour ne pas me faire remarquer, il était quasi sûr que je me ferai choper sur le départ. Puis, maintenant que tout ça m’avait fait bander comme un âne, je ne tenais plus vraiment en place, ne cessant de gigoter mon bassin dans un sens puis dans l’autre, sans trouver une pose qui puisse m’être confortable. Le trou que j’avais fait sous ma serviette n’était désormais plus suffisant pour quoique ce soit et rester ainsi positionné en était même devenu douloureux…

Raaah… putain.
Tout, tout, tout… doucement, j’entreprenais de me relever pour changer de position. Basculant lentement sur le côté, en prenant soin de ne pas faire le moindre bruit, je sortais l’immense verge de sa soi-disant cachette, pour lui laisser un peu plus d’espace. Mais, même ainsi… quand bien même je me tournais pour ne pas que ça se voit, il m’était difficile de supporter toute l’étroitesse de mon short de bain. L’épaisse bûche qui pendait entre mes cuisses s’étant bien trop gorgée de sang, cette minuscule toile qui me servait de chapiteau me faisait souffrir le martyr.

Lentement, puisque d’ici, même elle ne me verrait pas si elle venait à se tourner dans ma direction, je passais l’une de mes larges paluches sous mon short. Enserrant le gros mandrin dont je ne pouvais même pas faire le tour, je me mis à me masser doucement, en retournant mater cette grosse paire de fesses joliment prises de tous les côtés…
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Magdalena Takao

Humain(e)

Elle n’était pas pourvu de super pouvoir mais elle savait très bien ce qu’il se passait derrière elle et cela la faisait sourire, affoler les hommes étaient si facile que ce n’était même pas un challenge, il fallait bien avouer qu’elle avait des arguments imparables et elle le savait parfaitement. Son expérience lui faisait imaginer parfaitement la scène du voyeur se dandinant pour ne pas se faire attrapé alors qu’il essaye de se retenir de se jeter sur elle, elle l’imagine mais elle l’entend également, il faisait un de ses boucan que s’était plutôt étonnant qu’il ne se dise pas qu’il s’était déjà fait remarqué et que la belle blonde ne faisait que l’allumer sciemment.

Elle s’amusa à faire aller et venir les bâtonnets de glace en ne manquant pas de faire de petits bruits équivoques. Cependant, la première glace fini de fondre et elle n’avait plus de quoi se pénétrer l’entrejambe. Elle décida qu’il était temps de mettre fin à cette mascarade avant que la deuxième glace fonde et elle la retira lentement de ses fesses, une bonne moitié avait déjà disparu et coulait maintenant le long de ses fesses depuis le petit orifice désormais légèrement entrouvert :

« Viens donc sucer ça, petit voyeur pervers, je suis sûr que t’en as envie. »

C’était clair, net et précis, elle avait prononcé ces mots sans même se tourner et avait juste tourner le poignet pour que le bâton pointe vers le garçon qui pensait se cacher, dévoilant qu’elle savait qu’il était là depuis le début. Cela l’amusait de savoir s’il oserait venir sucer la glace qui avait explorer son anus, c’était un avant-goût de ce que Magdalena pouvait faire, elle avait beau être ouverte à tous, elle avait tout de même certaine condition pour qu’elle ait envie d’aller plus loin. Elle aimait se qualifier de dominatrice passive, elle poussait ses partenaires potentiels à faire ce qu’elle voulait sans véritablement donner d’ordre, elle menait toujours la danse quand il s’agissait de son plaisir.
« Modifié: dimanche 23 avril 2023, 17:44:16 par Magdalena Takao »

Takezo O. Mamoru

Humain(e)

La bouche à demi ouverte et les yeux écarquillés derrière ces petites lunettes qui n’avaient de cesse de tomber sous le coup des légers mouvements impulsés par mon bras, je ne lâchais rien de ce petit jeu voyeur auquel je m’adonnais.

Il fallait me comprendre, jamais n’avais-je ne serait-ce qu’espéré voir pareille chose en vrai ! Foutue comme une véritable bombe atomique -de celles que l’on ne voit que sur le net, à la télé ou dans quelques clips encore-, la pulpeuse chaudasse qui faisait vriller toutes les têtes était quand même là en train de se faire du bien… dans un lieu public !

