Un petit moment de folie (PV Mégère et Tisiphone)

Lucien avait bien progressé en terme de relation social avec les autres élèves, il finissait sa troisième, dernière journée de la semaine, en classe  et tout se passait bien. Il quitta le cours, mais eu lieu de passer par le chemin habituel il prit un raccourcis qui lui avait été indiqué par un camarade de classe. le couloir était étrangement désert, mais cela ne choqua pas le jeune homme qui continua d'avance, ce genre d'endroit existait à d'autres positions dans le lycée.

Deux élèves sortir d'une salle qui devait servir pour entreposer les objets pour le cours, celle-ci étant trop petite pour enseigner,et une odeur particulière, qu'il n'arrivait pas à identifier parvint aux narines de l'hermaphrodite. Cela eu un impact sur Lucien qui se sentit un peu bizarre et pressentait qu'il allait faire une bêtise s'il restait planté là. Il faisait ce qu'il appelait une crise, son corps ayant retenu tout son passé le rappelait à l'ordre, mais se comporter de manière aussi dépravé, se comporter comme une sorte d'esclave sexuel, n'était pas ce qu'il voulait. Il valait mieux rentrer vite fait, ce fut en marchant rapidement qu'il quitta l'enceinte de l'école. Vêtu d'un grand manteau, car l'hiver s'installait doucement, mais surement.
Il fut appelé par sa tutrice pour l'informer qu'il fallait attendre avant de rentrer, la raison était simple, des termites avaient élus domicile chez eux et le spécialiste était en train s'en débarrasser. Cela n'arrangeait pas les affaires du jeune homme qui avait besoin d'un endroit calme pour se reprendre en main. L'idée lui vint de suite, aller dans le parc, le soleil allait bientôt se coucher, donc il y aurait moins de monde.

Il se dirigea alors vers l'endroit qui lui permettrait de regagner son contrôle, c'était une lutte intérieur qui s'étant engagé. Par malchance il fut abordé par une femme dont les intention était assez claire, mais Lucien put refuser poliment et cela s'arrêta là.

Son coeur commençait à battre avec force, sa vue se brouillait légèrement, car il produise un gros effort mental pour ne pas venir se lover contre le premier venu. Les passants semblaient si attirant, si...non, reprend-toi. Alors que son propre corps tentait de le trahir il arriva au parc. Lucien était à bout de souflle, ses jambes tremblaient, son corps était brûlant et ne cessait de saliver comme si devant lui il y avait un excellent repas. Mais cela commençait déjà à se calmer, Lucien fut content d'observer cela. Il avait bien faillit devenir fou avec tout le monde qu'il y avait eu dans la rue, lutter contre ses bas-instinct n'était pas aisé

Etant dans une situation de vulnérabilité la peur commença à faire son travail, le moindre bruit faisait sursauter le jeune homme qui tentait de reprendre son calme en restant dans les zone encore éclairé par le soleil. Il comprit bien vite que la nuit allait être effrayante, mais il devait se calmer d'abords et cela allait lui prendre du temps.

Au moment où il prenait le chemin pour rentrer, pour que sa tutrice ou la neko vienne le calmer doucement avec une tisane. Il tremblait encore un peu, mais il savait que la nuit les couple et mauvaises rencontre étaient de sortie, alors inutile de prendre des risque inutiles. En rejoignant l'allée principale il eu un frisson.

Il n'y avait personne. La peur commença à glacer ses veines, car ce n'était pas normal, de son point de vue.

Un parc à la tombée de la nuit, un esprit troublé par de bas instinct, il ne faut pas plus pour faire naitre la folie à partir de rien. La folie attise les sensations, font naitre l’improbable et amplifie les émotions. La peur et l’excitation n’y font pas exception. Un être vivant sur terre se trouvait justement dans ce cas, se faisant petite à petit rattrapé par la folie et quoi de mieux qu’une grande ville surpeuplé pour engendré de la folie ? C’est donc attiré par cet endroit que Mégère avait trouvé cet être.

-Je le veux ! Oui je veux jouer avec lui.

-Calme toi ma sœur, il ne va s’envolé ton nouveau jouet. Regarde il marche juste. Que comptes-tu lui faire ?

-Je vais lui titiller l’esprit, regarde maman il plonge sans savoir dans notre monde !

