La mère de Zeus sous la lune. ( PV Kuro Shitsuji )

Rhéa avait enfin réussit à atteindre la Terre, cela faisait trop longtemps qu'il n'était pas retourné sur ces terres jadis habité par des humains primitifs, il ne fut pas pour autant choqué par la technologie et la civilisation qui avait prit place. Les bases de la vie était toujours les mêmes, le plus fort vivait et les plus faibles étaient voués à vivre de façon tellement bestiale, que même un animal ne voudrait pas être comparé à ces humains.

Le titanide eut le droit plusieurs fois de ce voir proposé des produis de beauté, des colliers et autre accessoire féminin, Rhéa gardait son attitude féminine, c'était le meilleur moyen de passer inaperçu, même si il fut fortement intrigué par les apparat des demoiselles de cette époque, surtout les lycéennes en tenue décontracté. Il entra dans un magasin et inspecta les vêtements, tous avait un prix, il se fit passé pour une étrangère et comprit que l'époque du troque n'existait plus dans les magasins, sauf ceux contenant des éléments touchant à l'occulte. Le tous avait été remplacé par l'argent, c'était la source de puissance de ce pays et des autres aussi d'ailleurs.

De par sa beauté fémnine, Rhéa eut enfin ce qu'il désirait, une pomme, bien juteuse en plus, de quoi le faire tenir encore un long moment avant de devoir trouver un travail au noir, après tous il n'avait aucun papier attestant de son identité et il doutait vraiment que les humains de notre époque gobe son histoire de titanide, d'ailleurs il fut désolé de voir son existence faisant à peine dix ligne dans un dictionnaire et guère plus sur internet, un machin permettant d'avoir des informations venant d'autre pays. Le langage n'était plus universelle et Rhéa du réapprendre rapidement à parler toutes les langues de la Terre, commençant par le japonais avancé, il lui fallut  trente minute pour enregistrer tous le dico et les formulations.

Le nuit pointant, il se dirigea vers le parc, c'était un endroit gratuit où l'on pouvait dormir, à condition de ne pas avoir peur des violeur ou pire d'une bête sauvage, mais Rhéa n'avait aucunement envie d'aller sous un pont humide, alors que le parc offrait nature, ambiance des temps premiers où l'homme ne connait pas encore le mot guerre, le son de la rivière coulant indéfiniment, aussi le déplacement d'un serpent sur l'herbe à la recherche d'une proie pour la, que de souvenir, tous ça lui aviat été refusé par ces propres enfants, qui allaient le payer très chère et cela ne sera pas que des fessées.

Alors qu'il allait enfin fermer l'oeil, le corps allonger sur le dos, sur le banc, il sentit une présence, il laissa l'intrus approcher et une fois à bonne distance pour entendre sa voix, il dit.

- Dire que j'allais dormir, bon tant pis je dormirais plus tard.

Rhéa ouvrit les yeux, regardant le ciel étoilé et la lune blanche brillante et dominante dans le ciel.

- Je pourrais savoir qui veux partager ce ciel étoilé avec moi.

En cette nuit froide d'hiver, fatidique pour deux protagonistes dont l'une d'entre elles fut issue de la conception du ciel et de la terre personnifiées, le parc, à cette heure, hostile et peu attirant, vécut la rencontre d'être susceptible de nuire à sa quiétude menacée... Les mauvaises intentions furent translucide, autant que le coeur de ceux qui la foule... La lumière blanchâtre de l'astre lunaire éclaira la scène de toute sa lueur cosmique, comme si le parc en fut privilégié... La lune, pleine d'enjouement, se plut à contempler le théâtre à la destiné hasardeuse...

Non loin de la femme à l'aspect mûr et ferme, dans les profondeurs insondables des ténèbres, naquit une ombre nébuleuse, qui se matérialisa au fil des pas légers et réguliers... l'abstrait devint concret, lorsqu'elle se condensa et se teinta de couleur, tissant de sa nature, le corps d'une âme matérielle, voué à ne connaitre ni Paradis, ni enfer, ni purgatoire... Ces trois destinations lui furent interdis pour l'éternité, fidèle et dévoué à un désir ardent et immodéré... Âme matérielle friande du sang de ses victimes, capricieuse, qui laisse exprimer son avidité...

