Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Promenons nous dans les bois.

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Melody Bianco

Humain(e)

Promenons nous dans les bois.

mercredi 16 novembre 2016, 00:18:40

Aller courir dans le soleil couchant, l'air frais du soir, voilà une bonne façon de dépenser l’énergie que son symbiote insufflait en Melody. Les récents évènement, avec Losgar, et ceux d'il y a 1 mois, aux labos, tout cela se passait tellement vite... Elle avait vécue une aventure dans un autre espace temps, et s'il c'était passé beaucoup plus de temps... Mais ses aventure semblaient déjà comme un rêve lointain, le quotidiens reprenait ses droit, avoir l'air normale, ne pas éveiller les soupçons de l'université... Elle cours, ses écouteurs sur les oreilles, dans la tenue que le symbiote a bien voulu qu'elle porte, un shorty et une brassière, ce satané symbiote faisait qu'elle attirait le regard, mais elle n'y faisait plus tant attention que cela maintenant...

Elle courrait depuis un moment, a un rythme plus que soutenu, sans sembler vraiment s’essouffler, elle s’enfonça dans la partie boisée du parc, après avoir fait le tour de la partie la plus entretenue, jouant a faire une sorte de Parkour, faisant de petites cabriole en sautant d'un rocher, s'accrochant a un arbre, loin des regards, elle se laissait aller a sa vraie force, sa vraie rapidité, elle n'était pas non plus surhumaine, mais ses capacités étaient quand même poussées a leurs maximum, et elle pouvait rivaliser avec les meilleurs pratiquants de cette discipline sans rougir...

Elle ne voyait plus rien d'autre, l'action, simplement, et le battement de son cœurs, qui battait a l'unisson de celui du symbiote en elle, elle aimait ces moments ou ils ne faisaient qu'un, ou elle n'avait pas l'impression qu'il n’était là que pour lui jouer de sales tours...

Vaas Montenegro

Humain(e)

Re : Promenons nous dans les bois.

Réponse 1 lundi 21 novembre 2016, 23:04:02

« T’as déjà enculé un poulet ?
 -  Quoi ?
 -  J’veux dire... C’est chelou, comme truc. Pire que d’imaginer des tortues en train de baiser, tu verrais le bruit que ces grosses merdes font, mec, c’est flippant, genre...  T’as la gueule du mâle qui s’ouvre comme ça, on dirait la tronche d’ET croisée avec un lampadaire. J’ai vu des .GIF sur le Net, mec, c’était... Woow...
 -  Mais pourquoi tu me parles d’enculer un poulet ?
 -  Sérieux, mec, c’est dément ! Parce que, quand tu le fais, ben, la bête, elle remue dans tous les sens, comme si c’était un vibro’ à plumes. Tu crois pas qu’il y aurait un concept à breveter, un truc comme ça... Nan ?
 -  Un concept ? Un gode-poulet ?
 -  Ouais... Doux à l’intérieur, duveteux à l’extérieur, tu vois le truc ?
 -  Putain, fermez vos gueules, je me concentre ! »

Vaas ramena ses hommes à l’ordre, tout en continuant à faire son œuvre d’art sur le toit du kiosque. Il tendit la main, et l’un de ses deux hommes, l’enculeur de poulet, lui tendit une nouvelle bombe, qu’il s’en servit pour continuer à tagguer.

« Chuuut... ‘Bouge pas, mec, ce sera bientôt fini, je dois... Tu vois, l’art, c’est sérieux, c’est pas des conneries, comme ces mecs, avec leurs histoires de vaches, de moutons, ou j’sais-pas-trop-quelle-histoire-zarbi’. Là, on parle d’un vrai travail, genre... Artistique. Tu vois de quoi je parle ? ... Non ? Et vous, les mecs, vous voyez bien ce que j’essaie de faire ?
 -  Ouais, Boss, à fond !
 -  Z’avez une âme d’artiste, Boss !
 -  Alors... Dans ce cas, pourquoi faut-il que vous ouvriez vos grandes gueules ? Vous ne voyez pas que j’essaie de faire quelque chose, là, hum ? Vous ne comprenez pas toute la subtilité de mon œuvre ? Mais vous croyez quoi, PUTAIN ?! Que l’art, ça se commande sur facture ? Que c’est... Que c’est une putain de merde innée que votre mère vous chie du cul en même temps qu’elle largue la grosse merde que vous êtes ?! Hein ? C’est ça que vous croyez, peut-être, bande de baise-merdes diminués ?! Vous vous croyez malin, avec vos conneries de poulets et de tortues en .GIF ?!
 -  Non, Boss, on...
 -  TA GUEULE !! Putain, mais est-ce que tu vas apprendre à FERMER. TA. PUTAIN. DE. GUEULE, BORDEL DE MERDE ?!! Est-ce que vous ne voyez pas que JE TRAVAILLE, LÀ, PUTAIN D’ENCULÉS DE DÉSOSSEURS DE MES COUILLES ?! »

Sagement, ils choisirent de se taire, sachant que, à ce stade-là, un coup de feu était très susceptible d’arriver. Vaas se retourna alors vers son « œuvre ». Ils étaient venus avec l’un de leurs vans, amenant un escabeau, ainsi que son « œuvre », un homme qui avait été torturé à la base, et qu’ils avaient accroché au toit du kiosque. Pour Vaas, c’était important. Il imaginait les gosses venir jouer le lendemain matin ici, et, rien qu’à imaginer la tête de ces sales chiards en voyant le cadeau qu’il leur laissait... Ah, ouais, c’était épique !

Sur le toit, il avait écrit quelques mots, comme sa signature :

« VAAS WAS HERE !!

FUCK YOU, BITCHES !!
»

Ceci fait, l’homme descendit de l’escabeau, en souriant légèrement.

« Bon... Chaque chose en son temps, les gars. Après l’effort, le réconfort. Trouvons-nous une salope à baiser, et... »

Au même moment, il vit une silhouette passer à une dizaine de mètres devant eux, et cligna des yeux à plusieurs reprises.