Sans le savoir l’humain avançait pénétrant de plus en plus dans les bras de Mégère. Mégère l’une des déesses de la folie, l’avarice qui avait porté son intérêt sur ce pauvre mortel et commençait son jeu. Des premiers signes lui étaient visibles, déjà il se retrouvait seul, et oui car après tout il était plus vraiment au même endroit. Le parc restait inchangé à quelque détail prés. Il semblait sans fin et quand on approchait d’une sortie sans vraiment s’en rendre compte on retournait sur ses pas.  Au fur et mesure que la nuit tombait le ciel s’assombrissait, le ciel devenais noir et les nuages dorés. Il n’y avait pas de vent, il faisait ni chaud ni froid, un calme surréaliste pour un parc citadin régnait.  Puis un vol de corbeau brisa se silence du battement de leur ailes et du croisement de leur groupe. Suivit ensuite par un crois de peur déchirant le calme par sa puissance. Une voix clairement féminine et clairement paniqué, puis le calme retomba aussitôt. Le cri semblât venir de partout et de nulle part à la fois. Qu’il cherche à fuir où a trouvé l’origine, les pas de l’être pris au piège allait inévitablement le conduire devant la jeune fille. La pauvre était étendue sur le sol à première vue inconsciente et en simple nuisette, sous cette dernière elle ne portait absolument rien. Ce qui offrait une vue directe sur ses fesses a nue et son intimité parfaitement visible. Elle était la sans défense et inconsciente.

Loin depuis leur propre monde les deux déesses observait la scène couchée sur leur lit à travers un œil de verre flottant devant elle. Même œil qui représentait la lune dans le piégé.

-Il vas faire quoi Tisi à ton avis ?

-Je ne sais pas, mais pour le moment ce n’est pas très passionnant ton truc.

-Hey Maman tu entends ? Elle est méchante avec moi !

-Mais non Mégère, tu sais bien que je ne suis jamais méchante avec toi.

Le silence, la solitude physique, la nuit qui tombait inexorablement jusqu'à le laisser dans l'obscurité. Malgré l'éclairage du parc la peur le rigidifiait. Tout comme beaucoup d'être humain, seul il se sentait vulnérable. Trop de choses étaient bizarre. Sa tutrice l'avait prévenue qu'il y avait des portails, mais il était toujours sur Terre. Elle avait dit qu'il pouvait y avoir des créatures, mais il n'y avait pas un bruit, même le vent était muet. C'était un paysage, un environnent digne d'un film d'horreur et Lucien était aux aguets, tremblant légèrement de peur.

Soudain un corbeau  se mit à croasser, si le jeune hermaphrodite ne poussa pas un cri il sursauta. Son coeur battant à cent à l'heure, la peur entravait son raisonnement et renversait toutes ses tentatives pour retrouver un calme suffisant. Il devait faire un cauchemar ou alors on lui réservait une blague...pas drôle...Bon, c'était gros, mais l'être humain était souvent du genre à trouver une réponse rationnelle, souvent plus rassurante.

Une voix se fit entendre, déformée par un écho, puis le silence reprit ses droits. Okay. Cela devait être plus un rêve, produire un tel son demandait du matériel et il ne voyait rien. Malgré cette décision, la situation n'était pas plus rassurante. Il fallait qu'il trouve quelqu'un, n'importe qui. Tant qu'il sera à côté d'un être vivant cela ira mieux. il marcha un moment vers la direction la plus probable pour fuir un danger, si la femme fuyait elle se précipiterait par là. Il remarqua une chose étrange, comme-ci ce lieu était à la fois différent et familier. C'était quoi ce bazar ?

Il arriva au final devant une jeune femme. Celle-ci était inconsciente et vêtue de manière étonnante. Lucien vint près d'elle et détourna un peu le regard, car il pouvait observer sa nudité à travers le tissu. La peur l'habitait toujours et réveilla cette partie enfouie en lui. Il secoua vivement la  tête, ce n'était pas le moment, il fallait la réveiller...la mettre à l'abri...Punaise dans quel ordre devait-il procéder ? Et ce qui l'avait agressé était toujours là ou pas ?

