Le minotaure regardait à présent la jeune fille nue, se déplacer dans l'eau. Il remarqua que l'eau ne bougeait pas à chacun de ses mouvements. Cela pourrait-il qu'elle ne fasse qu'un avec la nature, étant donné ses origines ? Ses doutes grandirent lorsqu’elle se coucha sur le sol et que l'herbe se mit légèrement à pousser et les fleurs fleurirent. Mais le spectacle était bien plus intéressant du côté de la jeune fille. Il la vit écarter les cuisses et ne put s'empêcher de courir dans l'eau à sa rencontre. Une jolie vague, des gouttes d'eau et un bruit assourdissant accompagna les mouvements du minotaure. Rien à voir avec la légèreté et la douceur d'Oriana.
Il sortit alors de l'eau et fit face à la belle. L'eau faisait ressortir sa musculature parfaite. Son pénis toujours en érection, était lui aussi mis en valeur. Des veines ressortaient du phallus, tandis que de l'eau coulait le long de son gland. Il se mit à genou, de la fumée sortait de ses narines. Il approcha sa tête de l'intimité d'Oriana et sorti sa longue langue, pour venir la toucher. Elle avait toujours ce petit goût de fraise, mais un peu différent. Puisque la fraise, généralement, ne lui donnait pas envie de baiser la première venue. Or, le goût, la chaleur, ce qui émanait d'Oriana était plus fort que ce simple parfum. Comme si elle arrivait à sécréter un puissant filtre d'amour.
Mais Thorin, avait déjà sa bouche collée au sexe d'Oriana. Il pourrait le lui bouffer pendant des jours et des jours tellement elle était parfaite. Il était tellement excité. Si bien, que son phallus avait réussi à faire un trou dans le sol. C'était trop, Thorin se releva, faisant bomber son torse. Avec sa main droite, il dirigea son énorme bite vers l'intimité d'Oriana. Il l'entra cette fois-ci en douceur. En effet, il se demanda encore une fois, comment une bite comme la sienne n'avait pas encore réussi à déchirer l'intérieur de la Fée. Amusé, il regardait son pénis rentrer, petit à petit, entièrement. Elle était toujours aussi serrée …
Une fois entrer, il se coucha sur Oriana, ses seins touchant le torse du colosse, étaient à présent écrasés sous son poids. Il lui lâcha un baiser. Un filet de bave reliait leur deux bouches, une fois que Thorin releva la tête. Sans crier gare, Thorin commença les vas et vient par un puissant coup de hanche, qui fit légèrement trembler le sol. Il continua son mouvement pendant plusieurs minutes.
« Hmmff ... » lâcha-t-il, de la fumée sortant une nouvelle fois de ses narines. Il n'y a pas à dire. Oriana était parfaite.
Durant de nombreuses heures, Thorin et Oriana copulèrent ensemble. La sueur, le sperme, la cyprine, il y en avait partout. Le minotaure avait tellement jouis, que son sperme recouvrait la totalité du corps d' Oriana. Sans parler de l'intérieur de son vagin …
Les deux amants d'un jour, firent une pause, aux alentours de 20 heures. La nuit était clair, la Lune leur faisait face, comme si, quelqu'un l'avait positionné ici afin de leur donner un peu de lumière. On y voyait pas comme en plein en jour, mais assez, pour voir Oriana préparer de jolies fraises très appétissantes et en offrir à Thorin. Il faut bien l'avouer, la brute, n'avait pas l'habitude de ses mets. Mais une fois goûter, il en demanda beaucoup plus. Une fois, leur banquet improvisé, terminé. Thorin s'assit sur le ventre d'Oriana. Il fit passer son énorme bite entre ses seins et l'arrêta juste devant sa bouche.
« On continue ? » dit-il, en laissant éclater ses belles dents à la lumière de la Lune.
C'est ainsi, qu'il sentit Oriana le masturber et le sucer pendant de longue minutes. Il la remplit plusieurs fois de son sperme. Une fois terminé, il la retourna et rentra violemment son chibre dans son anus. Pendant de longues heures il la pilonna sauvagement.
Thorin se réveilla le lendemain vers deux heures de l'après-midi. En ouvrant les yeux petit à petit, il se souvint qu'ils s'étaient couchés tous les deux, vers huit heures du matin. Ils avaient bien profiter l'un de l'autre. Un sourire en coin, il voulu remettre le couvert avec elle. Il se tourna alors vers la gauche, mais il n'y avait plus personne, à droite pareil. Aucun trace d'elle. Comme s'il avait rêvé. Il expira un grand coup, sourire aux lèvres. Rêve ou pas, il avait prit beaucoup de plaisir et c'était ça qui comptait. Il se releva, ses vêtements étaient déjà sur lui, alors qu'il était persuadé d'avoir dormi nu. Il commença alors à s'en aller, il mit la main dans une de ses poches. Et senti quelque chose d'un peu mou à fond. Il ressorti la petite chose, et remarqua que c'était une fraise.
Sourire en coin, il la posa sur son cœur, en regardant le ciel. Peut-être se reverront-ils un jour ...