Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Une fin de journée mouvementée (Projet Bible black-topic privé)

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Hiroko Takashiro

La sensei Takashiro faisait comme souvent le tour des couloirs pour s’assurer que tout allait bien. Comme elle en avait pris l’habitude depuis ce qui s ‘était passé l’an passé, elle vérifiait chaque soir si rien de suspect ne se déroulait. Non pas qu’elle doutait ou qu’elle était en permanence sur la défensive. Simplement, elle avait appris  qu’il ne fallait jamais  laisser la moindre possibilité aux élèves de s’éparpiller et de tenter de franchir les interdits. N’avait-elle pas elle-même été une adepte de la sorcellerie ?  N’avait-elle pas jouer avec les forces occultes ? Ne venait-il pas de se dérouler il y a quelques mois la même chose des années après ? L’être humain répétait sans cesse les erreurs, il fallait donc être un guide pour les éclairer. D’autant plus avec des jeunes lycéens encore insousciants et immature pour la plupart. 

Il y avait aussi une raison  moins louable pour laquelle elle était là. Son compagnon  Naejo Minishi  n’avait pas encore fini sa journée et elle l’attendait donc.  En faite, il  s’entrainer à la piscine de l’école, faisant son quota de longueur. Ensuite, il allait s’occuper de son élève fétiche  Takeshi Shino et il serait alors temps pour lui d’aller le retrouver.  Dire qu’elle l’aimait c’était d’ailleurs peut-être prématuré. Ils étaient ensemble depuis quelques semaines, même s’ils se fréquentaient depuis quelques temps comme collègues. Mais voilà, le fait d’être avec quelqu’un lui faisait du bien. Elle sortait, elle avait quelqu’un avec qui parler, discuter, elle pouvait être écoutée et elle avait  toute la tendresse et le désir qu’elle souhaitait recevoir. Naejo était quelqu’un de bien, motivé par son métier, apprécié de ses élèves, apprécié de sa direction. Elle avait été séduit par son côté fort, solide, qui ne doute jamais. D’abord amis, ils avaient ensuite franchi le cap et elle ne le regrettait pas. Vivant toujours séparé, il arrivait parfois qu’ils se rejoignent pour une nuit mais elle tenait à garder une certaine indépendance.

Mais au moins cette relation avait le mérite d’exister et chaque jour elle sentait qu’elle prenait de plus en plus d’importance. D’ailleurs , comme libérée du poids que la rentrée scolaire et le premier mois s’étaient bien passés,  elle s’était d’un coup montré plus ouverte et disponible pour son petit ami. Et puis pourquoi le nier, à 30 ans l’envie d’avoir un enfant et de fonder une famille se faisait sentir.


Tout allait donc bien hormis le fait qu’elle continuait de percevoir un trouble quand elle voyait Minase au détour d’un couloir. S’étant arrangé pour ne plus avoir d’élève de troisième année en classe,  elle comme lui s’évitaient au maximum. Mais quand il arrivait de se voir, les deux étaient mal à l’aise, ne pouvant oublier et cacher ce qui s ‘était passé entre eux. Est-ce qu’ils pourraient recommencer ? Non le contexte était différent, et puis elle était heureuse  qu’il soit avec Imari, une chouette et jolie fille. Elle-même n’avait rien à redire sur son compagnon. Seulement, par moment elle repensait  au plaisir ressenti et à ses rapports sexuels avec lui. C’était plus fort qu’elle. Seule dans son lit, elle se touchait, revivant chaque  moment, comme si la drogue était toujours en elle. Pourtant elle savait q’ une relation professeur-élève était interdite et qu’elle risquait gros. De son point de vue c’était presque même incestueux, tant elle se considérait comme une seconde mère pour ses élèves. Etait-ce justement cet interdit qui l’attirait tant ?

Terminant sa ronde, arrivée au troisième étage, elle entendit des bruits provenant d’une classe et plus elle se rapprochait, plus elle les reconnaissait. On entendait très distinctement des gémissements. D’abord hésitante et forcément surprise, elle entrouvrit légèrement la porte et reconnut deux élèves  entrain de faire l’amour. Le garçon prenait la fille en levrette et presque instinctivement, Hiroko Takashiro commença à se toucher, comme si elle n’y avait même pas réfléchi. Portant des bottes très haute, des bas noirs une juperouge, un chemiser blanc avec une veste bleue au-dessus, ses deux boucles d’oreilles présentes, une de ses mains  venant rapidement se caresser la poitrine. Prenant soin de ne pas être  vue ou entendue, elle observait donc la scène, le garçon pénétrant la fille sur le bureau, entendant avec une certaine émotion le bruit de la verge rentrant et sortant en elle.