« Vous voyez, les gars ? C’est de ça que je veux parler... Nous avons fait ‘‘TOC-TOC’’, et l’Univers a répondu ! Le Seigneur nous récompense pour le travail accompli ce soir en nous offrant une salope sur mesure !
 -  Euh... Ouais, Boss ! »

Vaas hocha la tête. La femme avait l’air de faire son jogging, et filait plutôt vite. Regardant autour de lui, Vaas avisa la présence d’un caillou, et le saisit, puis le souleva dans sa main, et se prépara... Puis le lança brusquement. Aussi cinglé qu’il soit, l’homme avait une dextérité extraordinaire, et le projectile fusa rapidement, et heurta la femme à la tempe, la renversant sur le sol.

« Voilà comment on stoppe les gazelles... Allez me chercher cette pute ! »

Les deux hommes avancèrent. Ils étaient plutôt bien musclés, assez grands. L’un était un homme chauve à la peau noire, et l’autre un Asiatique. Ils se rapprochèrent donc, et virent la jeune femme, étalée dans l’herbe, avec un minishort de sport qui moulait bien ses fesses.

« Honnêtement... J’préfère un cul comme ça à ceux de tes poulets...
 -  J’avoue... »

Le Noir s’approcha ensuite, et attrapa la femme par les cheveux.

« Allez, salope, réveille-toi, tu as tiré le gros lot, viens goûter à ton cadeau ! »

Il la traîna ensuite vers leur chef... Et les deux commençaient déjà à bander sévère.

DC d’Alice Korvander.

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Melody Bianco

Humain(e)

Re : Promenons nous dans les bois.

Réponse 2 mercredi 23 novembre 2016, 16:40:55

Melody n'a rien compris, tout c'est passé tellement vite, elle était en plein état second, une transe liée à l'effort physique, à l'endorphine injecté par le symbiote, alors qu'elle défiait les lois de sa propre physionomie, en fonçant, sans douleur, sans fatigue, enivrée par sa supériorité aux autres êtres humains...

BLAM...

En tout cas, c'est ainsi qu'elle perçu le choc, de la pierre contre sa boîte crânienne, Vaas était un psychopathe, si elle n'avait pas été protégée par le symbiote, une pierre a cette vitesse, de cette taille, en pleine tempe, cela pouvait tuer une fille de sa corpulence sur le coups...

Mais elle était symbiotique, alors, elle n'eut aucune trace, aucune marque, rien. En apparence. Car pour le reste, Melody avait perdue sa force, son endurance, le symbiote la lâchait ! Ce sale traitre avait identifié les agresseur comme des reproducteur en recherche d'une femelle, et non comme des danger vitaux, il leur livrait donc Melody, en espérant se reproduire...

Cela se traduisit par le fait qu'elle eut soudainement le souffle court, un point de coté, qu'elle n'avait plus que sa force et sa rapidité d'humaine, et que si le choc de la pierre ne l'avait pas blessée, elle était sonnée, désorientée... Elle entendit des hommes parler, il y avait de l’écho, elle ne comprit pas ce qu'il racontait, ils parlaient de poulet ?

Elle sentit ensuite qu'on l’attrapait par les cheveux et qu'on la trainait, heureusement pour elle, le symbiote absorba une partie de la douleur lié au mauvais traitement, et elle trouva la force de dire, durant les quelques mètres qui la séparait de Vaas.

"Vous êtes qui ? Lâchez moi bande de gaijin de merde !"

Elle avait vu qu'ils n'étaient pas tous japonais, elle non plus ne l'était pas, mais elle se considérait comme plus japonaise qu'un japonais, tant elle avait assimilée leur culture, malgré ses changement de personnalités récents.

Elle poussa un gémissement étouffé, alors que le symbiote lui joua un autre tour de cochon... Elle sentit son ventre s'allumer d'un coup, une explosion d'excitation, la faisant mouiller, sa peau devenant électrique, il jouait avec ses hormone comme un savant fou, mettant tous les curseurs a fond, tout en inondant l'air de ses phéromones ultra puissante, qui avaient plus ou moins l'effet d'un mélange de viagra et de cocaine sur les mâles dans un rayon de 10 mètres autour d'elle, elle respira plus fort, et tenta de relever la tête pour distinguer ses agresseurs, essayant de réunir ses esprit, sans céder au symbiote.

"Allez vous faire ... vous faire foutre..."

Sa voix tremblait de désir, ce qu'elle essayait de masquer, y arrivant péniblement, tant le symbiote se déchainait en elle.

Vaas Montenegro

Humain(e)

Re : Promenons nous dans les bois.

Réponse 3 mercredi 23 novembre 2016, 22:27:07

« COUCOU ! »

Vaas lui hurla au visage, balançant au passage quelques postillons, et, quand Melody lui répondit en allant d’aller se faire foutre, sa réaction fut immédiate... Une gifle bien sentie, et très appuyée, un *CLAC !!* qui résonna autour d’eux.

« PUTAIN, les nanas de nos jours ! Sérieux ! Merde, c’est quoi, cet irrespect de petite bourgeoise de merde, là ? Bon.. C’est pas grave, c’est pas grave, on se calme, et on recommence... COUCOU ! »

Vaas lui fit un grand sourire, en se penchant vers elle, la tête légèrement tournée sur le côté, et fléchit ensuite un gneou, sa main se posant sur le menton de Melody.

« Tu sais, ma chérie, dans les manifestations, y a des mecs, comme ça, qu’ont, genre... Rien à voir avec les putains de revendications d’une bande de pédés et de suceurs de bites molles... Des types qui courent, t’vois, ‘font leur jogging, peinard, peinard et tout, et tout... Et BOUM !C’est sur leur PUTAIN DE GUEULE que la matraque du keuf’ leur explosa la couenne ! HAHA ! C’est ce qu’on appelle... PAS DE BOOOOL ! »

Le patron était chaud ce soir. Le symbiote avait relâché ses phéromones, et, chez quelqu’un comme Vaas, qui était déjà, à la base, taré, le résultat était... Explosif. Et, tout en parlant, avec une lueur de démence brûlant dans ses yeux, il sortit de sa ceinture un pistolet, son autre main continuant à tenir le menton de la douce Melody.

