Nom/Prénom : Esperanza (pas de nom)
Surnom : Lady RawhideÂge : 25 ans
Race : Humaine
Sexe : Femme
Expérience sexuelle : N’est pas vierge
Orientation sexuelle : Bisexuelle (légère préférence pour le beau sexe, mais juste légère)
PhysiqueQui n’a pas entendu parler de Lady Rawhide ? Celle que l’on prend pour une ancienne
call girl, et qui fait régulièrement l’objet de brèves lors des journaux télévisés tekhans, est connue pour son « uniforme » très particulier. Esperanza porte ne effet un court ensemble rose, une sorte de parodie de tenue de
cow girl. C’est une tenue très courte, se composant d’une culotte rose, de longues cuissardes roses ouvertes avec des lacets et des bords blancs, d’une ceinture marron abritant ses munitions, d’un corset rose et blanc, de gants roses aux bouts blancs, et, pour parfaire le tout, d’un petit masque blanc et d’un chapeau de
cow girl blanc. Appelons donc cela un ensemble sexy rose et blanc, que Lady Rawhide porte essentiellement pour attirer l’attention des mâles, ou pour dissimuler son identité.
Sous l’uniforme, Esperanza reste une femme magnifique. Avec sa longue chevelure de feu et sa grosse poitrine, elle est aussi dotée d’une superbe silhouette. On peut d’ailleurs tout à fait la voir quand elle est Lady Rawhide : ses hanches généreuses, sa peau parfaite, d’une douceur incroyable. Ses ennemis ne savent pas s’il doit lui tirer dessus ou lui déclarer sa flamme, et c’est bien pour sa tenue qu’on parle d’elle… Ce qui est tout à fait l’objectif recherché.
CaractèreComme tout justicier masqué, Lady Rawhide/Esperanza dispose de deux personnalités bien distinctes :
- Lady Rawhide, pour commencer, est une jeune femme intrépide, qui n’a peur de rien. Elle est insolente, provocatrice, et se bat avec son redoutable fouet, qu’elle utilise pour désarmer ses adversaires. Sous cette forme, Lady Rawhide ne recule devant aucune provocation, et se fait connaître par son sens de l’imprévu. Elle n’hésite pas à surprendre ses ennemis, à tout faire exploser, et fait preuve d’une chance insolente, qui explique sans doute pourquoi personne n’a encore réussi à l’appréhender jusqu’à présent ;
- Esperanza, elle, est une jeune sœur assez timide, relativement effacée, qui se dissimule sous sa robe de nonne et sous un épais chapeau. Elle ne sort du monastère que pour effectuer des missions de charité, ou pour se rendre dans les autres monastères ou églises.
Deux personnalités différentes, mais de mêmes aversions. Lady Rawhide abhorre l’esclavage, et, plus généralement, tous les trafiquants. Elle est ainsi en guerre contre le crime organisé, et n’hésite pas à tuer s’il le faut, même si elle ne voit le meurtre que comme une solution d’ultime nécessité. Dans l’absolu, elle préfère en effet humilier ses ennemis en leur montrant que même une fille habillée comme une pute peut faire chuter n’importe qui.
HistoireEsperanza n’a connu la liberté qu’en étranglant son maître avec ses chaînes.
Sa mère était une Celkhane, qui, avec son commando, a tenté d’attaquer un ranch tenu par un esclavagiste tekhan dans les Badlands, cette longue bande désertique séparant Tekhos de l’Empire d’Ashnard. Les Celkhanes, fidèles à leur réputation, avaient entendu parler de ce terrifiant baron du crime, qu’on surnomme «
El Matador ». Dirigeant la région depuis sa hacienda, le Matador trempait dans l’esclavage, la prostitution, la drogue, et le trafic d’organes. Les Celkhanes l’attaquèrent donc, mais, hélas, le Matador s’avéra plus robuste que prévu. Toutes les Celkhanes furent tuées, sauf une, qui eut le premier malheur de survivre, et le second malheur d’être enceinte. Le Matador parvint à la soigner, et, ensuite, cette femme, dont Esperanza ne sut, ni le nom, ni le prénom, la mit au monde, avant d’être vendue comme esclave.