shenjo Grashi

Et justement par un heureux ou malheureux hasard, c’est selon le point de vue qu’on adoptait, Shenjo était de passage dans les alentours. Sortant de deux heures de  retenue pour cause d’un travail non rendu il comptait rejoindre sa chambre de pensionnant pour aller prendre une bonne douche.Fatigué par cette journée d’un ennui profond, peut-être irait-il au cinéma avec sa copine Funika, puisque de temps en temps il devait  quand même la sortir. C’était pas une corvée, fallait pas pousser non plus. Mais bon le temps qu’il passait avec elle, il n le passait pas avec  une autre. Car en effet, Shenjo était l’un de ces garçons qui multipliaient les conquêtes.  Ou plutôt il aimait séduire et prendre son pied avec des femmes plus âgées et déjà prise de préférence. C’était comme un besoin qu’il ne pouvait contrôler. D’ailleurs depuis son arrivée dans ce lycée, il avait dressé une liste des femmes qu’il voulait  obtenir durant l’année scolaire qui s’annonçait. Il y avait en tête de liste la sensei Takashiro  Une superbe femme au physique de rêve et à la poitrine aussi généreuse. Le fantasme des étudiants,  avec autour d’elle un nombre de rumeurs  incalculable, la plus pressante étant qu’elle aurait eu une liaison avec minase. Actuellement avec ce gros con de Sensei Minishi, il se demandait ce qu’elle faisait avec lui. Ensuite, il y avait la surveillante Linia Mirini, une belle plante elle aussi. Provocatrice, elle aimait aguicher les élèves. Il y avait aussi la sensei Okane, plus âgée  mais tout aussi attirante.  Niveau élèves,  il y avait  évidemment Imari Ogawa, la copine très  sexy de ce con de Minase qui derrière ses airs de sainte nitouche devait aimait cela.  Il y avait aussi Kaori Saeki  une allumeuse de première toujours provocatrice. Enfin, il y avait Cynthia Hamani, celle qu’il voulait absolument se faire aussi, une superbe jeune femme. Autant dire que les projets ne manquaient pas.

Mais  alors qu’un mois s’était écoulé depuis la rentrée, c’est surtout  au niveau du recueil d’informations qu’il avait œuvré. Il avait collecté des informations précieuses à gauche comme à droite.  Prenant ses marques, il avait déjà compris qu’il ne serait pas ami avec beaucoup de monde ici. Si Funika trouvait les gens sympas lui avait l’impression  que c’était une belle brochette de naze ici. Et la pseudo-sorcellerie qu’on aurait utilisé ici n’était pas pour améliorer son opinion.

Redescendant tous les étages à pied, il constatait que certains élèves étaient encore dans l’école pour des activités complémentaires. Club d’échecs, atelier de théâtre, sports, danse, les choix étaient multiples.  Shenjo ne comprenait pas qu’on puisse faire ce genre de choses, tant les cours obligatoires l’ennuyaient fortement.  Portant l’uniforme de l’école, à savoir un pantalon noir avec une chemise blanche et une veste noire, il avait son cartable derrière l’épaule, tenu à une main.

Arrivant au troisième étage, il eut alors la surprise de voir une vue intéressante. D’abord il ne la reconnut pas, d’ailleurs il ne s’attendait pas à cela. Mais s’approchant lentement, il put confirmer que c’était bien sensei Takashiro qui se touchait, se caressait, viisblement elle regardait quelque chose de bien intéressant. Comprenant assez vite l’intérêt à retirer d’une telle situation, il décida pour le moment de ne rien ou dire. Pour le moment…


Hiroko Takashiro

Loin de se douter qu’elle était épiée, Hiroko continuait de se caresser, ses deux mains  voyageant de la poitrine à sous sa jupe. De plus en plus absorbée et intéressée par ce qu’elle voyait, elle en oubliait toute réserve ou tout pudeur.Les yeux fixés sur ces deux étudiants qui se livraient au plaisir de la chair, elle était juste dans l’encadrement de la porte, sa tête dépassant à peine. Se malaxant la poitrine encore davantage, elle avait enfoui  sa main encore plus sous sa jupe, regardant avec envie la verge de ce jeune homme qui apparaissait maintenant au grand jour puisqu’il s’était retiré de sa partenaire pour qu’elle lui fasse une fellation.


Elle était droite, fière, comme si elle la narguait. Oui c’est l’impression qu’elle avait. Ce sexe la narguait, il la défiait, comme pour lui montrer qu’elle ne l’aurait pas. Perdant toute maitrise d’elle-même, elle ne souciait plus vraiment de l’image qu’elle pouvait  transmettre. Oubliant son compagnon, c’est à Minase qu’elle pensait, comme si le spectacle devant elle la renvoyait quelques mois en arrière. Envieuse de cette fille qui venait de prendre cette verge en bouche, elle sentait ses tétons durcir et son intimité devenir plus humide. Ouvrant un peu les boutons de sa veste, comme pour mieux saisir chaque sein à travers le chemisier,  elle s’enfonçait dans la luxure.