Il prit le pouls de la jeune fille alors qu'il tenta nerveusement de l'appeler. Si elle pouvait bouger ils pourraient chercher un lieu plus accueillant. Sinon il devra la porter, la chose allait être gênant pour lui, mais il ne fallait pas rester ici. Il se sentait comme une sourie prise au piège et n'arrivait pas à calmer cette peur.

Il songea alors à son portable et là le pire se produise. Il n'y avait plus de réseau, chose impossible normalement. Cela le figea pendant plusieurs secondes. Il était seul avec une femme inconsciente, sans pouvoir appeler de l'aide, avec un possible agresseur dans les parages et dans l'incapacité de pouvoir réfléchir normalement.

Il reprit le pouls, car avec tout cela il avait oublier le décompte, priant pour qu'elle se réveille et que son état ne soit pas trop grave.

-Faites que rien de mauvais ne se passe, faites que rien de mauvais ne se passe et que cela ne soit qu'un mauvais rêve.

Pour la suite, elle était entre les mains des deux soeur, quand au rêve le pauvre se doutait que cela était trop sensitif pour en être un.

Le début du jeu était commencé, l’être piégé avait trouvé l’une des créatures de Mégère. Cette créature était une humaine qui comme lui était tombé dans les bras de Mégère. Après avoir longtemps joué avec elle, elle avait totalement sombré totalement dans la folie. Maintenant cette fille n’était autre qu’un pion entre ses doigts. Cette fille était inconsciente rentrant juste en jeu et son rôle était choisi.

Mégère commençait à d’impatienté.

-Mais pourquoi il fait rien lui ? Et elle ? Elle attend quoi pour se réveillé ?

-Soit Patiente ma sœur, ça ne fait que commencé. Regarde elle vient de bouger.

Alors que le jeune homme commençait à paniqué, la jeune fille ouvrit les yeux et se releva doucement. On pouvait voir que ces yeux était grand ouvert, même un peu trop, comme s’il était sur le point de sortir de leur orbite. Elle tituba un peu en regardant et se mit alors à faire des signes pour parler. C’était le langage des signes car elle était faite muette. Sauf qu’avec une touche de folie ses signes étaient incompressibles même si on comprenait le langage des signes. Remarquant vite qu’il ne comprenant pas ce qu’elle disait, elle vient lui saisir le bras s’accrochant à lui en tremblant.  Elle ne voulait pas le lâché comme si elle l’avait choisi comme un protecteur. Plus loin derrière un banc se trouvait un buisson, un buisson qui se mit à bouger, à l’intérieur se trouvait quelque chose qui venais aussi de se réveiller et qui au geste de la fille vers lui, n’était vraiment pas rassurant.

Tisiphone, décrocha son regard  de l’œil et se tourna vers sa sœur intrigué.

-Qu’es que tu as caché la dedans ?

-Chut Tisi, tu verras vite. Ne gâche pas la surprise.

Heureusement son pouls était présent et stable, puis elle se réveilla. Son regard était dérangeant, comme-ci elle était à moitié folle. La jeune femme tenta de parler avec le language des signes, mais Lucien n'arrivait pas à comprendre. Il savait que ce type de langage pouvait varié d'un endroit à un autre et  certains gestes étaient trop précipités ou hachés dans le mouvement, mais il pouvait sentir la peur dans ses signes. De toute évidence ses craintes d'un agresseur étaient possibles.

Pour confirmer cela la miss vint se coller contre son bras en le tenant fermement, un geste qu'il avait connu lors de ses cours avec certains enfants. Elle cherchait à se protéger et Lucien était cette protection. Il allait devoir jouer le chevalier pour la rassurer. Il allait parler pour calmer un peu sa peur, l'assurer qu'ils allaient aller dans un endroit où elle serait protégée, mais un buisson se mit à bouger. Il n'y avait eu âme qui vive jusque là et la pauvre se mit à montrer des signes évident de peur, c'était peut-être la menace qui planait sur elle. Lucien avait aussi peur, il n'était qu'un humain comme un autre, mais il devait faire preuve de courage pour rassurer la jeune adolescente.

