Il fallait beaucoup pour me troubler, mais les yeux rouges de ma nouvelle amante me firent leur petit effet. Une femme avec un sexe d'homme, des doigts experts, des yeux rouges ? Ça faisait beaucoup quand même. Cette femme, ou quoi qu'elle soit d'autre, était clairement à part, peut-être unique. Le mystère qui l'entourait m'excitais, qui sait qu'elles autres surprises elle allait m'apporter ? Je pouvais sentir ses doigts se balader sur mon corps, incapable de bouger, mes épaules bloquées par les bras musclés de M. Yamada. Ses caresses me faisait gémir, de long gémissements étouffés par le membre qui me limait la gorge.
"HUMPHHHHHH !!! Huuuuuumph … Huuuumphhhhh ! Huuuuuuuuumph … HUMPHHHHH !!!"
Pendant ce temps, le prof' de sport me pilonnait sans pitié. Il s'était durement entraîné sur ses élèves pour pouvoir tenir le plus longtemps possible tout en étant à fond et était devenu un véritable monstre quand il s'agissait de donner du plaisir. Mon corps se soulevait à chaque coup de butoir, pour éviter de trop morfler. Mais lorsque je serais bloquée contre le corps de ma maîtresse au sexe d'homme, cela ne sera plus possible et je serais alors obligée de tout encaisser. Cette dernière prenait son temps, caressant mon charmant petit corps ainsi soumis, pressant fermement mes seins et s'amusant à me faire languir en caressant ma fente humide avec le bout de son sexe. Si j'avais pu parler je lui aurait dit de me la mettre, que je la voulais, sa bite. Mais tout ce qui sortait de ma gorge c'était des gémissements étouffés et incompréhensibles.
Tout à coup, j'ai pu sentir son sexe me pénétrer brutalement, glissant en moi jusqu'à ce que son corps percute le miens. Mon corps s'est cambré, puis a été forcé de revenir à la normale, contraint par M. Yamada à l'immobilité. Les vas et viens de la femme, doux au début, devinrent bien brutaux par la suite et ce n'était pas pour me déplaire, bien au contraire. Je manquais déjà d'oxygène, la bite dans ma gorge m'empêchait de respirer normalement et mon corps s'essoufflait vite. Aussi j'ai vécut comme une délivrance l’éjaculation de celui qui s'était placé au dessus de mon visage. Sitôt son sexe sorti, j'ai pris une grande bouffée d'air frai, respirant bruyamment tout en gémissant.
"HAAAN !!! Han ! Han …"
Puis la femme aux yeux rouges s'est allongée sur moi, plaquant mon corps contre celui du professeur Yamada, m’empêchant d'absorber ses coups de rein en douceur. Elle me caressait, montait jusqu'à mon visage pour me chuchoter à l'oreille :
"Tu aimes ça, hein ? Ce n'est que le début, ma belle."
"O-oui, m-maîtresse ! J'aime … Han ! B-beaucoup votre … vos … Humph ! V-vous pouvez vous vider dedans … Aaaah … C'est … Ok !"
Écrasée entre leurs deux corps, le mien ne pouvait que subir, endurer. J'ai senti mon entre-jambe s'humidifier d'avantage, dégoulinant de bonheur tandis que son pénis faisaient d'amples et rapides vas et viens. Par devant et par derrière en même-temps, tandis que mon corps subissait l'assaut de ses doigts, tantôt sur le ventre, tantôt caressant ma poitrine, avec un petit coup de langue dans le cou ou sur l'oreille de temps en temps. La bouche grande ouverte je haletais, ma langue pendant sur le côté, libérant un fin filet de salive en continu qui s'écoulait le long de ma joue. Mes yeux se révulsèrent, même pour moi c'était trop et quelques larmes de bonheur intense se mirent à couler de mon regard vide. Ma tête aussi était vide, je n'arrivai plus à penser, il n'y avait que ce plaisir qui me dévorait de l'intérieur et de l'extérieur, embrumant mon esprit.
Je ne sais pas combien de temps ça a duré, peut être 5 minutes, peut être des heures, j'ai totalement perdu la notion du temps. Je sentais que mon corps était sur le point de craquer, je transpirai à grosses gouttes, mes muscles étaient tétanisés et je n'arrivai pas à reprendre mon souffle. J'étais vraiment à bout, crevée, c'était la première fois que je prenais aussi cher et je pouvais apercevoir les flash des appareils photo immortaliser l'instant du coin de l’œil. Mon corps était bouillant, fatigué, excité, torturé par ces deux énormes bites qui me prenaient impitoyablement. Puis j'ai senti la délivrance approcher, sentant ces deux sexes m'inonder de leur sperme. Et après plus rien, j'ai sombré dans l'inconscience.