*Pourquoi ce sexe me fait tellement envie alors que c’est celui d’un élève qui m’indiffère*


Cette pensée était fixée en elle.  Elle se sentait coupable forcément.  Naejo minishi, son petit ami, celui qui partageait sa vie faisait pourtant de son mieux pour la combler sur tous les points.  Alors pourquoi il avait suffi qu’elle épie un couple d’étudiants se donnant l’un à l’autre pour en perdre toute retenue ? Pas vraiment en état pour répondre à cela, elle ressentait toujours plus d’excitation,  ne faisant même plus attention à ne pas se faire prendre ou voir.

Ses doigts jouant au niveau de son entrejambe, flattant encore plus  son clitoris par-dessus sa culotte,  elle avait les yeux plissés, les traits du visage exprimant le désir et surtout le plaisir. Tout son corps  bouillonnant de plus en plus, elle s’imaginait à la place de cette étudiante. Elle ne pouvait pas faire autrement.

La tête de plus en plus vide, le corps de plus en plus chaud, elle ne sentit pas Shenjo qui s’approchait. Bien loin de s’imaginer qu’on puisse l’épier, c’est à se faire plaisir qu’elle pensait. Redevenue esclave de son corps et de son sexe, elle était à mille lieux de l’image de professeur dynamique et dévouée qu’elle aimait donner auprès de ses élèves. Alors que cela faisait des minutes  à présent qu’elle jouait au voyeuse,  elle n’était plus vraiment maitre d’elle-même.


shenjo Grashi

shenjo ne pouvait plus en douter à présent. Sensei Takashiro se caressait et prenait un plaisir évident à jouer les voyeuses. Ravi et excité par cette découverte, il voyait là une chance unique de pouvoir s’amuser avec elle et d’obtenir d’elle ce que des centaines d’élèves voulaient.  Alors même que lui-même commençait à douter de pouvoir s’amuser dans ce lycée, voilà qu’une occasion inespérée lui tombait du ciel.  Sachant très bien qu’il ne fallait pas hésiter, il ne mit pas longtemps à trouver ce qu’il allait faire.  A cette heure-ci il n’y avait pas grand risque d’être dérangée ou vu. Etant au 3ème étage, il y avait au bout du couloir la pièce habituelle qui servait de débarras pour les femmes de ménages.  C’est là qu’il allait l’amener, étant donné que dans les classes on pouvait toujours se faire surprendre, il suffisait de voir ce que faisait Hiroko Taskashiro.  Certes cela pouvait rajouter du piment, mais il voulait s’assurer de pouvoir s’amuser avec elle autant que possible.  Il ne voulait prendre aucun risque. Les rapaces étaient nombreux dans ce lycée.

Sentant déjà son sexe frétiller de plaisir, il s’approchant lentement, son cœur battant très fort. Il avait conscience qu’il jouait là une carte unique  Il se devait réussir pour pouvoir jouir ensuite de sa situation. Heureusement, la sensei était trop occupée à observer et à se toucher que pour le voir arriver.  Et lorsqu’elle s’en rendit compte il était trop tard. Tel un lion tenant sa gazelle, il ne la lâcherait plus.


La saisissant au poignet, l’amenant contre lui, il plaqua son autre main sur sa bouche, et venant lui lécher le lobe de l’oreille il lui murmura lentement, délicatement ces quelques mots, prenant le soin de reculer un peu de la porte.

-On joue les voyeuses  Sensei Takashiro. Visiblement vous avez besoin d’aide. Heureusement que je passais par là.

Laissant tomber son cartable sur le sol, il commença à la tirer lentement vers le bout du couloir, gardant ses mains au même endroit. Avançant lentement, il eut l’impression que ce court trajet de quelques mètres avait duré des heures.  La peur de se faire voir était bien présente, et c’était normal. Cela aurait ruiné tous ses efforts à néant. Mais finalement , malgré le fait que la sensei essayait de le ralentir, il arriva à l’endroit qu’il désirait, à savoir le petit local où les femmes de ménages stockaient leurs affaires.  Ouvrant la porte , ce qui ne fut pas facile puisqu’il ne pouvait pas non plus la lâcher, il finit par y arriver et il la poussa alors à l’intérieur, refermant la porte derrière , après avoir entré rapidement dans la pièce.

-Maintenant nous allons nous amuser sensei. Je dois dire que depuis mon arrivée ici j’en rêvais. Vous êtes magnifique vous savez.  Et voilà que je découvre que notre cher prof de gym ne vous satisfait pas. Heureusement je vais y remédier

Le regard narquois, un petit ricanement se faisant entendre dans la pièce,  alors que sans un mot de plus, il fit tomber sa veste, déboutonnant ensuite un à un les boutons de sa chemise qu’il envoya à son tour sur le sol. Torse nu, il la regardait avec envie, s’imaginant déjà tout ce qu’il pourrait lui faire. Enlevant ses chaussures, il fit tomber son pantalon et le caleçon qu’il envoya également sur le sol. Il était nu comme un ver, le sexe prêt à fonctionner.

