Ton analyse était à quatre-vingt-dix-sept pour cent sure que la demoiselle, que tu venais de rencontrer, était dans un état d'excitation, mais tu devais t'assurer à cent pour cent, même si la demoiselle ne semblait pas être coopérative. En effet, elle semblait ne pas vouloir que tu lui viennes en aide, te disant de ne pas s'approcher alors qu'elle n'était pas dans son état normal, corrigeant le fait que c'était de la sorcellerie et non de la magie, c'est vrai qu'il y avait quelques différences. Mais tu voulais toujours en savoir plus, ta base de données avait très peu d'information concernant ces arts d'un temps ancien et qui n'existait presque pas dans le monde où tu vivais avant d'arriver sur Terre. Tu voyais qu'elle s'approchait d'un arbre, marchant de manière bizarre, les cuisses serrées, remarquant un petit truc qui coulait et luisant, ressemblant vraiment à de la cyprine, d'après ce que tu savais et que tu pouvais déduire par rapport à la situation. Elle ne voulait pas que tu l'aides et ne voulait rien t'enseigner, ce qui serait dommage, car tu étais la seule présente dans les lieux et pouvait la soulager, à moins qu'elle ne veuille le faire toute seule, c'était mieux de le faire à deux, d'après ton amie. Et la situation de l'inconnue ne semblait pas se calmer, bien au contraire, son visage devenait rouge et généralement, cela voulait dire que le corps avait encore plus envie. Tu devais la soulager de ce stress, tu étais quelqu'un qui aidait les gens, mais le grimoire, que l'inconnue possédait, semblait être dangereux, même si cela ne faisait rien, pour l'instant, comme si quelque chose perturbait, peut-être l'état de la jeune femme.
Et puis tant pis, tu t'approchas tout près de la demoiselle, juste en face, la plaquant, doucement, dos à l'arbre, commençant à l'ausculter, observant son visage, avant de lui mettre les mains sur la poitrine, sentant les tétons durs, puis glissant une main sous sa jupe, passant tes doigts sur la culotte, au niveau de l'intimité, puis léchant les doigts, c'était bien de la cyprine. Ton analyse était maintenant à cent pour cent juste, c'était bien l'excitation et il fallait la faire baisser, le mieux était de faire jouir la demoiselle, lui disant : « Je m'appelle Klara et je pense que c'est une mauvaise idée de régler vos soucis intimes toute seule, laissez-moi le faire, vous n'allez pas le regretter, il paraît que je le fais bien, c'est mon amie qui le dit. » A ce moment-là, tu chargeais, de ta base de données, une séquence d'un film pornographique des humains afin de savoir comment t'y prendre et reproduire les gestes, venant attraper le bustier de la rousse et le baisser pour dévoiler sa poitrine. Tu venais y mettre les mains pour appliquer des caresses avant de commencer à malaxer tendrement ses monts de chaire, tes doigts appuyant bien contre l'épiderme avant de relâcher la pression. Tu venais aussi t'occuper des pointes que tu venais suçoter entre tes lèvres et mordillant tendrement sans faire mal, étirant la pointe. Tu continuais à jouer ainsi pour faire plaisir à la demoiselle, glissant, ensuite, tes mains sous sa jupe afin de lui retirer cette culotte mouillée, la faisant glisser le long des cuisses jusqu'aux pieds, puis tu lui soulevais la jupe afin de glisser ta tête en dessous, te mettant à genoux. Tu viens coller tes lèvres contre les siennes qui étaient intimes, venant embrasser tendrement, avant de lécher la fente et récolter la mouille que tu trouvais un peu différente. Les humaines avaient donc un liquide distinct, tu le notais dans ta mémoire, continuant à lécher avant d'introduire ta langue dans l'antre et explorer l'intérieur puis faire des vas et vient pour augmenter le plaisir. Tu sentais que la mouille coulait de plus en plus, quelque chose de normal, semblable à celle de ton amie, il fallait donc continuer, remplaçant ta langue par deux doigts que tu transformas en un gode vibrant avec des picots pour accentuer la simulation. Tu continuais, ainsi, à faire les mouvements de pénétrations, observant les réactions de la demoiselle pour voir si elle allait bientôt craquer ou non. Tu faisais plaisir à la jeune femme, pendant quelques minutes, avant d'arrêter et te redresser, retirant tes doigts qui reprirent une forme normale, léchant le liquide qui était dessus.
Tu regardas la jeune femme, cela devait être suffisant pour l'avoir soulagé un peu, à moins qu'elle ne soit encore plus gourmande, dans ce cas, le film pornographique conseillait de faire apparaître un membre masculin humain pour que l'inconnue s'amuse avec cela. Tu changeas, alors, ton corps selon les circonstances, faisant disparaître ta chemise, gardant ta veste, dévoilant ta poitrine nue, très généreuse et ferme, avec les tétons qui pointaient. Tu soulevas ta jupe, ne portant rien en dessous afin de dévoiler le service trois pièces comme chez les hommes, des bourses avec une longue verge en érection, les femmes semblaient adorer cela, enfin, dans les films pour adultes. Tu mis en avant ta verge que tu as simplement créée en modifiant ton corps, le proposant à la rousse si elle voulait calmer son excitation d'une autre manière : « Si vous n'êtes pas encore satisfaite, vous pouvez utiliser cela, un appareil génital masculin, d'après les films X, les demoiselles sucent cela pour faire sortir du sperme, ou elles s'empalent dessus pour le même résultat, vous êtes libre de faire ce que vous voulez, je peux même vous prendre en levrette, c'est comme cela qu'on dit, n'est-ce pas ? » Dis-tu en observant la demoiselle, normalement, elle devrait accepter, mais la pratique pouvait changer de la théorie, c'est ce que tu allais expérimenter maintenant, mais il fallait dire que tu voulais qu'elle adhère à ton offre, tu éprouvais aussi de l'excitation, c'était clair, tu aimais ce sentiment qui stimulait ton système.