J'ai bien lu et pris connaissance du traitement des données personnelles sur LGJ
Nom : Zaraki
Prénom : Fujiko
Surnom : Gomu-chan par ses proches intimes, la fille qui à disparue pendant 1 ans pour beaucoup de monde, le cauchemars des barbecues à une époque.
Âge : 18 ans
Sexe : Femme
Race : Mutant E.S.P er
Situation de départ : n'est plus vierge, et n'a pas tellement d'expérience
Orientation sexuelle : hétéro
Histoire : Fujiko est née dans une petite famille tranquille au Japon, à Tokyo plus précisément, et avec une situation stable. Sa naissance fut des plus normales et elle fit le bonheur de ses parents, un bébé en bonne santé, rieurs et qui pleurait un peu moins que les autres. Jusqu’à ses 4 ans tout allés bien, jusqu'à ce que sa mère l’amène à un parc pour enfant en fin d'après-midi, après son travail, où Fujiko se prit une balançoire en pleine tête. Sa mère cria et courue vers elle, alors que sa fille se releva, ria et partie dans le château, poursuivit par sa mère, ce qui amusa ceux qui n'avaient pas vue la scène.
Ni bosse, ni sang et une gamine qui ne fessait que rire, parce qu'elle avait senti sa tête devenir bizarre. Il lui était très souvent arrivé des chutes, et jamais elle n'avait été blesser, excepté avec les objets coupant et pointu, mais pas aussi grave que celui-là. Mais elle n'avait rien, ce qui rassura le petit garçon qui avait lancer la balançoire, et sa mère par la même occasion. Elle avait la tête dure ! Qu'elle chance ! Lui avait on dit. D'ailleurs, elle devint ami avec le garçon, avant qu'il déménage quelques années plus tard.
Sa mère l'amena à l’hôpital, inquiète, craignant que le choc soit bien plus grave en profondeur. Rien. Une tête intacte, mais ce fut à ce moment-là que Fujiko fit une nouvelle chute, dans les escaliers, excité et contente. Elle dévala 1 étage, poursuivit par sa mère qui n'arriver pas à crier, son enfant se déforma un chaque marche avant de redevenir normale. Elle finit la tête penchée à 90° degré en s'écrasant contre le sol, sa mère manqua un battement de cœur et faillit s'évanouir,, qu'en sa fille lui dit vouloir recommencer car c'était trop drôle. Par chance, personne si ce n'est qu'un couple de vieux l'avait vue finir sa chute, rassurer de voir une petite aussi résistante et énergétique.
Sa mère, paniqué quitta l'hôpital avec son enfant comme si elle avait le diable au trousse, inquiétant au passage les dames de l'accueil. En retournant chez elle, elle raconta tout à son mari, qui rigola en disant qu'elle avait trop travaillé, mais devant l'état de sa femme, fessant même pleurer leur fille, il l'incita à prendre un thé et de tout lui expliqué, avant d'amener leur fille à sa chambre. Ils eurent une longue discutions une fois fais. Cela dura quelques minutes, la mère ne fessant que relater tout ce qu'il s'était passé, l'accident, les conclusions du médecin, la chute.
Une fois fait, le père alla voir sa fille, voulant confirmer ce qu'il avait entendue, de le voir de ses propres yeux, qui jouait à la poupée. Fessant semblant de vouloir jouer avec elle, il prit une grande inspiration, implora dieu et tordit la main de son enfant, plaquant le dos de sa main contre l'avant-bras. La petite fille, ne hurla pas, et elle fit les gros yeux et ouvrit grand la bouche. Son papa était un magicien ! Elle n'avait jamais vue quelqu'un faire ça. Elle partit dans son imagination, croyant son père venue de l'espace pour répandre l'amour et le sucre sur terre ! Elle voulut qu'il recommence, bien qu'elle ne comprit pas pourquoi il était devenue tout blanc et été partie aux toilettes.
