Nom/Prenom/Surnom : Nakawa Shinzu (les filles aiment bien l'appeler "Shiny")
Âge : 18 ans
Sexe : Masculin
Race : Humain
Orientation sexuelle: Bisexuel (Femmes et Futa)
Description physique :
Shinzu est le genre de type dont la beauté colle tout à fait avec les codes de la société actuel. C'est un beau garçon, un "beau gosse". Il a une gueule d'ange avec ses traits fins, ses yeux en amande couleur châtaigne, des lèvres fines qui ne demandent qu'à être dégustées, une chevelure brune, mi-longue, douce et brillante mais surtout, son sourire étincelant qui laisse à chaque fois découvrir une petite fossette au coin de la lèvre. A cela s'ajoute une touche de virilité avec une petite barbe de quelques jours encadrant les traits bien dessinés de son visage, typique d'un jeune adulte, et quelques poils là où il faut, juste ce qu'il faut. En plus de cela, il a un corps plutôt bien fait, avec des muscles naturellement dessinés et pas une once de graisse. Et oui... Shinzu fait partie de ces mecs qui peuvent s'enfiler des pizzas toute la semaine sans prendre un kilo. Un petit bémol ? Si il en faut un... En-dessous de la ceinture, la taille n'est pas supérieure à la moyenne mondiale !
Bien évidemment, tous les goûts sont dans la nature mais force est de constater que ce jeune homme semble correspondre à pas mal d'entre eux.
Caractère :
C'est très simple, Shinzu est le genre de type qu'on aime ou qu'on déteste. Il n'y a pas d'entre deux. On aime être avec lui parce qu'il dégage un charisme incroyable, avec un regard toujours plein d'assurance. Et ce n'est pas un genre qu'il se donne ! Ce jeune homme ne doute de rien et surtout pas de lui, à tel point qu'il en développe même un complexe de supériorité. Il aime l'esprit d'équipe, il aime la compétition, il est fair-play (ce qui a tendance à dérouter ses adversaires) et aime fédérer les gens autour de lui. C'est le genre de type qui prend les devants lorsqu'il s'agit de faire des manifestations étudiantes, le genre de type qui sait faire preuve de répartie quand il faut et où il faut. Et en plus, il est pas trop con.
Tout cela sonne comme si c'était l'homme parfait ? A la vue de son entourage, il l'est. Ceux qui ne l'aime pas ? Des jaloux ? De son point de vue, du moins. Avec les filles ? Facile. Il a l'embarras du choix et elles sont prêtes à tout pour lui. Trop facile. Trop.
En vrai, Shinzu est totalement imbu de lui même et il aime se sentir aimé. Il aime encore plus rabaisser ceux qui le méprise. Sa confiance était auparavant sans faille, avant qu'il ne soit amené à quitter son ancienne école pour Seikusu... Désormais, ce jeune homme peine à trouver le sommeil.
Histoire :
... Le début / L'innoncence ...
Papa est chirurgien, maman est avocate à Tokyo. Franchement, autant être honnête tout de suite, nous sommes riches. A douze ans, j'avais presque déjà voyagé dans toute l'Europe grâce aux vacances que m'offraient mes parents en colonie. Je ne peux pas dire que j'entretiens des liens très forts avec eux mais au moins ils font tout pour me faire vivre convenablement et je ne peux pas vraiment me plaindre. Ils ne peuvent rien me reprocher non plus puisque mes résultats scolaires sont excellents.
Déjà tout petit, je draguais les filles en leur parlant avec les quelques mots de français que j'avais appris durant mon voyage à Paris.
Ma première vraie copine ? Suzine. Je m'en souviens très bien, j'avais treize ans et je disputais un match de football. A la fin de la rencontre, elle venue me voir pour me déclarer sa flamme. J'ai dis "oui" sans réelle conviction, elle était plutôt jolie et je ne voulais pas être blessant. J'ai compris une chose à partir de ce jour : les filles viendraient toujours à moi et je n'aurai pas besoin de me décarcasser.
... L'adolescence / Le rebelle ...
Entre mes treize et quinze ans, j'eus trois copines différentes sans jamais pouvoir affirmer être tombé un jour amoureux de l'une d'entre elles. La plupart du temps, je les larguais parce que j'étais las de répondre à leurs messages ou d'aller à ces rendez-vous. Je préférais trainer avec mon meilleur pote, Nobu. Il avait deux ans de plus que moi, jouais de la gratte mais n'était pas très malin. Je crois qu'il aimait bien trainer avec moi parce qu'il pouvait parler à plein de filles. A l'âge de quinze, je partis en voyage scolaire à Paris pour un échange étudiant.
