Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

Bonjour et bienvenue.

Ce forum présente des œuvres littéraires au caractère explicite et/ou sensible.
Pour ces raisons, il s'adresse à un public averti et est déconseillé aux moins de 18 ans.

En consultant ce site, vous certifiez ne pas être choqué par la nature de son contenu et vous assumez l'entière responsabilité de votre navigation.

Vous acceptez également le traitement automatisé de données et mentions légales de notre hébergeur.

Un chaton perdu sur une berge. (PV Hestia)

Nos partenaires :

Planete Sonic Reose Hybride Yuri-Academia L'Empire d'Argos Astrya Hybride Industry Iles Mystérieuses THIRDS Petites indécences entre amis
Inscrivez-vous

Diane

Créature

Un chaton perdu sur une berge. (PV Hestia)

dimanche 09 août 2009, 18:27:46

Je me réveille, ma tête est lourde et douloureuse, je voulut bouger mon corps, mais il était faible, je sentis de l'eau et regarde derrière moi. Un océan turquoise apparait devant mes yeux, sous un couché de soleil, et ... une queue de chat ? j'essaie de parler, mais ma gorge me fait mal, il en sortie un miaulement.

Je panique et en volant me lever, je tombe la tête dans l'eau, dos au sable, je tente de me lever, mais n'y arrive pas, je retient ma respiration et puis quand ce fut trop dure je bu la tasse, mais bizarrement je ne souffre pas, au contraire je me sens plus calme. Après dix minute de contemplation devant ce phénomène, j'essaie de me rappeler ce que j'avais fait avant de me trouver ici.

Je me rappelle que Poséidon, m'a offert ce corps, il l'a sculpté et en échange je suis devenue une prêtresse du dieu des eaux. Je devais me baigner 8 heure dans de l'eau, sinon mon corps artificiel disparaitra m'emportant dans la mort. Je touche ma peau et constate qu'elle est faite de mini écaille, bien qu'il y est une sensation de peau très douce. Je prend de l'eau salée et en bois par petite gorgée.

Ce lieu était hostile et je devais me cacher, je réfléchirais à ce qui c'est passée plus tard, je vit des buissons et m'y planque. j'attendis la nuit pour sortir, toujours au aguets, près à fuir au moindre bruit. Ce corps était fait pour la fuite, il était rapide et agile, cela permettait aussi de faire des agression éclairs, si le besoin s'en faisait sentir, j'utilisai mes oreilles de félin pour écouter chaque bruit, ne percevant aucune menace, je me dirigeai vers le mer, pour boire et baigner un peu  mon corps, car je ne savais pas combien de temps j'avais passée en étant évanouie, je ne retire pas mes affaires, cela ne ferait que me désavantager si quelqu'un venait à m'apercevoir. Je devait rester invisible, je ne voulais voir personne, pas d'humains, pas de démon, pas de créatures. Ils étaient pour moi tous pareille, près à n'importe quoi pour violer n'importe qui.

Mon corps fut couvert d'eau jusqu'à ma tête et je sentais les effets réparateur de l'élément de mon dieu reconstituer les réserve d'eau de ce corps artificiel, mais qui ressentait toute les sensations comme une terranide, peut être même ce corps était-il trop sensible. Je voulus recommencer à parler, mais dire des mots étaient trop dure, par contre émettre des bruit de félin était très facile, dans l'eau j'appris à faire bouger ma queue et mes oreilles. Après un certain délai passé dans l'eau, la lune était à sont zénith, je revint sur la berge, mes vêtements dégoulinant de l'eau salé, je m'assit sur le sable et commence à passer un coup de langue sur ma queue et sur chaque partie de peau découverte.

Je ronronnais, c'était amusant d'avoir une attitude de chat, bien sur je restais sur mes garde, près à fuir au moindre bruit. Je vit une fleur blanche se poser devant moi, avec un doigt je marque un prénom, Rose et un nom Beloutsa, qui veut dire Blanche en slave. Rose Beloutsa serait ma nouvelle identité, cela me permettrait de voir Eva, cette pensé me rendis triste, elle allait sans doute pleurer de ne pas pouvoir voir la fantôme. Je regarde la lune avec mes yeux,mi-vivant, mi-mort. J'étaie plongé dans mes souvenirs, pour savoir ce que je devais faire maintenant, je suis une prêtresse, aussi je pria pour Poséidon et le remercier.