Qui était cette fille ? Elle était vraiment leur fille ? Un yokhai ? Au dîner, seul Fujiko mangea, et à grande peine, devant le regard de ses parents, au point de la faire pleurer, ce qui les blessa ses parents. Comment ils avaient pu juger leur fille ? Pourquoi ils l'avaient vue comme un monstre. Sa mère fondit en larmes et se jeta au coup de sa fille, lui demandant pardon et la serrant fort, l'embrassant. Son mari la rejoignit, demandant aussi pardon et cria au plafond qu'elle leur fille, peut importe ce qu'il se passait avec elle, que jamais ils ne l'abandonneront.
Les années passèrent, leurs liens devenue plus solide et l’étrangeté de leur fille apporta beaucoup de soulagement en réalité, car leur fille était à l’abri des bosses, des chutes et des coups, bien que cela lui forgea un caractère de tête brûlé et de casse-cou. Quand elle eue huit, des gens étranges, encore plus qu'elle, prirent contacte avec ses parents, les informant qu'ils étaient au courant de leur fille et qu'ils étaient comme elle. Ils leur fit donc découvrir l'existence des mutants et leur parlèrent d'un établissement spécialisé pour les enfants spéciaux, en amérique. En retour, son père leur fit découvrir son mépris pour leur proposition, que leur fille est comme les autres, mutante ou non, et qu'il préférerait se faire hara-kiri que de traiter sa fille différemment et de s'en séparé, juste parce qu'elle est différente.
Aux fils du temps, Fujiko comprit bien vite sa particularité et comprit tout aussi rapidement qu'elle ne devait pas le montrer à tout le monde, car dieu seul sait ce qui lui arriverait. Dans l'année de ses 13 ans, son père, manager d'une entreprise, reçu une promotion et une bonne prime, car il dut rejoindre une branche annexe de l'entreprise à Seisuku, afin de remplacer le patron qui avait prit sa retraite, se devant de déménager.
Elle déménagea donc, bien qu'elle continua à aller à une école primaire de Tokyo, pour y finir sa dernière année. Elle alla jusqu'à 16 ans dans un collège, affilier au lycée Mishima. Elle se fit de nouveau amis et amies, rencontra son premier amour, partagea moult souvenir avec eux, certains découvrant sa particularité qui amusa tout le monde et qui promit de garder le secret. À la fin de sa dernière année de collège, avec sa classe et d'autre, ils voulurent organiser une fête, avec l'accord des professeurs, une soirée barbecue. Fujiko, reconnue comme la plus grande gloutonne du collège, était la plus enthousiaste, car elle voulait battre son record de brochette avalé.
Le dernier soir, tout était prêt, tout le monde était venue, sauf Fujiko qui pourtant avait promis de venir plutôt pour son petit ami. Bah, elle était encore en retard, elle habitait loin après tout. La fête venait de commencer depuis 1 heure, mais toujours pas de Fujiko, des amies l'appelèrent, mais elles tombaient directement sur le répondeur. Bonne, elle avait étaient son portable ou bien, il était déchargé. 2 heures, et toujours pas là. Ses amis s’inquiétèrent, suivirent d'autre personnes la connaissant, puis des professeurs. Jusqu’à ce que ses parents n’appellent le collège, car leur fille ne leur avait plus donné de nouvelle depuis plus d'heure au moins, et qu'ils avaient appeler la police, voulant savoir si elle était encore sur place.
La fête prit une autre tournure, et on organisa rapidement des recherches avec des volontaires, par groupes de 5 et de concerts avec la police qui avait rejoint le collège, ces derniers acceptants, car les collégiens connaissaient Fujiko et ses habitudes. Des heures de recherches, de portes à portes, dans tous les recoins possible, mais aucune trace. Fujiko avait disparu. La police écarta l'hypothèse du suicide, impensable, Fujiko était bien dans sa peau, elle avait réussi les examens, elle avait une bonne vie. La police conclue sur un kidnapping, assez courant dans la région et que sa famille allait recevoir une rançon, afin de les rassurer. Après trois mois, on envisagea qu'elle était tombée sur bien pire, un psychopathe, des mafieux ou elle avait finit dans un endroit glauque pour finir comme cobaye ou objet. On referma le dossier après 6 mois, classé sans suite, Fujiko présumé morte.