« Toi, ma chérie, tu as tiré le gros lot ! Là, tu te promenais peinard, à faire ton jogging, et... PAF ! Le coup de foudre ! Hey, ouais, ma grande, c’est ça qui t’es tombée sur ta tête de petite pute... Le COUP DE FOUDRE ! BOUM !! Et un coup de foudre, ça se refuse pas. Tu as gagné le gros lot, ma cocotte ! Une soirée avec ton Prince charmant, le Gentleman de ces dames... Moi-même, votre aimable serviteur, ma douce dulcinée ! »

Vaas se redressa alors, et lui fit une courbette élégante.

« Woow... Boss, z’êtes un poète ! »

Le sourire de Vaas s’éteignit soudain, tandis qu’(il tournait la tête vers son subordonné.

« Tu... Attends... Non, mais... Attends, là, juste... Juste... Une pititeseconde. Tu... Comment tu m’as appelé ? Comment y m’a appelé, ce gros con, putain ?
 -  Boss, je...
 -  Tu me prends pour QUOI, hein ?! HEIN ?! Une... UNE PUTAIN DE TANTOUZE DE MERDE QUI SE PAVANE DEVANT UN SOLEIL COUCHANT EN SE MASTURBANT SA BITE RAMOLLIE COMME SI C’ÉTAIT LE CUL D’UNE SALOPE S’OFFRANT SUR UN PLATEAU-REPAS !! Hein ?! C’est ÇA que tu penses, enculé de suceur de bites de youpin de merdeux !
 -  Mais, Boss, je... »

Le malandrin n’eut rien le temps de dire de plus, car il se reçut un violent coup sur la tempe du pistolet, et tomba à terre, où Vaas se mit à le rouer de coups de pied.

« FERME TA GUEULE !! PUTAIN D’ENCULÉ !! TA GUEULE !! APPRENDS À ME RESPECTER ? ENFOIRÉ DE MERDE !! TA GUEULE !! TA GUEULE !! TA... GUUEUUULLEEE !! »

Vaas grogna ensuite, respirant lourdement, tandis que son subordonné gisait sur le sol, recroquevillé sur place... Puis l’homme se mit à rire, et retourna devant Melody, en posant son pistolet sur sa tempe.

« Bon... Navré pour ce contretemps, ma chérie, les gens sont si... Mal élevés de nos jours. Interrompre comme ça notre rencard, c’est... C’est vraiment très déplacé. Tu t’appelles comment, ma chérie, hum ? »

Le tueur venait de passer instantanément des cris à une voix calme, enjôleuse, presque doucereuse et sensuelle. Elle allait répondre, mais, soudain, Vaas posa un doigt sur ses lèvres.

« Non... Tu me le diras plus tard. Pour l’heure, on va préparer ta bouche. »

Il descendit alors son pistolet. Le canon glissa le long de son nez, la surface froide et chromée atteignant ensuite les narines, glissant sur la peau pour taper contre les lèvres.

« Vas-y, ma chérie... Ouvre la bouche, et accepte ton cadeau... »

Elle n’avait pas spécialement le choix, car Vaas se mit à abaisser le chien de l’arme, comme pour se préparer à faire feu. Puis, trouvant le temps trop long, il fronça soudain les sourcils :

« Allez, putain, OUVRE TA PUTAIN DE BOUCHE, ET SUCE-MOI ÇA COMME SI C’EST UN PUTAIN DE GODE, OU JE T’ÉCLATE LA GUEULE, SALOPE !! »

DC d’Alice Korvander.

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Melody Bianco

Humain(e)

Re : Promenons nous dans les bois.

Réponse 4 lundi 28 novembre 2016, 16:54:49

Melody sentie sa tête partir sur le coté, lorsque Vaas lui mit une gifle monumentale, sa peau devenant rouge, la ou les doigts laissaient leurs marque. Elle avait vécue bien pire, lors de son escapade spatiale avec Losgar, encaissée des coups bien plus violent, sans que cela ne lui fasse rien, dans le feu de la bataille. Mais voilà, ses pouvoirs n'étaient pas acquis, ils étaient laissés au bon vouloir d'un symbiote qui avait ses propres plan pour eux... Et la, il ne l'aidait pas, tout ce qui ne serait pas de l'ordre de la vrai blessure, il ne s'en occuperait pas.

Présentement, il prenait ce qu'il se passait comme une parade nuptiale, il analysait les phéromones des mâles en présence, et voyant que leur excitation ne faisait que croitre, les laissaient a leur jeu de "séduction", sans intervenir, certaines espèces animale procréent dans la douleur, pourquoi se mêler de tout cela, puisque tout se passe comme prévu ?

Elle plisse les yeux, son cerveaux analysant la situation, a mesure que Vaas enchaine les tirade, toutes plus fumeuses que les autres, pour justifier ses actes, y trouver un signe du destin, et surtout, mettre un peu de théâtralité dans tout cela. Plus elle le regarde, et plus elle comprend que pour lui, la forme importe plus que le fond. Il n'est qu'un voyou, un rebut de la société parmi d'autre, mais il dépense une énergie considérable a y mettre du style, et se surprend a sourire en le voyant taper sur son homme de main, tel un méchant de James Bond...

Le symbiote, en elle, continu de la saturer d'hormone, elle sent sa poitrine durcir, son cœur battre plus fort, son teins deviens rose, et elle sent qu'elle trempe son mini short... Elle tente de garder ses esprits, mais y arrive de moins en moins.

Elle pense, alors qu'il parle et parle encore...

"C'est dingue comme ce type adore s'écouter parler... C'est a se demander comment un type pareil fait pour ne pas être soit mort soit en prison... Soit il a des appuis hauts placés, soit il est plus intelligent qu'il n'en a l'air... Il est... Intriguant..."

