Tu aimais les réactions de Misaki à tes attouchements, profitant de la peau de ses fesses qui glissaient entre tes doigts, la palpant sans aucune forme de douceur, lui ayant soulevé la jupe et baisser la culotte pour mieux sentir tout cela. Tu observais, en même temps, le visage de l'étudiante et ses différentes réactions et il fallait l'avouer qu'elle te faisait craquer avec ses airs timides et ses joues rouges, cela te donnait plus envie de lui faire des choses malsaines. Tu te mordillas les lèvres, attendant la réponse de la demoiselle, ce qui allait décider de son sort, elle répéta ce qu'elle avait dit avant d'être dans la pièce, elle allait assumer tout cela. Malgré le fait que tu sois bizarre et que tu étais celle qui organisait les orgies, Misaki acceptait ce que tu étais, contrairement à ce que les gens normaux allaient faire. Cela te surprit un peu et te remplissait de joie, il semblerait que l'étudiante ait le béguin, mais pour toi, ce n'était qu'un simple jouet à rajouter dans ta collection, ce jouet était à toi, tu pouvais faire ce que tu voulais et il fallait bien t'occuper de ce précieux. Il semblerait aussi que cette demoiselle avait un certain potentiel pervers, tu allais bien lui enseigner le sexe à ta façon, sentant qu'elle caressait ta bosse entre les cuisses, elle semblait vouloir ton membre et tu allais lui faire plaisir, venant l'embrasser sur les lèvres :
« Lorsqu'on est toutes les deux seules, tu vas m'appeler Maîtresse et tu seras mon objet sexuel, tu vas satisfaire tous mes besoins de sexe et tu m'obéiras, ne t'en fais pas, je serai douce et ton corps ne souffrira pas, je ne fais pas de pratique dégueulasse, sois rassurée. D'ailleurs, voici ton cadeau. »Cette salle de classe t'appartenait, tu y avais mis beaucoup d'objets qui pouvaient te servir dans des ébats charnels de tout genre, tu fis asseoir la demoiselle sur la table, te séparant d'elle un instant, avant de prendre un collier en acier et revenir auprès de l'étudiante, lui mettant le collier autour du cou, l'objet ayant un anneau en acier dessus, attaché à une laisse faite de chaînes d'acier, également :
« Ça montrera que tu es à moi. Bien sûr, tu garderas tout le temps ce collier, pas le droit de l'enlever, ne t'en fais pas, il résiste très bien à l'eau, à la chaleur et au froid, je suis la seule à savoir comment le retirer, donc, tu ne pourras pas le faire. Tu pourras enlever la laisse, ça sera plus confortable, ça te va bien je trouve, ce n'est pas serré, en plus, parfait, comme si ce collier était fait pour toi, tu aimes ce cadeau ? » Dis-tu en souriant, lui laissant dire quelque chose, avant de tirer sur la laisse et venir l'embrasser, encore une fois, ne lui laissant pas le choix. Tu revins poser ses mains sur ses seins et la malaxer avec beaucoup d'envie, lui souriant de manière perverse, avant de venir l'attraper au niveau du col, avec tes doigts, en dessous de la cravate. D'un coup sec, tu tiras pour faire sauter les boutons de chemise et libérer la poitrine de Misaki de la première prison de tissu, la voyant encore captive du soutien-gorge. Mais tu réglas ceci rapidement en remontant les morceaux de tissu, dévoilant les seins de l'étudiante qui étaient bien gros, comme tu te les imaginais, les attrapant chacun pour les malaxer à nouveau, tes doigts appuyant, bien sûr, la belle peau de la demoiselle pour la faire couiner. Tu n'oubliais pas les tétons de la jeune femme, faisant rouler les bouts de chaire entre tes doigts afin de les faire ressortir, pour qu'ils pointent bien, les pinçant, également, avec le bout de tes doigts et tirer, observant le spectacle avec ton air pervers.