- Il est à vous sensei, je suis sûr que Minanse n’en avait pas un comme cela

Hiroko Takashiro

Les choses avaient été très vite. Avant même qu’elle ne puisse comprendre, elle s’était retrouvé embarqué dans cette pièce, ayant à peine le temps de reconnaître Shenjo. C’était un élève de première année  qu’elle avait en classe. Elève médiocre malgré le fait qu’il était intelligent, il n’était pas travailleur. En couple avec Funika, une gentille et jolie étudiante de seconde année et très bonne élève, elle n’aimait pas la façon qu’il avait de la regarder ou ses manières avec les filles de la classe. Elle l’avait donc déjà remarqué mais était loin de se douter qu’il puisse agir de la sorte. Reprenant ses esprits une fois sur le sol, elle essaya de se redresser mais s’arrêta en voyant Shenjo déjà nu. Une foule de choses se bousculant en elle, elle ressentait une certaine excitation à la vue de ce corps d’étudiant nu et à cette verge  déjà prête à l’honorer. Toujours sous le coup de ce qu’elle avait vu, elle repensait à ce couple qui s’était fait du bien.Oui elle avait voulu être à la place de la fille et maintenant elle le pouvait. Mais en avait-elle envie et le droit ? Si elle était excitée et donc désireuse de sexe, sa conscience lui donnait l’ordre de ne pas céder, car ce serait la remettre dans une position difficile. Elle venait à peine de retrouver le fil de son existence alors pourquoi tout compliqué maintenant ?

- Non je ne peux pas

Avait-elle dit en tournant la tête, n’essayant même pas de le résonner, comme si elle savait déjà que c’état en pure perte. Mais lorsqu’il parla de son compagnon, mais plus encore de Minase, elle tiqua repensant directement à ce qu’elle avait vécu avec lui. Une nouvelle fois elle replongeait dans cette sordide affaire.  Elle n’arrivait pas à s’en défaire et elle avait fini par se dire que peut-être recoucher avec un autre étudiant lui permettrait d’oublier Minase pour de bon.  Il ne serait plus le dernier et alors elle aurait tourné vraiment la page. Et puis cela n’avait rien avoir avec  son compagnon puisqu’il n’était pas question d’amour ou d’attirance. Regardant à nouveau la verge, essayant d’oublier à qui elle appartenait, elle se remit à genoux et lentement, comme poussée par une force inconnue, elle tendit la main droite vers elle. Oui elle était attirée c’était certain à présent. Elle avait envie de pouvoir toucher, sentir, prendre ce sexe.

-Ce sera la seule fois et ne parle plus ni de sensei  Minishi ni de Minase.

Elle avait dit cela comme pour se donner bonne conscience. Elle savait que cela ne pouvait pas être si simple surtout avec Shenjo. Posant sa main droite sur la base de la verge, elle commença à la caresser , à aller et venir dessus, ne pouvant cacher qu’elle aimait cela. Fixé sur ce sexe, elle approcha assez vite sa bouche du pénis et elle passa sa langue sur celui-ci,  s’humidifiant les lèvres avec sa bouche.  Continuant sa masturbation , elle vint lécher chaque bourse avant de prendre le sexe en bouche, venant faire glisser sa langue sur tout son long. Léchant tout autour du gland, elle venait donner des petits coups de langue dessus. Finissant par le prendre en bouche complètement, elle entama sa fellation, la main droite posée sur la base du sexe, la gauche posée sur une cuisse.  Concentrée sur sa tâche, elle oubliait tout le reste. Elle laissait libre court à son désir et à ses pulsions.

shenjo Grashi

Shenjo poussait déjà des cris de plaisir, Ravi de la voir s’occuper si bien de lui. Comme il l’avait espéré, elle s’était montré assez conciliante, comme si au fond, elle n’attendait que cela. Et puis comment se défendre valablement quand on est pris la main dans le sac, entrain de mater des élèves ?  Non elle ne pouvait raisonnablement pas jouer celle qui était outrée et choquée.  Appréciant de sentir la langue qui jouait sur son gland,  il mit ses deux mains au niveau des hanches , observant la pièce. Il y avait là des balais, des seaux, des étagères, es armoires. Plus intéressant, il y avait là  des tapis qui devaient être ceux  dont on se servait pour les ateliers de sophrologie. Cela ferait assurément  un beau matelas pour la suite. Il y avait aussi un ou deux bancs qui pourraient servir aussi. Mais ne voulant pas aller trop vite, il vint très vite poser une main sur la tête de la sensei, accompagnant ses mouvements.  Visiblement désireuse de s’appliquer du mieux possible,  i ne pouvait que constater qu’elle était chaude et qu’il se demandait vraiment qui elle avait observé. S’imaginant la tête que pourrait faire minase ou l’autre con de prof de gym en voyant cela, il n’ne était que plus satisfait.