En vérité, Fujiko fut victime d'un phénomène propre à Seisuku, sur le chemin du retour. Une faille spatio-temporelle vers un autre monde, ou portail pour les connaisseurs. L'un d'eux c'était ouvert dans une ruelle vide et étroite, qui servait de raccourci pour Fujiko et qui le traversa sans le savoir, se retrouvant dans une ruelle perdue d'Ashnard après un flash lumineux, nez à nez avec des esclavagistes, qui semblaient connaître cette faille. Ils lui tombèrent dessus, avant qu'elle ne puisse dire quoi que soit, sans qu'elle puise ce débattre. En tentant de l’assommer d'un coup de gourdin, le gros bras de la bande aplatit la tête Fujiko avant que le coup ne soit renvoyer par la tête qui reprenait sa forme, mais ça n’empêcha pas les autres d'attraper Fujiko et de la ligoter.
Pensant finir avec un simple humain, cette découverte, non-content de les amuser en tordant dans tous les sens possible les membres de Fujiko, les ravie au plus au point car elle allait se vendre plus cher. On la bâillonna, car l'entendre gueuler comme un veau était désagréable, puis on la traîna vers la zone du marché aux esclaves. Fujiko n'avait toujours pas eu le temps de digérer le fais qu'elle était dans un autre monde visiblement et qu'on l'avait agressé et abuser de son corps, qu'elle se retrouva en quelques heures sur une estrade, à la vue de centaine de gens, la regardant de manière cynique et hautain et de manière flippante aussi, en sous vêtements et bâillonner, tandis qu'un homme hurler à plein poumons : « VENTE EXCEPTIONNELLE ! VENEZ VOIR UNE FEMME UNIQUE EN SON GENRE ! CELLE QUI POURRA SUBIR TOUT VOS FANTASMES ! »
Et pendant plusieurs minutes, on tordit ses membres, les allongeant de plusieurs mètres, tout comme son cou et on montra le fait que les coups ne la blesser pas et la déformer, avant de lui enfoncer dans le cul, un gode spécial pour centaure, soit une fausse verge de plus 1 mètre, qu'on enfonça dans son cul. Sa peau épousa la forme du gode, déformant son ventre de manière inhumaine, alors qu'elle se mit à crier derrière son bâillon. Ces démonstrations provoquèrent un tel engouement, qu'elle fut vendue pour 357 000 pièces d'or par un riche noble, amateur de la démesure. Ainsi, Fujiko finit dans une cave sordide, entouré d'autre esclave de tout genre, ainsi que deux minotaures, un centaure, un troll et un ogre.
Fujiko eu beau se débattre, insulter, mordre et supplier, elle servit de sex-toy pour les minotaures, le centaure, le troll et l'ogre, ravit d'avoir une humaine capable de subir leur charge et leur trique immense, qui aurait tuer une humaine par simple pénétration, sous le regard admiratif du noble et de sa femme jalouse. L'homme en fit un spectacle pour ses camarades sang bleu, afin que tous profitent des quadruples sodomies ou coït, par des minotaures ou des terranides équins, voir tout son corps se déformer par la gorge profonde du sexe d'un cheval de guerre, d'un centaure, d'un troll ou d'un ogre, ou de voir la taille de son ventre, après trois jour de gang bang par ces mêmes créatures. On lui fessait avaler des dizaines et des dizaines de gallons d'eau ou de sperme, usant de son ventre comme sofa par la suite ou certain s'amusèrent à la frapper avec des bâtons, justes pour voir qui sera celui qui donnera la forme d'un U à sa jambe ou son bras, ou juste pour voir son cou s'étirer de plusieurs centimètres.