Intriguant, c'est le terme. Elle a voyagé dans l'espace, menée des batailles, mais sur terre, et surtout, au Japon, Vaas est un Ovni. Dans une société aussi lisse, quelqu'un qui laisse à ce point parler sa folie, et sème le chaos partout ou il passe, c'est intriguant.

Elle songe aussi que sa situation, a elle, est plus que précaire. Combien de temps avant que le gouvernement comprenne que le symbiote qu'il cherche, s'est caché dans une des scientifique qui travaillait dessus ? Elle a employée tout son génie a falsifier les rapports médicaux a son sujet, en piratant les ordinateur des médecins qui l'ont auscultée, elle a donnée de fausses piste aux scientifiques et enquêteurs, mais elle sait que le crime parfait n'existe pas, et que tôt ou tard, son secret sera découvert. Ce jour là, elle aura sûrement besoin de gens comme Vaas. De gens qui n'ont pas peur du gouvernement, et qui ont les réseaux qu'elle n'a pas.

Elle le regarde lui hurler dessus, et péter les plombs, lui braquant son pistolet à quelques centimètre des lèvres, et sourit, elle n'a pas vraiment peur de lui, mais il l'impressionne, cela se voit.

Elle est à genou, assise sur ses fesses, et le regarde par en dessous, avec la marque des doigts qui lui barre toujours le joue. Elle sait que le symbiote, même si la balle la blessait, finirait par la régénérer dans un délais d'environs 1/2 heure... Et qu'il encaisserais une grosse partie de la douleur, elle serait surtout défigurée pendant une demi heure, avant que tout ne rentre dans l'ordre... Mais il ne lui donnerait pas la force ou la vitesse pour échapper a ces hommes, çà, c'était certains. Elle sourit donc, et dit :

"Tu crois que j'ai peur de mourir ? Tu crois que je te crois quand tu me dis que tu va me tuer ? Tu es le chef de ces hommes alors çà m'étonnerait que tu soit assez stupide pour me tuer... Et je pense que tu n'a aucune envie de me tuer... Ca n'est pas pour me tuer que tu m'a capturée... Et je ne crois pas que ça soit pour me tuer que tu m’a tenu tous tes discours... C'est parce que tu t’ennuie, et que tu a eu... Le coup de foudre... A ta façon, lorsque tu m'a vue passer..."


Elle sourit, se surprenant a entrer dans son jeu, il est fou, il le montre, elle n'a pas envie d'être sa victime, elle a envie d'être son opposée féminin, elle a envie de lui montrer qu'elle est peut être aussi folle que lui, et qu'elle n'a pas peur de jouer a ses jeux, selon ses règles a lui, et qu'elle compte bien en sortir vivante. Elle rajoute :

"Je n'ai pas l'habitude de mettre de si petites choses dans ma bouche, mais si mon Prince l'ordonne... Alors..."

Elle crache sur le canon de l'arme, comme pour lubrifier une queue, et se pose ses lèvre dessus, pour en sucer le canon, d'abord à peine, puis de plus en plus profondément, sans quitter Vaas des yeux.

Elle ne sait pas s'il va apprécier ou non, elle s'en fiche, un espèce de duel mentale, un jeu de séduction pervers et psychotique c'est mis en place entre elle et lui, et ne pouvant mourir, elle n'a rien a perdre à aller faire un tour dans l'univers de folie de cet homme, elle se sent comme Alice, qui serait arrivé a Wonderland, un univers aussi dangereux que stupéfiant, malsain qu'excitant.

Vaas Montenegro

Humain(e)

Re : Promenons nous dans les bois.

Réponse 5 jeudi 01 décembre 2016, 18:45:56

Vaas était-il énervé ? Cette question était légitime, compte tenu de la personnalité instable du mercenaire. Il avait pour habitude de changer de ton en quelques secondes seulement. Maintenant, face à cette femme, il commençait à prendre son pied, une belle érection déformant son pantalon. La femme lui répondit alors, et sa réponse... Fut loin de plaire à Vaas, qui fronça les sourcils. Il resta le doigt appuyé sur la gâchette, avant de la voir ouvrir la bouche, et commencer à sucer le canon du pistolet. Elle s’y appliquait, mais... Vaas n’y était plus. Lui qui voyait ça comme une bonne fête, cette dinde, à caqueter comme une poule, avait tout gâché. Il se surprenait même à commencer à débander, et soupira encore.

« Tu ne m’amuses plus, chérie. Il est temps de tirer le rideau. »

Le cran de sûreté était abaissé, et son doigt écrasa brusquement la gâchette...

*BANG !*

Le pistolet explosa dans la bouche de la femme, et la détonation la fit partir en arrière, remplissant de sang le canon de l’arme, tandis que le corps de la femme s’effondrait sur le sol, les yeux hagards, la bouche déformée, vomissant du sang qui dégoulinait sur sa poitrine et sur son torse.

« Voilà... »

Il ne faisait aucun doute, à ses yeux que la nana était morte. Pourtant, même morte, elle conservait un certain charme, et il déboutonna son pantalon, le faisant tomber sur le sol, avant de retourner vers le corps encore chaud, et lui enleva son minishort et sa culotte, apercevant son intimité finement épilée.

« Comme ça, tu caquètes moins, ma chérie... La femme parfaite, ouais... »

Vaas s’allongea sur elle, et la pénétra alors, s’enfonçant dans sa chatte. Comme elle venait juste de claquer, son corps émettait encore quelques réactions, et lui, en soi, ne voyait aucun problème à baiser une morte. De cette manière, au moins, il était sûr qu’elle ne viendrait pas le faire chier ensuite ! Et puis, son beau visage était presque intact, car la balle avait éclaté en elle, lui ouvrant l’arrière du crâne, qui était collée contre le sol. Il l’avait vu se tortiller pendant quelques secondes, avant de se noyer dans son propre sang, et, tout en enfouissant sa queue ne elle, qui était revenue bien dure et bien raide, se dépêcha de l’embrasser, fourrant ses lèvres sur celles, écarlates, de sa victime.