Puis je me cache dans les buissons, en oubliant d'effacer mes trace de pas. Je me met en boule pour dormir, la queue sur ma joue, je regardait et écoutais le son apaisant de la mer. J'étais perdue dans un endroit que je ne connaissais pas, totalement séparée de quiconque me connaissant, je ne pouvais avoir confiance en personne et surtout pas envers des personne qui semblent gentille.
« Modifié: dimanche 09 août 2009, 20:58:27 par Diane »
Ce corps ne sera jamais celui que l'on dit éternel, mais il me permettra de faire ma rédemption désirée au près de deux personnes qui me sont chère.

Le prix est ma nouvelle apparence et vivre avec eux en parfaite inconnue, mais cela me convient. Je ne veux blesser plus personnes, plus jamais, sauf ma personne.


Thème :
http://sd-1.archive-host.com/membres/playlist/47973715442783232/07-KagennoTsuki.mp3

Hestia

Dieu

Re : Un chaton perdu sur une berge. (PV Hestia)

Réponse 1 samedi 22 août 2009, 05:07:13

[Gomen Gomen pour le retard, j'avais oublié ce compte, à vrai dire V.V Faut me relancer quand c'est comme ça ^^']

Il arrivait qu'un Dieu ou une Déesse fasse office de ses pouvoirs pour satisfaire un humain. Dans les cas les plus fréquents, il s'agissait de signes, que certains pouvaient capter, et d'autres... non. Pour annoncer un déluge, par exemple, Poséidon, le très cher frère de la douce Hestia, se donnait parfois la peine de poser ses mains sur un nuage, pour le laisser ensuite faire le travail. Il arrivait à Aphrodite de laisser penser aux innocentes pour mieux les entraîner dans l'effroyable spirale de l'Amour... on appelait cela les "coups de foudre". Une innocente façon de débaucher la plus sage des demoiselles.

Hestia, elle, dispersait autant de signe que possible. Sa bonté légendaire lui interdisait de ne pas avertir un humain qu'une flamme allait dévorer sa maison. La fumée avait été crée dans cette optique. Il n'y a pas de fumée sans feu, comme dit le proverbe... mais ça ne suffisait pas. Il y avait toujours des morts, des humains trop faibles pour survivre aux flammes qui les avalaient comme des misérables...

Parfois, la déesse du Feu se demandait vraiment pourquoi elle, la plus bonne des Divinités, avait hérité de l'élement le plus destructeur. Elle pouvait à peine toucher un humain, sans que celui-ci sente sa chair brûler à vif.
Heureusement, elle pouvait contrôler sa température, sinon, à chacun de ses passages sur terre, son aura divine aurait provoqué l'effet d'une bombe nucléaire continentale...
Mais là n'était pas le problème, aujourd'hui. Les Dieux ont tendance à s'ennuyer, du haut de l'Olympe.
Et lorsqu'un Dieu s'ennuie, il en résulte une réflection. Réflection divine, donc de la plus haute importance.

C'est avec une de ces fameuses réflexions que Hestia se décida à adopter la seconde façon d'aider un humain.

Elle l'avait reperé depuis que le soleil avait commencé à inonder la Terre. Cette silhouette recroquevillée, dans un fond d'eau bénite par Poséidon, qui en avait d'ailleurs parlé à Hestia. Sa nouvelle prêtresse... Hestia devrait d'ailleurs s'en trouver une, bientôt. Ce serait un moyen de consolider son pouvoir, mais aussi d'avoir ce qu'elle désirait depuis un certain temps, en quelque sorte : une fille, un enfant.

Toujours est-il que Diane l'intéressa. Elle ne le confia pas à Poséidon, mais cette jeune femme, qui venait de passer du statut d'humaine, à celui de Terranide, race infèrieure dans le monde dont elle devrait s'acclimater bientôt, lui paraissait faible. Elle-même n'avait pas une force de caractère à faire bouger les montagnes de l'Olympe... mais Diane était une prêtresse : elle possédait un rang élevé, à présent, et une prêtresse de Poséidon, qui plus est, le cher frère de Hestia. Elle ne pouvait pas permettre que cette nouvelle prêtresse ne soit pas à la hauteur, qu'elle fasse honte à son frère Divin, qu'elle salisse son profil.

Ce fut toutes ces raisons, aussi bonnes soient-elles, qui l'avaient poussé à ses retrouver ici, sur l'herbe. Assise en tailleur, sur de l'herbe un peu séchée à cause de la chaleur de la Déesse, Hestia regardait Diane, en position féline. C'était mignon, mais aussi... empreint d'une faiblesse. Ca commençait bien... Hestia fronça les sourcils, avant de décider d'apparaître à Diane. Celle-ci eut donc droit à un léger feufollet, avant de voir une floppée de flammes qui l'effrayèrent un peu, mais pas pour longtemps.