Tu finis par te pencher doucement, le visage devant les mamelles de Misaki, venant coller tes lèvres contre la peau douce et ronde de l'étudiante, embrassant er mordillant la naissance des seins, puis la poitrine elle-même et t'amusant aussi avec les pointes, passant le bout de ta langue, délicatement, autour de chaque téton que tu finis par lécher puis suçoter tout en serrant bien fort les seins dans tes mains :
« Je dois dire que tu as des gros seins pour une étudiante, je crois qu'ils font la même taille que les miens, c'est excellent, je sens que je vais très bien m'amuser. Et d'ailleurs, j'ai une autre idée. » Tu pris, dans les affaires de la salle, deux pinces à seins, reliés, entre elles, par une chaîne, les accrochant sur les tétons de la demoiselle, tirant, ensuite sur les chaînes d'acier :
« Encore mieux, cela fait une belle décoration. » Tu n'en finissais pas de t'amuser, ce qui ne faisait que faire grandir ton excitation et tu n'allais pas t'arrêter en si bon chemin, tu voulais frustrer l'étudiante et faire quelques petites expériences sur son corps. C'est pour cela que tu la manipulas, la retournant pour la mettre sur le ventre, le buste sur la table, lui pressant la poitrine dénudée contre le bois, elle était debout, mais penchée sur le support de l'enseignante. Tu lui soulevas la jupe et lui baissant la culotte en la faisant glisser, lentement, le long des cuisses, jusqu'aux pieds, pour la retirer, observant le tissu un instant :
« Jolie culotte, j'adore les beaux sous-vêtements, mais des fois, je pourrais t'ordonner de ne rien porter sous ta jupe pendant les cours. » Tu mis le sous-vêtement en boule et vient ouvrir la bouche de Misaki pour le mettre à l'intérieur, entièrement, lui fermant les lèvres tout en rigolant.
La suite allait être intéressante, attrapant une longue règle en bois, ce que possédait tous les profs, tu voulais tester un peu le fessier de la demoiselle, venant lui caresser les fesses avec ton accessoire, avant de lui donner un petit coup sur la peau, la robe bien levée, tu avais facilement accès. Tu changeais de fesse pour le prochain petit coup, alternant ainsi entre les deux fesses pour lui faire rougir l'épiderme, ayant donné une dizaine de claques et un peu augmenté l'intensité, mais évitant de lui faire mal, lui expliquant :
« Je te fesserai quand tu ne seras pas sage, j'espère que tu en demanderas beaucoup et que tu ne seras pas sage plus tard. » Tu fis un autre petit rire, lui caressant l'intimité avec la règle, longeant la fente de haut en bas et inversement, avant de lui enfoncer, un peu, ton accessoire dans l'antre, le bougeant doucement pour lui donner un peu de plaisir :
« J'ai une soudaine envie de te déguiser, en chat, c'est une bonne idée. » Tu posas la règle à côté, attrapant un plug anal avec une queue de chat au poil soyeux et un serre-tête avec des oreilles de félin, attrapant aussi une bouteille de lubrifiant, revenant vers la demoiselle :
« Ça risque de faire légèrement mal au début, mais ça passe vite, ne t'inquiète pas. » Tu lui écartas les fesses pour dévoiler l'orifice de l'étudiante, faisant couler du lubrifiant dessus et l'étalant bien, avant de prendre le plug et l'insérer, minutieusement, dans l'anus, entièrement, pour qu'il ne reste que la partie queue de chat dehors, essayant de ne pas trop faire mal à Misaki. Une opération méticuleuse mais tu réussis, satisfaite de ton travail, lui mettant le serre-tête sur les cheveux, l'admirant ainsi :
« C'est parfait, tu t'habitueras à la sensation. »Un autre petit rire échappa tes lippes attrapant le bras de l'étudiante, l'attirant contre toi, la remettant debout et droite, collant ta poitrine à la sienne, une main sur la hanche, l'autre allant manipuler doucement le plug, le bougeant lentement pour t'amuser, l'embrassant sur les lèvres :
« J'espère que tu apprécies ce moment avec moi, parce que moi j'adore avoir une étudiante aussi sage, tu pourras goûter à ma verge, tu étais curieuse de la voir et de la toucher, n'est-ce pas ? Je te fais donc cet honneur. » Tu lui retiras la culotte de la bouche et le posa à côté, près de la règle, t'asseyant sur la table, les cuisses écartées, levant le bas de ta jupe et enlevant ton sous-vêtement pour libérer ton sexe masculin bien gros et bien dressé en érection, un peu de pré-sperme coulait déjà à cause de l'excitation. Tu n'avais pas de couilles comme les hommes et il y avait aussi ton intimité humide, que tu caressais avec tes doigts après avoir posé le tissu près de celui de Misaki, t'occupant, ensuite, de ton membre que tu masturbais un peu, regardant la demoiselle avec un sourire :
« C'est la première fois que tu vois cela, n'est-ce pas ? Tout est à toi, fais-moi une belle gâterie sur les deux sexes et tu auras le plus long entre tes cuisses, peut-être que j'inonderai ton intimité de ma semence si tu es accueillante à l'intérieur. D'ailleurs, es-tu vierge ? Réponds-moi franchement, c'est pour savoir si je dois aller doucement ou sauvagement en toi, même si, dans tous les cas, j'irai sauvagement à la fin. Et imite le chat, tu en es un. » Tu lui fis un clin d'œil en souriant