Ma première relation sexuelle ? Les étudiants français savaient faire la fête. L'un d'entre eux, Mickaël, m'invita à ne pas suivre les cours une journée pour se joindre à lui pour une petite "journée entre amis". Cette journée se déroulait ainsi : l'après midi, on achetait quelques bouteilles d'alcools et on s'assurait de tout terminer avant d'arriver à la fête prévue dans la soirée. Cigarettes, pétards, alcool, tout était prévu et mon camarade français en abusait allègrement avec ses amis. C'est durant cette soirée que je fis la connaissance d'une française qui avait un faible pour les asiatiques et qui n'avait pas froid aux yeux...
A mon retour à Tokyo, j'étais totalement changé. Cigarette à la bouche, j'entrepris même d'apprendre à jouer de la basse pour intégrer le groupe de mon pote Nobu. Ca ne loupa pas, tout juste entré au lycée, j'étais déjà très populaire.
... Et tout changea ...
Trois ans de lycée, trois ans à enchaîner les relations, essayant toujours de trouver le meilleur compromis entre jolies filles et bon coup au lit. Mais rien n'y faisait, toujours le même schéma : les filles étaient prêtes à tout pour m'avoir et me garder. Elles acceptaient le moindre de mes désirs à tel point que cela en devenait parfois malsain. Alors je les jetais. Elles me suppliaient. Je les ignorais.
Mais... On était au milieu de l'année scolaire quand une nouvelle arriva en classe. Il me suffit de la voir pour savoir que j'allais déjà essayer de la choper... Grande, belle, bien foutue là où il fallait. En quelques heures et grâce aux réseaux sociaux, j'organisais une soirée dans un bar branché du coin en prenant bien évidemment la peine d'inviter la belle, mais en face à face. Ce fut un choc lorsqu'elle m'ignora presque. Mais je ne me démontais pas, j'aimais le challenge et je finis par la convaincre.
Le soir arrivé, je fanfaronnais, essayant de lui montrer que j'étais populaire, je saluais toutes les personnes que j'avais invité, demandant de leur nouvelles à certains d'entre eux que je n'avais pas vu depuis longtemps. Elle fut la dernière que je vins saluer et elle abordait toujours cet air indifférent.
Alors je lui offris à boire. Et je bus aussi. Toute la soirée, en grande quantité. J'avais perdu le contrôle et il ne me restait que quelques bribes de souvenirs de cette nuit. Le plus marquant était de voir cette fille sur moi, me faisant l'amour. Jamais je ne m'étais senti aussi bien et honteux à la fois. Elle avait pris le contrôle de moi et me manipulait comme "sa chose". J'étais totalement soumis à ses désirs.
A mon réveil, elle était à coté de moi, nue, son excitation clairement visible. Elle m'adressa un sourire plein de malice et... à nouveau, je m'abandonnais à elle. Cette fois-ci, j'étais conscient de tout ce qui se passait.
Peut-être en fin de compte, aimais-je les hommes ? C'est la question que je m'étais posée au début mais... Non, ils ne m'intéressaient pas. J'aimais la beauté des corps féminins, je me moquais juste de la façon dont je pratiquais ma sexualité. Pourtant je me sentais étrange, différent. Je ne pouvais pas m'empêcher de retourner la voir et n'osais même plus retourner au lycée de peur de laisser libre court à mes pulsions.
Mes résultats chutèrent. Mes parents commencèrent à s'inquiéter. A ma demande, je fus inscris dans un pensionnat en prétextant une déception amoureuse et le besoin de changer d'air pour ma dernière année de lycée.
Mes souhaits furent acceptés. Cependant, ce désir torride qui semble imprégner mon esprit se cache dans un coin de ma tête, n'attendant qu'une nouvelle occasion de pouvoir s'assouvir à nouveau...
Situation de départ :
Expérimenté avec les filles, mais par forcément "bon coup" puisqu'il a tendance à s'ennuyer lors des ébats.
Débutant avec les futanaris et particulièrement sensible à leurs atouts.
Autres : Oreille gauche percée, ornée de deux anneaux.
Comment avez vous connu le forum : Google !
Avez vous des moyens de faire connaître le site autour de vous ? Si oui lesquels: Nop