Lucien se décala un peu devant pour faire office de mur, avec son bras prit il ne pourra peut-être pas se battre. Cette situation semblait surréaliste, mais il ne pouvait plus reculer. Il prit de profonde inspiration pour se calmer et était campé sur ses deux jambes. Au mieux c'était un petit chien, au pire...un monstre de Terra.  Il ne savait pas s'il pourrait fuir avec elle et il semblait évident qu'elle ne pourrait pas partir d'elle-même. Il prit son portable. Un flash pourrait lui donner l'avantage ou désorienter ce truc qui allait venir.

-Si vous êtes une personne ce n'est pas drôle, sortez !

C'était une tentative et pour perturber la cause de l'agitation du buisson et pour se rassurer soi-même.

Les buissons bougèrent d’avantage quand la voix se fit entendre. De ce dernier sortie une liane qui se dressa devant eux, puis une autre et encore une. De nombreuses lianes animées, sortirent du buisson.  Les lianes s’avancèrent lentement vers les deux créatures, quand un corbeau passa au-dessus. C’est alors avec vivacité impressionnante, qu’une liane captura l’oiseau et l’entraina dans le buisson. Dans une volé de plume et de sang, l’oiseau poussa un dernier cri avant de plus rien émettre. Aussitôt les lianes reprirent leur avancé vers les deux créatures. Puis plusieurs autres buissons tout autour se mirent à bouger de la même manière. Toute les lianes bougeant dans un seul bute attrapé la fille.

Paniqué cette dernière s’accrocha au jeune homme espérant pouvoir être protégé. Elle savait que tout ça était un nouveau jeu de la déesse, mais la déesse était imprévisible. Tout ça pouvait aussi bien finir que mal. C’était très difficile de savoir ce qu’elle pouvait vouloir. L’état dans lequel l’oiseau venais de finir pouvait être ce qui l’attendait, mais sa pouvait tout être autre chose. Avec la déesse on ne pouvait jamais savoir.

A travers l’œil Mégère et sa sœur regardait ça. Tisiphone ne c’était pas attendu à ce que la plante soit la créature elle-même. Les jeux de sa sœur étaient toujours surprenants et divertissant. Mais il fallait toujours la surveillé, Mégère était impatiente et il était toujours mieux d’être là pour la calmé.

Lucien fut surprit de ce qui avait montré le bout de son nez, des lianes animées. La mort de l'oiseau lui glaça le sang et prouva que ce n'était pas de gentilles lianes juste là pour faire peur, le danger était réel. Il entendit d'autres buissons s'agiter de la même façon, ils étaient en train de se faire encercler, il fallait fuir tant qu'il y avait encore une occasion de le faire. Le contact des lianes allaient être douleur s'il avait prit la mauvaise décision, mais il devait la sauver.

Lucien sentait son corps réagir bizarrement alors qu'il se retournait vers la jeune fille et un souvenir remonta violemment à cause de la situation, le paralysant pendant trois secondes.
    Une pièce sombre avec de nombreuses personnes nues qui pointaient des regards sur lui, ainsi que leurs membres ou autre chose qui revient au même, ayant des cravaches à la main. Il était attaché à un lit, vêtu d'une robe semi transparente, ne cherchant pas à se rebeller.
Était-ce la similitude de la situation, piégé et susceptible de se retrouver entravé, qui l'avait fait émerger ainsi ? Cela ne fut pas agréable à voir, ce n'était plus sa vie. Il n'était plus un esclave, mais Lucien Halmirand, un simple lycéen qui vivait sur Terre avec ses talents et ses défauts.

La présence de la jeune femme, qui s'accrocha encore plus fermement, lui remit les idées en place. Il retrouva son courage et décida de fuir avec elle tant qu'il y avait encore une issue, cela sentait le piège, mais cela valait peut-être mieux que d'attendre. Lucien allait devoir mobiliser toutes ses forces pour fuir en la portant, mais il n'y avait pas d'autres choix, s'ils se suivaient simplement les lianes pourraient la cibler trop facilement.

Il passa sa main gauche dans le dos de la jeune femme, se baissa un peu et glissa sa main droite sous ses genoux.

-Recroqueville-toi bien, on va traverser tant que l'on peut encore le faire, d'accord ?. dit-il d'une voix douce

Lucien attendit en observant les plantes et les buisson qui n'étaient pas encore affecter par le mouvement que causait ces dernières. Il avait conscience que cela pourrait mal tourner, mais s'ils restaient là à attendre cela tournerait inévitablement mal. Lucien savait qu'il était désavantagé, il finirait pas s'épuiser alors que la plante non, cette chose était la pire rencontre qu'il avait faite depuis qu'il avait reconstruit sa vie.

