Chengzu compensait par l’énergie, par le dynamisme de ses coups de reins, ce sexe plus petit que celui d’Ishtar, dans le but d’offrir à Theorem une séance mémorable. Pour autant, il est vrai que Chengzu n’avait pas à rougir de la taille de son membre. Son sexe était tout simplement bien proportionné, mais, au-delà de la taille, c’était bien l’intensité de ses coups qui devrait ravir Theorem. Les couinements et les hurlements de ce dernier ne tardèrent d’ailleurs pas à emplir l’air, emmenant Chengzu, l’excitant furieusement. Il ignorait ce qui lui arrivait, il ne comprenait pas à quoi correspondait toute cette énergie qui s’emmagasinait en lui, mais il aimait l’avoir. Il aimait ce sentiment grisant, cette excitation qui palpitait dans ses veines, et qui ne demandait qu’à se relâcher, qu’à se libérer, qu’à s’enflammer et à s’exprimer.
« Oh, The… Theorem, hmmm… Sa… Sale enflammé, hmmm… Tu aimes ça, hein ? Hum… Que… Que je te baise le cul, que je te défonce ? Sa… Sale pervers !! »
Le sexe était une mer dans laquelle Chengzu se noyait volontiers, et, tout en continuant à le bourrer, sa queue filant d’avant en arrière, déformant les parois anales de son amant pour s’y enfoncer plus longuement et plus énergiquement, il n’hésita pas à le fesser, à multiplier les gifles sur sa croupe, tout en grognant et en soupirant encore. Oh, comme il aimait ça ! Sentir le petit cul de Theorem se serrer contre sa queue, les couinements de ce dernier, leurs corps qui remuaient à l’unisson… Theorem indiqua qu’il voulait le finir avec la bouche, mais… Honnêtement, le Terranide-bélier était parti dans sa course, et rien ne pourrait l’en arrêter. Il continua à prendre Theorem, augmentant les coups de reins, grognant encore, de la bave coulant parfois de ses lèvres. Difficile de dire si Theorem pouvait jouir, ou ce qu’il ressentait vraiment. La cage dragonique l’empêchait de ressentir le plaisir de l’orgasme, mais il devait tout de même prendre son pied, non ? Du moins, Chengzu ne pouvait que le supposer, tout en continuant à le bourrer. L’homme alla jusqu’à empoigner ses longs cheveux roux, qui brillaient comme une rivière de diamants, soulevant le corps de l’homme, serrant ses doigts dessus.
Ses coups de reins continuèrent donc, jusqu’à ce que, dans un ultime soupir, l’homme ne se relâche finalement. Sa queue lui donna l’impression d’exploser, et une vague blanche le traversa. Une vague de félicité qu’il embrassa à pleins poumons, se relâchant joyeusement, balançant des chapelets de foutre dans le corps de son amant, avant de se calmer progressivement, décélérant, diminuant le rythme.
« Voilà… »
Il esquissa ensuite un léger sourire. Sa queue avait légèrement dégrossi, et il respira lourdement, observant le visage du jeune homme. Il l’avait pris plutôt fort, et un léger sourire éclaira ses lèvres. Doux, tendre, amical…
« Eh bien, qu’est-ce que tu attends, Theorem ? Je veux sentir tes lèvres sur ma queue… »