La horde composée de trois chiens féroces y allaient de bon coeurs et recouvraient non seulement l'intérieur mais aussi l'extérieur du corps de Pauline, qui fut très vite gratifiée tours à tours de plusieurs jets maculant sa peau... et ses pauvres orifices profondément souillés. La scène était presque répugnante à voir pour n'importe quel esprit assez sain, ce que ne possédait visiblement pas le surveillant qui admirait la scène main au pantalon. Ma main à moi était quant à elle pourvue de billets que je recomptais. Ca faisait déjà un jolie paquet...
Bon les chiens se sont bien assez amusés non ? Maintenant il est temps de laisser son tours aux autres. Et inutile de revenir la prochaine fois.
En réalité même si je ne le montrais que peu, je n'aimais pas vraiment que cette homme touche Pauline, pour son bien être physique et mental. La pauvre était encore tremblante d'excitation alors que de la semence coulait hors des lèvres buccales et vaginales... En temps normaux la petite brune aurait surement pleurer de peur et de dégout... mais pas sous la drogue.
On dirait que je tombe bien pour nettoyer tout ça, je n'ai pas osé en profiter la dernière fois mais puisque c'est contre de l'argent tu n'utiliseras pas ce fait pour faire encore chanter, n'est-ce pas Leona ?
Il s'agissait de l'infirmière scolaire, cette même jeune demoiselle très sexy d'une vingtaines d'années qui lui avait affirmé la dernière fois ne pas s'intéresser aux adolescente dans son genre. Elle était pourtant bien là, dans sa sublime tenue d'infirmière pour remettre Pauline sur ses deux jambes. Qu'elle n'aille pourtant pas croire qu'elle était un havre de bienveillance, l'infirmière dans l'intimité bien que restant en toute circonstance calme et adorable, n'était pas un havre de paix dans ses petits jeux sexuels, et faisaient passer les pires tortures possibles pour de soit disant actes de sympathie fondamentales pour soigner ses élèves, ou les garder en forme. Alors quand elle parlait de nettoyer, c'était en direction des toilettes que Pauline se rendait avec l'infirmière, qui musela le visage de la brune contre le robinet, bouche suçant le tuyau d'arrivé d'eau.
C'est pour ton bien Pauline, il faut nettoyer toute cette semence de chien pleine de bactéries nocives... Dit l'infirmière en affichant un regard malsain et excitée envers Pauline, une main dans sa culotte déjà mouillé, l'autre caressant le robinet d'eau.
Pauline devait comprendre avec effroi ce qui allait se passer et ne put que le confirmer lorsque le robinet tourna pour laisser couler un long filet d'eau froide qui ne s'interrompait jamais. Elle fut bien contrainte d'avaler l'eau qui déferlait dans sa bouche par grandes gorgées, en continue. Forcée d'avaler pour ne pas boire la tasse devant l'infirmière qui se doigtait furieusement, elle eu le droit à une petite pause après un litre d'eau ingurgité de force.
Pourquoi ce regard ma mignonne petite biche ? tu n'as bu qu'un tier du traitement.
Ce n'était même pas la moitié pour la pauvre Pauline qui se retrouvait de nouveau gavée d'eau comme une oie, jusqu'à en éprouver d'énormes difficultés à avaler chaque gorgées. Au bout du deuxième litre, les difficultés à avaler se faisaient sentir, et de longues bosses déferlaient avec un rythme moins soutenue dans un gorge, dans des sons de déglutissement semblant implorer la pitié. Chaque bouffée d'eau était un vraie supplice maintenant elle n'arrivait tout simplement plus à avaler assez vite. L'infirmière s'en fichait pas mal et allait même jusqu'à laisser Pauline convulser légèrement en gémissant d'urgence. L'eau était obligée de s'échapper en grande partie par le bord des lèvres... je dut interrompre moi même ce jeu dangereux avant sa fin.
Mais.. Leona.. le traitement n'est pas fini... il lui reste encore un litre à ... Bon ok j'ai compris... je vais faire autrement...
Elle coupait enfin le robinet alors que le ventre de Pauline était remplis d'eau et avait gonflé comme celui d'une femme à enceinte de quelques mois. Mais l'infirmière appréciant peu de ne pas avoir terminer son petit jeu la fit basculer sur le ventre dans un sons raisonnant, comme si un ballon plein d'eau avait brutalement percuter le sol. Pour finir de la remplir, elle enfila un tuyau qu'elle glissa loin dans son anus après en avoir sucer le bout pour le lubrifier. Et ainsi continuer à la remplir d'eau ainsi, par l'autre côté.
Entre ce qu'elle avait bu et l'eau qui remplissait son ventre par l'anus, c'était pas moins de presque 4 litres qui gigotaient dans son ventre pleins, soit 1 litre à peine sous la limite que pouvait supporter un être humain.
Et maintenant un peu d'exercice pour ton bien, pour garder la forme !
Un sourie bienveillant se dessinait encore alors que je me disais que c'était bien plus malsain que mes méthodes. Moi au moins, j'affichais clairement mon désir d'être sadique quand je l'étais... je ne faisais pas semblant d'être douce. Comment on pouvait croire une seule seconde à son rôle quand on se retrouvait comme Pauline remplis de 4 litre d'eau, le ventre gros et à demi écrasé sous le sol avec un gros bouchon en liège dans le derrière, pour être sure que rien en sorte... Ou du moins, que rien ne ressorte par ailleurs que par sa vessie qui serait bientôt en feu.
L'infirmière l'avait bien compris puisqu'elle pressa sur son gros ventre avec son pieds avant de lui attacher une laisse et de commencer une petite balade à quatre pattes dans le grand établissement.