L'hermaphrodite montra un air déterminé en portant la jeune femme et se dirigea le plus rapidement possible vers l'issue qu'il avait repéré. Les humains peuvent sombrer dans la peur rapidement, mais peuvent aussi retrouver un peu de courage. Lucien savait que la peur reprendrait ses droits, mais il comptait fuir en direction de l'entré.
Il savait que sa tutrice connaissait ses habitudes, s'il arrivait au portail alors il pourrait compter sur sa capacité de pyromanie, elle pourra brûler ce monstre, elle pourra les sauver.

Le pauvre se faisait de faux espoir, mais c'était dans la nature humaine de s'accrocher ainsi à la moindre lueur, tout comme cette jeune femme qui restait accrochée à lui.

Mégère observait les deux créatures l’une d’elle semblait figée. Puis reprenant ses esprits, il prit la fille dans ses bras et se mit à courir. Mégère se mit à rire en le voyant courir poursuivi par les lianes qui en réaction avais accéléré leur mouvements. Le pauvre en s’approchant trop près de la limite, il se retrouva à repartir en arrière sans s’en apercevoir. C’était fait pour que quoi qu’il fasse il reste toujours dans le parc. Il  courait encore et encore. La fille se tenait contre lui, le voyant comme son seule espoir, malgré qu’elle savais qu’il était lui aussi l’une des victime de la déesse.

Subitement elle se mit à faire des signe, mais il ne les voyait pas, il était trop occupé à courir. Elle dut le tapoté pour le faire réagir. Elle montré derrière eux. Les lianes avaient arrêté de les poursuivre. C’est là qu’un autre bruis se fit entendre, un craquement de branche, puis des bruits de pas. Arrivait vers eux une Femme. La femme avançait droit dans leur direction, elle tenait dans ses main une longue tige de métal semblable à un javelot d’athlète.  Elle portait justement étrange, plus proche d’un ensemble aguicheur que d’une tenue de sport. Puis arrivé suffisamment proche, ils remarqué qu’elle avait une liane glissé entre les fesses déchirant sa culotte et une autre enfoncé dans son intimité. La femme poussa alors un cris dément en faisant tourné sa barre métallique et se mit à les charger. Le long de ses orifices coulait un liquide blanc. La jeune fille compris vite qu’elle était possédé par les plante et que c’était surement se qui l’attendait aussi.

Lucien était concentré sur sa course, il avait de bonne notes en sport, mais la situation était différente ici. La peur qui coulait dans ses veines rendait ses gestes difficile et donc sa course rapidement épuisante. C'était peut-être la raison pour laquelle ils n'avaient pas encore atteint le bord du parc. l'être humain cherchait toujours la logique, même lorsque celle-ci n'était clairement pas présente comme maintenant. On se croirait dans un bon film d'horreur classique comme aime regarder Eglantine.
Le jeune hermaphrodite n'avait pas fait attention à sa protégé parce qu'il avait fort à faire pour ne pas avoirl es poumons en feu. Ce n'est qu'un tapotement qui le fit réagir. Il regarda les lianes qui étaient stoppés, elles ne pouvaient pas aller plus loin ? C'était une bonne chose, mais il eu du bruit, un craquement typique d'un pas, le jeune homme se mit en position défensive, puis apercevant une silhouette humaine il eu un sourire.

-Content de voir qu'il y est des humain par...ici.

Sa phrase bien que pleine d'espoir se finit par une note de peur, son sourire disparut aussi vite qu'il était venu et il eu un tremblement malgré lui. La silhouette était une femme charmante, vêtu d'une tenue peu approprié pour une balade nocturne, armée d'un tige de métal avec...des tentacules qui étaient là où ils pouvaient être.

Pour la psyché de Lucien cela commençait à faire un peu trop et cela provoqua une fissure dans la faible personnalité qu'il s'était créé. Si cela avait un bruit cela serait le verre qui se fend un peu. L'hermaphrodite ne se rendait pas compte de cette affaiblissement, trop occupé à pensé. S'il avait lu des hentais alors il aurait su quoi faire ou alors l'état de la femme qui les menaçaient.