Esperanza naquit donc esclave, et ne connut jamais sa mère, mais rêva en revanche de liberté, comme tous les autres esclaves du Matador. Ils travaillaient dans une redoutable mine. Des conditions de vie harassantes où les enfants, avec leurs petits gabarits, pouvaient se faufiler dans les galeries étroites, afin de rechercher ce que le Matador désirait par-dessus tout : des cristaux magiques. Il fallait, en conséquence, creuser très profondément, ce qui faisait que, régulièrement, les esclaves étaient attaqués par des créatures nécrophages. Travaillant d’arrache-pied, ils vivaient dans de sinistres casernes, sous la coupe réglée du Matador, véritable seigneur féodal de la région, en affaire avec les Ashnardiens. Il leur vendait les cristaux magiques ne échange d’esclaves, ce qui faisait que l’homme n’en manquait jamais, l’Empire pouvant toujours en ramener quelques milliers d’un royaume ou deux. Esperanza connut la cruauté, mais elle connut aussi l’amour de la part des autres esclaves, qui lui chantaient des berceuses, et lui parlaient du reste du monde.
Esperanza connut aussi les joies de la lecture, et se passionna notamment pour la lecture d’une héroïne de fiction :
Lady Rawhide. Vivant dans un monde fictif, dominé par l’esclavage, elle avait pris les armes contre le Tyran, et avait réussi à le renverser. La saga était un hommage au courage des femmes, et sa morale réelle était que l’asservissement des femmes par les hommes était une catastrophe, et que, en toute logique, il fallait inverser les choses. Une œuvre tekhane, indéniablement.
Régulièrement, des esclaves tentaient de se libérer, mais la mine était un vrai cauchemar. D’une part, il fallait réussir à s’en extirper. Or, la mine était construite dans un immense trou, et les cabanes où les esclaves dormaient étaient tout en bas de la carrière. Tout en haut, il y avait les gardes, et un camp tout autour, avec des barbelés, des clôtures électriques. Les esclaves étaient répartis en deux camps : les mineurs, et les ouvriers. Les premiers travaillaient sous terre, les seconds convoyaient les pierres, les pierres précieuses, les gisements de fer, vers les usines, sous un soleil de plomb. En effet, d’autre part, et quand bien même on réussissait à sortir de la prison, puis du camp, on avait la désagréable surprise d’arriver dans un désert infernal. Il y faisait généralement entre 45 et 50° Celsius le jour, et environ -10° Celsius la nuit. Et, ultime cerise sur le gâteau, chaque esclave avait, autour de son cou, un collier chargé d’une charge explosive qui pouvait vous décapiter, ainsi qu’une puce GPS. Ainsi, si un esclave considéré comme mineur se trouvait hors de son secteur, il n’y avait pas de coup de semonce ; on appuyait sur la détente, et la tête de l’homme explosait dans un petit *
SPLOUITCH* écœurant.
En toute logique, on appelait ce puits «
La Fosse du Diable », et le désert était appelé «
Le Pic du Démon ». Esperanza, cependant, avait acquis l’esprit combatif de sa mère, et rêva très tôt de s’échapper de cet enfer… Un rêve qu’elle eut à longueur de temps, au fur et à mesure qu’on la fouettait, et qu’elle voyait les multiples exactions commises par les hommes du Matador. Leur Maître n’était pas le Matador, mais l’un de ses lieutenants, John Cricknell. Or, Cricknell dirigeait la Fosse depuis vingt ans. Généralement, il descendait, ordonnant à tous les esclaves de se réunir, et s’amusait à les humilier, à leur rappeler qui était le maître, en jouant à un jeu sinistre, une sorte de loto, où le gagnant devait, soit tuer un esclave, soit se faire exploser la tête. Cricknell, de fait, était un véritable psychopathe, cruel et sadique, et était le véritable cauchemar de cette prison… Une menace encore plus dangereuse que les nécrophages, les
bandidos surveillant la Fosse, ou encore que le soleil écrasant qui vous brûlait la peau quand il fallait traîner d’énormes pierres. Ces menaces, en effet, suivaient un ordre logique, rationnel,
prévisible. Cricknell, lui, n’était, ni rationnel, ni prévisible. Il était fou, et le pire qui pouvait arriver à une esclave était d’être réquisitionnée dans sa
hacienda. Quand elles revenaient au lendemain matin, en étant balancées dans le sol, elles n’étaient plus les mêmes.
