J'avais réussit à traverser les divers sécurités de cette bonne ville de Nexus. Pour les plus récalcitrant une bourse suffit pour payer le passage, même si un coup de poignard aurait réglé le problème. Le plus étonnant fut que personne ne me reconnut, j'étais pourtant une criminelle assez renommée, mais cela m'arrangeais. Je passa par une auberge, pour boire un verre et entendre les rumeurs. Ma tête dans cette ville était de dix mille pièce, pas assez à mon goût, je méritais mieux que ça. Je commanda un verre de l'alcool le plus fort que le barman avait en stock. Ce dernier me reconnut et eut un frisson de peur, les clients aussi après avoir regardés l'affiche de recherche à côté de moi, je prit la parole.
- Personne ne mourra si vous tenez votre langue, bien sur vous pouvez toujours appeler la police locale, mais il ne resteront pas bien longtemps en état de m'arrêter.
Je prit mon verre le bu, donna la monnaie et un surplus pour la sensation de puissance qu'ils m'avaient procurée en ayant peur pour leur vie. Je sortie et voulut faire un tour à leurs fameuse place public, nul doute qu'il y aurait un peu plus d'animation. Je prit le chemin des airs en marchant sur les toits, je raffole du vent chaud qui effleure ma peau et donne la sensation que du sang coule sur mon visage. Je m'arrêta d'un coup et vis un type bizarre. Il avait une longue cape, il prit la parole, sa voix était trop arrogante.
- Luhimi Amadeus appelez aussi Princesse du Sang. La guilde protégeant cette ville ne veut pas de vous, veuillez partir sinon je devrais vous tuer.
J'eus un petit sourire et pris une voix un peu frustrée.
- Et tu crois qu'un simple humains puisses me dire ce que j'ai à faire.
Un vent me frôla et ma joue eut une coupure.
- Un Esper maniant le vent, pff … Tu aurais du venir avec plus de personne, je suis une tueuse professionnel, ne croit pas que ton petit tour va m'impressionner. Je te laisse choisir entre vivre, et me laisser passer ou mourir, parce que tu voulais devenir un héros.
Je vous prie de bien vouloir partir de cette …
Je lui prit le cou en serrant mes doigts de tels sorte qu'il ne puisse plus respirer.
- Tu as de la chance je suis de bonne humeur. Je vais te laisser une chance de vivre. Bye !
Je le jeta dans le vide, si son pouvoir était assez fort il pourrait s'en sortir avec des côtes brisées, sinon il aura une mort rapide. Je continua ma traversé de la ville et arriva enfin à la place public et le spectacle en valait la peine, les faibles étaient ceux qui étaient humiliés et les fort étaient ceux qui dominaient. Je me laissa tomber dans un ruelle sombre et en sortie pour visiter, personne ne m'aurait approchée, j'avais tendance à donner une sensation de mort autour de moi. Je regarda les esclaves, comme si j'allais en acheter un, c'est marrant de les voir vous regarder dans les yeux, avec une petite flamme d'espoir et de la voir s'éteindre quand vous partez plus loin.
Je commençais à être un peu fatiguée, je ne risquait rien ici et la première personne voulant profiter de moi aurait eut un poignard dans la gorge. Je m'adossa près d'une fontaine, des gouttelettes perlèrent mon visage, hydratant mes marques et les faisant ressortir de ma peau assez pâle. Je dormit pendant une bonne demi-heure puis un marchand vint me voir.
- Dites mademoiselle, vous ne pourriez pas m'aider.
Il était évident que je pouvais l'aider en tant que marchandise, mais j'accepta. Il me conduisit derrière son magasin et une dizaine de type me sautèrent dessus, je ne réfléchit pas deux fois et sortit mon poignard, le résultat fut cinq mort et cinq blessés grave, ainsi que mes vêtements tâchés de sang. Je m'approcha du vendeur et mit ma lame, perlant encore du sang de mes victimes sous sa gorge.
- Ce serait à vous de m'aider, donner moi votre argent. Si vous me dénoncée avant trois jours je reviendrait et votre corps sera dans les journaux.
Le vendeur paniqua et me donna l'argent demandé, il me supplia de l'épargner, si j'étais dans une autre situation je l'aurait refroidis, mais je ne devais pas trop en faire pour le premier jour. Je sortie pour continuer ma visite quand une troupe de policier hurlèrent mon surnom. Ayant la flemme de les tuer, je choisit la fuite. Je pouvais les distancer sans problème, mais cela aurais rendu le jeu moins amusant, je tourna à droite puis à gauche et me percuta quelqu'un de plein fouet. Je n'avait pas anticiper le fait qu'il y ai une cruche qui ne saurait pas m'éviter. Du coup j'avais un peu mal à mon fessier. J'entendis les policiers être proche et plaqua ma main sur la bouche du gêneur en ne faisant pas du tous attention à ce dernier. Je savais pas si c'était un homme ou une femme, le plus important était de laisser la police s'amuser à faire un footing dans les rues de Nexus.