Là Lucien ne savait pas trop comment agir, était-elle possédée ? Était-ce un piège ? Dans tout les cas il faudra l'affronter. Lucien se savait avantagé par ses mains libres, mais qu'en était-il de la force et la dextérité au maniement de l'arme improvisé de son adversaire. Le jeune hermaphrodite fit cinq pas en avant pour avoir un peu de distance, si la femme au javelot venait à louper elle ne toucherait pas sa protégé. Le cri dément glaça le sang et ajouta une nouvelle faille dans son mental, mais Lucien attendit qu'elle soit proche pour utiliser le flash de son téléphone. Elle était sensé être humaine, donc elle allait subir le flash. Dans le cas contraire il savait comment éviter les dommages en s'avançant.

Il souhaitait la maîtriser et il allait devoir s'approcher presque au contact. Une technique dangereuse si elle avait d'autres armes et il allait devoir porté son attention sur trois choses, les tentacules, la miss attaquante et sa protégée. Autant dire que cela n'allait pas être facile au vu de la confusion mentale qui commençait à s’installer, lui faisait perdre peu à peu son attention.

Malheureusement sa première tentative d'attaque fut un échec qui se concrétisa par un coup dans la côte, si Lucien n'avait pas accompagné instinctivement la barre, merci ses cours de combat avec sa tutrice, il y aurait eu de gros dégats. Cette adversaire était assez forte pour son gabarit et maniait très bien son arme, la maîtriser allait être difficile.
Sa vision devint alors flou pendant quelques secondes. Pour Lucien c'était le signe qu'il commençait à fatiguer. Pas physiquement malgré sa respiration qui trahissait que la course l'avait un peu épuisé, mais mentalement. En effet cela lui avait demandé de gros effort pour ne pas devenir dingue malgré la peur et la folie qui coulait dans ses veines. Sans le savoir il approchait de sa limite psychique, celle qui maintenait cohérent sa personnalité.
Lucien tremblait à nouveau, il ne pouvait pas...Il ne devait pas perdre ou sa protégé subira la même chose que cette femme.
Toute son attention était focalisé sur son adversaire, au détriment du reste, sinon il allait se prendre un autre coup et il ne pourra pas la maîtriser.
 

Tisiphone fut surprise de voir que sa sœur avait réussi a créé un piège plutôt bien organisé.

-Oh c’était pour l’attiré sur elle que tu ne les as pas fait avancé plus vite, bien pensé.

Mégère se tourna vers a sœur avec un grand sourire bondissant sur place.

-Maman tu as vue ? Un compliment de Tisi !

Heureuse elle embrassa sa sœur avec passion, puis subitement se retira et porta son attention à la scène qu’elle observait à travers la Lune. Ce qu’elle voulait arrivait enfin, la folie commençait à gagner la nouvelle créature. C’est à partir de là que tout allait commencer.

La jeune muette c’était retrouvé déposé alors que son protecteur c’était lancé dans un combat contre l’autre fille. Elle l’observait espérant qu’il arriverait à faire quelque chose,  elle avait bien compris que les lianes qui avait pénétré l’autre était ce qui l’attendait elle aussi si jamais elle se faisait attrapé. Même si l’endroit où s’incérait ces choses était fait de plaisir, elle n’en avait pas vraiment envie.

Du côté du jeune homme, son adversaire avait plus de mal que prévue pour l’attaqué, mais le but n’était pas de le tué, malgré la violence des coups, la femme au javelot improvisé, cherchait surtout à le déconcentré. Ses coup ne portait pas, mais le résultat voulut était tout de même là. D’une une porte vers la folie c’était ouverte et de deux, il était occupé à surveillé l’autre fille. Du coup, il ne pouvait remarquer la très lente progression des lianes qui les poursuivait plutôt. Subitement la femme poussa un cri à la fois de jouissance et dément alors qu’une giclé de liquide s’écoula le longs de ses jambes. La femme donna alors un coup violant sur le côté sans chercher à percée envoyant l’homme roulé, alors qu’elle se mettait en positon pour le charger de nouveau.