Oui, alors très bien, la petite blonde s’était écartée des zones les plus bondées pour faire ça plus à l’abri des regards, dans un coin plus tranquille, mais quand bien même, il paraissait sensé d’imaginer qu’elle devait prendre plaisir dans un lieu où on risquerait de la voir. Sinon, pourquoi faire ça là ?

Voilà du moins tout ce que je me racontais pour essayer me convaincre qu’il n’y avait aucun mal à faire ce que j’étais à en train de faire. Et puis bon, il y en avait d’autres, des curieux, d’autres yeux, un peu plus lointains et distants certes, mais qui comme moi, ne lâchaient pas ce gros cul dandinant du regard.

À forces de va-et-vient humides mais surtout chauds, le premier bâtonnet de bois finit par se déloger de lui-même, glissant longuement en un petit bruit, visqueux et particulièrement caractéristique, pour tomber hors de cette petite chatte maintenant pleine de sucre. À cette vue, je me raidissais encore, n’en revenant toujours pas que ce petit bâtonnet ait, lui aussi, eu plus d’expérience sexuelle que moi au cours de sa vie pourtant si courte.

Mais tout sembla basculer d’un coup… d’un seul…
Alors que je rampais doucement, m’approchais un peu pour voir tout ça d’un peu plus près, le bâton bien raide alors que la blonde agitait longuement la friandise dans son fondement, celle-ci finit par se l’extirper soudainement. Un petit « plop » survint, et tout le sucre coloré vint s’épandre, depuis son petit orifice ouvert, tout le long de sa belle raie marquée par son bronzage.

J’étais à peine à un mètre d’elle, ou d’eux, lorsque, sans se tourner pour me voir, elle tendit sa main vers moi pour me tendre le bâtonnet qu’elle venait de se fourrer dans le cul.

Ses mots, comme ce ton qu’elle prenait, me flanquèrent un grand frisson. Je comprenais bien vite comme j’avais été démasqué, mais aussi comme elle devait être consciente, depuis un moment déjà, de ma présence. Présence qui, en aucun cas, ne l’avait visiblement arrêtée, ou freinée dans ses envies de se farcir…

Rampant encore un peu pour venir à elle, comme elle me le demandait, tout rouge du fait d’être ainsi pris sur le vif, je finissais par me lever. Ayant constaté douloureusement comme il n’était pas agréable de sentir ma bûche traîner dans le sable, j’avançais alors tout doucement, à genoux, la main tendue.

Hésitant, j’approchais. Tout cela me paraissait dégoûtant, mais… à bien y regarder…

Arrivé à sa hauteur, soufflant par le nez comme un taureau énervé, j’observais, détaillais l’énorme cul devant moi, sa belle raie tenue par un fil, son petit trou délicat suintant la glace… J’essayais de me convaincre. C’était… comme lui lécher le cul, non ? Indirectement. C’était… bien plus que tout ce que j’avais fait. Et plus que tout ce que j’aurais pu espérer.

« Heu… e-eh ben… o-ok »

Silencieusement, je hochais la tête après une lourde déglutition nerveuse. Sans oser la toucher, dans son dos, j’attrapais la glace entre mes doigts et la portait à ma bouche. De peur que ne transparaisse un goût au-delà de tout ce sucre, je croquais dedans à pleine dents et avalait d’un coup sec.

Honteux, je regardais tout autour de moi, évitant avec gêne les quelques regards tournés dans ma direction. Fort heureusement, en cet instant, tout le monde sembla vaquer à ses occupations… pfiou.

Sur le point d’exploser, sans plus penser à rien, je me contenta juste de faire ce que mon corps me dictait. Baissant mon short d’un coup sec, je lâchais un profond soupir de soulagement, laissant l’épais et long mandrin d’une quarantaine de centimètres rebondir à l’air libre, au-dessus de ces belles fesses dodues.

