Encore allongée sur le sol froid, cuisses écartées, les lèvres ayant encore un peu de bave canin, dont j'avais avalé une bonne partie déjà en écoutant ce qu'elle me dit, avec un sourire amusé. Je lui prends délicatement la main pour me relever et me retrouver collée à Eris qui m'embrasse rapidement, répondant pareillement.
Oh, mais je le sais. J'ai de magnifiques souvenirs de mon ventre rond après tes multiples éjaculations, mon cher Erykal.
Il est vrai que ce loup est très différent de tout ses congénères et j'ai encore le souvenir de notre première fois, qui était notre rencontre aussi. On venait à peine de sortir d'une semaine d'un gang-bang des plus violents dans un village de minotaures, ayant eu l'idée de se balader nues dans la rue principale avant de s'embrasser devant tous ces taureaux qui passaient du passif à un état de rut. D'abord un et puis deux... Trois... J'avais arrêté de compter à partir de dix belles queues, aussi imposantes que la mienne, au début, après avoir subis les jets de spermes sur nos corps pendant que je sodomisais Eris, mais, une fois les fesses de celle-ci remplies, elle se retrouvait sur moi, l'intimité empalée sur mon membre, en étant collés l'une à l'autre, enchainant les pipes et branlettes sur tout ces mâles, d'abord doux, mais devenant rapidement brutaux.
Nous étions en proie à une emprise lubrique, perverse, avalant les chibres monstrueux qui nous gavaient le gosier de leur bouillant foutre visqueuse, les masturbés nous arrosant par leurs gels collants et blanchâtres pour une douche digne des nymphes que nous étions avant de passé aux choses sérieuses.
Pendant, plus ou moins, une journée entière, nous étions baisés à tour de rôle en levrettes, l'une à côté de l'autre, se faisant démontées le vagin ou la rondelle par les fiertés masculines phalliques qui nous remplissait et nous ballonnait telle des ballons de baudruche. Je ne peux dire combien d'orgasmes on a eu, mais chaque queue nous en donnait un bon qui était inaudible vu que nous sucions les verges qui venaient de jouir dans nos êtres, les lavant malgré le plaisir qu'on prenait. Ils étaient quand même surpris de voir que nous étions toujours en demandes de cul alors que nos corps ont été asservis dans des positions excentriques et bestiales, des inconnues débarquant de nulles parts, mais de telles donneuses de plaisir ne pouvaient être que des déesses du sexe, surnom qu'ils nous ont donné d'ailleurs... Les déesses de débauches. Mais il n'y avait pas que les mâles qui étaient en rut, les femelles minotaures en étaient humides de voir mon membre, qui avait atteint la taille de cinquante centimètres pour une épaisseur de poing de minotaure tellement que j'étais excitée d'un tel vice, celles-ci m'emportent dans une maison tandis qu'Eris était emmené dans une autre avec tous les mâles pour elle.
Cette fois, ce n'est pas un, mais deux jours que nous passions avec nos groupes respectifs. Les femelles avaient reçu l'autorisation exceptionnelle de se faire féconder par une inconnue et comptaient bien en profiter, m'obligeant à les lécher chacune pour débuter les hostilités du repas sexuel qui se profilait. L'une d'entre elles, une fois les cunis terminer, me plaque contre un mur et s'agenouilla devant le monstre de plaisir, le calant entre deux des plus gros nichons que je n'ai jamais vu, et j'en ai vu pourtant, afin de m'offrir une branlette espagnole serrée et intense, voulant voir quelle quantité de foutre virile je pouvais lâcher et cela ne tarda pas, finissant par inonder le visage et seins de la vache lubrique, sous les yeux subjuguer et ravis de la quinzaine de femelles présentes. La plus grande et massive s'avança vers moi, m'expliquant qu'elles voulaient toute être engrossées par moi avant d'être plaquée au sol par celle-ci et me chevaucher avant de s'empaler férocement sur mon membre et de sautiller à un rythme frénétique sur le monstre tant convoité, nous faisant crier toutes les deux comme des folles, ses vas et viens de son intimité gobant ma masse de chair avidement en me claquant brutalement le bassin avec le sien. Elle pensait peut-être tenir et ne pas jouir, mais elle ne me connaissait pas, lui rendant ses coups en lui tenant ses grosses mamelles jusqu'à lui fécondée le vase intime qui me répondit par une explosion de cyprine, digne d'une femme fontaine ayant un bon orgasme.