Esperanza, de fait, réalisa rapidement qu’il y avait quelque chose en elle qui était plus fort que sa soif de liberté : sa haine envers «
El Diabolo », John Cricknell. Cricknell, qui s’amusait parfois à attacher à de longues potences au-dessus de la Fosse des esclaves. Leurs corps pendouillaient pendant des semaines, et des vautours venaient les déchiqueter… Et, parfois, ils étaient mis dans des cages à gibets, où on pouvait les entendre hurler pendant des heures, que ce soit sous l’effet du soleil venant cuire leur peau, ou sous les vautours et les corbeaux. Pour autant, la liberté n’avait besoin que d’un soupçon, d’un zeste, pour éclore.
Aussi infranchissable que soit la Fosse du Diable, elle avait aussi ses faiblesses. Pour commencer, les signaux électromagnétiques émis par la puce GPS des colliers ne fonctionnaient pas dans les mines. Autrement dit, dans les galeries, il était impossible pour les opérateurs de repérer les mineurs, et, partant de là, ces derniers bénéficiaient d’une forte liberté, d’autant plus forte que les gardes ne se ruaient jamais à l’intérieur, sauf quand les nécrophages attaquaient, et qu’il fallait bien les repousser. Esperanza et les autres mineurs comprirent donc qu’ils pouvaient se réunir à l’intérieur, et discuter de révoltes. Personne ne venant surveiller l’activité des galeries, ils creusèrent un tunnel menant à la surface, permettant ainsi de contourner le premier problème : sortir de la Fosse.
Peu à peu, un plan d’évasion audacieux se mit en place, tournant tout autour de deux personnes : Esperanza, et Miguel Barroso. Miguel était un esclave ayant passé plus de quarante ans entre les mains du Matador, et qui, partant de là, bénéficiait d’un fort charisme auprès des mineurs. De fait, les esclavagistes l’appréciaient aussi, car Barroso empêchait les révoltes, empêchant ainsi des tueries inutiles, et une perte provisoire d’argent pour le Matador. Cependant, Miguel se mit, lui aussi, à rêver d’évasion, emporté progressivement par la détermination d’Esperanza.
Le plan se mit ainsi en place. Esperanza n’était pas qu’une femme très belle, c’était aussi une redoutable tueuse, qui s’entraînait dans les mines avec des esclaves, qui étaient d’anciens prisonniers rachetés à l’État par le Matador. Des hommes qui avaient su stocker des armes à feu, récupérées lors d’anciennes révoltes, dans les mines. Ils apprirent à Esperanza à se battre, à tirer, et elle s’avéra terriblement douée. Le soir fatidique arriva ensuite.
C’était un soir important, car il y avait les camions de chargement, ceux qui venaient une fois par mois pour récupérer les cargaisons. Esperanza fut invitée par Cricknell afin de servir de prostituée, et se rendit dans le manoir, la peur effacée par une froide et lourde détermination. Elle ne comptait pas échouer, car, pendant ce temps, Miguel et les esclaves se préparaient. Pour réussir l’opération, Esperanza portait dans sa culotte un silex.
Il n’y avait que dans le manoir de Cricknell qu’on ôtait le collier des esclaves, car il n’était pas très seyant. On le lui ôta donc, tout en l’invitant à prendre un bain, car Esperanza puait atrocement. Elle tua son premier homme dans la salle de bains, et ce fut bien plus facile que ce qu’elle craignait. Elle avait déjà tué bien des nécrophages, et elle s’attendait à échouer, ou à hésiter, ou à ce que l’homme soit plus résistant que prévu… Mais il mourut du premier coup, quand le silex lui transperça la gorge. Le tueur s’effondra sur le sol, et aspergea la salle de bains de sang. Esperanza récupéra son pistolet et ses affaires, et tapa à la porte. Un garde se trouvait dehors, et, n’ayant pas entendu la mort de son comparse (qui avait été rapide), il ouvrit la porte… Pour se recevoir une balle en pleine tête. Sa cervelle recouvrit le mur, et Esperanza récupéra rapidement son pistolet, ainsi que la grenade qu’il avait dans sa ceinture. Malheureusement, le tir, lui, n’était pas discret, et elle profita de son effet de surprise. Elle remonta le couloir, ouvrit la porte à droite, menant sur le salon principal où les hommes du Matador étaient occupés à fumer, à jouer, et à baiser avec des putes, et elle balança la bombe, tout en faisant feu.