Finalement, il avait eu la chance de passer au bon moment,  même si il ne croyait pas en la chance. C’est lui qui avait su profiter de l’effet de surprise et il avait su mené à bien sa tentative. Maintenant il allait avoir plein d’opportunités de profiter encore davantage de cette prof superbe.  Gémissant toujours plus, il appuyait sur la tête de la sensei, voulant sentir sa verge au fond de sa gorge. Appréciant les sensations ressenties,  il relâcha l’étreinte  sur la tête pour laisser la sensei reprendre son rythme.  De toute façon elle savait très bien y faire c’était une certitude


-   Vous êtes douée sensei c’est un régal.Mais cela je m'en doutais

Il fallait qu’il lui dise, qu’elle le sache. Entendant les bruits de la langue sur sa verge,  il laissa tomber sa tête en arrière, la sentant sucer son sexe avec avidité.  Elle n’avait pas l’air de faiblir et lui non plus.  Le souffle court, elle avait l’air totalement concentreé, fixée sur son pénis. Elle ne cessait de le sucer avec avidité, y mettant plein d’entrain.


-Elle te plait n’est-ce pas ma verge. L’autre enfoiré de prof a pas l’air de te suffir . Minase aussi il savait y faire ?

Il la tutoyer à présent.  Après tout n’étaient-ils pas intimes ?  Retirant un peu sa verge de sa bouche, il s’amusa à venir lui tapoter le visage, jouant avec celle-ci devant elle, sentant qu’elle la voulait.

-Je te la rends à deux conditions : que tu me dises que tu la veuilles et que tu me montre tes seins que je désire voir depuis si longtemps

Pas de doute possible: il était vraiment pervert et manipulateur


.

Hiroko Takashiro

[Comme on pouvait s’y attendre Shenjo se  montrait grossier et opportuniste. Ne se contentant pas de ce qu’il avait déjà, il voulait en plus l’humilier, osant des comparaisons douteuses avec les autres hommes de sa vie. Il jouait avec elle, lui faisant même du chantage. Alors que des deux c’est lui qui pouvait s’estimer le plus chanceux, voilà qu’il se permettait de jouer avec elle, de la faire languir. Avant cela, il ne s’était pas privé de faire ses commentaires salaces  Pourquoi dibale ne pouvait-il pas se contenter de jouir de ce qu’il avait ? 

Elle-même ne pouvait s’empêcher de se montrer docile et servile. Ne cessant de s’activer sur cette verge,  elle la gobait, la suçait goulument, sa langue  léchant le gland, sa bouche le suçotant.  Elle l’aspirait, posant ses mains sur ce pénis, le caressant tout comme les bourses qui l’accompagnaient. Véritablement soumise à son désir, esclave de ses pulsions, elle le sentait appuyer sur sa tête, la verge  cognant contre le fond de sa gorge. Toujours plus loin dans la perversion, il l’avait laissé ensuite reprendre son rythme, elle –même s’en donnant alors à cœur de joie. Soucieuse de toujours mieux sentir ce pénis en bouche, elle alternait masturbation et fellation, sa  langue venant lécher tout le long du sexe de l’étudiant.

-   Oui je l’aime

Avait-elle laché entre deux soupirs, deux caresses. Aveu de faiblesse balançait à la va vite, soucieuse de s’en débarasser pour mieux jouir encore . Ne répondant pas à ses propos sur minase ou Minishi,  elle obéit à sa requête , vu qu’à présent  il venait de lui retirer son jouet de plaisir, comme si  il voulait montrer que c’est lui décidait et que contrairement à elle, il savait se maitriser.  Le regardant alors, elle fit tomber sa veste, puis déboutonna son chemisier, à la hâte, pressée de récupérer ce pénis entre ses mains

-Voilà
 

avait-elle de nouveau soufflé,  terminant d’enlever son soutien gorge noire qui enfermait difficilement sa poitrine plantureuse. Devinant les pensée de son amant, elle enserra cette magnifique verge entre ses deux seins, commençant un mouvement de branle. Donnant des coups de langues sur le bout du gland par intermittence, elle le masturbait dans sa superbe poitrine, ne reculant décidemment devant aucune perversion. Son entrejambe de plus en plus humide, elle sentait Shenjo se contractait, comme si il commençait à sentir l’effet de cette branlette espagnole. Elle-même  très marquée par l’effort charnel, elle avait la tête et le visage niais, comme si le plaisir ressenti lui avait fait oublié tout le reste. Dans un gémissement, elle lâcha même un

-Minase…

Inutile de savoir  à qui elle pensait…

shenjo Grashi

Cette prof était vraiment mieux qu’il ne l’espérait. Même dans ses plus grands fantasmes il ne l’avait imaginé si chaude, si experte. Elle semblait connaître tout les stratagèmes pour lui faire du bien et le rende ivre de désir. Au comble du bonheur, elle avait entamé une branlette espagnole divine. Jamais sa verge n’avait été si bien encadrée et contenue. Ayant chaud et bon dans cette poitrine, il ne se privait pas de montrer qu’il était satisfait

-putain quel pied y a pas que le dessin que tu maitrises.