Elle s'était même allongée sur moi pour continuer d'abuser de ma virilité à ce rythme éfrainé, me "violant" avec grand plaisir pendant de très longues minutes avant de se relever et de laisser les autres profités de ma lubricité ainsi que de mon corps de rêve. Une à une, vagin après vagin, je les remplissais comme des chiennes en manque, les fécondant dans des positions des excentriques et inimaginables, enchainant les explosions de spermes et cyprines dans la maison qui était imprégnée d'une odeur de sexe pur, tenant toutes ses femelles pendant deux jours... Deux jours... J'en suis sortie transpirante, souillée de tout ce foutre, tremblante et les pupilles dilatées comme une droguée venant de prendre une seringue d'héroïne pour sa première fois, je voyais trouble tout en sachant ce que je faisais, défoncée à la luxure. Je rejoignais Eris, étant dans le même état que moi, mais le supplice ne s'arrêta pas quand on vit le chef du village arrivé avec quatre belles femelles à ses côtés, ses filles si je m'en souviens bien, et nous offrit à elles qui ne tardent pas à nous emmener dans la plus grande maison des lieux.
Dés le début, dans leur chambre, on était mis dans l'ambiance à coups de fouet sur les miches pour nous punir d'être de vilaines perverses et nous faire crier de douleur pendant qu'on se faisait bifler en même temps... car oui... Une fois nues, on remarquait qu'elles étaient, toutes quatre, futanari aussi bien équipés, voir plus, que moi. Pour Eris, comme pour moi, cette découverte en était croustillante et terriblement excitante surtout quand elles nous bandent les yeux et se missent à nous baiser la gueule de toute leur forces, nous faisant baver et déguster leur jus sans avoir le choix en nous insultant de tous les noms qui nous caractérise très bien en ce moment. J'aurais pu penser que ça allait être pareille qu'avec les villageois, mais non... Avec grande surprise, l'une des futas nous un bâillon à anneau, mais qui était relié, par l'attache, à un collier pince-téton dont les pinces étaient directement accrochées, à nos pointes gonflées, tirées par celles-ci pour nous faire couiner de douleur. Nous étions excitées comme des folles puis nous avions deux queues chacune, pour ma part, une me baise la gueule férocement pendant que l'autre m'avait mis à cheval sur elle pour me faire sauter frénétiquement sur sa queue, accueillie par ma fleur boursouflée d'envie et dégoulinante d'un mélange de cyprine et sperme. Elles changeaient de position quand elles jouissaient, ne me laissant aucun répit pour me bourriner mes deux portes privées avec leurs gourdins, ce qui me fait hurler tout le long, j'en était molle tellement que je voyageais dans un monde de plaisir extrême et, encore plus, lorsque qu'elles me pénètre en même temps dans le même orifice. En deux jours, encore, elles nous soumettaient à des pénétrations extrêmes, des insultes, des coups de martinet et fouet, nous traitant comme de vraies chiennes, mais... Le meilleur... C'est quand les quatre s'occupaient de moi, uniquement, dans une position plus qu'improbable pour permettre avoir deux immenses queues dans chaque trou, une quadruple pénétration, qu'à surement subit Eris juste après, pendant la moitié de journée jusqu'à ce que j'en tombait inconsciente.
C'était un bon souvenir, Eris et moi en avions beaucoup parler, par après, nous excitant rien qu'en parlant de ça et encore maintenant d'ailleurs, ne me rendant pas compte que je caressai les fesses de la sublime Vipère tout en ayant une bonne érection sur sa cuisse.
Je secoue la tête quand les deux m'interpellèrent en vu de mon manque de réponse, heureusement, mes oreilles avaient tout capter.
Excusez-moi, un souvenir me revenait. Riant doucement avant de répondre à Erykal Je suis désolée de ne pas avoir donné des nouvelles, mais entre mes voyages entre Terra, Terre et Enfer sans compter les parties de jambes en l'air ainsi que la gérance de ma clinique, j'avoue ne pas y avoir pensé. Je regarde Eris ensuite en souriant doucement Et bien... Je reviens d'un entretient de trois jours avec Orzam pour les détails de l'Alliance avec Père. Soupire Et vous ? Que faites vous ici ?
Malgré que je sois revenue de mes songes, ma main continue de caresser le fessier bombé d'Eris sans m'en rendre compte, comme un réflexe datant.