Le dernier flux ébène nébuleux se dissipa gracieusement dans l'espace, marquant la fin de cette forme d'apparition... Le phénomène fantasmagorique dévoila un être dont les iris carmins percèrent les ténèbres, mèches virevoltantes au grès du vent doux qui vint se lever, la lueur blanchâtre de la lune s'accorda harmonieusement à son teint pâli par la mort... Une démarche pleine de majesté...

Ce dernier alla, à quelques mètres, de la jeune femme se coucher afin de contempler les cieux ténébreux ornés d'astres scintillant avec ferveur...

Un être touché par la fascination et qui en ces lieux s'adonne à de douces et rémunératrices méditations...

L'arôme de la créature fut déporter par le vent au profit de son odorat, celle d'une femme, pourtant troublé... L'incertitude fit arborer un rictus ténébreux au vampire...

Rhéa entendis la réponse et un rire enfantin traversa sa gorge, il aimait bien cette réponse, il décida enfin de ce se lever, prenant une position plus conventionnel sur le banc, c'est à dire assit, le titanide put admirer son compagnon de nuit, aussi aimait-il la façon de parler de cette créature, croisant la jambe droite sur celle de gauche, le coude retenant se tête de manière assez désinvolte, le tous donnant une impression pour le moins surprenante, on avait l'impression que Rhéa regardait une peinture, cette peinture était le vampire. Il resta comme cela, chacun se regardant l'un par des idées sombre et baigné de sang, l'autre par curiosité envers ces êtres n'ayant nullement changé au fil des siècle, peut être un peu plus civilisé, mais rien d'autre de bien marquant.

Rhéa se mit à sourire, puis à rire, un fou rire venait de le prendre, il ne savait pas pourquoi, mais ce vampire lui faisait repensé à un des premiers vampire qui ne chassait pas comme les autres, voulant satisfaire ces proies avant de le croquer, aussi posa -t-il la question naïve.

- Je suppose que la créature à la pâleur lunaire et dont les yeux perçant les ténèbres, a un nom qui transcende sa pensée.

Pour Rhéa ce n'était qu'un vampire classique, rien de bien méchant, dans les temps anciens il en avait charmé beaucoup, il en avait réduit même au statu de serviteur, chose inimaginable aujourd'hui, mais pourtant véridique, il est le seul à avoir réussit là où toute les génération de mortels avaient échouées, de par son apparence on le prenait souvent pour un femme, aussi les paroles de Kuro ne l'avait nullement offensé, il avait passé la plupart de sa vie dans la peau d'une femme, aussi d'un certain côté il l'était, même si ce n'était pas du point de vue de l'adn. Ne voulant pas attendre la réponse, il continua un peu de parler pour ne pas laisser le temps au rideau, qu'est le silence, de s'installer.

- Je m'appelle Rhéa, titanide revenue sur mes nobles terres pour admirer ce que les être, façonner par Prométhée, sont devenue.

Toute rencontre à un nom, aussi courte ou longue, hostile ou chaleureuse soit elle...

"La Divine Comédie"...

Voilà, très certainement, le titre qui sied merveilleusement bien aux théâtres de cette entrevue nocturne... Que la lune, astre bienfaiteur à la visibilité des hommes égarés, en soit exaltée...

Ainsi donc, le vampire eut pour rencontre, forte appréciée, une titanide, génitrice des dieux mythologiques... Ce rang accorda des facultés, des dons, des vertus, des maitrises qui excellèrent à un palier divin inaccessible aux pathétiques mortels aux espoirs cristallisés... Tellement... Que cela en fut blâmable...

Qu'il fut bon d'entendre les divinités converser de tout et de rien, de leurs visions sur le monde, d'une manière de raisonner avec cet air relatif à leur nature... Hautain et indifféré... Eux qui sur une planche de vérité, ne furent capable de comprendre réellement leur propre création... Cela importe peu... Le pouvoir blanchi les chimères et les crédibilises...

Ô combien de fois purent ils paraitre risible aux yeux des subtiles qui lisèrent entres leurs lignes...

Le vampire savoura pleinement ce bain d'air frai nocturne, laissant de bon grès ses mèches jouir de leur bal... Ses iris, d'une luisance déconcertante, reflétèrent fidèlement les cieux scintillant...

Ô Mère des Dieux... Humblement, je ne suis qu'un trait obscur indélébile qui achemine sa voie, sans l'assentiment de l'humanité...

Aussi... L'idolâtre de la conspiration contre le pouvoir suprême...

Ses lèvres arborèrent un rictus mêlé de taquinerie et de mesquinerie...