Apparemment elle n'avait pas apprécié le coup de pieds aux fesses, ouais, ben c'était soit ça, soit l'enculer. Et il ne se sentait pas de le faire tout de suite… ne serait-ce que parce que Gabriel était supposé être là, on lui avait demandé un service, et il s'exécutait. Mais d'un autre côté, il ne se voyait pas ne rien faire, il ne se voyait pas ne pas jouer avec elle… il ne fallait pas le prendre mal, cela n'avançait à rien, quoique de toute manière, la situation était déjà assez compliquée comme ça…. Il la regarda se redresser vivement.
Il la regarda pas très longtemps, peu intéressé par son manège, ne cherchant même pas à savoir où elle cherchait à en venir, enfin, jusqu'à voir qu'elle commence à parler de violence et tentative de viol sur mineure… savait elle qu'à seikusu, si le viol n'était pas légal pour autant, il était si courant que l'on finissait par croire qu'il était normal, habituel, même ! IL était presque toléré… bon, sur les mineurs, c'était un peu plus chaud à gérer, mais avec des biftons dans les bonnes mains, tout s'oublierait…
Enfin, elle se rua vers la porte de sa chambre et hurla… elle appela à l'aide et bien vite gabriel s'en saisit pour lui cogner la tête contre la porte, pas suffisamment pour lui faire perdre connaissance, mais suffisamment pour qu'elle soit un minimum sonnée. IL l'avait prise par les cheveux pour cela… il la regarda et prit un air dégoûté… alors qu'il la jetait au sol, s r le dos, pour venir placer son genou sur son plexus sur lequel il appuyait suffisamment pour l'empêcher de reprendre suffisamment d'air pour crier. Avisant la déchirure dans le T shirt, il finit de le lui déchirer et attendit le moment propice, celui où elle ouvrait la bouche pur tenter de reprendre davantage d'air, pour lui bourrer les lambeaux dedans, histoire de l'empêcher de hurler. Puis il détacha sa ceinture pour l'avoir bien en main. Cette ceinture était spéciale, vous savez, elle faisait partie de ces ceintures en tissu à boucle militaire et donc qui ne nécessitait pas de trous ne de crans pour être fermé… il la lui passa autour de la tête et la bloqua sur sa bouche pour l'empêche définitivement de parler comme de hurler. Puis il s'écarta et regarda la travail d'un air satisfait…
C'est alors qu'il fut interrompu. Un &élève ouvrit la porte et entra en coup de vent. Il était plutôt mince, avait des lunettes de bigleux sur le pif et un appareil dentaire à faire sonner un aéroport qui donnait l'impression qu'il avait les dents couverts de barbelés… il n'avait pas encore réellement pris conscience de la situation quand machinalement, il referanla porte derrière lui en demandant :
« Ata, ça va ? »
Il semblait un rien paniqué mais il se calma d'un seul coup en voyant sa position… et là, la jalousie fit son, œuvre… amoureux trani qu'elle avait dédaigné sans le moindre égard ? Peut être… toujours est-il qu'il regarda la jeune femme, puis le flic, puis la jeune femme et finalement, il lança à Gabriel sur un ton qui se voulait menaçant mais qui cachait uneprofonde joie :
« Si vous me promettez me laissez jouer avec elle après vous, je dis rien, et je dirai que je regardais un animé dans ma piaule ! »
IL tendit la main, Gabriel restait méfiant et finalement il topa dans sa main en y mettant quelques mille yens. Pas une fortune, mais de quoi bien protifer de sa soirée à la salle de jeu, et les prochains soirs aussi… le garçon sembla hésitant quant à partir, et finalement, Gabriel lui lança :
« ET bien, tu attends quoi pour partir ? »
La tronche de calculette opina du chef et rougit vviolamment avant de finalement lancer sur un ton qui n'avait rien de timide :
« C'est que… j'aurai voulu voir… voir comment vous vous occupiez d'elle... »
Gabriel leva les yeux au ciel…
« Très bien, va faire en sorte qu'on croit que c'est juste une animation sur ton pc et revient, ej commence pas sanstoi, mais c'est notre petit secret ! »
Trop heureux, le lycéen sourit et s'en alla pour aller vers sa chambre et on entendit bientôt d'autres bruits puis un fond sonore de manga, il revint bien vite pour les explications.
« J'ai mis un manga à l'écran et j'ai laissé la porte ouverte, assez fort pour qu'on pense que ça vienne de là... »
Ce petit était décidément malin… entre temps, Gabriel avait eu l'excellente idée, avec deux clés de bras successives, de lui emprisonner les poignets dans les menottes. À croire le regard derrière les lunettes, il y avait un lycéen, des étoiles dans les yeux, qui avait découvert ce qu'il voulait faire plus tard...