Je n’osa rien dire, mais bon… si elle se faisait du bien en public, j’imaginais que ça ne gênerait pas l’inconnue que je me mette également à mon aise.

L'ombre massive du large tronc se dessinait alors sur le sable, se projetant au-dessus de la jeune femme tel un drapeau.
« Modifié: vendredi 21 avril 2023, 22:35:08 par Takezo O. Mamoru »
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Magdalena Takao

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Le bâton s’était allégé bien vite et Magdalena fit une moue un peu déçue, il n’avait clairement pas sucer la glace en préférant la gober, c’était mieux que rien mais ce n’était pas ce qu’elle avait demandé et ses expectations baissaient. Elle se faisait une idée du profil du voyeur un peu plus précise et puisqu’il n’y avait plus aucune raison pour qu’elle lui tourne encore le dos, elle se retourna pour le regarder. Il s’était déjà mis à l’aise et elle ne pu manquer l’imposant membre tendu qui se trouvait sous son nez, c’était tout de suite plus intéressant mais il en fallait plus pour l’actrice porno, il avait beau être long et gros, cela ne l’impressionnait pas vraiment.

Elle se repositionna pour poser un de ses pied que le gland de cet imposant sexe et s’amusa à le caresser du bout des orteils avant de le masser en les serrant à tour de rôle. Elle n’avait pas besoin de demander pour savoir que ce garçon était totalement inexpérimenté, cela faisait bien longtemps que l’initiation au sexe n’était plus vraiment quelque chose qui l’excitait mais elle n’allait pas non plus arrêter tout de suite, il avait tout de même un argument de taille qui l’intéressait bien.

Quittant son gland, elle pressa la plante de ses pied contre son long sexe et commença à le frotter de haut en bas jusqu’à arriver à ses ses bourses qu’elle pressa du bout des orteils en jouant avec, elle aurait pu les écraser et c’est tout à fait ce qu’elle fit juste assez pour qu’il ressente une pointe de douleur au lieu du plaisir. Sa technique démontrant qu’elle savait parfaitement comment faire puis elle sourit en levant la jambe pour quitter son intimité et se trouver devant son visage :

« Suce moi les orteils et lèche moi le pieds avant de remonter lentement ma jambe. »

Cette fois-ci ce n’était pas une invitation mais bel et bien un ordre, elle allait l’initier à sa manière mais il fallait bien comprendre qu’elle avait un certain niveau d’exigence. Il ne le savait pas encore mais être si près du but, le membre tendu sans pouvoir conclure tout de suite était une véritable torture et Magdalena n’était pas toujours aussi angélique que son air le laissait paraître.

Takezo O. Mamoru

Humain(e)

Affichant un air légèrement déçu en constatant comme la glace avait bien vite disparu dans ma bouche, la jolie blonde s’était finalement retournée pour me dévisager de haut en bas.

Nerveux, gêné à l’idée de me retrouver comme ça, à l’idée d’être jugé ou bien moqué pour cette queue que tous auraient dite bien trop grosse pour entrer dans quoique ce soit, je mordillais mes lèvres durement en rougissant.

Quand bien même, j’étais trop curieux, trop proche du bel objet de ma convoitise pour détourner les yeux. J’avais bien du mal à soutenir son regard, certes, mais ne me dégonflant pas pour autant, je ne me perdais plus en simagrées et laissais mon regard se poser sur ces formes qu’elle affichait sans honte, ainsi mises en valeur dans ce bikini bien trop petit pour elle.

Excité comme un môme, je caressais des yeux ses deux énormes seins qui remuaient, bandais déjà comme un taré à la seule idée qu’elle ne retire son maillot pour me laisser les voir et les mettre dans ma bouche. Puisqu’elle ne sembla pas choquée le moins du monde, en matant l’énorme bite que je venais de déballer devant elle, voilà que je m’étais mis, le plus naturellement du monde, à m’imaginer remplacer ces glaces avec lesquelles elle s’était soulagée…

Trop absorbé par mon petit plaisir voyeur, je ne la vit même pas, lorsqu’elle ouvrit ses cuisses pour mieux lever la jambe. Mon échine parcourue d’un immense frisson, cambrais mon dos de surprise, en sentant la sensation toute nouvelle qui venait à me parcourir.