Elle passa de main en main, chacun abusant de son corps particulier. Le pire dans tous ça, c'est que personne ne chercha à la briser mentalement, la laissant même conscient, qu'elle continue de se débattre et de se rebeller, le plaisir en était que plus grand. Par sa seule détermination et sa volonté forte, et peut être quelque drogue, elle ne perdit pas l'esprit et garda une étincelle de vie, gardant l'espoir de s'en sortir et de revoir ses parents, confiante de sa survit avec son corps.
Du moins les 4 premiers mois, car elle finit par perdre tout espoir de s'en sortir, de vivre et finit même par trouver un certain plaisir inavouable à sentir son corps être autant déformé par ces bites et ses litres de fluide. Après 6 mois depuis son arrivé, on usa de drogue pour qu'elle retrouve sa vivacité d'avant, la rendant plus agressive et hargneuse, entretenant son attrait pour elle et excitant à nouveau les bêtes.
Mais à force d'user et d'abuser de Fujiko, on finit par s'en lasser, elle fut donnée, redonnée, vendue, acheter, puis revendue, puis racheter, pendant 3 mois et presque 4 semaines. Elle fut à nouveau vendue un jour, dans les mains d'un énième maître ou maîtresse. Elle fut attaché à un carrosse et forcer de le suivre avec d'autres, entourer de quatre gardes du corps. Le hasard voulu que le carrosse passe devant la ruelle, et s’arrête devant, d'où avait débarquer Fujiko, qui regarda pile au bon moment et s'en souvenue par miracle, ravivant en elle une flamme éteinte : l'espoir, l'envie, la vie !
Si seulement elle pouvait retirer ses fers, si seulement elle avait la force de retirer ce collier, si seulement dieu, boudha, le destin ou quoi que ce soit d'autre lui accorde ce miracle. Elle délirait plus qu'elle espérait, finissant même par en pleurer et en rire, portant ses mains à son visage... sans sentir le contact froid et dur du fer de ces menottes. Elle retira ses mains, regarda ses poignets nue et tata son cou, le collier avait disparu. Un bruit de fer se fit entendre, ses fers et son collier, tout d'eux relier au carrosse, tombèrent à terre. Fujiko mit quelques secondes pour le réaliser, moins que les gardes occuper à chercher l'origine du bruit.
Tel un diable sortant de sa boite, envahit par l’adrénaline et une force inconnue, Fujiko fonça vers la ruelle, bouscula une esclave qui voulut l’arrêter pour être aussi libéré et poussa un garde qui mit du temps à percuté qu'elle s'était bel et bien libéré. On hurla après elle, quelqu'un l'attrapa, mais Fujiko poussa un crie rauque et se retrouva au-dessus du garde l'ayant attrapé en l'espace d'un battement de paupière. Elle l’écrasa de son poids, et parvint à se relever et de reprendre sa course, alors que le reste commençait à la poursuivre. Elle courrait de toutes ses forces, talonner par les gardes qui lui hurlaient de s’arrêter. Elle passa entre les deux maisons, rejoignit un tonneau à quelques mètres devant elle puis il n'y eu plus rien d'autre qu'un Flash blanc.
Ses pieds perdirent contacte avec les pierres sales et couvert de pourriture pendant quelques secondes, avant de sentir le contact froid, plat et régulier du béton, et revit les murs blancs et unis des deux immeubles, et la route devant elle, avec le lampadaire. Elle était revenue, elle ne s’arrêta pas et continua de courir, sortant de la ruelle, fonçant vers le parc devant elle, qui mener directement à la station de métro. Elle continua, jusqu'à ce qu'elle trébuche contre une branche et ne se vautre par terre. Elle ne se releva pas, et serra le poing sur la terre. Elle pleura de joie, cria son bonheur et rigola. Elle était libre ! Elle était revenue ! Personne ne l'avait suivi. Elle se mit sur le dos et admira la lune, et pleura encore plus fort. 1 an qu'elle n'avait pus les étoiles, ni le ciel ou la lune.
