Alastar ne s’était guère trompé, et, de fait, Lillya n’eut même pas à se présenter. Il y avait beaucoup de succubes et d’incubes dans le clan, et, si Le Diablotin avait couché, et ce à de nombreuses occasions, avec chacun d’entre eux, il avait aussi ses petites préférences. Bafamelle, par exemple... Mais aussi la jeune Lillya. Elle était, de fait, la cadette du clan, la fille directe d’Onyxian, et Alastar, sans avoir de certitudes sur l’identité de son père (vu le nombre d’amants prestigieux qu’Onyxian s’enfilait), avait toujours soupçonné, au vu des puissants pouvoirs magiques dont Lillya était capable, que ce dernier soit un redoutable démon. Il était même possible que ce soit un Prince, Onyxian ne couchant presque plus qu’avec du gratin de luxe. Elle avait beau être une succube, Onyxian avait un niveau très impressionnant. Elle, de simples humains ne l’invoquaient pas simplement. La maîtrise magique d’Onyxian était telle qu’elle pouvait, d’un claquement de doigts, faire perdre la raison à un homme en déclenchant ses pulsions à un stade inouï. Étant sa fille, Lillya était une femme très prometteuse, et Alastar avait veillé à son éducation. Ainsi, s’il était, d’un strict point de vue biologique,s on grand-frère, il avait pris l’habitude d’être considéré comme son « oncle ». « Tonton » Alastar suivait ainsi avec attention les progrès et les exploits de Lillya.
Le bandeau toujours sur les yeux, il venait de jouir, et, tout en sentant sa chérie se frotter contre lui, caressant son sexe tout en ayant bu son sperme, il sentit également, à l’entrée de la pièce, une aura magique très particulière, qui contribua également à son érection... Une citrouille ! Sa petite Lillya revenait de mission ! Alastar en frémit, tout en entendant Lillya lui supplier de la baiser, avec cette doucereuse petite voix qu’il aimait tant. Elle alla jusqu’à attraper sa main, et la glissa dans sa petite chatte. Il sourit alors, et déposa un baiser sur sa tête, entre ses cornes, en profitant pour frotter ses joues contre ses cornes. Un petit geste affectueux qu’ils avaient habitué quand il lui faisait des câlins.
« Oui.... Ma petite Lillya qui rend visite à son vieil oncle... Tu vois comme tu fais plaisir à ma queue, ma chérie ? »
Alastar sourit encore, et retira le bandeau de sa main, le jetant au sol, puis posa ensuite sa main sur le menton de Lillya, redressant son visage, et se pencha vers elle, l’embrassant tendrement sur les lèvres. Un baiser qui se prolongea ensuite, l’Incube n’hésitant pas, en effet, à fourrer sa langue dans la bouche de la femme, tout en la relevant, sa main se posant sur la courbe de ses fesses. Lillya se retrouva ainsi enroulée autour de lui, et il palpa son beau cul, une main sur sa nuque, tout en jouant avec sa langue, mordillant les lèvres de la petite succube. Aussi affectueux pouvait-il se montrer, en matière de sexe, Alastar était imparable, faisant preuve de brutalité et de sauvagerie.
Le baiser se termina quand Alastar la repoussa, et l’invita à se mettre à quatre pattes.
« Installe-toi bien, ma petite chérie, que je te prenne comme la pute que tu es... »
Lillya s’exécuta donc, et, dès qu’elle fut en position, le Diablotin déplaça sa queue caudale, et fouetta avec les fesses de la femme.
« Double ration pour toi, ma chérie... »
Alastar sourit, puis posa ses mains sur ses hanches, et les griffa tout en se concentrant. Sa queue grossit alors, atteignant une proportion inhumaine, et se découpa ensuite en son milieu, jusqu’à ce que deux chibres ne se dressent. Deux magnifiques queues bien dures, veineuses, qui firent saliver les quatre esclaves, qui s’étaient assises en arc de cercle autour du couple. Alastar sourit alors, puis s’enfonça en elle. Comme Lillya l’avait dit, Alastar savait lui imposer le rythme parfait, un rythme soutenu, intense, et efficace. Et, comme à chaque fois, il sentit la résistance des parois de la petite succube, et soupira lentement, puis commença à remuer en elle.
« Hmmmm... Aaaaah, ma salope, hmmmm... !! »
Ses queues coulissaient lentement en elle, et il accéléra progressivement le rythme, en émettant de puissants grognements. Comme à chaque fois, baiser Lillya allait être... Magique !