Son corps remua ensuite, d’avant en arrière, allant de plus en plus vite, tandis qu’il continuait à la prendre. Le corps de Melody remuait contre le sien, la chair claquait contre la chair, et Vaas la prit ainsi pendant un bon quart d’heure, léchant ses joues, embrassant encore ses lèvres, avant de finir par se vider en elle, dans un profond soupir.

« Voilà, salope... Faites-vous plaisir, les mecs, elle est encore chaude, cette salope... »

Ils n’allaient pas refuser l’invitation, même si la nécrophilie les tentait moins que leur chef, qui remit son pantalon, et sortit une cigarette, venant tirer un coup, pendant qu’un larron s’allongeait à sa place, et entreprenait de fourrer sa queue dans la chatte trempée de Melody, inondée par le sperme de Vaas...

DC d’Alice Korvander.

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Melody Bianco

Humain(e)

Re : Promenons nous dans les bois.

Réponse 6 dimanche 25 décembre 2016, 14:00:38

Explosion. Bruit. Brulure. Froid.

Trou noir, même pas le temps d'être surprise, pas de douleur, seulement le coma. Le système nerveux centrale s'est coupé en même temps que le moelle épinière et une partie de la cervelle a giclé dans l'herbe savamment tondue du parc, accompagné de mèche de cheveux, et de sang...

Le symbiote s'affole, il n'avait pas sentit venir cela, sa survie est en jeu. Panique.

D'abord, stopper hémorragie, des espèce de filaments noirâtres fouillent l'herbe, se mêlant a la chevelure de Melody, alors que Vaas la prend, elle n'a conscience de rien, pour l'instant... Le symbiote recolle, ressoude, rafistole, il aspire le sang dans l'herbe, et fait repartir le cœur, les liaisons synaptique, c'est un travail de titan, que personne ne vois, mais a son échelle, c'est quelque chose.

Cela lui prend un long moment, et lorsque Vaas se vide finalement, il vient a peine de terminer le plus gros du travail, Melody reprend légèrement conscience, elle sent son corps, elle le sent se faire plaisir, mais ne peut toujours pas bouger, parler, ses pensées son confuses, et elle ne respire que si faiblement, que cela ne se voit pas.

Elle est un corps. Elle sent un autre homme se coucher sur elle, maintenant que les plus gros dommages extérieures ont été réparés, le symbiote reconstruit le reste, a toute vitesse, cela lui prend une énergie considérable... Au bout de quelques minutes de va est vient, a force de respirer de mieux en mieux, de sentir l'homme aller et venir en elle, elle gémit faiblement peut être les hommes le remarque t ils ? Elle n'arrive pas encore a ouvrir les yeux, respirer lui prend toute sa force.

Elle commence a arriver a réfléchir, aligner les pensées les unes derrières les autres, avoir conscience d'elle même. Elle se rappel les évènements, elle avait péché par confiance en elle, elle pensait pouvoir manipuler ces hommes, mais ils étaient imprévisibles, et l'avait prise de court, maintenant, ils la prenaient tout cours.

Elle comprenait a qui elle avait affaire, et n'avait pas du tout envie qu'on lui tire a nouveau dans la tête, aussi, alors qu'elle entrouvrait les yeux, et gémissait de plus en plus fort, a mesure que son souffle devenait plus stable, et plus profond, son premier geste , fut d'ouvrir un peu plus les cuisses, et de joindre les bras au dessus de sa tête en signe de soumission, posant un regard plein de terreur sur Vaas...


Vaas Montenegro

Humain(e)

Re : Promenons nous dans les bois.

Réponse 7 dimanche 25 décembre 2016, 20:47:40

Cette pute avait un corps parfait, et, comme elle venait tout juste de mourir, elle était encore bien chaude. Baiser une morte, ou, plutôt, une femme qui venait juste de mourir, c’était vraiment le pied, car c’était comme baiser une femme, sans les protestations, les hurlements, les chouinements… Bref, tous les trucs chiants qu’il y avait avec les nanas, de sorte à n’en garder que le meilleur. Et là, le meilleur, c’était une chatte bien fournie sur un corps parfait. Son visage avait à moitié disparu sous le tir de Vaas, et, pendant que son homme était en train de la fourrer, le tueur reprenait ses esprits. Ils étaient devant un joli lac s’étalant au milieu du parc, et il réfléchissait à la suite. En soi, il ne comptait nullement enterrer cette garce, et réfléchissait déjà à la suite.

Son second la prenait donc… Et grognait en elle, en fermant les yeux. Mais, quand il les rouvrit, ce fut pour voir les yeux de la femme remuer. Sur le coup, le larbin crut à une crispation musculaire, et remua encore.

« Hmmm… Je t’aime, ma chérie, haaaaa… Elle est chaude, et… Merde, elle mouille !
 -  Réflexe musculaire post-mortem, rien de plus. Il n’y a plus personne dans la cabine, mais le corps ne l’a pas encore enregistré, et réagit intuitivement. »

L’homme lécha les lèvres de la femme, et l’embrassa, puis fourra sa langue dans sa bouche, et titilla celle de la femme… Puis sentit cette dernière remuer, la bouche de Melody réagissant à celle, grasse et sale, de l’homme. Il avait une haleine qui empestait l’alcool, et atteignit l’orgasme quand la femme remua ses mains, et les mit au-dessus de sa tête.

« Haaaaa… !! »

Le larbin venait de jouir furieusement et copieusement, et Vaas, en se retournant, déglutit en voyant les mains de la femme se redresser.

« Woow, putain de sa mère… !
 -  Merde, elle est en vie !
 -  Hein ?! Putain de merde ! »

La stupeur parcourut l’assemblée. Autant un mort pouvait encore éventuellement jouir, mais relever les bras… Et il vit les yeux de Melody s’ouvrir, le fixant, lueur de peur et de soumission dans les yeux.