Quand elle eu fini de pleurer de tout son corps, elle se releva, tremblante. Son cauchemar était terminé, elle crue même à un rêve, mais tout était vrai. D'un pas sur, bien que faible, elle sortie du parc, dans l'optique de rejoindre sa maison. Mais quelque chose clocha. C'était quoi le chemin déjà ? Et es que c'est parents étaient toujours ? Depuis combien de temps elle était là-bas ? C'était bien la même ville ? Elle était au japon ? Son esprit s'embrouilla de question et l’adrénaline disparue, de même que son assurance, vacillant sur place avant de tomber contre le grillage du parc, sa faiblesse lui revenant et finissant même par vomir. Elle entendit une voiture passer, mais releva trop tard la tête, la voyant partir au loin. Le conducteur ne semblait pas l'avoir vue.
Elle se releva, s'accrochant au grillage et tenta d'appeler à l'aide.
-Gakh... Émets telle faiblement. aakkhh...
Elle porta sa main à sa gorge et poussa à nouveau bruit pitoyable. Elle n'arrivait plus à parler ! Elle n'arrivait plus à former des mots, ces derniers restant bloquer dans sa gorge. Elle poussa une plainte pitoyable et pleura. Soudain, un bruit de gyrophare se fit entendre suivit de lumière rouge. Elle le reconnue, c'était une voiture de police japonaise. Elle se retourna, lâchant le grillage et s'écroula, alors qu'une portière claqua.
-Ici la patrouille 767, au niveau de l'entrée du parc à 100 mètre de la gare, j'ai besoin d'une évacuation d'urgence ! Brailla un homme dans sa radio en s'approcha de la malheureuse. Mademoiselle vous m'entendez ? Mademoiselle !
L'endroit était sombre, mais elle était dans un halo de lumière et pouvait discerner des gradins autour d'elle, mais pas le visage de ceux la regardant. Il y avait des rires, des encouragements, mais tout ça en bruit de fond. Puis un rugissement se fit entendre. Fujiko se réveilla brutalement en poussant un crie rauque et en se relevant. Elle respira lourdement, en jeta des regards sur son environnement. Par de murs en pierre, personne, aucun monstre. Elle reconnut après quelques instants, l'environnement d'une chambre et après une meilleure analyse, une chambre d’hôpital. Et dehors le soleil semblait ce coucher.
Une infirmière débarqua à cet instant, visiblement inquiète avant d'esquiser un grand sourire !
-Oh ! Vous... Vous êtes réveillé ?! Magnifique ! Dit elle en se rapprocha. Comment vous vous sentez ?
-A... aaggh. Émit Fujiko.
-Oh déso... Attendez ! Rester coucher ! Calmer vous !!
Fujiko commençait à paniqué, car elle n'arrivait pas à parler et qu'elle ne savait rien d'où elle était. L'infirmière, une femme plutôt forte, la plaqua doucement contre le lit en la rassurant. Cela marcha et elle dénicha un calepin et un stylo, se devant d'établir un contact. Sous ses encouragements, Fujiko parvint maladroitement à écrire quelques mots : je suis où ?
-À L'hôpital Resurgam, à Seisuku. Avez-vous besoin de quelque chose ? Je dois vous prévenir, ça va faire un choc : cela fait 1 semaine que vous êtes inconsciente.
Fujiko fit les gros yeux, mais ne s'affola pas, comparé au 1 an hors de son monde, ce n'était rien. L'infirmière qui s'attendait à la voir paniqué fut à la fois inquiète et rassurer. À la place, Fujiko enlaça l'infirmière et pleura de joie, car elle avait mis quelques secondes pour réaliser qu'elle était revenue au bon endroit. L'infirmière lui tapota l'épaule et la repoussa délicatement.
