C'est l'histoire écrite par une personne anonyme, qui tient à recueillir des avis. Premier texte érotique. Toutes les critiques sont bienvenues : Ce n'est pas mon texte & la personne n'est pas sur ce forum, je ne ferais que transmettre ce que j'y lis (et ce que je voudrais bien lui dire), donc n'hésitez pas.
Les noms ont été changés pour être neutre, j'ai donc pris trois noms de la bible au pif.
On était assez tranquillement posés dans le salon de Caïn. Seth était assis juste à coté de moi à table. Comme à notre habitude, nous nous chamaillions puérilement. Caïn nous regardait, de l'autre coté de la grande table en bois vernis. Il mangeait assez tranquillement son gâteau. Il nous scrutait du regard impassiblement.
Comme toujours, lorsque nous nous battions avec Seth, vint un moment où ce petit salopard me prit la main, me tordit le poignet de toute sa force et me bloqua le bras dans le dos. Il n'avait guère apprécié ma dernière remarque quant à ses capacités d'endurance au lit. Il me fessa. Pas trop méchamment au début, puis recommença, bien plus fort. Je me mordit la lèvre inférieure. Ce salopard me faisait mal, mais j'avoue ne pas totalement détester cela.
En tentant de me débattre de ma main libre, je happai alors son manche. Il commençait à bander. Le fait que je lui tienne la bite le stoppa net dans son élan pour ma troisième claque. Je serai le poing. Il cria en traitant de guenon malpropre. Il se dégagea de mon emprise, remonta largement mon bras dans mon dis, m'arrachant un cri de douleur et me plaqua de tout son poids sur le ventre contre la table.
Mes seins se pressait contre le meuble à travers mes vêtements. J'avais mal jusque dans l'épaule, mais surtout, j'avais envie de sexe. J'avais une furieuse envie de baiser. Tout le bas de mon ventre irradiait de cette chaleur caractéristique du désir. Cela faisait une bonne semaine que je ne l'avais pas fait. Ce petit diable de Seth m'avait échauffé avec ses claques et ce que j'avais senti en serrant ma main n'avait pas l'air décevant du tout. Je sentais d'ailleurs sa demi-molle contre ma fesse à travers mon legging et son jean.
Caïn s'arrêta de mâcher. Il avala lentement son morceau de gâteau et dit en me regardant droit dans les yeux « Baise-là ». Seth comme moi même furent choqué. Caïn était d'habitude d'une mesure sans égal à l'égard des actes de chair. Il se leva lentement. « Baise-là comme une grosse brute, moi je regarde ». Il partit vers son placard à chaussure, et revint avec une chaîne avec des maillons assez plats. « C'est un collier étrangleur pour chien ». Il fit une boucle avec la chaîne et me la passa autour du cou. Il tira sèchement sur le bout qu'il avait dans la main. Il me brisa ainsi la gorge, je ne pouvais plus respirer, ça me faisait incroyablement mal. Puis il relâcha la chaîne et partit se rasseoir sur sa chaise en face de moi, tout replié sur lui même en tailleur. Il ne me lâchait pas des yeux.
Seth, qui avait certes hésité un moment, repris le cour de son action. De sa main libre il m'agrippa le seins droit, et me le malaxa avec force. Il se pencha encore plus sur moi et me mordit l’oreille. Caïn avait raison, j'avais envie que ce petit diable barbu me prenne comme une chienne, là contre cette table vernie. Et j'avais envie qu'il ne rate rien de la scène. Je me rendit compte alors que je creusais déjà les reins pour qu'il me saute comme une pute. Il arrêta de me tripoter les seins et passa sa main directement dans ma culotte. Il n'eut pas longtemps à chercher pour me planter le majeur dans la vulve et à commencer à jouer avec mon clitoris. Je laissai échapper une petit cri lascif, fixant Caïn avec des yeux de salope. Je lui en voulais presque de ne vouloir seulement me regarder me faire troncher par son ami. Après tout, peut-être que lui aussi n'était pas mal foutu.
Après avoir joué avec mes lèvres et mon clitoris et fait quelques mouvement de va et vient avec son doigts, je commençais à mouiller. Il me lâcha donc le poignet, pris mon collant avec ses deux mains et me mis cul nu. Il se baissa, passa ses épaules sous mes cuisses et commença son cunnilingus. Sa barbe me piquait légèrement l'intérieur des cuisses. Pendant qu'il titillait ainsi de sa langue agile mon intimité, je commençais déjà à sentir de léger spasmes dans mon bas ventre. Pendant qu'il commençait déjà à faire monter mon plaisir, il me pétrissait généreusement les miches des deux mains en les humant ou les mordillant parfois.
