Elenwen avait des étoiles dans les yeux en voyant cette chambre. Le Diablotin se contenta d’un léger sourire amusé sur les lèvres. Oui, il fallait bien admettre que cette pièce était nettement préférable que la prison poussiéreuse et sinistre dans laquelle la sensible petite Ange s’était réveillée. C’était curieux à dire, mais, face à elle, Alastar se sentait... Troublé. Il ne raisonnait pas comme d’habitude. Oh, bien sûr, il rêvait toujours de la défoncer, mais il y avait quelque chose de différent. Toutes les humaines avec lesquelles il avait couché avaient, fondamentalement ancrées en elle, une part de perversion. Mais pas elle. Elle était une Ange, véritablement pure. Elle n’appartenait pas au Chœur des Anges guerriers, elle portait en elle cette innocence teintée de naïveté et de candeur. Le Diablotin ne pouvait pas nier qu’elle exerçait sur lui un attrait certain, et qui ne tenait pas qu’à son physique magnifique.
L’Angelotte était heureuse d’être ici, comblée et honorée, et obtempéra rapidement, en s’installant sur le lit. Elle lui tournait le dos en s’installant, lui offrant une vue saisissante sur sa croupe. Elle se retourna en s’allongeant, s’étalant au milieu du lit, ses magnifiques jambes pointant vers lui. Douloureusement, sa verge recommença à l’élever, montant le long de son corps, le faisant soupirer. Alastar ferma brièvement les yeux, reprenant peu à peu sa respiration. Oh oui, ce spectacle l’excitait énormément !
« Je vous plais comme ça…maître ? » demanda-t-elle.
Il répondit par un léger sourire en coin, et se rapprocha. Il atteignit le bord du lit, et posa l’une de ses mains sur le pied d’Elenwen, glissant sur sa peau, son ongle filant sur un doigt de pied.
« Si tu me plais ? Voyons, ma chérie... Je ne t’aurais pas amené ici, si tu ne me plaisais pas. »
Il s’agenouilla lentement, et posa ses lèvres sur les doigts de son pied gauche, sa langue glissant sur ses ongles, les léchant tendrement. Ses mains, elles, caressaient le pied, remontant un peu sur le début de sa jambe, et il commença par lécher et par embrasser son pied. Alastar n’était pas un démon qui limitait la beauté du corps féminin aux seins, au sexe, et au visage. Pour lui, un corps s’appréciait des cheveux à la pointe des pieds. Elenwen réussissait l’exploit d’être belle partout. Il dégageait de l’intégralité de son corps une immense harmonie, magnifique. Un corps parfait, un corps qui ferait fantasmer n’importe qui.
Alastar remuait ce pied, en léchant la plante, l’embrassant, mordillant sa peau, soufflant dessus. Il savourait ce corps, cette douceur, cette chaleur... Il se sentait presque gêné face à une telle beauté, face à un tel charme. C’était une femme superbe, et il remonta lentement, embrassant sa jambe, grimpant sur le lit, tout en parlant entre plusieurs baisers.
« Tu es... La plus belle... Des femmes... Qu’il m’ait été... Donné de... Hum... Rencontrer, ma puce. »
Il avait remarqué qu’elle était sensible à ce genre de compliments. Là d’où elle venait, personne n’avait du la féliciter comme il se doit. Les Anges étaient connus pour leur sévérité et leur rigidité. En un sens, ils lui avaient offert cette jeune femme sur un plateau. Il remontait le long de sa jambe, lentement, doucement, savourant ça, et finit par sentir, contre sa langue, sa mouille. Alastar soupira, sentant son corps trembler... Il n’y avait pas encore goûté, et, jusqu’à présent, le démon l’avait juste senti. Là, il put aventurer sa langue sur sa peau, et remonta jusqu’à sa culotte.
Elenwen portait une élégante culotte grise, douce et tendre. Il la lécha en visant son vagin, remuant sa langue, l’enfonçant contre sa culotte, et continua à lécher. Il la léchait si bien que son vagin était moulé par la culotte, ses lèvres intimes apparaissant distinctement.
« Tu sais que je peux faire jouir les femmes rien que par l’usage de ma langue, ma puce ? »
La question n’attendait pas vraiment de réponses, et il tira lentement sur la culotte, utilisant ses doigts, la faisant glisser le long des jambes de la femme, jusqu’à pouvoir la retirer.
« Attrape-là, ma chérie, et lèche-là... Je veux que tu sentes combien tu es bon et... Haaaa... »
L’odeur de sa mouille venait de remonter jusqu’à ses narines, le faisant trembler. Il en secoua la tête, reprenant peu à peu son souffle.
« Tu sens si bon, ma chérie... »
Il retourna se pencher vers elle, et posa chacune de ses mains sur ses fesses, puis fourra sa langue dans son intimité, et lécha... Tout en avalant sa mouille. Sa langue experte allait se faire plaisir dans son corps.
Oh ça oui !