-Je vous laisse un moment, je dois prévenir le docteur et d'autre personne. Je vais vous ramener de quoi boire et manger. Au moindre souci, appuyé sur ce bouton, quelqu'un viendra vous voir !
Fujiko se mit à baver inconsciemment, et s'essuya la bouche en sentant la bave couler, un peu honteuse. L'infirmière rigola doucement et s'en alla. Fujiko s'adossa au dossier de son lit et contempla le mur d'en face. Elle était revenue à Seisuku ! C'est un miracle ! Elle pourra retrouver ses parents ! L'idée même qu'ils ne soient plus là, ne lui effleura pas l'esprit. Quelques minutes s'écoulèrent, avant que des bruits de pas ce fasse entendre, des pas précipités et des éclats de voix. La porte s'ouvrit presque avec fracas, ce qui terrorisa Fujiko, dévoilant son père et sa mère, qui fondirent en larmes et coururent vers elle pour l'enlacer. Si elle n'était pas en caoutchouc, ses parents auraient très bien pu lui brisé les os. Elle pleura à chaudes larmes, au point que de la morve coulait de son nez.
Après 30 minutes d'embrassade et de câlins, ses parents décidèrent de laisser respirer leur fille, bien que pleurant toujours de joie. Ils l'informèrent que le policier l'ayant retrouvé, une jeune recrue qui avait participer au recherche, l'avait reconnue et avait foncer chez eux pour les informer, après avoir informer ses supérieurs. Et depuis une semaine, ils venaient chaque jour pour connaître son état, ainsi que certain de ses amis et amies. Par contre elle appris que son petit ami s'était remis avec une après seulement deux jours depuis sa disparition. Mais elle s'en moquer !
L'hôpital fournit un lit et quelques affaires pour les parents qui refusèrent de partir, quand la nuit tomba. Ils mangèrent sur place, dans la chambre, les parents regardant leur enfant engloutir plusieurs plateaux repas, avant de s'endormir repus et exténué. Durant la nuit, Fujiko refit son cauchemar et ce furent ses parents qui la réveillèrent. Elle avait disparue depuis 1 ans on ne sait où, il fallait s'attendre à ce genre d’événement, les médecins ayant prévenue ses parents, ainsi que beaucoup de risque psychologique et qu'il fallait y aller doucement.
Après trois semaines de suivi médical, et de rééducation, Fujiko put retrouver sa voix et écrire à nous, si bien qu'on ne pouvait plus l'arrêter, parlant pour ne rien dire. Elle reçut la visite de ses amis et vers la fin de la police. Qui furent chasser rapidement par ses parents quand elle entra en panique quand on voulue savoir ce qu'il s'était passé. Par la suite, toute tentative se solda par une crise, qui se calmer plus ou moins rapidement. On laissa tomber, on retint que ce fut trop dramatisant pour être dit. En effet, comment raconter ces viols monstrueux, un portail magique l'ayant amené dans un monde pervers et fou, qui la poursuivait dans ses cauchemars et pouvant même lui déclencher des crise et la faire vomir si elle a le malheur de s'en souvenir.
Elle passa ainsi 5 mois à l'hôpital, le temps qu'elle maîtrise et qu'on soigne ses crises, assez pour servir une demi-vérité aux policiers. Elle avait été assommée, puis elle s'était réveillée dans un endroit sombre et on avait abusé d'elle. Mais elle prétendit ne pas tout ce souvenir, ignorant comment elle s'était retrouvé là. On comprit facilement qu'elle mentait, mais qu'elle voulait surtout ne pas s'en souvenir et en parler, les policiers cessèrent de l'importuner. Le reste de l'année fut fêtes, repas, sortie, crise, pleure, rire et joie. Elle fut aussi amenée à suivre des cours particulier, afin de se rattraper pour aller au lycée et voir si elle était toujours apte, elle-même ayant proposé l'idée et enfin, elle était toujours suivit psychologiquement.