Alors que je commençais à jouir pour la première fois, il s'arrêta juste avant, pour me frustrer le plus possible. Le salopard se releva, me repris le poignet, et me plaqua encore plus fort contre la table. Mes seins étaient pressés dans mon soutien-gorge contre le meuble. Et je continuais de regarder droit dans les yeux notre hôte. Il me fessa alors les fesses nues à pleine-main. Le claquement fit sourire Caïn. Il fit le revers. Il frappait durement. Je sentais déjà ma peau chauffer et rougir. Je grognais à chaque fois qu'il faisait claquer mes fesses. Il pressa son bassin contre mes fesses et je sentit alors qu'il bandait comme un cerf. Il défit sa braguette de sa main libre, sortit son vit et le planta en moi. Il me prit en levrette contre cette table. Et alors qu'il me faisait sentir la violence de ses premiers coups de rein, il commença à dégrafer mon soutien-gorge. Puis il m'arracha mon t-shirt et mon sous-vêtement. Il se saisit alors de la chaîne et commença alors à m'étrangler doucement alors qu'il continuait de me travailler de plus en plus fort de ses coups de boutoirs. L'animal était clairement bien monté. Je commençais à suffoquer. Je sentais toutes les veines de mon visage se gonfler et mes traits se crisper, j’allai bientôt manquer d'air. Le métal contre la peau de mon cou était encore froid. Puis il relâcha son étreinte, m'agrippa les fesses de plus belles et m’éreinta toujours de plus en plus fort. Je suffoquais. Mais surtout je n'avais toujours pas quitté le regard de mon ami qui épiait de l'autre coté de la table.
Ne pouvant plus me contenir je commençai à geindre de plaisir. C'était vraiment une bonne baise bien bestiale comme je les aime. N’appréciant pas trop le bruit, Seth pris la chaîne de nouveau et recommença à m'étrangler. Je continuait à pousser de petit cris à travers le métal qui me sciait le cou. Il me gifla la fesse gauche et ria bruyamment. Il commença à m'insulter. « T'as vraiment un gros cul de truie, je kiff trop ça. C'est énorme les vagues que ça fait quand je te gifle comme une petite pute ». Je tentai de me cabrer et de me débattre, mais le plaisir l'emporta. Il relâcha à nouveau la chaîne et je commençai à beugler. Putain ce que c'était bon. Mon ventre entier était parcouru de spasmes. Je sentais ma mouille couler à flots le long de mes cuisses. Et il continuait encore toujours plus fort de baiser. J'adorais ça.
Alors que je commençais à reprendre mon souffle après mon orgasme, il repris la chaîne. C'était trop tôt, je n'allais pas tenir aussi longtemps que la dernière fois. Alors que je commençais à m'étouffer, à battre des poings, il me fessa de nouveau, le plus fort possible. Je criai de douleur malgré le manque d'air, puis il relâcha le chaînon. « C'est moi qui décide quand tu respires sale garce, déjà que je t'ai laissé jouir ». Et il continua inlassablement de battre la mesure avec ses reins contre mon cul. C'était une vrai machine, il était inépuisable. J'avais l'impression qu'il ne s’arrêterait jamais. Il accélérait, puis s'arrêtait, recommençait plus fort. Ces différents changements de rythmes n'étaient là que pour me donner encore et toujours plus de plaisir. Je n'avais quasiment plus de voie tellement j'avais crié, mais aussi en partie à la chaîne qui m'avait cassé le larynx.
Caïn continuait de me regarder fixement avec ses petits yeux de chat. Il souriait légèrement mais surtout ne perdait aucune miette. Il regardait assez souvent mes seins écrasés par mon poids contre la table.