Elle se rendit ensuite rapidement vers la cuisine, et ouvrit toutes les conduites de gaz, puis fila dans le jardin, marchant vers le poste de contrôle, tandis que le camp se réveillait suite à l’explosion… Ensuite, elle eut juste à attendre un peu, et le gaz s’enflamma suite à l’explosion qu’elle avait provoquée. Ceci provoqua une nouvelle explosion, qui enflamma le manoir, des cendres et des braises se répandant dans le grand jardin de Cricknell.
Profitant du revers de la nuit, Esperanza se rendit vers le poste de contrôle. Elle s’approcha de la porte blindée, l’ouvrit, et abattit les hommes à l’intérieur, puis détruisit la console, avant de sortir. Des
bandidos la poursuivaient, lui tirant dessus. La femme courut rapidement vers un entrepôt au rebord de la Fosse, pénétra à l’intérieur, et ouvrit la trappe. Pour réussir l’opération, les mineurs avaient bénéficié de l’aide des ouvriers, et ils avaient dissimulé cette cache. Esperanza l’ouvrit donc, et fit signe aux esclaves de grimper, leurs charges explosives désactivées.
Tous déferlèrent sur les hommes de Cricknell. Il y eut bien des morts dans les deux camps. Miguel, notamment, fut abattu de plusieurs balles. Les
outlaws de Cricknell avaient l’avantage d’avoir des mitrailleuses lourdes, des gatlings, mais les esclaves avaient l’avantage du nombre, de la surprise… Et d’Esperanza. C’était comme si un démon la possédait. Rapide et précise, chacun de ses coups semblait faire mouche, et elle bénéficia d’une chance insolente. Elle réussit à prendre de revers un poste ennemi surmonté d’une gatling, et utilisa l’arme contre les hommes de Cricknell, faisant exploser une citerne d’essence.
Et, finalement, elle se retrouva face à Cricknell. Elle pointa sur lui son pistolet, mais le fouet de John Cricknell claqua, et la désarma, faisant voler l’arme dans le sable, puis il l a fouetta à nouveau, au visage, l’envoyant s’étaler sur le sol.
«
Sale putain d’esclave », avait-il dit, au milieu des flammes.
Il avait sorti son Colt, et s’était approché, se tenant juste au-dessus d’Esperanza, pointant le canon béant de son arme sur sa tête… Et elle lui planta dans le pied son morceau de silex, et le fit tourner. Le tir partit, se logeant à quelques centimètres de sa tête, dans le sable, et elle renversa l’homme, puis poignarda l’homme en hurlant avec son silex. Il se débattit, la frappa, tira sur ses cheveux, hurla, grogna, puis gémit, suffoqua, vomissant son sang, éclaboussant le corps d’Esperanza, qui continuait à taper, à taper, taper, taper, et taper encore, sans savoir où elle visait, se contentant juste de taper… Le sang lui noya les yeux, boucha ses oreilles, inonda ses lèvres, mais le silex continuait à descendre… Jusqu’à ce qu’elle finisse par reprendre son souffle.
Cricknell était mort, la Fosse était en feu, et il y avait des cadavres partout. Esperanza jeta le silex sur le sol, puis récupéra le fouet de John Cricknell, et se releva. Elle abandonna ses vieilles guenilles, et récupéra la seule tenue qu’elle trouva dans les restes du manoir de Cricknell : une tenue de
call-girl. Elle l’observa, puis, faute de mieux, l’enfila rapidement.