Du bout de son pied, l’exhibitionniste venait de pincer ma peau pour décalotter mon gland, d’un geste effroyablement expert et habile.

« HMMF. »

Ma pointe mise à l’air, je contenais au mieux toute ma surprise, comme les effets du nouveau frisson venu m’assaillir. Le bout de son pied poussait et frottait, malaxant la chair sensible de mon gland palpitant, gros comme un poing. Raide, je serrais les miens pour garder au mieux ma constance.

Tout cela était… bizarre, mais puisqu’il s’agissait de la première femme à caresser mon sexe en chaleur, je me retins de dire ou de faire quoique ce soit, tentant même de faire le vide en moi, pour apprécier l’effet de cette singulière caresse.

« haaaaaaaaaaaa »

Son pied frottant ma queue jusqu’en bas, j’en venais même déjà à lâcher un soupir. C’était… étrangement si bon. La sensation de ce corps étranger faisant rouler mes larges veines enflées… Son pied chauffant le membre aux proportions quasi équines, d’un diamètre dépassant de façon presque anormale même les standards du porno…

« M-Madame… »

Puis, sans prévenir, elle s’enfonça dans mes larges bourses. Agréablement d’abord, quand bien même j’appréhendais à l’idée qu’elle n’appuie un peu trop fort… puis… sciemment, elle le fit. Lentement, son pied s’écrasa, un peu, encore un peu, un peu plus… Mes lèvres se serrèrent d’un coup sec tandis que je me tordais vers l’avant, avec l’impression que mes couilles venaient à me remonter dans l’estomac.

« A-Aaaah ! Aïe ! Ç-ça va pas ?

Me reculant d’un coup sec pour fuir cette abominable pression, mes sourcils froncés d’eux-mêmes d’incompréhension comme de colère, mon visage se dérida toutefois d’un coup, en voyant comme son pied s’était cette fois levé plus haut encore.

« Vous l’avez fait exprès. Pourquoi ? »

Mais à quel jeu tordu pouvait-elle bien jouer ?
Me taquinait-elle juste, ou bien se jouait-elle de moi ?

Fâché, je prenais un peu mal ces conneries auxquelles elle semblait vouloir me soumettre. Mais, les hormones étant ce qu’elles sont, j’étais bien trop raider pour dire non, alors que cette femme venait quand même de me caresser la teub.

Attrapant son pied d’une main ferme, je l’approchais doucement de ma bouche, tout en lui assénant un regard que je ne parvenais pas à rendre parfaitement noir. Je soupirais.

« Bien. Pourquoi pas. »

Ouvrant légèrement la bouche, je venais en faire sortir ma langue. D’un long mouvement, je traçais une grande ligne humide partant de son talon jusqu’au-dessous de ses orteils.

Ouvrant un peu plus grand, j’attrapais dans ma bouche son gros orteil, pour continuer à marmonner, le doigt gonflant ma joue.

« Mais je veux jouir dans vot’ chatte. »

Aussi malhonnête qu’était ce pacte, il était clair et devait m’assurer que ce serait donnant-donnant. Cette nana avait beau être terriblement bonne, et ouverte, elle n’en demeurait pas moins tordue. Ainsi, de peur qu’elle ne veuille me soumettre à d’autres de ses étranges lubies, je préférais mettre les choses au point : je voulais perdre ma virginité avec elle et, dans ce cas, trop gros ou pas, je ne ménagerai aucun effort pour son petit confort.

L’un après l’autre, je léchais ses doigts de pieds, les pourléchait et les passait au crible de ma bouche soudain plus aventureuse.

« E-et j’veux vous voir à poil, devant tout le monde ! »

Ceci étant dit, je me reculais un peu pour baisser la tête. Lentement, ma langue venait parcourir sa cheville. Mes mains descendaient longuement… puis empoignaient sa cuisse.
Je descendais doucement, passant la petite pointe de ma langue contre l’intérieur de celle-ci, mes yeux venant presque à loucher sur ce string duquel je m’approchais.
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