*Quoi ? Mais… Comment est-ce possible ? Putain, je l’ai buté, cette nana, elle est morte, MORTE ! Elle peut pas…*

Il se pinça les yeux, n’ayant encore jamais vu ça, et, tandis que son homme se retirait précipitamment, du pied, Vaas poussa la femme à l’épaule, la couchant sur le flanc. Il voulait voir le trou dans sa nuque, et vit bien le trou aux bords rouges, mais… Au lieu d’y avoir un trou béant, une sorte de substance gélatineuse noire et visqueuse était en train d’y remuer, étirant de légers tentacules dans tous les sens.

« Putain…
 -  C’est quoi, cette merde d’extra-terrestre ?! »

Vaas resta silencieux pendant quelques longues secondes. Melody ne disait rien, fixant encore Vaas, attendant visiblement la réaction de ce dernier. Il hocha lentement la tête, et se rapprocha de la femme, fléchissant les genoux pour se rapprocher d’elle.

« J’ignore ce que t’es, ma chérie, mais… J’adore ça, putain… PUTAIN, les mecs ! Vous imaginez ça ? Une nana qu’on peut flinguer, et où tout repousse ? PUTAIN, mais… »

Le tueur se mit alors à genoux, et posa ses mains en signe de prière, les joignant ensemble, et leva ses bras.

« MERCI, SEIGNEUR ! JE TE NIQUE LA BITE, MON DIEU, POUR TA PRÉCIEUSE OFFRANDE !! SUCE MA QUEUE, ENCULÉ !! »

Vaas ignorait que cette nana était, mais… Il n’en avait tout simplement rien à foutre, voyant juste l’intérêt pratique. Sa main se posa sur le menton de Melody, et il lui sourit.

« Je comptais juste te baiser, et partir, mais… Ce serait criminel de quitter une telle nana. Tu vas me sucer la queue, maintenant… Ou je te tirerai dessus ! »

L’homme s’était relevé en disant ça, et avait retiré sa braguette, révélant ainsi sa verge, qui avait retrouvé sa rigidité sexuelle, une belle érection qui ne demandait qu’une belle bouche pour venir la sucer…

…Ce que Melody allait rapidement faire !

DC d’Alice Korvander.

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Melody Bianco

Humain(e)

Re : Promenons nous dans les bois.

Réponse 8 dimanche 25 décembre 2016, 21:13:50

Melody ne se fit pas prier, elle ne voulait pas a nouveau sentir cette mort, même temporaire, son corps être lacéré, et le symbiote , occupé a la régénérer, n'avait pas la force de la rendre assez forte pour les fuir, d'autant qu'il avait toujours sen tête le fait qu'il voulait qu'elle soit fécondée...

Elle s’agenouilla donc devant Vaas, qui semblait aux anges, imaginant probablement des milliers d'utilisation perverse de l'immortalité de Melody, cet idiot n'avait même pas l'intelligence d'avoir peur... Il était fou.

Cette fois ci, elle ne dit rien, pas de grand discours, pas de plan, pas de manipulation, elle gardait un air soumis, et alors qu'elle était a genou, elle vint recueillir du sperme entre ses cuisses pour lubrifier la queue de Vaas, avant de le sucer. Elle manquait un peu de salive, et elle pensait que ça lui plairait.

Elle lui suce la queue en le regardant dans les yeux, lui massant les couilles, sous les regards stupéfaits des deux hommes de mains, dont l'un lui ai déjà passé dessus.

Elle finit, par lever le doigt, comme si elle demandait la permission de parler, mais sans cesser de le sucer. Elle a bien compris la leçon la première fois, aussi, elle fait très très attention, marchant sur des œufs.

Ne pas mourir est une chose, ne pas ressentir la douleurs en est une autre...

Elle lève donc le doigt, tout en redoublant d'attention, de salive, de passion et d'intensité dans sa pipe.




Vaas Montenegro

Humain(e)

Re : Promenons nous dans les bois.

Réponse 9 lundi 26 décembre 2016, 01:44:12

Un vent de panique avait commencé à traverser les hommes de Vaas en voyant que la morte était revenue à la vie. Les Japonais étaient un peuple très superstitieux, a fortiori à Seikusu, où il était habituel de côtoyer des individus dotés de capacités paranormales. Et, même si on savait qu’on avait, statistiquement, fort peu de chance de leur tomber dessus, le doute était quand même là. Mais Vaas, lui, n’en avait tout simplement rien à foutre. S’il était face à Supergirl avec de la kryptonite, il l’aurait violé en jouant avec elle. Lui, en voyant une femme qui revenait à la vie, et qui était donc potentiellement capable de le broyer, n’avait pas peur. Vaas était tout simplement touché par la grâce, illuminé par une quelconque divinité supérieure. Il avait survécu à tout, aux épreuves de Rook Island. Il était le putain d’Élu, et le fait que Dieu ait mis sur son passage cette nana super-bonne et intuable, c’était presque comme le putain de signe de Moïse dans le désert, la putain de croix dorée, ou une autre connerie de ce style.

Vaas était le Messie de Seikusu, et, tandis que Melody commençait à le sucer, il leva bien haut ses deux bras, mains écartées, doigts de la victoire brandis.

« Le Messie… Le Messie, PUTAIN ! AVÉ, SEIGNEUR, VOIS EN TA GLOIRE ÉTERNELLE LE SIGNE DE TA GRATITUDE INFINIE ! MOI, VAAS, Ô LORD, Ô LORD ! »

Ce qu’il disait ne voulait pas dire grand-chose, mais était-ce bien grave ? Le plus inquiétant, avec Vaas, c’était quand il faisait des phrases qui avaient un sens, après tout. Sa main se crispa brusquement sur les cheveux de la femme, et il commença à remuer en elle, soupirant lentement, sourire ravi sur les lèvres, son mandrin s’enfouissant dans sa bouche, ses boules foiuettant son menton, avant d’être caressées par les doigts de la femme.