Au comble de l’aise et du plaisir, il ne se privait pas ou plus d’exprimer toute ses pensées lubriques. Après tout il n’avait plus besoin de cacher son jeu.  Toujours plus pervers et démoniaque, il la regardait s’enfoncer avec lui dans  les abimes du plaisir, le sexe balloté, cajolé dans ce qui était la poitrine la plus belle qu’il lui avait été donné de voir


Seulement dans ce tableau idyllique il y eut deux imprévus. Premièrement Shenjo avait présumé de ses forces. En effet, il avait senti son bas ventre se déchirait et son liquide séminale vint se répandre dans la poitrine, par trois très grands jets, dont un parti en plein sur le visage de la sensei. Celle-ci avait donc le corps et le visage maculé de sperme. Mais plus grave elle avait prononcé le nom de Minase. Etait-cela qui avait précipité son éjaculation ?  Peut-être du moins cela l’avait troublé.  Récupérant alors tout ses esprits, il entra dans une rage folle, dont l’effet plus accentué encore par ses traits déformés par le plaisir et l’effort préalable. L’empoignant par les cheveux, il tira se tête vers l’arrière et lui cria

-Je suis Shenjo ok, C’est avec moi que tu prends ton pied pas avec ce conard  c’est clair ? C’est mon sexe que tu viens de sucer, c’est ma verge que tu viens  de soigner de ta bouche experte. Lui c’est le passé.

La repoussant viiolemment, il étala un des tapis de sol et lui ordonna de s’allonger de manière à ce qu’il puisse la prendre en levrette.  Venant se mettre derrière elle, il lui remonta sa jupe et écarta  sa culotte noir end entelle, qu’il fit glisser le long de ses jambes et des bas. Ensuite, il se masturbait d’une main pour reprendre de la vigueur et de son autre main il la masturbait elle, puis la fister, sa main voyageant de son clitoris à son anus.


-Crois moi que tu te souviendras de moi sensei Takashiro. Je vais te faire grimper au plafond et te faire crier de plaisir.

Jugeant qu’il était de nouveau en état de marche, il vint placer son sexe à l’entrée de son vagin, jouant  avec celui-ci le frolant sans y pénétrer


-Tu es loin d’être satisfaite. Il était grand temps que j’intervienne. Et puis Minase est avec Imari et l’aime. Moi je suis dispo

Ouais enfin si  on omettait Funika. La prenant enfin, il entama une série de va et vient, ses mains  voyageant des hanches aux seins en passant par ses cheveux qu’il tirait sans ménagement. Chaque coup de rein étant puissant, arrachant un cri à la sensei, la faisant presque décoller du sol. Visiblement vexé , Shenjo la traitait comme l’objet sexuel qu’elle était à ses yeux.

-Alors c’est qui te prend là ?


Hiroko Takashiro

L’avait-elle fait volontairement ? En tous cas elle venait de réveiller la bête qui somnellait en lui. La pilonant de son sexe, elle était incapable de   se révolter, offrant même à Shenjo le plaisir évident de la dominer. Poupée de chaire entre ses mains, elle gémissait, criait, tant et si bien elle se pinça les lèvres pour ne pas se faire entendre. Sa poitrine malaxait dans tous le sens, sa peau gainée par les bas caressée sans retenue, ses cheveux tirés en arrière, elle était docile à son maitre. Semblable à une femme redécouvrant  des plaisirs oubliés, elle agissait sans retenue, oubliant qui elle était, qui  il était. Oui minase était pris, oui elle n’arrivait pas à l’oublier malgré les efforts de son compagnon, alors à quoi bon ? Autant cesser la lutte et jouir des plaisirs de la vie. Poussant des cris de plaisir, elle criait le nom de son amant

-Shenjo, shenjo

synonyme de encore, encore. Lui offrant la possiblité de flatter son égo, elle n’avait qu’un but : ressentir encore et encore le plaisir  sexuel avec lui. La tête penchée en arrière, elle  offrait sa poitrine, ses deux mains posées à plat sur le tapis. N’ayant plus aucune notion de temps, de lieu, elle était sur une autre planète. Le sentant maintenant passer de son vagin à son anus, elle ressentit au plus profond d’elle-même chaque centimètre du pénis rentrer en elle. Criant de plus belle, elle sentit les mains la saisir aux hanches pour donner encore plus de puissance.. Ne se contenant plus, elle se caressa la poitrine, ses mains prenant le dessus sur celles de son amant.

Et lorsqu’il la retourna pour la prendre en missionnaire, encore une fois elle se laissa faire, trop heureuse de sentir ce pénis qui entrait et sortait. Les ongles de ses mains venant griffer le dos de Shenjo, elle attira sa bouche dans sa poitrine,  ne laissant aucun centimètre de son corps dénué de plaisir., elle cherchait visiblmeent à lui donner de quoi combler son appétit. Il l’avait voulait, très bien il l’avait. Mais alors elle y prendrait aussi son pied.


