Comme d'habitude, tu traînais dans ta caverne après t'être réveillée, il devait encore faire jour, d'après les lumières qui flirtaient de l'entrée de ta caverne que tu avais bloquée avec des fils d'araignée, pour empêcher des personnes de rentrer et te déranger. C'était une chose simple à faire et ça te permettait d'éloigner les gêneurs, car il y en a toujours, des aventuriers qui se perdaient en chemin et qui se réfugient dans ta caverne, ou bien d'autres qui tentent l'aventure, afin de savoir si les rumeurs disent vrai. Au final, ils tombaient sur toi, tu les attachais avec tes fils et tu les laissais croupir au fond de ta demeure, le temps qu'ils réfléchissent un peu à ne plus remettre les pieds chez toi et là, tu les libères. Si tu arrivais à attraper une demoiselle, tu te vidais les bourses dans son intimité, oui, elles te servaient à les souiller de sperme, étant hermaphrodite, il fallait bien le faire, ce n'est pas marrant de te masturber toute seule, autant profiter de tes proies, comme tu aimais les femmes. Tu finissais aussi par les libérer toutes souillées, même si certaines revenaient, surtout une, en particulier, vivant dans un village proche et qui te ramenait aussi à manger, par la même occasion, c'était du donnant-donnant, même si tu gagnais plus.
En parlant d'elle, il fallait que tu ailles la voir cette nuit, ta réserve de nourriture se tarissait, il fallait que tu ailles faire le plein, c'est pour cela que tu attendais qu'il fasse bien soir, tu voyais bien la nuit, même si tu décidas de prendre une torche avec toi. Discrètement, tu te dirigeas vers le village, évitant de te faire repérer et venant frapper doucement à la porte de la fameuse demoiselle qui ouvrit, elle était toute nue, à moitié endormie. Tu t'excusas, auprès d'elle, de venir à l'improviste, elle hocha la tête, te donnant les provisions, tu l'embrassas pour la remercier et la quitter, disant que ta soumise allait avoir une bonne partie de sexe demain. Elle rougit, te saluant, elle avait déjà hâte, tu retournas donc dans ta grotte où t'attendais une surprise, il y avait quelqu'un dans ta demeure, tu allumas donc toutes les torches de ta caverne pour bien voir la dame et qu'elle te voit aussi. Tu déposas tes provisions à côté, observant l'inconnue qui semblait savoir ce qu'elle voulait, lui adressant la parole : « Que puis-je faire pour vous ? Que faites-vous chez moi ? Savez-vous à quel danger vous vous exposez ? » Oui, car c'était une femme et le sort d'une femme, sur ton terrain, était le même, tu allais te vider les bourses en elle, on dirait que la nuit va être merveilleuse et que tu allais t'amuser.