« Tu es ma petite chatte… Une chatte à sept vies, et je t’en ai pris une. Toi et moi, bébé, hmm… Bébé, ouais, toi et moi, c’est à la vie, à la mort… Littéralement, hein ? Héhé… J’suis sûr que tu trouveras jamais un gonze te proposant un lien aussi fort que le nôtre, bébé. Bébé, je t’aime, putain, JE T’AIME, MERDE ! »

Il cambra son dos vers l’arrière, tout en continuant à donner des coups de reins, ne remarquant même pas que la jeune femme avait levé un doigt, ses deux mains se crispant sur sa tête, continuant à la bourrer.

« Tu m’aimes, bébé, hein ? Hein, mon bébé ? Hmmm… Ouais, ma salope, t’es ma petite pute, ma sale chienne… J’t’aime, putain, j’t’aime ! »

Vaas passa ensuite plusieurs minutes à remuer silencieusement en elle, optant pour de multiples gorges profondes, crispant ses doigts dans la masse agréable et confortable des cheveux de Melody. Au bout d’un moment, il finit par voir le doigt levé, et s’arrêta brusquement, maintenant sa queue dans la bouche de Melody. Elle le regardait avec ses beaux yeux, et il resta inerte pendant plusieurs secondes, avant de finir par retirer son mandrin pendant quelques instants. D’épais filets de salive reliaient encore sa queue à la bouche de Melody, son membre chaud allant taper contre son menton, glissant également sur ses lèvres.

« Tu as une question, mon amour ? On est un peu comme mariés, maintenant, alors… Ne fais pas ta timide, mon bébé, pose tes questions ! »

DC d’Alice Korvander.

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Melody Bianco

Humain(e)

Re : Promenons nous dans les bois.

Réponse 10 lundi 26 décembre 2016, 11:39:23

Melody n'en croyait pas ses yeux, ce type sortait complétement des cadres, il débordait, il ne ressemblait a rien de connu. Il était probablement un spécimen unique sur terre, un peu comme elle. Elle le regardait délirer, alors qu'elle lui suçait la queue, parlant a Dieu lui même, sans que cela n'ai vraiment de sens, mais il semblait surexcité, elle savait que c'était elle qui lui faisait cet effet là, elle le fascinait, le faisait se sentir spéciale, elle avait attirée sont attention. Contrairement aux autres mecs, son physique n'avait pas suffit, ni même les phéromones, il l'avait exécuté sans sourciller. Mais la, elle savait qu'il avait l'impression de toucher le jackpot, la perle rare, et il hurlait a qui voulait l'entendre qu'il l'aimait.

Dans l'univers de ce type, les sentiments qu'il éprouvait pour elle, devait surement être de l'amour. Peut être pas un amour de conte de fées, mais elle n'était pas une princesse, et elle n'avait pas envie de vivre dans un château et de faire plein d'enfants...

Plus elle le voyait partir dans son délire et plus elle lui donnait ce qu'il voulait, elle lui suçait la bite avec une passion et une envie de porno star, jetant des regards d'allumeuses à Vaas et à ses complices. Elle avait voulu le manipuler par les mots, alors que c'était tout simplement en le tenant par le sexe qu'elle aurait un tout petit peu de prise sur lui. Alors autant y aller a fond...

Elle fit "oui" de la tête tout en continuant de sucer, lorsqu'il lui demanda si elle l'aimait, et redoubla d'attention lorsqu'il la traita de tous les noms, elle était de plus en plus excitée par la situation, ou peut etre était ce le symbiote qui jouait avec son système hormonale...

Toujours est il que sa poitrine était gonflée et son corps brulant... Elle haletait alors que son cœur battait de plus en plus fort...

Il finit par se retirer de sa bouche, et lui demandant ce qu'elle avait a dire, elle su que c'était le moment d'enfoncer vraiment le clou, de lui faire oublier leurs débuts qui l'avait contrarier, et aller dans son sens, dans son délire de cadeau divin, envoyé sur terre pour récompenser le grand Vaas d'être aussi exceptionnel par un Dieu malade et pervers.

Elle lui sourit en coins, gardant ses yeux de biche, battant de ses longs cils.

-Je veux pas me plaindre ni te taper sur les nerfs hein... mais...

Elle s'essuya la bouche.

-Tu vois, lorsque vous m'avez pris tes hommes et toi, j'étais inconsciente... Et ... Ca me rend un peu triste de m'être faite sauter par le grand Vaas et ses hommes, et de n'en avoir aucun souvenir...

Elle prend un petit air triste, parfaitement innocent et recommence a le sucer, en attendant qu'il réponde.

Vaas Montenegro

Humain(e)

Re : Promenons nous dans les bois.

Réponse 11 jeudi 29 décembre 2016, 01:33:00

Vaas était en transe, en transe devant cette nana immortelle, qui avait régénéré son corps après s’être faite exploser la bouche. Dieu, il en aurait pleuré, s’il en était capable ! Melody l’avait sucé énergiquement, pompant son dard, et, maintenant que sa belle bouche était libérée, elle formula sa requête, ce qui ne manqua pas de le faire sourire… Puis recommença à le sucer. La main de Vaas se crispa encore sur son épaisse masse chevelue, et il se mit à esquisser un léger sourire, redressant son corps, et s’avança vers l’avant, tenant la tête de la jeune femme entre ses mains.

« Tu… Tu es mon Jésus, ma chérie… Je t’ai buté, et t’es revenue à la vie… Alors, ouais, j’vais te baiser… Et te baiser bien fort, ma salope ! »

Le contrebandier retira à nouveau sa belle queue juteuse, et s’agenouilla encore, posant une main sur le menton de la femme. Il releva son visage, croisant son regard avec le sien, et l’embrassa tendrement, pressant ses lèvres contre les siennes. Melody présentait des lèvres douces et chaudes, extrêmement sensuelles, et d’une tendresse infinie. Un contraste saisissant, mais à la hauteur de la démesure de Vaas.

Il rompit le baiser en souriant, et se releva encore.

« Allez, mets-toi à quatre pattes, petite pute, et remue bien ton cul, cambre ton dos, donne-moi envie de te baiser bien fort, de remplir ton corps de salope de mon foutre… »

Vaas se glissa dans son dos, et la vit se mettre en position.