Portant toujours ses bottes et ses bas, elle sentit la langue de shenjo lui fouiller la bouche une nouvelle fois. Lui rendant son baiser, elle avait un filet de salive qui coulait de sa bouche. Elle ne l’entendait plus lui murmurer des mots à l’ oreille. Elle recevait juste des sons plus ou moins distints.

Proche de l’orgasme, elle le sentit une nouvelle fois se  répandre en elle alors que de nouveau ses jambes se transformèrent en coton, une sensation aussi désagréable qu’agréable. Sensei Takashiro venait de s’offrir corps et âme à un étudiant pervers et sans scrupules…..

shenjo Grashi

Shenjo se dégagea d’elle et se mit à frotter son gland contre ses bas,  puis se redressant, il vint lui présenter près de sa bouche

-essuie ce qu’il reste


Ravie de ce qu’il avait fait, il avait réussi à la faire grimper au septième ciel. C’était la meilleure partie de jambe de l’air de sa vie. En sueur, il avait l’esprit complètement retourné. Lui-même s’était étonné de sa bestialité, de son côté animal. Jamais il n’avait pensé  qu’il puisse se comporter de la sorte.  Attention, il savait qu’il n’était pas un ange. Mais jusqu’ici il avait toujours fait en sorte de garder la tête froide. Là il s ‘était donné à fond, oubliant toute retenue. Il s’était comporté bestialement sans même songer aux conséquences ou au fait qu’il y aurait forcément une suite.   Alors qu’il avait compté prendre son temps et profiter un maximum, le rapport avait été rapide et violent. Cette femme lui avait fait perdre tout contrôle. C’était la première fois que cela lui arrivait.


Alors qu’elle nettoyait son gland, il était debout et songer déjà à la suite.  Evidemment il ne comptait pas la lâcher. Seulement il devait penser à tout. Ne pas gâcher l’avantage pris  en cette fin de journée.

-   Voilà c’est bien tu as tout nettoyé

 Regardant sa proie maculée de sperme,  il pouvait être fier de lui. Se penchant vers elle, il lui lécha et malaxa encore quelque peu sa poitrine, histoire d’en profiter encore un petit peu. Ses mains caressant ses bas, il resta comme cela quelques minutes, comme pour marquer définitivement son territoire. Se redressant pour de bon, il commença à se rabillher, visiblement repu et satisfait. Et puis ne fallait-il pas en garder pour plus tard ? De plus il avait pas envie qu’on les surprenne, cela serait alors la fon de son petit jeu


-Merci pour tout c’était fabuleux j’ai pris un pied d’enfer



Remontant son pantalon, il enfilait aussi sa chemiser, le visage encore marqué et fatigué, il la regardait avec le désir toujours bien visible


-Tu sais faudra qu’on remette cela très vite, il s’est passé un truc  entre nous

Il lui souriait. Evidemment il était content…

Hiroko Takashiro

La professer se redressa, après avoir subi les derniers assauts de son amant.  La tête toute retournée, le corps souillé, outragé, rongé par la honte, elle ne pouvait plus faire celle qui allait bien. Elle venait de coucher avec un élève,  de prendre son pied avec lui, de l’accompagner dans la luxure et la débauche.  Car en effet, il ne s’agissait pas d’une simple erreur de parcours ou d’un rapport sexuel anodin. Elle s’était offerte corps et âme, lui donnant ce qu’il attendait. Elle avait absolument fait tout ce qu’il ne fallait pas faire.

Silencieuse, elle entreprit de ramasser ses vêtements, ne sachant quoi dire, que faire. Tout lui semblait inutile, superflu, qu’ajouter après un tel comportement ? Elle se voyait mal lui faire sa leçon, la morale, dire qu’elle regrettait, qu’elle s’en voulait. Elle savait ce qu’elle avait fait, inutile de polémiquer ou de faire celle qui ne comprenait pas. Oui elle venait de franchir la ligne rouge  Et sans excuses possibles.  Elle s’en voulait oui mais pas pour le plaisir ressenti. Juste le fait qu’elle l’avait eu avec un élève qu’elle savait manipulateur et pervers.


Se réajustant la tenue et le corps  comme elle pouvait, elle allait annuler son rendez-vous avec son compagnon. Une migraine violente ferait l’affaire.. Certes, elle savait que sa relation serait désormais construite sur un mensonge. Rien ne serait plus pareil. Mais elle se faisait fort de ne rien laisser paraître devant shenjo. Refusant de penser à l’avenir, opposant son silence à son arrogance,

Jugeant qu’elle n’avait plus rien à faire ici, elle sortit de la pièce, sans un mot, sans un regard. Du moins on pouvait le penser. Seulement, alors qu’elle franchit le seuil de la porte elle marqua une pause

-Inutile de te dire que ceci doit rester entre nous. Je sais que tu sauras être discret.Tu as autant à perdre que moi.Tu es malin

