Bienvenue aux antiquités Von Dracul [pv Astrid Erlandsson]

Bien avant même que le jour soit lever, Aziel sortit de son antre afin d'y préparer sa boutique au futur visiteur. Il commença par mettre en place son panneau a l'entré du magasin laissant apparaître sa typographie très victorienne. Il fit aussi le ménage comme chaque début de journée, dépoussiéré la boutique n'est pas une mince affaire mais quand on se dédouble c'est tout de suite bien plus pratique. Il prit aussi le temps d'enlever chaque draps blanc recouvrant chaque objet et chaque vitrine. La boutique étant disposé tel une exposition d'objet, quand on y rentre deux armure garde chaque coté de la porte. Sur la droite on peut y apercevoir un escalier montant vers un étage où il y fait particulièrement sombre. En face et sur la gauche se trouve plusieurs choses. La gauche de la boutique est réserver a toute antiquité de style armes d'apparats ainsi qu'ancien bijoux et décoration de maison. Mais au centre ce trouve plein de d'objet plus attirant les uns que les autres, tous sous des cloches ou des cubes de verres afin de les préserver. On peut y trouver, des gants ayant appartenu a des nobles de l'age d'or, des objets magique y sont aussi entreposer mais sont souvent vers le fond de la boutique où on peut voir le comptoir du vampire qui a une vision complète de la pièce. Son comptoir  ce trouve juste devant la porte. Sur son comptoir on y trouve quelques coffrets, quelques chandeliers voir même des coupes papiers anciens. Le comptoir fais 1m50 de large et 3m de long. Il dispose de plusieurs tiroir a l'avant ainsi que du coté du vendeur. Il est d'un bois massif de couleur pourpre. On y trouve aussi une lampe ainsi que plusieurs outils permettant le travail de recherche d'Aziel. Sur la droite de la boutique ce trouve des centaines d'ouvrages, ayant appartenu a des auteurs plus ou moins célèbres.

Aziel comme a son habitude fit un inventaire rapide de chacun de ses articles, il passe en revu son livre de comptes lui permettant d'être a jour. Le jour allez par ailleurs commencer a ce lever, afin de bien commencer la journée il alla chercher un bouquet de rose non loin sur la place publique. Il arbora les rues de Nexus avec une tenue victorienne, un long manteau a bordure d'orée le recouvrait jusqu'au genoux. Il avait dans l'une de ses mains sa canne et dans l'autre une ombrelle afin de ne pas se vaporiser au soleil. Une fois sont tour de quartier fais et son achat de rose il passa par la boulangerie afin d'y acheter des petits gâteaux qu'ils laissent souvent a disposition des clients sur son comptoir.

Une fois rentrée il installa une fois encore tout ce qui devait l'être. Il fit un tour a l'étage afin d'allumer les bougies qui effacèrent les ténèbres de la pièce. Quelques animaux exotiques empailler arboraient l'étage ainsi que toute sorte d'objet plus mystérieux les uns que les autres. Dont un énorme coffre en bois massif orné d'un rubis, ce coffre est totalement enchaînée par d'épaisse chaines de métal laissant pendre un cadenas d'orée. Juste au dessus de ce dernier un petit mot "Ne pas ouvrir". Il repartit une fois son ménage fais en direction de l'entrée, il tourna alors son écriteau. "Ouvert". Il prit ensuite place derrière son comptoir un livre a la main assis sur un grand siège qu'on pourrait qualifier de trône. Il croisa les jambes, enfila des lunettes et se mit a lire attendant le doux son de la petite cloche annonçant l'arrivé d'un client.

-Toujours aussi reposant.

Il prit son café ainsi qu'une mignardise.  

Le temps avait passé depuis que la jeune femme avait fait son entrée dans le monde des adultes. Plus grand chose ne l'impressionnait maintenant, du moins le croyait-elle.  D'ailleurs, plus grand chose ne l'impressionnait de façon général. Les hommes étaient généralement si  prévisible, elle avait beau avoir déménagée un nombre incalculable de fois, les villes étaient tous les mêmes avec les mêmes boutiques, les mêmes restaurants. Comme si le genre humain était condamné à suivre un modèle prédéfini peut importe l'endroit où nous nous trouvions.