« Tu es ma Déesse, et je suis ton dévot, mon amour… » glissa-t-il d’une voix basse et révérencieuse.

Vaas était capable de tout, et, chez lui, le pire était souvent synonyme de meilleur.

DC d’Alice Korvander.

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Melody Bianco

Humain(e)

Re : Promenons nous dans les bois.

Réponse 12 vendredi 30 décembre 2016, 16:12:25

Melody le sentait sombrer encore plus dans ses délires mystiques et elle en était la cause. Elle trouvait un plaisir narcissique à se dire qu'elle arrivait a rendre fou, quelqu'un qui était déjà complétement fou... Elle lisait une réelle fascination dans ses yeux, une obsession dangereuse, morbide, malsaine, mais brulante... Et elle adorait çà. Elle avait réussie a capter son attention, et il avait réussit à capter la sienne. Car elle était elle aussi sous le charme, elle qui avait eu toute sa vie de scientifique un esprit cartésiens, fait de causes et d’effets, de lois de ceci, de théorème de cela...

Elle avait affaire a quelqu'un d'imprévisible, de violent, qui ne suivait que le cours de ses envies, et que rien ne semblait arrêter, comme un tsunami dévastateur. Elle avait envie de prendre cette vague, et de se laisser porter, quel qu'en fut le prix, vers ces nouveaux rivages... Le reste paraissait bien fade en comparaison.

Il l'appelait son "jesus", son messie, parce qu'elle était revenue à la vie, et elle était miraculeuse. Combien de pauvres filles avait il réduit à néant ? Combien de temps pouvait résister une fille normale à un type pareil. Il détruisait tout autour de lui, mais elle, il ne pouvait la détruire, elle était a la hauteur de Vaas, du moins, l'espérait elle, car même avec ses pouvoir, il lui faisait peur autant qu'il l'attirait, et ell savait qu'il mettrait sa santé physique et mentale a rude épreuve avant longtemps...

Elle se mit a 4 pattes très cambrée, de la manière la plus sexy qu'elle pouvait, devant les yeux toujours éberlués de ses deux acolytes, et elle dit en gémissant, de la manière la plus salope possible.

-Comme çà ca va ? Mon roi...

Elle eu un petit sourire alors que le visage contre l'herbe, les fesses en l'air, elle fit se diriger ses deux mains, une entre ses cuisses, et une de l'autre coté, entre ses fesses, glissant dans chacun de ses petits trous offert, un doigt provocateur...

Elle les y enfonça avant de les ressortir.

-Je suis la déesse salope... Venu s’agenouiller devant le béni des Dieux du désordre... Toi qui fait trembler même le ciel sous ta fureurs, l'esprit du désordre t'a envoyé moi, sa propre femme, pour que tu en fasse ce que tu veux, je suis son offrande a toi, le préféré de ses enfants... Je suis là pour toi, car même les Dieux ont peur des êtres aussi intenses que toi... Les mortels sont ceux qui changent le monde, créent des empire ou les détruisent... Je suis une déesse, celle des putain, mais tu es mon roi, mon seigneur...

Elle le dit en y croyant a moitié, ses propres pouvoir et le symbiote ayant ébranlés sa psyché, elle commence elle aussi, parfois, a se prendre pour plus que ce qu'elle n'est...

Vaas Montenegro

Humain(e)

Re : Promenons nous dans les bois.

Réponse 13 vendredi 30 décembre 2016, 23:40:20

La « Déesse-salope »... Vaas sourit en la voyant se cambrer ainsi, lui offrant sa croupe, sa chatte, allant même jusqu’à se doigter, parlant avec concupiscence, agissant dans la plus belle des dépravations et la meilleure des lubricités. Sous le charme, Vaas esquissa un nouveau sourire. Il acheva de se déshabiller totalement, ne laissant guère que ses colliers autour de son cou, exhibant ainsi son corps musclé, ses quelques cicatrices ornant son torse et son ventre, puis s’approcha encore, et posa chacune de ses mains sur les fesses de la femme, appuyant solidement dessus, sa virilité venant caresser sa peau douce et chaude.

« Ouais... Ouais, t’es vraiment parfaite, ma chérie... »

Sa main pinça ses fesses, puis il la leva brusquement, et la gifla sèchement, provoquant un claquement sonore qui résonna autour d’eux, et fit couiner Melody. Vaas sourit, et la gifla une seconde fois, aimant le son de ce claquement, la sensation de douleur qui frémissait sur sa main, ou les hurlements de Melody. Et, plus elle hurlait, et plus la queue de l’homme semblait se tendre, se durcir, s’assoiffer sur place. Vaas la gifla encore, et passa en réalité une bonne minute à la frapper, et à l’insulter.

Plus il la frappait, et plus l’adrénaline croissait dans ses veines.

« Tiens, salope... ! Une claque pour la Déesse des putes... ! Pute ! Pute ! Chienne ! Salope ! »

Vaas l’insultait sans ménagement, et sans aucune gêne, fidèle à lui-même. Il laissa son cul meurtri, bien rouge, et soupira ensuite à nouveau, se crispant contre le corps de la femme. L’adrénaline battait furieusement dans ses veines, comme un fouet interne qui transformait son sang en feu. Il respirait lourdement, et approcha sa queue de la croupe de la femme. L’homme comptait continuer à la prendre sous un rythme intense, car, sans avoir fait aucune préparation préalable, son membre alla taper contre la porte arrière de la femme, heurtant son anus. Il grogna, s’aidant de sa main pour maintenir le bout de sa queue, et donna plusieurs coups de reins, appuyant fortement.

Le mercenaire grogna encore, et continua à se frotter contre elle, forçant peu à peu le passage.

« Tu... Putain, ma salope, tu... Tu es si étroite ! »

Vaas soupira une nouvelle fois, puis continua, jusqu’à dilater davantage le cul de son amante, et pouvoir s’enfoncer en elle. C’était une sodomie particulièrement brutale, magnifiquement intense... Et, en conséquence, monstrueusement jouissive !

DC d’Alice Korvander.

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