Le jeune homme se retrouva alors dans une situation compliqué. D’une il voyait son adversaire le charger, de deux, des lianes avait profité de sa chute pour s’enrouler autour de ses jambes cherchant un endroit où s’insérer pour le possédé aussi et de trois une voix résonna dans sa tête.

"Mon petit fou, foufou, mon foufoufou ! Veux-tu devenir plus fou, ou fort encore ? Tu peu les sauvé du sais ? Laisse la folie s’emparé de toi et devient à moi !"

Le pauvre humain ne pouvait pas rivaliser avec la guerrière. Il le savait, mais ne pouvait s'empêcher de lutter. Sa vision se faisait de plus en plus flou, dû à l'effort mental qu'il fournissait et sa concentration était en baisse. Pire, son corps se mettait à réagir avec la proximité de la belle qui l'affrontait, trouvant le corps de cette femme des plus attirants. C'était le pire scénario qu'il avait envisagé car il ne pouvait lutter et contre elle et contre son propre corps. Le cri mêlant jouissance et démence lui glissa le sang et le figea sur place, mal lui en a prit car il fut jeté au sol par une attaque particulièrement puissante, sa vision était brouillée, son corps prit dans une excitation sexuelle qui n'avait pas sa place ici.

Il se rendit compte alors d'une chose, il avait les jambes prisonnières les tentacules. Il ne les avaient pas vu venir à cause du combat et s'était fait avoir comme un débutant. Il jeta un oeil vers sa protégée, apparemment les lianes ne ciblait que lui, mais il n'eut pas le temps de réfléchir d'avantage. Les lianes cherchaient un chemins pour faire sans doute la même chose qu'à la femme qui tenait le javelot. Cette dernière s’apprêtait à foncer vers lui, puis il eu une voix étrange très axé sur la folie.

Lucien eu juste le temps de demander de l'aide mentalement, acceptant le prix, avant que sa psyché ne cède à la folie. Il allait découvrir bien des choses.

La folie peut prendre bien des formes et pour cet humain elle avait celle de la luxure à un degré inhumain. La folie allait dicter ses actes qui pourraient peut-être les sauver. La folie allait marquer Lucien jusqu'à la fin de ses jours et marquait son appartenance à cette voix qui lui avait promis de sauver ses deux femmes. Il n'avait pas eu le choix et se savait perdant s'il refusait.

Il était à présent entre les mains de cette voix sans savoir comment l'aide viendrait. La réaction de son corps était proche de celui d'un vampire assoiffé qui avait trouvé un sang précieux, il désirait la combattante et réagissait très bien aux petites tentatives des tentacules pour envahir son pantalon hélas trop solide pour une approche comme celui de la possédé.

Mégère afficha un sourire triomphant quand la créature accepta de s’offrir à la folie pour les aidés. La déesse avait obtenu ce qu’elle voulait, il ne restait plus qu’à s’amusé. Ainsi elle offrit du pouvoir, du pouvoir allant avec sa folie et sa folie était la luxure. Pour ça elle modifié deux chose en lui. La première sa réaction face au danger, se dernier se voyait devenir de plus en plus excité sexuellement quand il était en danger. Et seconde modification, plus il était excité plus sa force augmenté.

La créature se retrouva donc terriblement excitée par la situation et son corps fut alors envahi d’une énergie nouvelle. A la fois de la force et de l’énergie. La créature pouvait maintenant sans problème déchiré les lianes de sa simple force et même arrêté la charge venant vers lui. Le problème était que son excitation était si forte qu’il devait voir les deux jeunes filles comme des cadeaux pour se calmé. Et puis il devait aussi mal voir les lianes qui pénétrait son assaillante car sa prenait sa place qu’il avait fortement envie de remplacé.

Mégère attendait plus qu’à voir comment la créature allait réagir dans cette nouvelle situation. Tisiphone  elle, se demandait surtout ce que sa sœur avait fait. Elle avait senti son interventions, mais elle n’avait aucune idée de quel façon elle était intervenue. Les deux déesses observaient donc avec grande curiosité à travers la lune la situation.

Pendants se temps les  lianes s’approchait de la muettes, et l’attrapa vite eu jambe pour monter le long de celle-ci, la pauvre ne portant rien dessus, elle n’avait aucune protection. Alors qu’une première liane commença à s’introduire dans son intimité la faisant à la fois rougir et affiché un visage paniqué.