De manière sous-entendue elle lui avait fait comprendre qu’elle serait prête à payer le prix  pour cela. Elle connaissait les règles du jeu. Et puis elle devait aussi être réaliste ; une femme heureuse et épanouie ne se serait pas comportée de la sorte.  Ce qui était certain c’est qu’elle ne pourrait pas classer cette affaire de la sorte. Plus maintenant. Inquiète et perplexe vis-à-vis de son futur, elle espérait juste qu’elle aurait le temps de se retourner. Et surtout que Shenjo ne se montrerait pas cruel et sans scrupule……

shenjo Grashi

Une nouvelle fois shenjo se retrouvait en plein milieu d’une drôle d’affaire. Ne s’attendant pas à voir minase, il avait été surpris de sa réaction, ne sachant pas quoi faire devant autant d’agressivité de sa part. Encore sous le charme de ce qui venait de se passait avec la sensei takashiro, il était entrain de penser à la suite avec elle quand il lui était tombé dessus. Incapable de réagir,  il lui avait fallu un certain temps avant de reprendre ses esprits, la tête encore ailleurs. Mais une fois cela fait, il ne mit pas longtemps à repousser  Minase qui de toute façon relâchait la pression


-Du calme mec t’es jaloux ou quoi

Alors qu’il repensait aux mots de la sensei qui voulait être discrète, voilà que Minase venait d’un coup rendre les choses moins amusantes. Quel imbécile celui-là.  Retrouvant bien vite tout son aplomb, il ne se laissa pas endormir ou impressionner loin de là Il ne le craignait pas et il lui ferait le savoir

-Voilà qui est mieux j’aime pas les gens  qui s’emballent sans raison. Sache que je l’ai pas forcé ta chère miss Takashiro. Elle en avait envie autant que moi. T’es pas le seul à pouvoir la brancher c’est tout. Et puis qu’est ce que cela peut te faire ? T’es plus avec ? Si t’ouvre ta gueule, je le ferai aussi. Alors occupe toi plutôt de ta copine Imari



S’il voulait le menacer , lui aussi pouvait le faire. Bien décidé à montrer qu’il avait du cran également, il fixait son vis-à-vis ,  l’air narquois, content de ce qu’il avait fait. Quitte à être vu, Minase était la personne idéale. Il savait qu’il était vert de jalousie

-Maintenant casse-toi. Ce que je fais avec Funika ou une autre te regarde pas. Ou alors on fait de l’échangisme.Alors là oui ca me tenterai bien parce que je suis sûr qu’imari est un sacré coup au lit



Il narguait de plus belle son désormais rival. Le regard vif et faussement détourné, il avait tout sauf peur. Il se savait plus fort que lui…..

shenjo Grashi

Shenjo s’était relevé, prenant le soin  d’essuyer le filet de sang qui coulait le long de la commissure de ses lèvres.  Il avait écouté Minase parler avec un léger sourire, ne se souciant guère de ce qu’il avait pu dire.  Certes il avait pas apprécié le coup de poing mais finalement , il avait décidé de ne pas réagir de suite. Après tout, il n’ne valait pas la peine. Préférant le laisser croire qu’il avait raison et qu’il avait gagné,  il  avait plutôt décidé de se projetter dans l’avenir. Si il avait hésité, une chose était claire maintenant : il voulait se faire Imari Ogawa. Plus que tout d’ailleurs. C’était devenu une question de principe suite au comportement de Minase. Ce  grand con avait besoin d’une bonne leçon. Puisqu’il se sentait si supérieur à lui il allait lui prouver le contraire. D’autant plus qu’Imari était un sacré petit bout de femme .  Il la trouvait plutôt charmante et il était persuadé qu’elle était loin d’être farouche.  Ne disait-on pas qu’il fallait se méfier de l’eau qui dormait ?

Prenant le chemin de sa chambre, il songé déjà à la manière dont il s’y prendrait. Il lui faudrait manœuvrer de manière à gagner sa confiance, à ce qu’elle ne le voit pas venir. Vu qu’elle était en 3ème et lui en 1ère, pourquoi ne pas la prendre comme tutrice ? Ses notes n’étaient pas brillantes et sa requête semblerait légitime.  De cette manière il pourrait aisément se rapprocher d’elle en toute tranquillité. C’était assurément un bon plan.


La base du plan trouvée, il ne resterait plus qu’à passer ensuite aux étapes suivantes. Sachant très bien que tout ne se ferait pas en un jour, il en profiterait aussi pour s’amuser le côté dès que possible. Avec la sensei takashiro comme avec une autre. Il ne s’imposait pas de limites loin de là.

Le visage souriant, le pas alerte, il était confiant dans ses possibilités de la séduire. D’expérience il savait qu’l n’y avait pas de couple imprenable.  Chaque relation avait son talon d’achille. Il savait déjà comment faire pour toucher Imari. Mais chaque chose en son temps. Ne voulant pas se presser, il comptait agir avec réflexion et intelligence…

shenjo Grashi

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