Découvrant encore cette nouvelle ville, d'ailleurs elle avait fait des paris avec elle-même sur le temps qu'elle passerait ici. Comme lorsqu'elle était enfant, elle pariait avec son frère sur le nombre de mois que la famille resterait avant que leur patriarche annonce que par une autre raison obscure la famille devait déménager sous d'autres cieux.  D'ailleurs, au fil des années, elle avait préférée ne jamais s'attacher aux autres gens de son espèce, évitant ainsi déception quand ils arrêteraient de répondre à ses lettres ou de ne pas retourner ses appels.

Astrid avait marché sans trop porter attention où elle allait, comme si quelque chose la guidait, l'appelait. Son regard se portant sur une étrange petite boutique. Sa première pensée avait été " Une autre boutique d'Antiquité... Qu'est-ce qui peut bien attirer les gens à acheter du vieux?" Mais, cette boutique semblait différente des autres boutiques de son genre. Elle ne pouvait quitter son regard de la vitrine, sans trop encore savoir pourquoi, elle poussa la porte et entra dans la porte . Une sensation agréable la parcouru, l'air chaud  de la boutique lui apportant un moment de calme.

-Toujours aussi reposant.

Elle se tourna vers la voix qui avait prononcée ces mots.

"Je vous demande pardon? "

Les yeux rouge brillant du vampire ce posèrent sur la personne étant rentrée dans la boutique. C'était une ravissante jeune femme dans la fleur de l'age. Elle semblait avoir un goût pour les vêtements de couleur sombre mais cela lui allait a ravir. Elle semblait être de taille assez raisonnable, a approximativement dans les 1m60. Il la regarda encore quelques instant avant de poser son livre ainsi que ses lunettes. Il s'adressa enfin a elle de son accent transylvain

-Je faisais référence a cette journée ainsi qu'a ce petit café matinale.

Il se leva alors de sa chaise prenant un peu de hauteur. Il commença alors a faire le tour de son comptoir sa tasse a la main, il se mit alors devant son comptoir en direction de sa future cliente. Il fit alors une légère révérence et de sa voix calme s'adressa de nouveau a elle.

-Bonjour et bienvenu dans mon humble boutique, Aziel Von Dracul. A votre entière disposition.

Toujours dans son geste de révérence il attrapa la petite corbeille remplis de pâtisserie et la tendit vers la jeune femme. De son sourire vendeur il la regardait avec un regard assez perçant comme si on essayait de percer l'âme même de la personne.

-Tenez il y'en a pour tout les goûts. Mais dites moi quel est votre nom belle demoiselle ? Et que souhaiter vous voir dans cette boutique qui est la mienne ? J'ai des articles de qualités a proposer si vous le souhaiter.

Il est vrai que Aziel est certainement une vrai pipelette, il aime la compagnie des gens et l'occasion de faire connaissance avec une charmante demoiselle lui va a ravir. Il continue de la scruter de son regard, imprimant chaque détails dans son esprit. Il attendait de voir sa réaction. Après tout il était de bonne humeur.

Astrid détailla l'homme de la tête aux pieds, des pieds à la tête. Elle nota de suite l'accent des pays de l'est.  La façon dont il se présentait, son attitude générale, il lui donna l'impression d'être un être raffiné.

-Bonjour et bienvenu dans mon humble boutique, Aziel Von Dracul. A votre entière disposition.
-Bonjour messire Aziel. Astrid Erlandsson. Enchantée de vous rencontrer.

Elle regarda la corbeille qu'il lui présentait. Bon, il est vrai vu l'heure matinale, elle se laisserait bien tenter.... Juste une, surtout plus par gourmandise que par nécessaire besoin.
Bien je me promenait dans le secteur et votre boutique m'a semblé être... Comment dire... Bref. Je serais direct Messire Von Dracul.
J'aimerais savoir si vous avez ou si vous pouvez me trouver quelques chose de particulier. Voyez vous je cherche quelque chose de particulier. Dirons-nous quelque chose que j'aurais pu en quelque sortes avoir perdu. Quelque chose que je tiens beaucoup. Plutôt que je tenais beaucoup.

Astrid marquait une pause regarda l'homme devant elle. Peut-être que après toutes ses années, elle pourrait remettre la main sur ce qu'elle cherchait.   Quelque chose qu'elle avait chérie, mais entre souvenir et devoir survivre, elle avait fait un choix à une époque. Et elle avait l'impression que aujourd'hui elle pourrait réparer cela.