Puis Seth commença à accélérer encore de nouveau. C'était le sprint final. Il allait tellement fort contre moi qu'il m'en faisait presque mal. Il commençait à grogner, à suer. Il avait lui aussi du mal à respirer. Puis d'un coup il me souleva complètement à la seule force des reins. Mes pieds ne touchaient plus le sol. Et il gueula lui aussi de plaisir avec un son guttural. Ses vocalises d'homme préhistorique que me faisaient frissonner de plaisir. Il m'avait complètement rempli la chatte de son sperme, je dégoulinais de partout. Cela faisait une bonne demi-heure que nous baisions. Je me sentais incroyablement bien. Mais j'étais encore excitée. Je voulais encore jouir. Et j'avais encore une bite prête à l'emploi sous la main …
Caïn se leva alors calmement. Et pendant que Seth se vidait encore en moi bruyamment, m’agrippant sauvagement les fesses, il s'approcha. Il s'arrêta juste devant moi, son sexe à quelques centimètres de mon nez. Il défit alors son pantalon à son tour. Il bandait déjà sec et il était vraiment bien monté. Et alors que je soufflais encore assez lourdement, il enfila son engin de ma bouche avec force. Un peu surprise au départ j’eus un haut le cœur. Et il commença des mouvements de va et vient dans ma bouche. Il fit entrer totalement son vit dans ma gueule, m'empêchant encore plus de respirer que la chaîne. J'étais bloquée, je ne pouvais plus rien faire, j'étouffais déjà, mon cœur battait la chamade. Puis il sortit enfin son engin de ma bouche. Un long filet de bave me liait encore à son sexe. Bien que légèrement courbé, il était vraiment bien plus long que la moyenne. Alors que Seth se rassit lourdement dans sa chaise, cherchant encore à récupérer son souffle, Caïn me contourna. Il se mit derrière moi se pencha et me susurra à l'oreille : « Je me réserve la voie des rois ». Et alors, il commença à me caresser l'anus avec son gland. Sa main sur ma nuque il jouait avec les maillons de la chaîne pendant qu'il continuait à frotter sa bite entre mes fesses. Seth se releva. « Attend mec, je te la prépare, laisse-sucer en attendant ». Caïn céda donc sa place et Seth me ficha sa langue dans mon anus et commença à en parcourir le contour. Je criai.
C'était la première fois qu'on me faisait un anulingus juste après une baise aussi sauvage. Et j'avoue que le plan à trois prouvait des avantages que la vie à deux. ne permettait pas. Caïn revint devant moi, et cette fois-ci je m’emparai de son dard avec ma main commençai moi aussi à jouer de ma langue. Je passai et repassai contre son gland rapidement, puis engloutissait le plus possible sa bite, histoire de la lubrifier un peu avant ce qui allait suivre. Je n'étais pas particulièrement fan de la sodomie, mais là j'avais vraiment envie qu'il me ruine le cul comme la dernière des catins.
Alors que je gobais ses testicules en passant ma langue sur le fameux point prostatique entre le pénis et le rectum, il commença à me prendre le visage à deux mains : « Continue de me regarder dans les yeux, Eve, c'est important tout de même ». Pendant ce temps là, Seth continuait inlassablement de tourner sa langue dans mon cul. Il devait avoir au moins triplé de volume. Il commençait à y mettre deux doigts en même temps que ça langue. Il finit par s'arrêter. « C'est bon là je crois ».
Caïn, commença donc à ramener ses mains dans mes cheveux, à les mettre en une queue-de-cheval. Il me contourna et sans sommation aucune, s'engouffra dans mon fondement, tout en continuant de me tenir les cheveux. Il avait vraiment une grosse queue. C'était presque douloureux. Il laissait assez facilement aller des soupirs de satisfaction. Et je commençai moi aussi à aimer cela.
Seth, lui se mettre devant moi et me mettre des petites claques sur le visage. Mais je n'en avait que faire. Je me faisait limer le cul comme une grosse salope, et j'adorais cela. Il m’agrippait les cheveux de plus en plus fort, donnant une légère torsion de temps à autre pour me faire crier. Et je criais volontiers. J'étais en extase la plus totale. Il me limait le fion comme on ne me l'avait jamais fait. Je sentais qu'il allait de plus en loin, mon anus cédant à chaque coup de boutoir de plus en plus de terrain à son pénis.
Je commençai moi aussi à me livrer à quelques vocalises incontrôlées, tapant du poing contre la table. Je ne savais pas si je souffrais de cette sodomie, quelque peu brutale, ou si je n'en jouissais pas encore plus fort. Mon troisième orgasme de la soirée fut très différents. Tous les muscles de mes jambes se contractaient et se décontractaient en rythme avec ses coups de rein contre mon cul, tandis que Seth continuait de me mettre de petites gifles, de me pincer le nez, de me mettre ses doigts dans ma bouches.
Puis lorsque la fin venait pour mon deuxième amant aussi, il quitta mon anus, me contourna à nouveau et se planta devant. Il ne masturba d'une main, m'agrippait toujours les cheveux de l'autre. Et il eut sa jouissance sur mon visage, là aussi en criant, mais en me regardant encore et toujours droit dans les yeux.
Je n'arrivais plus à bouger. Ces deux salopards m'avaient complètement ruiné l'arrière train. Du sperme dégoulinait encore de mon visage et de ma vulve et pourtant je resté là, vautrée contre cette table à rire comme une débile et à continuer de souffler.