Par sa force de caractère et sa volonté, elle se reconstruisit et évita de tomber dans la dépression, allant même jusqu'à condamné la ruelle, ses tourments devenant de mauvais souvenir, ses crises plus rares et ses cauchemars moins fréquents. Le suivit médical ne fut plus nécessaire, bien qu'on planifia deux visites par ans ou à tout moment si le besoin ce fait sentir, les médecins félicitant ses progrès et son rétablissement aussi rapide. Et ainsi, elle fut enfin prête à rentrée au lycée, comme cela devait se faire.
Maintenant que tout ça est derrière elle, elle croque le lycée à pleines dents et rattrape le temps perdue avec ses amies !
Caractère : Si Fujiko est à l’abri d'un syndrome de Stockholm, elle n'est pas ressortit indemne tout de même. Cette année de souffrance lui aura donné, malgré elle, quelque penchant malsain. Désormais, elle éprouve des envies, et du plaisir, à se faire remplir, à se faire gonfler le ventre de liquide, ayant même parfois des sensations de manque. Elle a découvert ça en buvant de l'eau, en pleine nuit, après un rêve étrange, ayant eu soudainement soif, elle bue quelques litres sans s'en rendre compte, gonflant son ventre, et loin de la dégoûter, lui donna envie d'encore plus.
Elle hait cette part d'elle-même, si fort qu'elle en éprouve parfois du dégoût quand elle utilise le pommeau de douche pour se remplir en l'enfonçant dans son fondement, après une grosse sensation, pour vomir après s’être vidé et de frapper un mur. Mais aussi parfois des envies et du plaisir, se gorgeant de hentai et de vidéo ayant pour terme la belly infation, ou cum inflation, et de se remplir, parfois plus que de raison en se masturbant. Seule, une de ses plus proches amies le sait, qui sait tout d'ailleurs, étant la seule à qui Fujiko à pus se confier, au point d'en éprouver un certain... plaisir.
Mais sinon, c'est une battante, le genre de fille qui n'abandonne pas et qui affronte l'adversité sans peur. Une fille qui refuse de baisser les bras et qui encourage toujours les autres, souriante et pleine de vie. Mais ce n'est pas une fille sérieuse, bien trop pétillante pour ça. C'est aussi une amoureuse de la viande et de la bonne bouffe, toujours partante quand de la nourriture et en jeux ou pour organiser un barbecue. C'est aussi une personne droite et juste, n'hésitant pas à remettre à leur place ceux qui martyrise les autres, surtout par son vécu, ne supportant pas qu'on maltraite quelqu'un.
C'est une femme ouverte et qui accorde beaucoup d'importance à la vie, ayant empêché un suicide (et accessoirement envoyer à l'hôpital à la personne en question après l'avoir plaqué trop fort, mais qui ne lui en veut pas, car elle lui a ouvert les yeux sur l'importance de la vie). Elle peut ce montré agressive si on ne prend pas au sérieux l'importance de sa vie, fessant la guerre à toute les drogues et cigarette.
Pour finir, elle accorde à soin particulier à sa nature de mutant, surtout au vu des supplice qu'elle à subit, devenant parfois hystérique quand son secret manque d'être découvert, de peur qu'on lui refasse subir toutes ces horreurs.
Physique : 1m74 pour 70 kilos, une belle petite plante, avec une poitrine plutôt petite (ça change beaucoup de d'habitude), mais n'a aucun complexe, d'ailleurs, elle préfère les petites poitrines, c'est beaucoup plus pratique que des obus. Une silhouette svelte et élancé, un corps mince des membres long et fin, sans rien de particulier, pas de graisse ou de tatouage, une peau blanche avec des grains de beauté, dont un plutôt gros derrière la cuisse gauche, des petites cicatrices ici et là, principalement au cause de ses viols par des monstres en tout genre. Des courbes fine, sans attrait particulier et des fesses plutôt petite. Bref un corps simple et bien conserver.