Pour cela, elle quitta la Fosse, utilisant une voiture pour traverser le Pic du Diable, mais cette dernière tomba en panne, et elle se mit à errer dans le désert… Jusqu’à tomber dans le coma, et être sauvée par des missionnaires… Elle se réveilla dans un monastère, devant des sœurs religieuses qui n’étaient guère dupes en voyant son sang, ses armes, ou en ayant appris la mort de John Cricknell.
«
Cricknell et la Fosse étaient un endroit impie, maudit de Dieu… Mais elle était aussi la principale revenu du Matador. Et le Matador, mon enfant, contrôle tout ici, lui disait, d’une voix calme mais fatiguée, la mère supérieure.
Les autorités légales ne se dresseront pas contre lui, car il les a achetés. Le cœur des hommes est chose facile à corrompre, pour peu qu’on trouve les bons leviers à tirer. »
Esperanza ne comptait pas abandonner. Elle voulait vaincre le Matador, mais aussi retrouver sa mère disparue… La sœur lui expliqua alors qu’il existait d’autres puissances, en ce monde, que l’autorité d’un État.
«
Les Saintes-Écritures nous disent qu’un homme naît avec une égale dignité à un autre homme. L’esclavage est une chose contre laquelle l’Église se refuse, et nous offrons à tous les esclaves le demandant le statut de réfugiés, et nous nous chargeons de les envoyer vers les États pontificaux, au large de Tekhos. Là, ils y labourent la terre que le Seigneur a daigné nous donner, et travaillent les forces de la Nature. »
La foi… C’était une autre de ces choses que Cricknell n’avait jamais réussi à leur enlever. Dans la Fosse, ou, plutôt, dans les mines, les esclaves avaient bâti un sanctuaire religieux, vénérant l’Homme-Jésus, qui, lui aussi, avait été un martyr, et qui s’était battu jusqu’à la fin. Esperanza écouta donc la mère supérieure, qui lui expliqua que, dans les Badlands, elle n’était pas la seule à se battre. Il existait un ordre de sœurs religieuses, Les Saintes, qui se battaient également contre des gens comme le Matador… Mais Esperanza ne comptait pas devenir une Sainte. En revanche, en devenant une religieuse, une nonne, elle pourrait avoir accès aux informations de l’Ordre Immaculé, obtenir des informations sur le réseau du Matador, sur sa mère.
On proposa de jeter sa tenue de
call-girl, mais Esperanza refusa en la contemplant. Elle la regarda silencieusement, avant de finir par parler :
«
À partir de maintenant… Je serais Lady Rawhide. »
AutresLady Rawhide ne dispose d’aucun super-pouvoir. Pourtant, son habileté au fouet, son adresse au tir, ainsi que sa chance insolente, font qu’elle a acquis une sorte de réputation surnaturelle. On parle d’elle comme une légende, mais il est bon de rappeler qu’elle n’est qu’une humaine.
InspirationLady Rawhide est un personnage faisant partie des multiples
pin-ups de la maison d’édition de
comics Dynamite Entertainment. Dynamite est un récent éditeur de
comic books, dont les publications tournent principalement autour de
pin-ups issues de la vieille époque (des années 30’s aux années 60’s, en gros), comme Red Sonja, Dejah Thoris, Miss Fury, etc… Dynamite est un studio montant, et, comme le personnage de Lady Rawhide (qui a eu droit à une courte série de cinq ou six numéros, dans lesquels elle affronte l’armée mexicaine et une bande de tueuses psychotiques) m’avait bien plu, j’ai décidé qu’il était temps de la jouer.
J’espère que sa lecture vous aura plu =)
Nota BeneCette fiche était dans mon PC depuis mes vacances d'Août (n'ayant pas Internet, j'avais fait une dizaine de fiches pour m'occuper). J'ai choisi de la poster maintenant, en guise de cadeau de Noël. Je me suis dit que ça pourrait être cool d'offrir du cul et des nichons.
Des trucs de beauf, quoi.
RPs1°)
La démonisation de Sram... [
Navlys Sruk] [
EN COURS]
2°)
Sexy shooting [
Yulia Vesselovski] [
EN COURS]
3°)
Premier vrai défi ! [
Sex Fight Club] [
EN COURS]