Elle eut en effet devant ses yeux, juste après, une femme d'une beauté inimaginable. De longs cheveux d'ébène, une peau pâle comme la neige, une tenue typiquement princière... Hestia n'avait pas besoin, comme cette chère Aphrodite, de modérer le degré de sa beauté, pour éviter que Diane lui saute dessus. Elle modérait déjà la chaleur de son corps, et c'était suffisemment pénible comme cela.

Diane pouvait être intimidé par cette soudaine apparation d'une rare beauté, mais aussi d'un rare danger, vu sa manière de penser. Mais Hestia se contenta de lui sourire chaleureusement. Elle avait la faculté de rassurer n'importe qui grâce à la chaleur de son regard, et Diane cessa de trembler sous l'influence de la Déesse du Feu.


« Diane, Première Prêtresse du Dieu des Océans, Poséidon. »

Sa voix était chaude, douce, sensuelle. Elle avait la chaleur de celle d'une mère qui parlait à sa fille.

« Je te demande de te lever. Nous avons à parler. »

Si jamais Diane ne voulait pas se lever, cela voudrait dire qu'elle n'avait absolument pas le tempérament d'une vraie prêtresse... car chaque prêtresse s'agenouillait devant le Dieu qu'elle priait, et saluait humblement un autre Dieu, selon le contact direct ou indirect que celui-ci avait avec son Dieu. Les prêtresses de Arès, par exemple, se prosternaient devant Aphrodite, si elles avaient l'occasion de la voir.

Hestia voulait juste tester Diane, et voir si son frère avait bien choisi sa toute première Prêtresse. La Divine redressa son manteau sur ses épaules, et attendit.
Pour Elle, l'Amour est un Feu qui Vivifie.
Pour Vous, c'est une Flamme qui Dévore.

RP EN COURS...
La Braise... contre la Flamme. [Aphrodite]
Un Voeu ? [Daclusia]
Le Crépuscule. [Cyanne]
Un haton perdu sur la berge... [Diane]

Diane

Créature

Re : Un chaton perdu sur une berge. (PV Hestia)

Réponse 2 lundi 31 août 2009, 17:37:12

Je dormais paisiblement, quand les poils de ma queue s'hérissèrent, me réveillant en étant au aguets de ce qui pouvait bien avoir engendré cette réaction. Tous ce que je vis c'est une petite boule de feu qui gigotait, par curiosité, je sortie ma tête du buisson en essayant de sentir ce feux qui me semblait suspect, puis au moment où j'avais presque la moitié du corps de sortie des branchages, je vit cette petite flammèche devenir une feux d'artifice de flammes plus grosse. Mes oreilles se plaquèrent et j'émie un grognement.

Après ce festival de chaleur, pour le moins suffoquant, je me mit à remettre mon corps dans le buisson, il ne fallait pas que mon corps s'assèche de trop, quoi qu'il en soit je vis une très belle femme apparaitre, très belle mais qui avait de grande chance de cacher un être démoniaque voulant encore profiter de ma personne et me laisser crever comme un rat. Mais il y avait quelque chose chez cette femme que je cherchais, une douceur que je n'avais jamais vraiment connut, la tendresse d'une vrais mère, aussi en entendant mon nom et mon statu de prêtresse, je me doutais bien qu'il ne pouvait s'agir que d'une déesse.

Comment me comporter ? Mon instinct me disais de fuir tous danger aussi minime soit-il, mais mon esprit était curieux de connaitre cette femme. Aussi je sortie du buisson, retirant toutes les feuilles sur moi et m'inclina, je ne savait pas si cela aurait suffit à montrer mon respect, je voulut dire quelque chose, mais ma gorge me faisait encore mal et un miaulement en sortie, aussitôt je mis mes mains sur ma bouche, mes oreille baissée montrant que je ne voulait pas faire cela et que j'étais intimidée par cette déesse.

Je prit un bâton de bois et marqua sur le sable.

Vous pouvez me dire où je suis, car ce n'est pas la Terre et cela me fais un peu peur.

j'avais minimisé les chose, j'étais à vrai sdire effrayée de ne pas savoir où j'étais
Ce corps ne sera jamais celui que l'on dit éternel, mais il me permettra de faire ma rédemption désirée au près de deux personnes qui me sont chère.

Le prix est ma nouvelle apparence et vivre avec eux en parfaite inconnue, mais cela me convient. Je ne veux blesser plus personnes, plus jamais, sauf ma personne.


Thème :
http://sd-1.archive-host.com/membres/playlist/47973715442783232/07-KagennoTsuki.mp3


Répondre
Tags :