Son visage rond fait plutôt sérieux, dégageant une certaine maturité et beauté, et sans trop de maquillage. Ses lèvres sont fines, son menton quelque peu en pointe et ses dents intacts et toute présente. Possède un petit nez en pointe, et deux yeux ronds, un chaouia plus grand que la moyenne, d'un vert pâle, agréable à regarder et peu commun, avec des sourcils fins et tailler soigneusement. Sa chevelure plutôt longue, tombe à la moitié de son dos, d'un châtain foncée prononcé, bien entretenue, toujours laisser au moins et couper de manière simple devant, arrivant juste au-dessus de ses yeux, assez pour ne pas la gêner.
Possède une paire de boucles d'oreille discrète et une petite bague pour faire swag.
Pouvoir :Mutant : Fujiko est une mutante ayant un corps de caoutchouc. Vous voyez Luffy ? Ou l'homme élastique des 4 fantastiques ? Et bien vous pouvez oublier !
Fujiko n'a en commun que le corps élastique, elle ne peut pas s’étirer à volonté ou prendre la forme qu'elle veut par ses propres moyens. On peut juste la déformer à l'envie ou l'étiré sur plusieurs dizaines de mètres, mais elle ne peut pas le faire elle-même. Tout ce qui est aussi pointu qu'une aiguille et aussi tranchant qu'un rasoir peuvent la blesser ou la tuer, mais toute attaque contondante, balles ou objets, ne feront que la déformer ou la transformer en boule de flipper si on frappe très fort.
Elle peut passer sous un rouleau compresseur, mais elle ne pourra plus respirer et mettra un certain temps, avant de reprendre sa forme originale, ou quelqu'un la décolle du sol et la « regonfler ». Elle peut aussi manger et boire sans limite, son ventre tiendra le coup, mais n'est pas à l’abri d'une bonne indigestion, de tomber malade ou de tout vomir si on tape trop fort.
Ainsi, quelle que soit la taille de votre sexe ou la quantité de foutre que vous produisez, Fujiko pourra tout recevoir sans aucune douleur !
Elle est loin des X-men, ou autre « alter-égo » au corps élastique, elle n'est pas forte, son pouvoir est plutôt naze pour sauver le monde ou battre les méchants, elle servirait plus de punching-ball ou de ballon de basket.
E.S.P er : Découvert lorsqu'elle était esclave, elle n'a aucun contrôle sur son pouvoir, qui la téléporte de manière aléatoire, pouvant se retrouver à 1 cm de sa position initiale ou à 1 km de son objectif. Mais ce dernier, mue par l’inconscience de Fujiko, évite de la téléporter dans tous endroits comportant une menace direct ou indirect envers Fujiko, et il peut se déclencher inconsciemment si elle cour un grave danger. Sa capacité de mutant élimine la plupart des dangers, même celui d'un train, car elle peut ce le prendre en pleine face, tant qu'elle ne passe pas sous ses roues.
Première mutante E.S.P er, mais avec qui le destin n'a pas voulue être sympas.
Autre : À rejoint le club de cuisine, dont elle très apprécier d'ailleurs, car même si elle n'est pas une bonne cuisinière, son palais est bien développer, fessant d'elle une référence pour juger un plat.
Suis des cours de self-défense.
Bien que n'étant pas membre du conseil des élèves, elle y fortement affilier, car son sens du devoir et ses multiples actions contre les drogues et autre ont été utiles, et qu'elle rend pas mal service.
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Le liens qui suit envoie à une galerie d'image de l’Artiste Sparrow sur rule 34 !!
Âme sensible, moins de 18ans, personne adepte du soft, ou vous venez de vous levez, ne cliquer pas sur le liens qui suit !
Image hard, viol, sexe violent et démesure extrême !!!L'artiste qui m'a inspirer dans une certaine mesure Fujiko ! Histoire de vous montré les capacités sexuelle de Fujiko :3
Énième compte, alors que j'en ai des dizaines d'autre qui attende et surtout des réponses, mais bon !